Rencontre Naturiste

Un croisement entre un peu de réel et un fantasme... une rencontre entre 2 couples qui se poursuit par des moments de volupté, de douceur et de sexe assumé...

Proposée le 22/01/2022 par Sweet64

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Thème: Couple, passion
Personnages: 2CPL
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme

L’été avait installé ses beaux quartiers depuis quelques semaines. Pour autant, ça n’était pas encore l’heure des vacances pour Sonia.
Fort heureusement, habiter sur la côte basque permet à la belle saison de profiter de quelques menus plaisirs qui offrent de belles parenthèses dans le quotidien.

Comme elle ne travaillait pas le mercredi après-midi, Pierre eu la bonne idée de la rejoindre à la sortie de son bureau, avec quelques affaires de sport, les vélos, deux serviettes et un pique-nique ; direction les plages du sud des Landes.
Était-ce un oubli opportuniste ou juste un « loupé » de sa part, il avait omis de prendre dans son sac des maillots de bain.
Il faut croire que c’était tout de même calculé de sa part, tant il avait en tête depuis bien longtemps de conduire sa belle à profiter des plaisirs du bronzage intégral sur une belle plage de sable fin.
La côte landaise regorge d’endroits discrets pour s’adonner au naturisme, avec de nombreux coins de plages réservés à cette pratique.
Pierre avait cherché quelques conseils sur les réseaux et savait parfaitement où se rendre.

Sonia ne posa guère de question. Il faut dire qu’elle avait trouvé l’idée de cette balade et ce pique-nique fort agréable. Et n’ayant pas ausculté le contenu du sac, elle ne soupçonnait aucunement l’oubli volontaire de son homme.

Après moins d’une heure de vélo, ils étaient enfin arrivés sur une immense étendue de sable où quelques personnes offraient leurs corps aux caresses de l’astre solaire.
Pierre posa le sac dans un endroit quelque peu à l’écart, et sortit les deux serviettes qu’il étendit côte à côte.

« Mais Pierre, tu as oublié les maillots ! » s’étonna Sonia.
« Nous n’en avons pas besoin » répondit Pierre tout en se déshabillant intégralement.
Sonia resta un instant bouche bée. Regardant son homme nu comme un vers s’étendre sur la serviette, elle considéra l’environnement pour constater qu’ils semblaient être à l’abri des regards. Et après ce contrôle visuel, elle imita son mari en déposant tous ses habits au coin de sa serviette.

Pierre, ravi de voir que Sonia jouait le jeu sans rechigner, proposa de lui préparer de quoi manger.
Une petite salade de riz était un plat qui ne pouvait que faire plaisir à sa douce.
C’était frais et ça changeait des sandwichs ou des plats de pâtes industriels dont elle devait parfois se contenter le midi.
Suivi de quelques fruits sucrés de saison, Sonia oublia bien vite qu’elle était nue sous le soleil.
A croire même que les rayons qui la réchauffaient ne faisaient qu’agrémenter avec bonheur son déjeuner.
Pierre laissa Sonia profiter d’une séance de bronzage total, non sans lui avoir enduit le corps de crème solaire. C’était à la fois nécessaire pour éviter quelques désagréments brûlants et surtout bien agréable pour lui de caresser ainsi tout le corps de sa délicieuse compagne.
Puis il lui proposa d’aller marcher un peu au bord de l’eau… guettant sa réaction à l’idée de se promener de la sorte, nue, en lieu totalement ouvert.

La dame essaya effectivement de négocier a minima le port d’un short.
Mais Pierre argua du fait qu’il était dommage d’aller ajouter des marques à son bronzage.
Voyant que malgré tout la plage était immense et que l’affluence était somme toute très raisonnable, Sonia se laissa convaincre pour la balade.
Elle était semble-t-il toute heureuse de ce moment de complicité avec son homme.
Serré contre lui, accrochée tendrement à son bras, elle foulait le rivage, laissant l’eau courir sur ses chevilles, sans se soucier de sa nudité, sans s’inquiéter que d’aucun puisse poser un regard sur son intimité ou ses jolis seins dardés sous les effets du vent qui les caressait.
Elle s’amusa même, un petit moment à promener son homme en le tenant par son sexe. Comme s’il était tenu en laisse.
Ils discutaient de tout et de rien.
De leur chance d’habiter dans ce pays et de toutes les possibilités que cela leur offrait au quotidien : aller à la plage ou à la montagne après le travail, être en vacances sans être en congés, être des privilégiés.

