Quel week-end ! Je n’aurais jamais cru être capable de me comporter comme une telle salope et surtout je n’aurais jamais cru autant aimer ça ! J’ai adoré baiser ces trois inconnus, j’ai adoré allumer le gars au Mc Do, j’ai adoré me faire sodomiser par Tom et, je dois bien l’avouer, j’ai adoré être relancée tout au long du week-end par Victor.
Proposée le 4/10/2021 par Wiseguy55
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme
Même maintenant que je suis dans ce train, je reçois des messages vidéo de Victor. Ces messages vont du tout à fait gentil et anodin dans lesquels il prend de mes nouvelles au carrément explicite ou il m’annonce que le deuxième round sera bien plus intense que le premier. Ce petit jeux du chat et de la souris me plait et m’excite même. Je me surprends à avoir des rêveries cochonnes. Je pense à cette grosse queue qui m’a écartelée, à ces mains qui m’ont maitrisées, à ce torse musclé et ruisselant de sueur, à cette voie qui m’ordonnait plus qu’elle me demandait. Je rêve au fait qu’il recommence, qu’il me domine, qu’il me baise, qu’il me remplisse sperme, qu’il m’attache, qu’il m’enc…Le train ralentit, on arrive bientôt.
Il est déjà 13H00, le temps de grignoter un petit truc et je passe faire un bisou à mon frère. Il me demande des nouvelles de Tom, je lui dis qu’on a passé le week-end ensemble dans la ville où il avait sa mission. Je passe bien évidemment toutes les aventures vécues pendant ces deux jours. Ensuite les courses de la semaine et il est déjà temps de rentrer à l’appartement me préparer pour mon cours de zumba de ce soir. Je n’ai plus reçu de messages de Victor mais je sais qu’il sera là ce soir. Il sera là même si lui n’a pas de coaching, il est là tous les soirs.
Ça ne rate pas, je passe à peine la porte du club qu’il est là, derrière le comptoir. Il m’adresse un regard plein de malice et me demande si j’ai passé un bon week-end. Je lui réponds que le week-end a été excellent, et j’ajoute « sur tous les plans… » en faisant mon air le plus coquin possible. Aussitôt dans ma tête une petite voix se demande ce qu’il me prend de le chauffer comme ça alors que j’avais tenté de le refroidir depuis deux jours. Je continue mon chemin bien décidée à ne pas me retourner.
- On se voit après ?
Pour toute réponse et un peu aussi pour le narguer, je lève ma main au-dessus de ma tête et lui fait non de l’index en ne ralentissant même pas mon allure.
- Si, si, on se voit après !
J’enchaine deux cours ce soir. Entre les deux, lors de la pause, Victor entre dans la salle dédiée aux cours collectifs. Il se dirige vers moi et trouve un prétexte bidon pour venir me parler. En repartant il me fait « A plus tard » sans se retourner comme pour me narguer à son tour.
Après le deuxième cours et après avoir bavardé un peu avec mes élèves, je me dirige vers les douches et les vestiaires de coaches. C’était le dernier cours de la soirée, il est déjà tard et la salle s’est vidée. J’ai un sentiment bizarre mêlé d’appréhension, d’excitation et de culpabilité. Sous l’eau chaude de la douche, l’excitation prend l’avantage sur les autres sentiments et je m’attarde un peu plus longtemps sur le nettoyage de mon intimité. Le savon liquide fait glisser ma main entre mes lèvres toutes lisses, un doigt glisse un peu plus loin entre mes fesses. Je m’assois sur la petite banquette en coque moulée de la cabine en écartant les cuisses. Mes doigts glissent et frottent sur les terminaisons nerveuses exacerbées de mon clitoris alors que mon autre main cherche et trouve l’entrée de mon petit trou. Quelle situation incongrue, je suis dans les douches d’un club de sport en train de m’enfoncer un doigt dans le cul. D’un geste mal contrôlé, je fais tomber la bouteille de shampooing. Le « boum » que produit la chute suffit à me faire sortir de mon état. Tant pis ou tant mieux, ce n’est pas l’endroit, ce n’est pas le moment. Je sors de la douche, me sèche et m’habille rapidement. J’enfile une petite robe d’été courte et à fines bretelles, des petites baskets blanches et un string en coton sans fioritures. Pas de traces de Victor, j’en suis déçue voir vexée alors que je devrais en être soulagée. Mais voilà, je n’aurai pas ma séance de baise hardcore à même le sol du vestiaire comme la semaine dernière.
