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Lisa et moi (3ème partie)

Bonjour, moi c’est Lisa. Mon chéri Tom vous a déjà parlé de moi. Vous devez vous dire que j’ai un tempérament volcanique. Certains utiliseront des termes bien plus grossiers. Avant de me juger, lisez mon histoire.

Proposée le 2/10/2021 par Wiseguy55

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme


J’ai connu Tom quand nous étions plus jeunes. C’était un garçon gentil, mignon mais très timide, trop timide. On a fait quelques soirées et après-midi ensembles mais il n’a jamais osé tenter quoi que ce soit. J’en avais conclu que je ne l’intéressais pas et je m’étais éloignée de lui. J’avais besoin d’aimer et de me sentir aimée. En bon garçon manqué que j’étais et par mon goût pour le sport j’avais une attitude qui n’attirait pas beaucoup les hommes. Je suis quand même sortie avec des gars mais sans jamais avoir envie de m’investir.
Et puis j’ai rencontré mon ex avec qui je suis restée cinq ans. Il était beau, très sportif, venait d’une famille « à pognon » et m’a éblouie par tout le faste du début de notre relation. Mais très vite les problèmes ont commencé. Tout ce que je faisais, tout ce que je disais était soit trop, soit pas assez. Trop maquillée mais pas assez féminine, pas suffisamment là pour lui mais trop collante. Il me trouvait pas assez indépendante financièrement mais ne supportait pas l’idée que je puisse trouver un travail. Il me trompait presque ouvertement mais se mettait dans des colères incontrôlables quand j’avais le malheur de regarder un autre homme. Un jour ça a été le geste de trop. Lors d’une de ses colères, il m’a giflé et j’ai couru me réfugier chez mon frère, mon grand frère. C’est l’homme le plus gentil et le plus doux de la planète…tant qu’on ne s’en prend pas aux gens qu’il aime. J’ai vu son visage se fermer, son doux regard se noircir. Il s’est levé de table m’a dit « je vais régler ça » et est sorti de la maison. Je n’ai jamais su ce qui s’était réellement passé entre mon frère et mon ex mais quand je suis rentrée chez moi, mon ex avait plié bagages en emportant le lit, la table et les chaises de la salle à manger. Cinq années perdues. Même le sexe avec lui était très vite devenu routinier. J’avais droit à mes dix minutes de missionnaire le dimanche soir. Dès que je lui faisais part d’autres envies, il me traitait de salope, de dépravée alors que je savais très bien qu’il baisait tout ce qui bougeait dans mon dos.

Trois mois après ma séparation, c’est donc seule que je me suis rendue à ce barbecue organisé par des anciens amis. Je savais que Tom y serait, je ne savais pas si il serait seul ou accompagné ni même si il y aurait d’autres célibataires. Tom était là, heureusement célibataire, il était toujours aussi mignon mais avec un côté beaucoup plus viril que dix ans auparavant. Quand il m’a prise dans ses bras et qu’il m’a dit qu’il me trouvait belle, j’ai lu tellement de sincérité dans ces yeux que j’ai immédiatement fondue. Ce soir-là j’étais bien décidée à le ramener chez moi. Des deux bikinis que j’avais emportés, j’ai donc mis le plus sexy. Je me suis débrouillée pour qu’on s’isole, je lui ai demandé de m’accompagner à ma voiture et la suite vous la connaissez. Ce soir-là il m’a fait jouir comme je n’avais plus joui depuis longtemps. Il est à la fois doux et viril, tendre et directif. Ces gestes sont d’une douceur extrême mais qui cachent une force imposante. Dès la première fois je me suis sentie en sécurité avec lui, me disant que tant que j’étais dans ses bras rien ne pouvait m’arriver.