De retour à la serviette, un homme s’approcha d’eux.
Sonia eut le réflexe de masquer autant qu’elle le pouvait son pubis. Mais compris assez vite que le visiteur n’avait aucune mauvaise intention.
Il leur expliqua simplement qu’avec son épouse, ils les avaient entendu parler de sorties dans les montagnes avoisinantes et leur demanda s’ils pouvaient s’installer à côté d’eux pour avoir des renseignements sur les parcours promenades ou des randonnées intéressants.

Avec l’assentiment de Sonia, Pierre les invita à se joindre à eux.
Le monsieur se présenta sous le surnom de JP et la dame s’appelait Charline.
A la vue de leur bronzage totalement uniforme, ils ne devaient pas débuter dans le naturisme.
Tous deux avaient une allure sportive et des corps bien faits.
Ils venaient souvent en vacances dans cette région qui selon eux offraient tout ce qui était nécessaire à une vie très plaisante.

Sonia restait plutôt discrète, mais bientôt, tandis que les deux hommes échangeaient sur les activités sportives possibles dans les montagnes toutes proches, elle se mit à échanger avec Charline sur les plaisirs de la région ; les visites à faire – même si JP et Charline avaient déjà bien découvert la région – quelques bonnes adresses à découvrir en particulier pour le shopping, …

JP ne tarda pas à proposer à Sonia et Pierre de prendre un verre en fin d’après-midi.
Ceux-ci furent contraints de décliner car ils avaient d’autres engagements.
Du coup, Pierre proposa à tout le monde de s’organiser une petite balade en montagne le lendemain en fin de journée, et de terminer la soirée autour de quelques grillades chez eux. Et ce, d’autant plus facilement que les enfants, en vacances, n’étaient pas à la maison.

Grand bien en avait pris à Pierre de programmer cette promenade en fin de journée, tant il avait fait chaud ce jour-là.
Sur le coup de dix-huit heures, les quatre randonneurs entreprenaient leur petite promenade sur une colline qui allait leur offrir un panorama exceptionnel sur toute la côte basque.
C’est sans aucune difficulté qu’ils parvinrent au sommet de qu’on appelle un calvaire. Ce mot ne collait pas tout à fait au moment qui lui était plutôt très agréable pour tout le monde. Et au sommet la récompense était bien grande, avec un ciel dégagé qui offrait une vue magnifique sur plusieurs dizaines de kilomètres à l’horizon.

De retour chez Pierre et Sonia, alors que le soleil n’était pas encore totalement couché, tout le monde s’était douché et dégustait, au bord de la piscine, quelques viandes et légumes fraîchement grillés à la plancha.
Sonia ne buvant pas de vin, c’est avec du champagne que les agapes étaient arrosées.
Le climat très convivial amena Pierre à proposer à ses hôtes de profiter de la piscine.

Charline fut la première à sauter sur la proposition et se déshabilla prestement avant de glisser dans l’eau.
« Viens Sonia, elle n’est pas si froide… » Osa-t-elle une fois dans la piscine.
Les deux hommes en étaient à terminer un verre de digestif local.
Sonia accepta donc la suggestion de Charline.
N’osant pas aller chercher un maillot, c’est également toute nue qu’elle entreprit de descendre délicatement dans l’eau.
Charline lui tendit la main pour l’inviter à la rejoindre…
Et la réceptionna dans ses bras quand elle franchit la dernière marche qui s’enfonçait dans la piscine.
Leurs poitrines se rencontrèrent et s’embrassèrent tandis que Sonia eut un petit frisson en posant son second pied au fond de la piscine.
Dans un réflexe plein de tendresse, Charline entreprit de frotter le dos de Sonia, comme pour la réchauffer.

