Mon mari me bassine depuis longtemps pour un de ses fantasmes. Il veut que je me fasse prendre devant lit par d'autres personnes. J'y ai longtemps réfléchis, je dois avouer que l'idée ne me laisse pas in différente et que même m'excite.
Proposée le 1/11/2021 par michelle2
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Georges mon mari, depuis longtemps me propose de réaliser un fantasme qu'il lui tient à cœur. Il veut que je me fasse prendre devant lui par d'autres personnes. Au début l'idée me choquée et je l'envoyais sur les roses. Mais comme il m'en parle de plus en plus souvent, je commence à m'y faire. Je dois dire que maintenant cela ne me laisse pas indifférente et dois avouer que cela m'excite même. Je finis par accepter sa proposition, mais à une condition, c'est que les personnes me plaisent et qu'il se débrouille pour en trouver.
Georges saute de joie, le coquin connait un couple qui s'adonne à des soirées spéciales, il les contacte sur le net, avec mon accord. Elle c'est une bombe aux formes parfaites, lui beau comme un Adonis. Le rendez-vous est prévu pour le samedi après midi seize heures.
Le jour convenu, je passe la plus grande partie de mon temps dans la salle de bain à me pomponner et essayer plusieurs vêtements, mais aucun ne retient mon attention, je suis nerveuse, je stresse. Soudain l'on sonne à la porte d'entrée, je sursaute, il est deja l'heure mon Dieu, je n'ai pas encore choisis le vêtement adéquat, mais mains sont moites, mon cœur bat la chamade. J'enfile rapidement un peignoir de bain blanc.
Georges fait entrer ses connaissances et les dirige vers le salon. Pour les faire patienter, il leur sert une boisson. J'hésite, j'y vais n'y vais, pas mon estomac se noue. Je souffle un bon coup et apparaît. J'ai la démarche pas trop assurée, j'avance comme un automate. Enfin j'arrive au salon. Georges me présente ses invités. Elle se prénomme June, c'est une femme sublime avec de longs cheveux et des seins qui gonflent son corsage. Ses longues jambes aux galbes parfaits font rêver. Lui, c’est Jams il a un torse d'athlète, ses pectoraux saillants me troublent. Je prends un verre avec eux.
Georges leur montre la salle de bain pour que les invités puissent faire leurs ablutions. Ils réapparaissent, elle en petite tenue avec un soutien-gorge à balconnets qui met en valeur ses seins magnifiques, un string affolant de dentelle, ne cache pas grand-chose de son triangle d'amour. Jams est nu, a chaque pas son sexe monstrueux bat ses cuisses de sportif. Les yeux de Georges et les miens fixent l'engin hors norme.
Mon mari sourit, il imagine le mandrin diabolique me défoncer les orifices. Le bougre jubile, il mate comme un malade le membre qui au repos est deja redoutable. Il me regarde, ses yeux brillent, il me dit :
- Ouah ma cochonne, tu vas te faire ouvrir en deux avec un engin pareil, tu vas jouir comme une malade !
Georges débarrasse la table basse et prévoit un gros coussin pour mettre sous les reins. June se place face à moi elle fait tomber la ceinture de mon peignoir et ouvre grandement les deux pans. Elle siffle d'admiration en voyant mes formes. Elle passe ses mains sur mes épaules et fait tomber le peignoir sur le sol. Georges s'empresse de le mettre sur le côté. June me caresse délicatement les seins, c'est avec une dextérité incroyable, qu'elle fait épaissir mes mamelons. Rapidement ils deviennent durs comme du béton, ses doigts fins tournent sur les taches brunes qui encerclent mes tétons. Elle sait y faire la cochonne, mes bouts deviennent très sensibles. Je commence à geindre, en poussant quelques soupirs. Jams se colle contre mon fessier il m'enlace et ondule du bassin contre mes fesses.
June caresse longuement mes seins avant de poser ses lèvres sur les bouts gonflés, sa langue joue avec mes petits mats de chair. Je commence à geindre de bonheur. C'est ma première fois avec une femme, jamais je n'aurais imaginée qu'une bouche féminine soit si douce. Les petites aspirations qu'elle donne sur les bouts dressés, me font défaillir. Jams me tire fortement contre lui et agite son bas-ventre, je sens son mandrin prendre lentement du volume. Il passe une main sur mon ventre et l'à fait descendre entre le compas de mes jambes. Ses doigts s'enfoncent dans ma fine toison soyeuse et glissent sur ma fente, qui suinte depuis un bon moment.
Deux intrus s'insèrent dans le sillon des grandes lèvres et frôlent le bouton des plaisirs, je sens que je vais m'évanouir. De temps en temps le bougre le presse doucement, cela me fait couiner comme une truie. La bouche de June délaisse mes seins et s'empare de mes lèvres, j'entrouvre la bouche, nos langues se nouent pour un long baiser langoureux. Je pâme de bonheur, un flot de salive s'engouffre dans ma bouche, je l'avale en faisant des hum de plaisir.
La verge de Jams et en contact avec mon fessier, elle est dure comme du bois, elle glisse entre mes fesses de nombreuses fois. Elle bute sur mon anus qui se resserre à chaque fois que le gland monstrueux le touche.
Le baiser d'amour cesse, June me bascule doucement sur le sol, elle s'allonge sur moi et ondule du bassin, nos chattes se frottent fortement, je mouille atrocement, une large tache humide se forme sur le string de June, la coquine mouille autant que moi. Jams écarte la cordelette du string et place son sa verge qu'il a pris soin de décalotter contre l'anus de June. Elle se cambre comme un arc.