En me dirigeant vers la sortie, je vois Victor dans le bureau du gérant. Rien d’inhabituel. En passant devant le bureau je lui fait un petit geste de la main en espérant au fond de moi qu’il essaye de me retenir. C’est moche vis-à-vis de Tom mais j’en crève d’envie, ma séance de masturbation inaboutie dans la douche m’a mise dans un drôle d’état. Tout mon bas ventre est comme en feu, je peux littéralement sentir mon sang battre dans mon sexe, mes seins sont tendus et mes tétons durs comme des mines de crayon. Mon cœur bat à tout rompre et je suis à cours de souffle exactement comme samedi soir juste avant de me faire baiser par ces inconnus. Et comme samedi soir, j’essaye de me donner une contenance et un air détaché.
- Lisa attend, ou tu vas si vite ? Tu as bien cinq minutes !
Oh mon dieu, il essaye de me retenir ! Il va falloir que je choisisse maintenant. Soit je suis raisonnable et je m’en vais, soit je reste et…il arrivera ce qu’il arrivera. Mais si je reste et que Victor me sollicite, je n’aurai pas la force de résister, j’en suis sure. Mes envies ont pris le dessus, je ne réfléchis plus et je me dirige vers le bureau les jambes en coton mais c’est plus fort que moi. Je suis encore à quelques pas du bureau et je mouille déjà. Victor vient se placer dans l’encadrement de la porte. Il en occupe presque intégralement l’espace, en hauteur comme en largeur. Moulé dans sa tenue de sport, on voit distinctement la forme de son énorme bite. Mon regard est inévitablement attiré par ce renflement. Victor s’en aperçoit mais ne dit rien. Il s’écarte de la porte et me fait entrer dans la pièce.
Contre le mur à droite de la porte il y a un vieux canapé en cuir noir tout usé. Ce canapé n’est pas visible depuis la salle mais il est connu de tout le monde. C’est le canapé sur lequel le gérant se tape certaines des clientes. On dit d’ailleurs que si le club a autant de succès auprès des femmes dans la tranche d’âge 45/55 ans, c’est surtout pour les services « extra » que propose le patron. Tout le staff sait que si la porte du bureau est fermée cela signifie « ne pas entrer ».
- Installe-toi Lisa, pendant que tu étais dans les vestiaires je me suis assuré que la salle était vide et j’ai fermé la porte. On est cool, personne ne viendra nous déranger…
- Et pourquoi tu ne veux pas être dérangé ?
- Vas-y, fais ta maline ! On sait bien pourquoi tu es là. Il est 22h30, les autres lundis tu es déjà partie depuis 30 minutes à cette heure-ci. En plus regarde-toi avec ta petite robe légère, je parie que tu n’as rien en dessous.
- Alors, un : j’ai un truc en dessous, deux : je m’habille comme je veux et trois : voilà que tu me flique maintenant !
Son air arrogant et son côté sure de lui m’ont énervée. Je me dirige vers la porte, Victor se place devant moi. Avant que je n’aie eu le temps de protester il prend ma tête entre ses énormes mains, la bascule vers l’arrière m’obligeant à entrouvrir la bouche. Il vient coller ses lèvres au miennes et plonge sa langue. A ce moment précis je sais que je vais être baisée comme une chienne et à ce moment précis, je sais que je vais aimer ça.
En moins de dix secondes, il fait tomber ma robe, me claque les fesses et me place à genoux sur le fauteuil, les mains en appui sur le dossier. Il écarte mon string qu’il place sur ma fesse. Ses mains me palpent le cul et écartent mes fesses. Il plonge un doigt dans mon vagin, me claque encore les fesses, trois, quatre, cinq fois, me doigte à nouveau mais avec deux doigts cette fois.
