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Chambre 321

C'est l'histoire d'une rencontre, puis d'une bonne baise un peu sauvage entre deux inconnus : une femme désinhibée, rousse aux gros seins blancs, et un homme, d'abord maladroit et complexé par ses propres désirs, puis complètement libéré et presque dominateur.

Proposée le 7/12/2021 par Audrey Horne

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme


J'entrais dans le bar et la vit immédiatement. Elle s'était assise près de la fenêtre, d'où elle jetait régulièrement de brefs coups d'œil qui se voulaient discrets. Une autre femme était lovée sur un fauteuil, face à elle, et dos à moi. Son cul débordait d'un côté, et elle déblatérait un flot continu de paroles en riant à gorge déployée. Elle était visiblement partie dans un monologue qui n'attendait aucun retour.

J'en profitais pour scruter le corps et le visage immobile de celle qui avait aussitôt attisé mon désir, sans chercher à me cacher. Elle sentit mon regard, et je crois qu'elle essayait de me deviner, elle aussi.

Au bout d'une heure environ, son amie se leva et parti aux toilettes. Je vidais d'un trait ma bière pour me donner du courage et me décidais, enfin, à aller à sa rencontre. Après quelques pas je me retrouvais face à elle, cherchais son regard et lui présentais, en guise de salutations, ma verge. Un peu bourré, je l'avais discrètement sortie de mon jean, caché sous mon long manteau. Elle me regarda d'un air amusé, et n'était aucunement gênée de mon exhibition maladroite. Cela laissait présager d'une sauvage soirée. Elle glissa un billet sur la table, écrivit un texto, et me lança d'une voix grave et sensuelle : "On va où ?"

Après quelques échanges brefs en attendant un taxi, nous avions décidé de prendre une chambre d'hôtel, pour plus de neutralité. Nous voulions en lieu qui n'était ni imprégné des souvenirs, ni des rappels du quotidien. Juste deux corps sans inhibition.

Quelques secondes après notre arrivée dans la chambre portant le numéro 321, j'eu un moment de confusion. La voir se déshabiller dans un coin de la pièce, pourtant chaleureuse, me freina. Tout semblait froid, trop de mécanique dans ses gestes. Elle sembla se rendre compte de mon incertitude, éteignit la lumière principale pour ne laisser que celle, douce et tamisée, d'une petite lampe de chevet, et s'approcha de moi en souriant.

Elle n'avait pas terminé d'enlever ses vêtements, et je ne pouvais admirer que ses rondes cuisses blanches et sa chatte rousse, épilée en une jolie forme floue et excitante. Elle releva ses longs cheveux fauves d'une main, et s'agenouilla face à mon membre mou. Elle entrouvrît sa bouche carmin, et le glissa entre ses lèvres. Elle fit jouer sa langue contre mon gland, fit des mouvements de va-et-vient ; je sentis mon sexe grossir et se tendre contre l'intérieur de ses joues. Mon hésitation s'envola.

Elle ouvrit encore sa bouche pulpeuse pour laisser la place à mon sexe gonflé et mouillé de sa salive, en agitant sa tête un peu plus : j'entendis ses bruits de succion, qui ne parvenaient pas à couvrir mes râles de plaisir. Je me risquais à tendre une main vers sa poitrine, que je n'avais pas encore osé regarder. Après quelques secondes à palper le tissu fin de son chemisier et à m'introduire sous son soutien-gorge, je touchais enfin un sein, chaud et généreux. Elle se mit à respirer plus vite. Je pris cette manifestation comme un encouragement à plus d'initiatives, et je fis glisser la paume de ma main pour effleurer de mes doigts ses tétons aux larges aréoles bombées. L'envie était trop forte, je me retirais de sa bouche pour m'agenouiller face à elle. Je me mis à embrasser sa bouche langoureusement, puis son cou. Descendant toujours plus bas, j'enfouis ma tête dans son haut et mes lèvres effleuraient maintenant la peau brûlante et douce de ses seins au parfum enivrant. Ma langue lécha délicatement ses tétons roses, puis je les embrassais avec force et passion, les aspirant presque. Je les sentais se faire plus durs et plus pointus dans ma bouche. Mon sexe était énorme et tendu, prêt à imploser de plaisir. J'eus un besoin urgent de me vider, de façon purement animale.

J'attrapais ses cheveux en l'invitant de mes gestes à se mettre à quatre pattes, toujours sans un mot. Elle écarta ses cuisses et se cambra sauvagement. Sa position me laissa entrevoir une entre-jambe mouillée, presque brillante à la lueur de la lumière tamisée. Je ne pus m'empêcher de lécher son sexe, récoltant sa mouille sur le bout de ma langue, dans ma bouche... De ses plaintes de plaisir, elle semblait presque me supplier de la pénétrer. Ce que je fis. Je m'introduis dans sa chatte humide, le plus profondément possible. Elle poussa un soupir de soulagement, et commença à se frotter avec ma bite. Ses mouvements étaient de plus en plus forts et rapides, me faisant comprendre qu'elle cherchait à enfoncer ma queue le plus loin possible à l'intérieur d'elle-même. Je ne lui laissais donc pas de répit, et, attrapant sa croupe, je me mis à la marteler de coups de reins, m'introduisant à chaque fois plus profondément. Elle hurla de jouissance, son corps n'était plus que volupté. Pour moi, l'envie de jouir se fit trop forte. Je me retirais brutalement, et attrapais mon énorme sexe pour projeter mon sperme épais sur son cul et sur son dos.

C'est sur cette note humide que se termina notre fantastique nuit de baise.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Magnifique histoire j’adore ????
Posté le 16/12/2021


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