Malgré qu’on s’aime et malgré ses demandes répétées, je n’arrive pas à lui donner ce qu’il veut vraiment. Il veut qu’on vive ensemble, qu’un de nous deux laisse tomber son appart et emménage chez l’autre. C’est un de nos sujets de friction, le seul à vrai dire, sauf peut-être ses missions mensuelles de trois ou quatre jours à l’autre bout du pays. Je me sens tellement vulnérable et en danger quand il part. Il n’en a pas conscience mais c’est devenu un homme très attirant. Sans être très beau, il dégage une aura et à un charme fou. Ses yeux bleus, son sourire franc, sa silhouette imposante me font encore craquer quotidiennement. Alors quand je le sais à l’hôtel loin de moi, je m’imagine les pires scénarios. Je devrais me contenter de faire confiance à Tom comme lui me fait confiance. Pourtant, je suis bien plus sollicitée que lui. Il y a d’abord ce collègue au boulot qui me fait des avances un peu lourdes et des sous-entendus même en réunion. Il y a aussi Victor, le géant de la salle de fitness. Une montagne de muscles, une peau noire très sombre, des dreads mi longues maintenues en queue de cheval et une barbe drue de trois jours. Cet homme m’excite, je n’y peux rien. M’imaginer en train de me faire baiser par lui me fait immédiatement mouiller. Alors pour ne pas craquer et ne pas céder à ses avances répétées je me suis acheté à l’insu de Tom, un gros gode noir, le plus réaliste possible. Les soirs ou je suis seules, je manipule ce monstre de silicone et me l’introduit chaque fois un peu plus loin. Dans les premiers temps, je faisais entrer uniquement le gland gros comme une petite mandarine en me caressant le clitoris. J’arrivais à jouir en quelques minutes. Maintenant j’arrive à faire entrer le gode d’une vingtaine de centimètres. J’ai essayé toute une série de positions, sur le dos, sur le ventre, accroupie avec la ventouse du gode collée au carrelage de la salle de bains, en levrette, le gode ventousé au miroir de la garde-robe de ma chambre. Et comme je suis gourmande, je m’en suis également acheté un plus petit que j’essaye peu à peu de me faire entrer entre les fesses. Quand je serai prête, je ferai la surprise à Tom, je lui demanderai de me sodomiser, ou mieux, je viendrai m’asseoir sur sa queue et me l’enfoncerai dans le cul jusqu’à ce qu’il y jouisse.

Il y a quelques semaines, on a regardé un porno avec Tom ou une fille se faisait prendre par trois gars devant son mari. Ça nous a excités Tom et moi bien plus que je ne l’aurais cru. Après ça Tom m’a baisée comme une salope et j’ai joui comme une salope. Le surlendemain alors que Tom était parti en mission je me suis servie des deux godes en même temps. Le grand par devant et le petit par derrière. Je n’ai réussi à faire entrer que le gland du petit dans mon cul mais j’ai joui tellement fort que je pense avoir réveillé ma vieille voisine. Ce fantasme d’être baisée par plusieurs hommes à la fois devient envahissant. Cela doit se lire sur mon visage ou alors c’est mon attitude qui est différente mais je me fais aborder en permanence depuis quelques semaines. Et Victor qui insiste et me dit qu’un jour il me coincera dans les douches et qu’après ça je ne voudrai plus d’autre bite que la sienne. Ça devrait m’horrifier ou me dégouter, au lieu de ça, je minaude et je mouille. Je sens qu’un jour je vais y passer…et je sens que je vais aimer ça.
Tom m’a annoncé qu’il devait partir exceptionnellement deux semaines cette fois ci et qu’il logera en déplacement y compris le week-end. Je suis déçue, j’avais projeté de lui offrir mon cul pour la première fois ce week-end. Tant pis, au lieu de cela je vais prendre soin de moi. Lundi, coiffeur, je change de tête, fini les longues boucles rousses. A la place, une coupe courte et teintée en blond platine. Et tant qu’on y est, pour que mes poils ne me trahissent pas, rendez-vous chez l’esthéticienne. Epilation aisselles-jambes-maillot. Elle me propose de faire l’intégrale. Au fond, pourquoi pas. Allez, on enlève tout. Je sais bien que je passerai deux semaine seule et sans doute sans sexe mais ce n’est pas une raison pour ne pas s’entretenir.
Lundi soir, texto de Victor « apprête-toi à prendre cher ». Juste une phrase, une toute petite phrase, alors pourquoi ma main glisse dans ma culotte et pourquoi j’aime autant caresser mon sexe tout lisse devenu visqueux? Le gros gode noir est entré très profondément ce lundi soir.