- Tu mouilles comme une chienne ! Tu as de la chance, je suis en forme ce soir. Je ne me suis pas branlé de tout le week-end en prévision de ce soir. Ce soir tu es ma pute.
Je ne dis rien, tétanisée par la peur de ce qui va m’arriver mais aussi par l’excitation qui est trop forte. Je sens son gros gland se frayer un chemin entre mes petites lèvres. Il s’enfonce déjà loin en moi mais ça semble ne pas lui suffire. Il m’agrippe très fermement les hanches et s’enfonce encore un peu plus loin, relâche sa prise et recommence. Je sens sa bite cogner tout au fond de mon vagin, mais ça non plus ce n’est pas assez pour lui.
- Doucement, tu me fais mal !
- Tu vas prendre ma grosse bite noire en entier dans ta petite chatte de salope.
Sa bite est longue mais aussi très large. Et Victor qui donne des coups de boutoir toujours plus forts. Je sens ses couilles venir taper contre le haut de mes cuisses. Je n’arrive pas à croire qu’il ait réussi à entrer toute sa queue en moi. Et en même temps, j’ai l’impression que je me suis détendue, la douleur s’estompe et fait place à une sensation bien plus agréable. Il me baise, me défonce, toujours plus fort, toujours plus profond. Son pubis vient taper contre mes fesses. Je me sens remplie comme jamais dans toute ma vie. Il se retire soudainement et je sens que ma vulve reste ouverte. Il replonge en moi d’un trait ce qui me fait crier. Il recommence plusieurs fois, s’amusant avec mon sexe comme si c’était un jouet. Il se retire pour de bon et m’enlève mon string et mes chaussures. Quand je me retourne en m’asseyant sur le fauteuil, je vois sa bite tendue, visqueuse de mes propres sécrétions. Il y a accroché mon string comme à une patère.
- Viens le chercher !
Je tends le bras, il le repousse.
- Pas avec ta main, avec ta bouche !
Je m’exécute, ma bouche s’ouvre pour laisser passer le gland, j’avance un peu et avale au fur et à mesure la chaire de son sexe gonflé et dure comme du bois. Mes lèvres touchent le textile de mon string mais le contact le repousse un peu plus loin. J’avale un peu plus ce membre énorme et le string glisse encore. J’en suis presque à m’étrangler avec cette queue énorme qui m’emplit toute la bouche quand j’arrive enfin à coincer le string entre ma lèvre supérieur et le sexe de Victor. Je me retire lentement mais laisse échapper le tissu. J’avance à nouveau et me retire à nouveau, je gagne lentement du terrain, centimètre après centimètres. Il m’encourage à sa manière me disant que je suis une bonne salope, une bonne suceuse, une pute à black. Je me prends au jeu et je m’applique à le sucer du mieux que je peux utilisant ma bouche et mes mains. Au moment où je sens des spasmes dans sa verge et ou je pense qu’il ne va pas tarder à jouir, je m’arrête quelques secondes et reprend ma pipe. Je bave beaucoup, ma salive mêlée à ses sécrétions s’écoulent de ma bouche et se répand sur le parquet. Il me repousse en arrière, je m’adosse au fauteuil. Il y grimpe et me prend à nouveau la bouche, sauf que c’est lui maintenant qui donne le tempo. Il me baise la bouche comme il m’a baisé la chatte. Ma salive s’écoule sur ma gorge et mes seins. Je me sens souillée, dominée, humiliée. Et ça me fait mouiller de plus belle.
Tout en continuant à s’exciter dans ma bouche, il prend mes mains et les maintient poignets croisés au-dessus de ma tête. Une seule de ses grandes mains suffit à m’immobiliser. Il enfonce sa queue dans ma bouche, atteignant ma gorge et m’arrachant une nausée. Il recule de quelques centimètres, me dit de m’appliquer et recommence à s’enfoncer jusqu’à la nausée suivante.
Soudain il s’arrête, se retire et s’éloigne de deux trois pas.
- Tu as bien failli me faire jouir. On va faire une pause. Toi aussi tu as besoin de récupérer.
- Tu l’as dit, je commençais à ne plus trouver ça amusant.