Le bougre appuie fortement, le gland s'enfonce de quelques centimètres dans la gaine anale, Jams fait quelques petits allers et retours sans aller trop loin puis, se retire de l'anus. Georges se demande comment un si petit orifice peut recevoir un monstrueux mandrin sans se déchirer, Georges bande comme un âne lui cri :
-Encule-la à fond jusqu'aux couilles !
Jams lui répond en souriant :
Je me réserve pour les orifices de ta femme, je ne veux pas la décevoir !
June s'agenouille entre mes cuisses et pose sa bouche sur ma perle qui a doublée de volume. Elle suce sans brusquerie la boule de chair. Les succions d'experte me font pâmer de bonheur. Lentement sa langue s'enfonce dans mon puits intarissable, elle me fouille comme jamais on ne me l'a fait, j'entre en transe, je geins comme une damnée. J'agite mon bassin, je m'accroche à mon amante en rugissant comme un fauve. Je lui remplis la bouche de mon jus suave. Ma jouissance et terrible, je déverse une quantité impressionnante de cyprine dans la bouche de mon amante, qui se régale de mon nectar.
June se redresse et dit d'une voix douce :
-Jams elle est prête, vas-y elle est à toi maintenant !
Il place son monstre contre ma chatte dégoulinante et pousse, je me cabre l'engin monstrueux me dilate comme jamais, je souffle comme un dragon. Lentement le diabolique engin s'enfonce en moi. Je serre les dents, June me donne quelques tapes sur les seins pour me stimuler. Enfin, les bourses velues, butent contre ma chatte distendue, cela me permet de souffler un peu.
June saisit la queue de mon mari et la suce comme une diablesse. Ses coups de langue le font gémir comme une bête en rut. Moi j'ai les yeux écarquillés, je souffle comme un beau diable. Lentement, Jams commence un très lent va-et-vient. J'ai l'impression que la verge monumentale me laboure les entrailles. Elle râpe les parois vaginales, en me faisant geindre comme une bête blessée. Jams augmente le rythme, je m'accroche à lui comme une bête sur sa proie. La cadence augmente encore, je commence enfin à gémir de plaisir. Jams ne retient plus ses coups de boutoir, le cochon défonce de plus en plus fort ma chatte distendue. Georges est aux anges, il pousse un cri et remplit la bouche de sa suceuse, June s'évertue à tout avaler. Elle arrache son string, enjambe mon mari et s'empale sur sa queue gluante, la coquine le chevauche comme un cavalier de grand prix. Elle s'acharne sur la queue qui coulisse dans son corps, elle veut jouir elle grogne terriblement. Soudain elle se cabre et jouit en hurlant, elle descend de sa monture et nettoie la queue de mon mari qui pâme de bonheur.
La queue de Jams ne faiblit pas, au contraire elle voyage de plus en plus aisément dans ma gaine que se lubrifie naturellement par l'abondante cyprine qu'elle sécrète. J'agite ma croupe, je souffle, ma respiration s'accélère. Je pâme de bonheur C'est une première pour moi d'avoir un tel engin dans les entrailles. Je grogne de plus en plus fort soudain, je m'arc-boute et gicle comme un geyser Islandais. Ma jouissance est exceptionnelle, mon corps est secoué de spasmes violents.
Jams donne un brutal coup de reins et se bloque en moi, il envoie plusieurs décharges de sperme au tréfonds de mon corps fébrile. Il ressort son diabolique mandrin et place son gland gluant contre ma petite rosette, je replie les jambes sur mon ventre. Il pousse sans discontinuer en me fixant avec son regard noir. J'ai l'impression que mon cul va éclater, j'ai les yeux exorbités, un rictus affreux déforme mon visage. Georges qui ne rate rien cri :
- Oui défonce-la bien, éclate-lui le cul mon Dieu je vais encore jouir !
Le cochon se branle à s'en arracher la queue. Jams s'enfonce lentement dans mon rectum distendu j'ai la bouche grande ouverte, je souffle comme un bœuf. Enfin le pieu énorme est entièrement dans son étui. Jams y va très doucement, il ne veut pas me déchirer, le va-et-vient est très dosé. Je serre les dents, maintenant la queue prend de la vitesse, je m'accroche à la taille de mon amant, dilatée comme jamais mon rectum s'adapte au diamètre hors norme de la verge. Je souffre moins, maintenant je ressens du plaisir. Je commence à agiter ma croupe pour être empalée à fond, mes gémissements ne sont que du bonheur. La tension est au maximum dans mon corps qui ne cesse de trembler. Jams sait que c'est le moment, il ressort entièrement sa queue et la replonge à fond dans ma gaine anale. Je pousse un cri inhumain, mais cela me fait jouir atrocement fort. Jams me démonte comme une bête, ses assauts répétés me font jouir une nouvelle fois. J'inonde le sol de mon jus. Jams ne désarme pas il se raidit en grognant comme un lion et remplit mes entrailles de sa semence abondante. Il reste encore un moment en moi avant de se retirer.
De mes trous béants s'echappe un filet continu de liquide blanchatre, Georges et ravi, il est souriant, il me dit :
-Oh putain ma chérie il ta deglingué le cul et la chatte comme une bête feroce, mon Dieu comme tes trous sont ouverts,mais quel pied tu as pris, il t'a bien bouré le cochon !
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Commentaires de l'histoire :
humeuriste
Bonsoir Michelle2, merci pour ce récit assez excitant, surtout pour le candauliste (actif) que je suis depuis près d'un demi siècle alors que je ne connaissais même pas ce vocable ! Pour moi, ce récit vaut bien 9/10 Didier
Posté le 11/11/2021
Anonyme
Pas mal et très vicieux
Posté le 7/11/2021
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