Comme vous le savez, mardi soir après l’entrainement, Victor m’a baisée comme si j’étais une actrice de films de cul. J’ai adoré être à sa merci. J’ai adoré son énorme bite tout au fond de moi et la béance qu’elle a laissé. J’ai adoré, même si c’est très dangereux, sentir son sperme s’écouler dans mon ventre. Ce même mardi soir au moment où je m’apprêtais à aller dormir, Tom m’a appelée pour me proposer d’aller le rejoindre ce week-end. C’était étrange de lui parler alors même que ma chatte me faisait mal des assauts subis pendant une heure plus tôt dans la soirée. Alors oui, j’en éprouve des remords vis-à-vis de Tom, mais non je ne regrette pas cette expérience.
Et voilà, on est dimanche matin, quand je me réveille Tom est là à me regarder tendrement assis dans un des fauteuils portant uniquement sons pantalon de pyjama. J’ai passé ma soirée à me faire défoncer comme une pute devant lui et il a toujours cet air bienveillant. Il a même fait monter un petit dej dans la chambre.

Lisa dors encore. J’en profite pour appeler le service d’étage et demander s’il est possible de nous faire monter deux petits déjeuners dans la chambre. Dans vingt minutes l’employé de l’hôtel sera là, juste le temps de prendre une petite douche.
Sur la table du petit bureau, le téléphone de Lisa, au moment où je passe devant, il s’allume « message reçu ». Je suis curieux, qui lui envoie un message un dimanche matin ? Peut-être sa mère. Très vite, un deuxième et un troisième message. Je m’apprête à aller réveiller Lisa, ça doit être important ! Mais une petite voix me dit de vérifier qui est l’expéditeur du message. Je prends le téléphone et le déverrouille. Même si elle ne me l’a jamais donné, je connais le code de Lisa mais elle ne le sait pas.
J’ouvre le premier message et manque de tomber à la renverse ! C’est une photo d’une énorme bite noire à moitié plantée dans le vagin d’une fille placée sur le ventre. J’ai suffisamment baisé Lisa dans cette position pour savoir qu’il s’agit bien d’elle. La deuxième photo montre cette même bite mais plantée bien plus profondément. La troisième est toujours cette même bite dégoulinante de sperme posée sur les fesses de Lisa. Ce qu’elle m’a dit être un fantasme hier après-midi c’était en réalité déjà produit. Je lui en veux et en même temps j’ai fait exactement la même chose. La seule différence c’est que moi je me suis protégé. Piqué au vif, je remonte l’historique des messages. Ce gars harcèle Lisa depuis des mois, il la relance sans arrêt. Le problème c’est qu’à aucun moment les réponses de Lisa ne ferment la porte à une éventuelle aventure. Elle semblait s’amuser de la situation. Les premiers messages étaient assez anodins mais au fil du temps et des réponses parfois à double sens de Lisa, ils sont devenus de plus en plus cash. Comme si elle cherchait à le séduire. Et puis il y a eu les messages d’hier et le chantage de Victor ou pour la première fois Lisa lui a clairement dit qu’il n’y aurait plus rien entre eux. Là je ressens le besoins réel de prendre une douche en espérant que ça m’éclaircira l’esprit.
Je sors de ma douche et le petit dej arrive. J’ouvre la porte au garçon d’étage, le remercie et prend le plateau que j’installe sur une petite table dans la chambre. Tous ce raffut a réveillé Lisa. Elle s’étire, va à la salle de bains en boitillant un peu. On prend notre repas dans un silence pesant. Lisa doit croire que je lui en veux pour hier soir. Elle se trompe, pour hier soir j’assume, on en avait très envie tous les deux on l’a fait. C’était du sexe et rien d’autre. Avec des inconnus, des gens qu’on ne reverra plus, l’histoire s’est arrêtée à la seconde ou ils ont passé la porte. Le reste par contre…
Après le petit dej, Lisa va elle aussi prendre une douche. Je me réinstalle dans le fauteuil pendant que je lis quelques articles sur ma tablette. Je n’arrive pas à me concentrer et les images de Lisa se faisant baiser se mélangent dans ma tête. Les trois mecs d’hier, les photos de Victor, les deux mecs en même temps, la bite énorme de Victor qui lui a inondé le vagin, sa bouche autour de la queue du Vieux. Sans m’en rendre compte, je bande. Mais qu’est ce qui ne va pas chez moi !?