Victor se dirige vers le bureau à l’opposé de la pièce, en fait le tour et commence à chercher quelque chose dans le tiroir. Je n’y prête pas une grande attention. J’en profite pour prendre ma serviette de bains restée dans mon sac de sport et m’essuyer le visage, la gorge et les seins. J’en profite aussi pour regarder Victor. Il est nu, son corps est très grand, environ deux mètres. Il est épais, très musclé. Il a des cuisses très larges, des fesses très rebondies, des abdominaux dessinés sans pour autant avoir un ventre plat, des épaules très larges aussi mais un peu tombantes. Un coup de taureau, une poitrine et des bras très développés. Il a un physique de boxeur, catégorie poids lourd. Quant à sa bite, même maintenant qu’il ne bande plus, elle est plus grosse et plus longue que tout ce que j’ai déjà vu chez d’autres hommes même en pleine action.
Je reprends mes esprits et je ne fais pas attention aux trucs qu’il a en mains et qu’il a sorti du tiroir du bureau. Ce n’est qu’au moment où il est à côté de moi que je vois de quoi il s’agit. Victor a trouvé dans le tiroir du bureau du gérant une bande de tape (rien de plus normale dans une salle de sport) mais aussi un flacon de gel lubrifiant. Le temps de me demander ce qu’il compte en faire, Victor me soulève du fauteuil, me retourne et me plaque sur le ventre en travers des coussins. Il me saisit les poignets qu’il attache dans mon dos avec le tape, ensuite c’est le tour de mes chevilles. Je suis sa prisonnières. D’un coup, mon excitation qui était un peu redescendue, remonte. Je suis à la fois excitée et terrifiée de ce qu’il a l’intention de me faire. Je prie pour qu’il ne se serve pas du lubrifiant pour essayer de me la mettre dans le cul !!! Victor est derrière moi, je ne le vois pas mais je le sens venir au-dessus de moi. J’entends le « pop » du bouchon de lubrifiant. Victor m’écarte les fesses de ses grosses mains. Je sens le liquide froid couler lentement sur mon anus ! Je sens un de ses doigts qui me masse le petit trou, y répandant le gel. Son doigt force le passage, je le sens s’enfoncer dans mon sphincter. Je sens encore un peu plus de gel et le doigt qui s’enfonce plus profondément, ressort en partie et replonge en moi. Je sens un deuxième doigt m’ouvrir lentement le cul. J’ose à peine l’avouer mais je prends un plaisir énorme à être utilisée comme ça. Je commence même à gémir. Il fait maintenant des mouvements circulaires avec ses doigts et des vas et viens de plus en plus amples aussi. Je sens que je m’ouvre peu à peu. Je ne dois pas être la première fille qu’il tente de sodomiser. Et il a l’air de bien s’y prendre. Il continue de me lubrifier, ça coule et dégouline le long de mon périnée et sur ma vulve. Il me caresse le clitoris tout détrempé de son autre main. La sensation d’avoir mon cul dilaté et mon clito stimulé en même temps est incroyable mais il arrête ses stimulations et vient se placer à califourchon sur moi. C’est l’heure de vérité. Je sens son gland venir pointer mon anus, au début c’est assez agréable tant qu’il reste à l’entrée. Ensuite, son gland commence à entrer et je ressens une vive douleur, je ne crie pas de plaisir mais de mal. Il garde son gland en moi mais s’abstient de s’enfoncer plus loin.
- On va rester un peu comme ça, le temps que tu t’habitues. Respire, souffle et détend toi.
Plus facile à dire qu’à faire. Mais je l’écoute et me détend lentement, je respire par la bouche en prenant de grandes inspirations lentes. Comme je m’habitue à la taille, il entre un peu plus profondément mais en douceur et sans à-coups. Ça reste douloureux mais c’est supportable, c’est même presque agréable. Je le sens ajouter encore un peu de lubrifiant et il entre encore un peu plus profondément. Je n’ai aucune idée de la profondeur de la pénétration mais ça ne doit pas excéder dix centimètres. Ses vas et viens sont un peu plus rapides et commencent à me faire du bien. Ce n’est vraiment pas aussi bon que dans mon vagin et à vrais dire c’est assez différent comme sensation mais c’est loin d’être désagréable. Ou alors c’est cette situation extrême qui m’excite. Je suis attachée sur un fauteuil, à la merci d’un colosse avec une bite énorme qui m’encule. Je sens ses mains qui écartent mes fesses au maximum, il plonge plus profondément en moi et m’arrache à nouveau un cri. Je me fais défoncer le cul et je suis en train de prendre mon pied. Il s’en rend compte et commence à me la mettre plus brutalement. Je retrouve l’amant bestial et je mouille de plus belle.
