La Chambre Noire.

Ne mettez pas les pieds dans la chambre noire, ou alors prenez en compte ce qui pourrait vous arriver. Ne lisez pas ce texte si vous pensez que ce genre d’aventure ne puisse être qu’une fiction, la réalité quelques fois dépasse la fiction et ce qui est difficile à supporter pour l’un, ne l’est pas forcément pour l’autre.

Proposée le 14/04/2021 par maximilien7

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Thème: SM, bondage
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme

C’est une porte qui s’ouvre sur une pièce sombre, on distingue à peine quelques silhouettes fantasmagoriques qui se profilent le long des murs gris, mon cœur bat la chamade. On entend quelques chuchotements très discrets, au centre se dresse une table, et dans mon dos une main me pousse avec détermination, puis sur ordre, je m’arrête. La lumière diminue encore d’intensité, un bandeau s’abaisse sur mes yeux et me plonge aussitôt dans un abîme de frayeur. Mon sang ne fait qu’un tour, je veux m’en aller, je veux fuir ce lieu ! Il ne fallait pas accepter, mais…, me jeter dans la gueule du loup détermine ma personnalité, on ne change pas !!

Dans mon dos la fermeture éclair crisse, une main ferme saisit mon poignet droit, les bretelles glissent sur mes épaules et la robe chute à mes pieds. On retire mes chaussures, le sol est froid, mon soutien gorges disparaît et mes seins sont palpés, sous-pesés…, je panique. Un souffle frôle mon cul et ma petite culotte s’abaisse aux chevilles…, je suis nue ! Un vent de fraîcheur gravite autour de mes jambes, lèche mes fesses et s’enlace dans mon intimité, j’attends…, on murmure, on apprécie et je sens les regards courir sur ma peau, j’attends…

On me saisit par les bras, par les jambes, je suis soulevée et quand la table froide touche mes fesses, puis mon dos, il me semble devenir l’objet d’un sacrifice offert aux dieux par une confrérie pernicieuse. Des lanières de cuir enserrent les poignets et mes chevilles, puis des mains se jouent de moi, elles s’amusent avec mes doigts de pieds, je frissonne, une bouche, les lèche, les avale, c’est plaisamment vicieux. D’autres dorlotent mes genoux, massent mes cuisses, on étreint mes seins, on suce on torture les mamelons. Des bouches avides lèchent mes chevilles, des langues s’engouffrent à tour de rôle dans ma bouche, on suçote dans mon cou, et je suis envahie sur l’ensemble du corps par une multitude de sangsues qui aspirent et malaxent mes membres.
C’est une bête aux milles têtes, tentaculaire et ambitieuse, elle avance sur mon ventre mordille mon buste, furette au nombril, lèche les poils pubiens, puis elle cherche plus bas au creux du delta génésique, la chose qu’elle affectionne le plus. Elle écarte mes lèvres vaginales et recherche, avide et insolente, l’éminente protubérance. Il est impossible de m’en extraire, elle entre et aussitôt la repère et la pince, je crie…, un murmure se fait entendre. Je me débats, me rebelle, deux doigts l'enserrent et font rouler la gibbosité que je sens croître, puis, il y a ce bruissement visqueux produit par mes petites lèvres mouillées. La douleur des lanières se fait sentir sur mes chevilles, on écarte encore mes cuisses, des doigts s’engagent dans le sillon, ils coulissent et frottent, la cyprine exsude et longe le sphincter en lubrifiant mes cuisses. Mon Dieu quand cela va-t-il cesser ?

Mensonge…, j’aime que ces doigts me pénètrent, que ces bouches me bouffent le sexe, pas un endroit n’est épargné, jamais je n’ai ressentie une telle emprise, une telle volupté. A chaque soupir, à chaque gémissement les chuchotements accompagnent mon ascension et augmentent les sensations érogènes, combien sont-ils à me regarder couiner et me repaître. Je suis une salope comme il ne s’en fait pas, moi…, l’épouse modèle, la maman poule, aujourd’hui, je suis celle qui se fait baiser nue devant un parterre de pervers et j’en veux encore. Qu’on m’enfourche, qu’on me domine, qu’on me maltraite, qu’on m’abaisse à ce que je ne suis pas, qu’on me possède par devant, par derrière, jusqu’à me voir croupir et demander pardon.

Puis, on me détache, on me renverse sur le bois brut, ma poitrine s’écrase sur cette table, mes jambes pendouillent et je ne touche plus le sol qu’avec le bout de mes pieds. C’est avilissant de me sentir ainsi exposée le cul en l’air, c’est douloureux, mais j’en attends plus encore. Jouissance et sensualité, encore ces mains qui gravitent à l’intérieur de mes cuisses avec une certaine douceur. C’est une femme sans doute qui apprécie les coulures qui exsudent du sexe et suintent vers le sol. Cette fois-ci, je vais y passer, on frappe dans les mains en cadence régulière, on me dit qu’un billet circule entre les participants, il y aura une sentence qu’on annoncera à la fin de la consultation !