...
Mais qu’est ce qui ne va pas chez moi !? Mardi je prends mon pied en me faisant défoncer par Victor, hier soir, je baise trois inconnus et là je n’ai qu’une seule envie c’est de me faire déflorer mon petit trou par Tom. Je n’étais pas comme ça avant. Il y a un an je n’aurais même pensé à ce genre de truc. Aujourd’hui j’ai mal au sexe au point d’en boitiller et je ne pense qu’à me faire prendre le cul. Il faut vraiment qu’on se calme avec Tom. Je n’ai pas envie de devenir celle sur qui tout le monde passe. Et l’autre con de Victor qui essaye de me faire chanter.
Je n’ai qu’une solution pour me sortir de là : tout avouer à Tom, au risque qu’il me quitte. Je ne peux que lui demander de me pardonner. Et comme ça Victor pourra se trouver une autre nana à sauter.
Bon allez ! Je termine ma douche, je m’apprête et je rassemble mon courage pour affronter Tom. Après hier soir, je pense que la fidélité ou du moins l’exclusivité n’est plus notre seule manière de concevoir notre couple.
- Tom, faut que je te parle. Pas d’hier, de mardi. Il s’est passé un tr..
- Je sais, j’ai vu les photos. Et le reste.
- Je suis désolée je n’avais rien planifié, c’est venu comme ça.
- Non, ça c’est faux. J’ai remonté l’historique des messages. A aucun moment tu ne l’as découragé. Toutes tes réponses à ses demandes étaient ambiguës, à double sens ou même carrément encourageantes. Quand il t’écris que tu vas prendre cher et que tu réponds par un smiley aux joues rouges, j’appelle ça planifier.
- T’es furieux !?
- Non, je suis déçu, par toi et par moi.
- Pourquoi t’es déçu par toi ?
- Je ne suis pas clean non plus. La petite brune de vendredi soir, …
- Tu l’as baisée !
- Ben oui…
- Je m’en doutais. C’est la seule que tu aies baisée depuis que tu fais toutes ces missions en déplacements ?
- Oui, et toi, c’est la première fois que tu t’envoi quelqu’un d’autre depuis que je fais ces déplacements ?
- Oui, promis juré.

Comme ça va être compliqué de se faire confiance mutuellement. Tom m’a trompée, je l’ai trompé. Un partout. On joue un jeu dangereux. On risque de tout perdre si on continue nos petits coups chacun de notre côté. Même si c’est très excitant pour l’instant, il y a un moment ou l’un des deux va se lasser soit des tromperies, soit du couple. Et là, c’en sera fini de notre histoire.
- Je ne veux pas te perdre Tom.
- Moi non plus Lisa, mais il va falloir qu’on se reprenne. Toi comme moi.
...
Lisa se blotti contre moi, recherchant ma présence et mon réconfort. Je la prends dans mes bras et on reste longtemps comme ça, allongé sur le lit de cette chambre d’hôtel. La semaine à venir risque d’être compliquée à gérer. Demain à la première heure j’irai conduire Lisa à la gare.
La journée passe lentement, on se ballade, on déjeune dans un bistro sympa. On s’amuse et on rit ensemble. On retrouve très vite notre complicité, nos blagues idiotes qui ne font rire que nous et notre besoin physique de la présence de l’autre. On ne parle plus d’hier, ni de vendredi, ni de mardi. Par contre on évoque notre avenir. C’est décidé, après cette mission, je lève le pied sur les déplacements. Ils n’auront qu’à trouver un autre pigeon à la boite. Lisa entre un sourire et un bisou me dit :
- Le mieux c’est qu’on garde ton appart. Il est un peu plus petit que le mien mais tu en es propriétaire, moi je jette tous les mois un loyer par la fenêtre.