- T’as la moitié de ma queue dans ton cul et tu kiffe. Tu es encore plus salope que je le croyais. J’ai pas fini de te défoncer ce soir.
L’entendre me traiter de salope m’excite encore plus, je gémis et me cambre au maximum lui pour permettre de me prendre encore un peu plus profondément. C’est une sensation tellement étrange mais tellement agréable. D’un coup, il se crispe et grogne. Il jouit dans mon cul, lui qui m’avait promis de me prendre encore longtemps. Il m’inonde littéralement le cul de son sperme. Au moment où il retire sa bite, je sens le sperme s’écouler par mon anus et venir se rependre sur ma chatte. Il me détache alors les mains et les jambes. J’ai le réflexe d’aller sentir avec mes doigts la béance laissée dans mon cul.
- Tu m’avais promis de me baiser encore longtemps et là tu as joui. .
- Laisse-moi quinze minutes et tu verras.
- C’est ça oui.
Je prends ma serviette décidée à frotter et nettoyer les sécrétions.
- Tu fais quoi là ? Laisse mon sperme là où il est. Une chienne ça pue le sexe, une chienne ça ne se frotte pas le cul.
Une fois de plus je me soumets, je m’installe dans le fauteuil. Mes fesses gluantes de sperme et de gel glissent sur le cuir. Il s’installe à côté de moi et commence à me caresser les seins. Il les soupèse, les malaxes et agaces les tétons. Si lui a joui, ce n’est pas encore mon cas et ça commence à ma brûler. Il me lèche les seins et commence à jouer avec mon clito. Je prends sa queue encore molle dans ma main et je le branle doucement sans trop espérer qu’elle reprenne vigueur de sitôt. Quelle erreur, il ne faut pas cinq minutes pour que cette colonne de chair soit à nouveau bien dressée devant mes yeux. Cette queue qui ce soir a pris possession de tous mes orifices.
Victor vient se placer face à moi et m’écarte les jambes. Il prend mon string, le passe entre mes cuisses ouvertes récoltant son sperme. Il me le met en bouche et m’applique un morceau de tape sur les lèvres. Je suis bâillonnée avec ma propre culotte. Il me place les mains au-dessus de la tête et les attache à nouveau avec le tape. Je lui suis soumise et j’aime ça. Il vient se placer entre mes cuisses, me pénètre le vagin sans ménagement. Il s’accroche à mes seins, me défonce de toute son énergie. Mon vagin encore détendu est maintenant habitué à la taille. Il accueille sans douleur toute la longueur et l’épaisseur de cette bite. Je sens l’orgasme monter en moi. Un orgasme sourd qui vient du fond de mon ventre. Pendant qu’il me lime, il vient me caresser le clito de son pouce. C’en est trop, je ne peux plus me retenir. Je hurle de plaisir mais le son est étouffé par mon bâillon. Il se retire, se branle et jouit une seconde fois. J’en ai sur les seins et le ventre, pas autant que dans mon cul mais une belle quantité quand même. Il se lève, me détache, se nettoie sommairement la bite avec son caleçon, s’habille rapidement.
- Allez salope, habille-toi vite que je puisse fermer. Il est tard et ma copine m’attend.