Cinq personnes sont désignées, puis cinq autres, ma respiration s’accélère j’attends et mon corps se tend, le calme est impressionnant et engendre la peur. On fixe mes chevilles aux pieds de table, je tremble, que vais-je devoir supporter ?
Derrière moi, une présence ! Je la ressens quand elle me frôle, me tâte, quand elle inspecte mes orifices sans ménager ses efforts afin de provoquer mes réactions, je craque, me débat, me tords et soudain cette main généreuse s’abat violemment sur mon cul… la brûlure est terrible, je braille et implore, on écartèle mes lèvres vaginales, quatre doigts impriment une pressions dont je devine les sens !!
- non !, pas ça s’il vous plaît, ne faîte pas ça,…. !

On murmure à mon oreille, je refuse…, juste assez,….pour donner le change !Je bloque ma respiration, et je me sens écartelée, lentement, douloureusement, mon intimité entière s’ouvre pour laisser le passage à une poigne de fer, je braille et me soumet. La masse entre en moi, je tressaille, pleurniche, autour de moi on scande au rythme de la punition.
- han, han, han…

Le bourreau sait faire, il accélère et mon ventre est mordu par le bois de la table, han, han, je suis entraînée par le mouvement qui va, qui vient et puis …, je pleure...enfin il ressort, mes jambes tressailles, et un coup plus violent s’abat sur ma croupe, je sursaute, mes fesses brûlent encore longtemps, oh ! laissez-moi respirer un instant !! Mais ils sont nombreux et sans pitié vraiment, je sens un doigt pointer mon sphincter, on expectore sur l’orifice pour en prendre possession, le pénétrer et en jouer pour me faire beugler. On frappe encore, on caresse l'entre-jambe et je m’envole une fois de plus.

Une main plus douce que les autres s’impose, elle me rassure, puis elle me contourne par la droite tandis que l’autre passe à gauche et les deux se rejoignent au centre en prenant en otage mon sexe toujours très en alerte. Contre mes fesses je sens arriver un tapis de poils pubiens humides, la femme engage une savante masturbation et je plie sous ces doigts savants. Elle sait faire avec un doigté surprenant, sa tête se colle sur ma croupe et je fonds, séduite par cette sensualité, j’imagine ce corps nu qui reste cramponné à moi. Une voix suave murmure à mon oreille !
- tu es douce, je sens tes odeurs, laisse-moi te masturber comme je le fais moi-même, oui voilà…, là je te sens venir, laisse toi aller !!

Je ne résiste plus, la vague arrive, puissante, intransigeante, ça gicle au fond de moi, je rugis, comme une jument en chaleur. Les doigts entrent dans ma caverne et je jouie encore fortement. Elle moud et écartèle les chairs meurtries et l’orgasme me porte au bord de l’inconscience.

- oui…, voilà, crie, bat toi, je t’aime…, encore oui…, petite garce, tu vas te faire enculer, prépare ton cul, car celui-là est énorme et long, tu vas déguster !!

Le silence se fait, la sentence est tombée ! La sodomie sera ma punition, se sera la première fois que je subirais cet affront, mes membres se tendent, je tremble de tout mon être. Non ! Je ne suis pas prête, pourquoi devrais-je subir cette torture morale ?, pourquoi me suis-je rabaissée à me faire enculer au bonheur de quelques surexcités dans cette cave ? Pauvre idiote….tu l’as bien mérité !
- je vais t’enduire le sphincter, laisse toi faire, ne te crispe pas, ça fera moins mal….
- va te faire foutre, je t’emmerde, je ne veux pas qu’on m’encule, tu entends, alors lâchez moi…

Je ne reconnais pas ma voix, ni mes expressions, rien, n’y fait. Un doigt pernicieux s’introduit à la rosette, la masse d’une crème froide, puis s’engage dans la raie, franchit encore les lèvres du sexe. La vulve endolorie produit une nouvelle fois son effet, je reçois cela comme une dernière cigarette avant l’exécution. Il progresse dans le col de l’utérus, je jouis formidablement, puis il se retire…
Je retiens ma respiration quand le serpent pose sa tête à l’entrée du petit trou, puis il pousse, se fraye un passage encore trop étroit, je me lamente, me rebelle, tente d’éviter naturellement cette pénétration sans résultat. Le pénis est long et puissant, il va me percer l’abdomen !! et tandis que je me débats il fore et s’enfonce entièrement. Je hurle, la douleur est forte, puis elle s’apaise, l’orgasme qui suit est vaginal et suprême, ma tête tombe sur cette table et je perds toute notion du temps.

Au point du jour, je rentre chez moi, on a pris soin de moi, dans mon sac il y a la récompense qui m'a été promise, elle suffira à offrir aux enfants un peu de liberté ou quelques cadeaux et ça ira mieux jusqu’à la prochaine fois….

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