On rentre bras dessus bras dessous à l’hôtel. L’après-midi est bien avancée et je dois absolument préparer les réunions de demain. Lisa a pris son ordi elle aussi. Fin de dimanche laborieux comme souvent. Sur le coup des 20 heures on décide d’aller se faire un Mc Do. Lisa enfile à la hâte un petit jean très près du corps et un top en lycra mais aucun sous-vêtement. Sa petite veste de cuir légère et ses bottillons à talons. Elle est mignonne à croquer dans cette tenue cool et sexy. Elle entre dans le Mc Do et comme d’habitude, ou qu’elle aille, elle attire le regard. Hommes, femmes, vieux, jeunes, beaucoup jettent un regard plus ou moins discret avec attirance, envie ou jalousie. On commande et on va s’asseoir. Lisa enlève sa veste. Son top en lycra à fines bretelles montre ses épaules dénudées et surtout ses petits seins apparaissant sous la fine étoffe moulante. La climatisation lui provoque un frisson qui a pour effet de faire durcir la pointe de ses seins. A la table voisine, un père et son fils adolescent s’en sont rendu compte. La mère fait dos à notre table et ne s’aperçoit de rien. Je fais remarquer à Lisa que sa poitrine déconcentre complétement ces deux-là. Pour toute réponse, elle me sourit et bombe le torse, offrant une meilleure vue au deux admirateurs.
- Lisa ! On n’avait pas dit qu’on se calmait sur le sexe ?
- Relax, c’est juste un peu de teasing. C’est pour te mettre en forme pour ce soir.
- T’es ingérable.
- Attend, tu n’as encore rien vu.
Elle se lève, se dirige vers les toilettes en ondulant des hanches. Au moment où elle passe devant la table de la petite famille, elle fait tomber comme par maladresse, les serviettes se trouvant au bord de la table. Elle s’accroupi pour les ramasser et se cambre au moment de se redresser devant le mari subjugué. Sa cambrure et l’absence de ceinture à son jean laissent apparaître le haut de la raie de ses fesses. Elle s’excuse d’une petite voix sensuelle et continue son chemin. Elle a à peine passé la porte des toilettes que le couple et l’ado se lèvent et s’en vont. Le gars risque de passer soit une très bonne, soit une très mauvaise soirée en fonction du caractère de sa femme. L’ado, lui aura des trucs à raconter demain à ses potes en enjolivant la réalité comme bon lui semblera.
On rentre à l’hôtel. Je ne sais pas qui de elle ou moi est le plus excité. Je me rends compte que c’est peut-être malsain mais il n’y a rien qui m’excite autant que de la voir allumer d’autres hommes, sauf peut-être la voire baiser d’autres hommes.
A peine dans la chambre on se retrouve nus sur le lit.
- Espèce de petite allumeuse, ça t’excite de faire bander des inconnus ?
- T’as pas idée à quel point. Et toi, ça t’excite que je le fasse ?
Je suis trempée. Je sens la bite de Tom toute gonflée dans ma main. Sa main à lui me caresse le clitoris. C’est décidé, ce soir je lui donne mon cul. Ca fait des années qu’il me le demande, là c’est le bon moment. Il faut juste que je l’amène à penser que l’idée vient de lui.
- Répond moi ! Ça t’excite que je le fasse ? Ça t’excite que je fasse la salope ?
- Tu ne sens pas comme je suis dur ? Si tu aimes tant faire la salope, je vais te baiser comme une salope !
Lisa ne se rend pas compte de l’effet que ses provocations ont sur moi. Mes doigts glissent entre sa vulve et son anus. Elle mouille tellement que toute la zone est luisante et lubrifiée. Si je me laisse aller, je la prends par tous les trous ce soir. Je la fait s’allonger sur le flanc, les jambes repliées. Je me place à genoux derrière elle, lui écarte les lèvres de ma main gauche et de la droite je guide mon sexe dans son vagin. J’enfonce sans ménagement toute ma queue en elle. Je place ma main gauche au bas de son dos et la droite sur son ventre plat. Mes genoux sont placés de la sorte qu’elle ne puisse pas se défaire de la prise que j’ai sur elle. Je la baise sans me soucier de son plaisir, je la baise comme un coup d’un soir, comme j’ai baisé Catherine, je la baise comme Victor l’a baisée. Je la malmène et elle aime ça !