Est-ce la vision de ces deux corps de femmes collés l’un à l’autre que les décida ? Toujours est-il que JP et Pierre firent tomber le short pour se mettre à l’eau.
JP posa un baiser sur l’épaule de Charline tout en lui caressant le dos et les fesses.
Cette dernière gardait le contact avec Sonia, en la tenant par la taille et posant une main sur son ventre.
Tout cela semblait très naturel et chargé de bienveillance.

De concert, les deux femmes se mirent à faire quelques brasses ; offrant aux deux hommes la douce vision de leurs fesses qui s’éloignaient avec grâce.
Apparemment, l’eau n’était pas trop froide… toujours est-il que les hommes, certainement échauffés par la vision de leur sirènes si sensuelles dans l’eau, sentaient leur virilité s’enthousiasmer de la situation.
Pierre avait allumé le projecteur de la piscine, ce qui permettait de se délecter des courbes qui ondulaient sous l’eau.

Les deux messieurs, se rapprochèrent de leurs muses qui s’étaient posées pour discuter au bout de la piscine ; chacun s’installant à côté de sa tendre aimée.

Tout en tenant Sonia par la main, Charline ne tarda pas à saisir le sexe de son homme dans l’eau et le caresser très lentement.
Sonia ne manqua pas cette vision, et marqua sa surprise en serrant un peu plus fort la main de son invitée.
Pierre, pour sa part, avait posé une main sur les fesses de sa chérie.

Charline, tout en caressant son homme qui s’était glissé légèrement derrière elle, faisait courir son autre main sur le ventre de Sonia.
Lentement elle remonta sur la poitrine bien ronde de sa proie et lui enserra un sein.
Elle collait sa paume contre le fruit, blottissant le téton bien au creux de sa main.
Puis elle l’excitait du bout des doigts, le pinçant entre son pouce et son index pour le rendre encore plus pointu !

Apparemment encouragée par les signaux que Sonia lui renvoyait, Charline l’invita à partager le sexe de JP en le lui mettant bien en main.
Certainement pour se rassurer, la belle se saisit, de l’autre côté du sexe de son homme. Et entreprit dès lors de caresser les deux membres sur le même rythme.

Les deux sirènes ne tardèrent pas à sentir des mains recouvrir leurs seins et bientôt les pétrir délicatement.
Charline, pour sa part, découvrait le corps de Sonia du bout des doigts. Elle avait fait glisser sa main de la poitrine vers le fruit défendu.

Les jeux de caresses durèrent un moment, tandis que le quatuor se déplaçait et s’approchait du bord.
Sonia, tenant toujours les deux mâles par leurs dards, les extirpa de l’eau.
Le petit groupe s’étendit sur des serviettes qui avaient été abandonnés sur la terrasse.

Charline fit comprendre à Sonia qu’elle aimerait se saisir du membre de Pierre et qu’elle aimerait la voir s’occuper de son homme…
Sans un mot, Sonia lâcha le sexe de Pierre, comme pour l’offrir à Charline, et se saisit avec délicatesse des couilles humides et douces de JP.
Charline avait fait et ne tarda pas à embrasser le membre tendu de Pierre. Elle le goûta sur tout son long avant de l’engloutir très lentement au fond de sa bouche.

Ne voulant pas être en reste, Sonia, après avoir caressé la queue de JP avec ses seins, se mit à lui prodiguer une gourmande fellation.
Tout en le caressant sur tout son long, elle le dévorait doucement. L’avalant sur une bonne longueur, encouragée par les mouvements de bassin de son amant.

De l’autre côté, Pierre se dégagea de la bouche de Charline pour glisser entre ses jambes et commencer à goûter à son tour son abricot.
Comme il aimait le faire, il invita la belle à se mettre à quatre pattes pour venir lui déguster son intimité par derrière.
Tout en glissant un doigt dans sa fente, il allait chercher du bout de la langue son petit bouton déjà bien gonflé.
Il aimait se délecter de ce miel qui irriguait cette douce cavité.
Ayant également bien lubrifié la petite rosette de sa brûlante partenaire, il ne tarda pas à immiscer un doigt dans chacun des trous. Et de les astiquer consciencieusement avec ces appendices digitaux.
Charline ondulait langoureusement sous ces assauts de caresses et ces coups de langues gourmands.