J’enfile à la hâte ma robe. Je frotte tant bien que mal tout le sperme que j’ai sur moi et je fourre mon string dans mon sac de sport. Dans le parking de la salle de sport, en marchant vers ma voiture, je sens du sperme s’écouler de mon cul qui me fait mal à présent. Je m’assois au volant en ayant mis ma serviette sur le siège histoire de ne pas tacher le tissu. Une fois chez moi je me lave encore et encore mais le lendemain matin, j’aurai encore quelques gouttes qui s’écouleront de mon cul endolori. A vrai dire, mes trois orifices me font mal, même ma mâchoire…
Je ne peux pas continuer comme ça, dès demain je donne ma démission à la salle de fitness. J’ai assez de demandes de concurrents. Et dès ce soir, j’efface Victor de mon répertoire.
…
Catherine s’est endormie dans mon lit. Je n’ai pas osé la réveiller et je me suis endormi à mon tour. Vers les deux heures du matin, je suis réveillé par une sensation de caresse sur mon torse et mon ventre. J’ouvre les yeux et dans la pénombre de la chambre je distingue difficilement le corps frêle de Catherine partiellement par-dessus les draps. Une partie de son corps, resté dessous, est collé au mien et sa main, tout en me caressant le torse, descend de plus en plus vers mon pubis. Maintenant qu’elle s’est aperçue qu’elle m’a réveillé, elle m’embrasse le torse et la poitrine. Sa main trouve mon sexe qui s’est durci sous l’action sensuelle de Catherine. Elle me prend pleinement dans sa main et commence à me masturber lentement. Sans me relâcher, elle vient m’embrasser. Puis, doucement, sensuellement, elle se place sur moi, guide de sa main mon sexe dans le sien et imprime des mouvements de bassin amples et lents. Mes yeux se sont acclimatés à la pénombre et je la vois maintenant distinctement.
Catherine gémis, je sens ses sécrétions ruisseler sur mon pubis. Elle sort mon sexe du sien, le frotte entre ses fesses et recommence l’opération deux, trois fois. Quand son cul est suffisamment lubrifié, elle me guide dans son anus, se recule si bien que je m’enfonce presque entièrement en elle. Je l’encule presque à sec et sans préservatif. On synchronise nos mouvements très rapidement. Je lui empoigne les fesses que je pousse sur mon pubis en même temps que je lève mon bassin pour m’enfoncer plus profondément. Ça dure plusieurs minutes avant qu’elle ne se dérobe et vienne se placer à quatre pattes, le cul en l’air, la tête dans l’oreiller. Je me place derrière elle et la sodomise de plus belle. Elle se caresse la chatte tout en recevant mes coups de boutoir dans son cul. Je suis agrippé à sa fine taille, mes couilles claquent sur ses petites fesses rondes et mates. La sensation mêlée à la vision dans la pénombre fait que je n’arrive plus à me retenir. Je jouis, un premier jet dans son cul, les autres sur ses fesses, son anus dilaté et sa vulve qu’elle continue de stimuler de sa main. Je lui enfonce deux doigts dans son sexe devenu poisseux. Je sens sa vulve se contracter sur mes phalanges et je l’entends jouir. On s’écroule l’un à côté de l’autre, on s’embrasse et on s’endort encore souillés de nos ébats.
6H30, le réveil sonne. On se lève, on se douche et on s’habille. On prend le petit dèj au restaurant comme si nous étions un vieux couple. On se sépare presque sans se regarder et chacun va travailler de son côté, comme si nous étions un vieux couple.
Je ne reverrai plus jamais Catherine, malgré tout, je garde sa carte de visite dans mon portefeuille…
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Commentaires de l'histoire :
Guépiere
Superbe madame est aussi salope que moi j'adore vous pouvez lire mes aventure pseudo "Guepiere" pensez à noter mes récits et à faire des commentaires. De plus vous pouvez partager avec tous vos contacts un lien vers mes aventures bien réelles. Merci d'avance bisous Marie
Posté le 14/11/2022
Anonyme
Et bien sûr on s eloigne de l histoire et ça devient vulgaire du cul et encore du cul avec le noir et pas de fin à cette histoire c est nul .
Posté le 8/08/2022
Valentina
Super histoire, j'adore!
Posté le 3/01/2022
Anonyme
Vous avez surtout pris le risque de baiser sans capotes et le Victor trompe sa copine le tout sans capotes, 1 vrai connard ce mec.
Posté le 5/10/2021
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