...
Il est en forme mon chéri ce soir ! Comme qu’il va loin dans cette position, comme c’est bon ! Pourvu qu’il ne jouisse pas trop vite. J’aime me sentir dominée et à la merci de l’homme qui me baise. Merci Victor de m’en avoir fait prendre conscience. J’aime allumer, provoquer et me laisser dépasser par la situation. J’aime passer du statut de chasseuse celui de à proie. J’aime que Victor me baise. Non ! que Tom me baise ! Qu’est-ce qu’il m’arrive, j’ai la bite de Tom tout au fond de moi et je pense à celle de Victor ! Je suis vraiment une salope. Tom se retire et relâche son étreinte.
...
- Met toi à quatre pattes et suce-moi !
Lisa a pris du plaisir à se faire baiser durement, maintenant je vais lui prendre la bouche. En profondeur, sans douceur. Je lui maintiens la tête et je donne des coups de reins. Je m’enfonce dans sa bouche jusqu’à ce que ses lèvres touchent mon pubis. Je reste comme ça une ou deux secondes et me retire. Elle reprend son souffle, me lance un regard de défi. J’y retourne, toujours au fond de sa gorge. Je lui baise la bouche comme je lui ai baisé sa chatte. Je pensais qu’elle refuserait mais elle accepte, elle se laisse faire. Elle se soumet à tous mes vices. Il est temps de voir jusqu’où va sa soumission. Je la fait se coucher sur le ventre, je lui prend les poignets et les maintiens dans son dos d’une main. Je me place sur elle, ma queue à l’entrée de son petit trou. De ma main libre je presse mon gland contre son anus encore tout poisseux de nos sécrétions.
- Je vais t’enculer petite salope
...
« Enfin ! On y est, je vais me faire prendre mon dernier orifice. Je vais offrir mon cul à mon homme. Je suis excitée mais j’ai terriblement peur. J’ai confiance en Tom, je sais qu’il ne me fera jamais de mal. Pas volontairement du moins, mais si emporté par son excitation, il ne se contrôlait plus ? Ca y est, je sens son gland entrer en moi. Je le sens peser de tout son poids sur moi. Sa bite entre lentement, par petits vas et viens. C’est un peu douloureux mais bizarrement pas désagréable. C’est suffisamment bon pour entretenir l’excitation mais vraiment pas assez bon pour jouir. Sauf peut-être si je me caresse le clitoris…Ah ouiiii, c’est beaucoup mieux comme ça… »
...
Je suis enfin dans son cul, ça fait quatre ans que j’attends ce moment. Elle semble apprécier ! Elle a mis sa main entre ses cuisses, elle se touche. Je suis en appuis sur mes mains et mes genoux. Son sphincter me serre la queue. Sans lubrifiant je n’entrerai pas très profondément mais tant pis, ce n’est pas grave. Je la possède. Ce soir je fais d’elle ce que je veux. Encore un coup de rein et j’aurai entré la moitié de ma bite dans son joli petit cul. J’ai les épaules ankylosées à force de rester en appuis sur les mains mais j’ai peur que si on change de position, Lisa soit trop irritée que pour se laisser prendre le cul à nouveau. Encore quelques allers/retours. Je sens que je vais jouir. Seul mon gland est encore dans son cul au moment où je jouis. Tout mon périnée se contracte et je me repends en longues saccades en elle. Au moment où je me retire, je vois mon sperme s’écouler de son anus et lentement dégouliner sur sa vulve et ses doigts. Lisa se frotte le clitoris poisseux de mon sperme de plus en plus rapidement jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour.

Lundi matin, on se lève très tôt. Petit dej expédié. On file à la gare, je dépose Lisa et ensuite direction le chantier. La semaine va être longue et compliquée. J’ai cette boule au ventre, ce stress de savoir Lisa loin et peut-être vulnérable. Qui me dit qu’elle ne va pas retomber dans les bras de Victor dès ce soir ?...Bon aller, n’y pensons plus, je dois me ressaisir et me concentrer sur le travail, je rencontre l’architecte pour la première fois et apparemment il n’est pas très facile.