Ayant sa maîtresse d’un soir à portée de main, elle entreprit de caresser la chatte luisante de Sonia. Elle ne mit pas longtemps à la fouiller en enfouissant non pas un mais deux doigts savants dans sa grotte.
Sonia était ainsi la bouche pleine du sexe plus que fier et puissant de JP, se faisant tripoter allègrement les seins par ce dernier et le tout la chatte remplie pas les doigts agiles de Charline.
Elle découvrait ainsi une configuration multi-plaisirs qui ne pouvait que la ravir.

Pierre continuait d’honorer Charline de sa gourmandise, et à n’en pas douter la préparait allègrement pour d’autres outrages à venir.
Sa langue revint se perdre sur le petit trou et ne manquait pas de l’inonder de frissons délicieux.
Ce jeu permit très vite à Pierre s’y insérer un second doigt qui glissa sans aucune difficulté dans l’entre interdite.
Pour ne pas laisser de côté sa partenaire féminine, Charline força l’entrée du cul de Sonia et y glissa très délicatement un doigt finalement très bien accueilli.

A la vue de cette initiative et de ce que subissait son amoureuse, JP adopta la même posture que Pierre et vint prodiguer une délicieuse feuille de rose à la belle Sonia.
Bien qu’elle s’en défende souvent, Sonia était particulièrement sensible à ces caresses linguales sur son petit trou. Elle ondulait des fesses tout en se titillant le clitoris.
Elle se délectait des coups de langue de JP et n’opposa aucune résistance à l’intromission de ses doigts dans ses orifices !

Tout en se faisant fouiller la chatte et le cul, les deux femmes s’embrassaient goulûment ; chacune en profitait pour caresser les seins de l’autre.

Et c’est ainsi, bouche contre bouche qu’elles accueillirent chacune l’entrée sodomite de deux phallus bien serviables.
Chacun des mâles prit soin tout de même de pénétrer sa partenaire de jeu avec délicatesse, laissant la cavité s’adapter à cette arrivée presque impromptue.
JP était d’une infinie douceur et Sonia commençait à prendre plaisir à faire coulisser ce sexe dans ses entrailles. Elle sentait ce sexe la remplir et vibrer en elle. D’une main elle continuait à s’exciter son clitoris et cette double stimulation la comblait au plus haut point.
Charline, qui se faisait pénétrer de la même manière par Pierre continuait de pétrir les seins de Sonia.
Le tout en buttant contre le bassin de Pierre qui l’emplissait de son dard plutôt large.
Elle se délectait de ces coups de boutoirs qui irradiaient le bas de son dos.

Jusqu’à ce que Pierre proposa à Charline de changer de position…
Il se glissa sous elle, pour introduire son sexe dans son minou luisant. Cela offrait à JP l’opportunité de venir sodomiser sa femme tandis que Sonia s’approcha pour offrir ses seins aux coups de langues de Charline et sa chatte à ceux de Pierre.

Voilà Charline pénétrée par ses deux orifices, dévorant deux seins dressés face à elle.
Elle mordillait les tétons de Sonia qui se trémoussait sur la bouche de Pierre.
Chacune vibrait sous ces assauts multiples, se remuait, se cambrait ou se dressait au gré des spasmes qui la traversait.
Le quatuor s’extasiait de concert, proche de l’orgasme simultané.

Sous les derniers coups de reins de ses deux amants, Charline sentit un immense jaillissement de jouissance traverser tout son corps.
Les semences masculines avaient empli son intimité et ses entrailles.
Et cette communion orgasmique s’étendit à Sonia qui, sous les coups de langues brulant de Pierre, Charline et maintenant JP qui lui dévorait un sein, se tordait de plaisir et poussa un grand soupir d’extase.

Les quatre coquins s’affalèrent sur les serviettes, repus de plaisir et épuisés de jouissance.
Machinalement, Charline et Sonia continuait à se caresser mutuellement, tandis que les deux hommes de réjouissaient de cette douce vision.

Ce soir JP et Charline allait finalement rester sur place, pour s’éviter un retour nocturne sur leur lieu de villégiature… et refaire l’amour tout comme Sonia et Pierre, toute une partie de la nuit.

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