Assis dans les baraquements de chantiers à siroter un mauvais café, on relit avec mes collègues une dernière fois notre dossier. Une succession de ratés et mauvaise communication. Je suis là pour aplanir tout ça et tenter de regagner la confiance du client et de son architecte. Le client entre dans la salle de réunion. Il a sa tête des mauvais jours. Il a sans doute passé un mauvais week-end. Salutation polie, il s’installe en nous demandant d’attendre son architecte avant de démarrer la réunion. Trois minutes plus tard, l’architecte fait son entrée dans le local. C’est une petite femme de début de quarantaine, noire de cheveux, les yeux gris clair, fluette mais avec une forte poitrine…Catherine. A ce moment précis, je me dis que ça va considérablement compliquer les choses.
- Bonjour Messieurs, je connais déjà certains d’entre vous,…

En me disant cela elle me regarde dans les yeux et je discerne un petit sourire narquois. Pas d’autres allusions, pas d’autres regards, rien qui puisse trahir notre « tête à tête » de vendredi. C’est une professionnelle, ce matin on bosse. Elle connaît son dossier sur le bout des doigts, elle est très douée. La réunion se passe finalement assez bien. En fin de réunion elle me laisse sa carte de visite avec écris au dos : appelle moi svp.
Le reste de la journée est très compliqué. Dois-je ou non la rappeler ? On s’est mis d’accord avec Lisa, fini les coups en douce. Mais Lisa va-t-elle résister à Victor qui ne manquera pas de la relancer ? Je suis vraiment un sale type pour me cacher derrière l’incertitude que j’ai par rapport à Lisa pour justifier un éventuel appel à Catherine. D’un autre côté, c’est juste un coup de téléphone, ça ne m’engage pas. Je me mens à moi-même.
- Allo Catherine ? C’est Tom, je ne te dérange pas ?...
Après les politesses d’usages on convient qu’elle viendra à l’hôtel à 20H30. Directement dans la chambre, pas au bar. Elle veut être discrète, fini la fille facile que toute la ville pense pouvoir mettre dans son lit.

20H30 précise on frappe à la porte de ma chambre. C’est Catherine, je m’attendais à la voir habillée en tenue sexy, ce n’est pas le cas. Elle est habillée d’un petit ensemble pantalon noir montrant juste ce qu’il faut de ses jolies courbes. Ses cheveux sont maintenus par une grosse pince à l’arrière de son crâne dévoilant un visage que, jusque-là, je n’avais pas pris la peine de détailler. Elle a des joues légèrement creusées sur des pommettes saillantes, une petite bouche mais garnie de lèvres charnues qui dévoilent une dentition parfaitement régulière, une mâchoire droite mais néanmoins féminine et des très beaux grands yeux gris pourvus de longs cils. Elle a un air un peu sévère mais c’est une jolie femme. Et décidément, elle sent toujours aussi bon !
Je la fait entrer et on s’installe au petit salon. Je lui propose le peu que j’ai à boire, eau gazeuse, bière, café, pas grand-chose en réalité.
- Une eau gazeuse s’il te plait. Mais je ne suis pas venue pour ça.
- Tu es venue pour quoi au juste ?
- Pas pour ce que tu espères, ou peut-être que si, je n’en sais rien à vrai dire.
Elle termine sa phrase les larmes aux yeux. Elle commence alors à me raconter son histoire, comment elle, l’architecte, la cheffe d’entreprise, s’était retrouvée à devoir se faire baiser par tous les mecs que son mari lui imposait.
- A 25 ans je suis tombée amoureuse de cet homme de 15 ans de plus que moi. Il vient d’une famille de notaires et dans cette petite ville, il dispose d’une influence considérable. Grâce à lui et à ses relations, après mes études, j’ai rapidement intégré le plus prestigieux bureau d’architecture de la région. Je me suis beaucoup investie et en quelques années je me suis retrouvée associée du bureau. Je me suis tellement investie que j’ai laissé passer l’occasion de fonder une famille. Je travaillais 7 jours sur 7, jusqu’à 14 heures par jour. Mon mari de son côté travaillait tout autant, voire plus encore. Du moins, c’est ce que je pensais. En réalité ses soirées il les passait avec sa collaboratrice. Une gamine de 22 ans à peine aux gros seins et à l’ambition plus grosse encore. Je n’avais que 35 ans mais je me sentais vieille, insignifiante et sans attrait. Je me suis fait grossir les seins pour lui ressembler. Je me suis fait tatouer le corps parce qu’un jour mon mari m’avait dit qu’il trouvait ça sexy. J’ai fait des injections de botox. Je me suis inscrite à la salle de sport ou je n’avais même pas le temps d’aller, j’ai fait des régimes, j’ai commencé à m’habiller de manière de plus en plus provocante. J’ai tout fait pour attirer son attention pendant 3 ans. Mais c’est l’attention d’un autre homme que j’ai attiré. Un jeune gars que j’avais engagé au bureau 6 mois auparavant. Grand, musclé, très beau, gentil et totalement fauché. La moitié de ce qu’il gagnait chez nous partait en pension alimentaire. Il m’a séduite un de ces nombreux soirs ou on travaillait tard. Il m’a dit à quel point il me trouvait belle, à quel point j’avais l’air triste aussi. Il m’a embrassé et on a baisé sur mon bureau. J’ai jouis deux fois ce soir-là. Non seulement il était très beau mais il était très attentif aussi. Il a su deviner comment me donner du plaisir, il s’est intéressé à moi, à mon corps. Il m’a prise par tous les trous et je l’ai laissé faire, trop contente qu’enfin un homme utilise mon corps avec passion. Quand il a entré sa bite dans mon cul, j’ai cru que j’allais être déchirée, blessée. Mais malgré l'épaisseur de sa queue, je me suis rendue compte que j’étais faite pour ça, j’étais faite pour qu’on m’encule. Mon mari, en 16 ans n’a jamais daigné essayer.

Pendant deux ans, j’ai trompé mon mari, on baisait à la moindre occasion. Bureau, voiture, hôtel bon marché le long des nationales, même à son appart les semaines ou il n’avait pas ses enfants. Bref, on n’était pas discrets. C’est surtout ça qui a rendu mon mari furieux. Plus que la tromperie, c’est la réputation que je lui faisais. Alors il a voulu me faire payer, me faire baiser par n’importe qui à m’en dégouter. Et moi, tellement apeurée qu’il me quitte et que je perde tout ce que je pensais lui devoir, je l’ai laissé faire ses jeux malsains. Il y a eu une trentaine d’hommes en tout. Je me rappelle très bien du premier, un gros chauve d’environ soixante ans, tout suant avec des poils énormes sur la poitrine, son dos et à sa bite. Il bandait à moitié mou et n’a pas réussi à entrer dans mon cul. Il s’est déchainé de frustration dans ma bouche. Je me souviens de ses quelques malheureuses gouttes de sperme acre qu’il a rependue au fond de ma gorge. Je me souviens du deuxième aussi qui est entré dans la chambre à peine le premier ressorti, sans m’avoir laissé le temps de me rhabiller ni même de me rincer la bouche. Il m’a jetée au sol, sur le ventre et m’a sodomisée après m’avoir craché sur l’anus en guise de seul lubrifiant. Je me souviens du regard froid de mon mari quand il est enfin entré dans la chambre, qu’il m’a ordonné de me coucher sur le dos et qu’il m’a prise machinalement, sans émotion.

Il y a eu ce gang bang organisé avec quatre blacks qu’il avait recruté je ne sais ou. Il avait dû les sélectionner en fonction de leurs mensurations. C’est la seule fois où il a assisté. Il m’a filmée et prise en photo pendant tout le temps où je me faisais baiser. Mon mari m’avait fait entièrement déshabiller et m’avait mis une laisse comme à une chienne. Ils m’ont prise par tous les trous, chacun leur tour ou en même temps. Ils étaient sur moi en permanence, chaque fois que l’un d’eux était sur le point de jouir, il se retirait et allait se calmer. Pendant ce temps-là, le quatrième prenait sa place dans l’orifice qui s’était libéré. Ça a duré des heures. La première fois qu’une de ces bites monstrueuse m’a sodomisée, ça m’a fait un mal de chien. La sensation était d’autant plus forte qu’une queue plus grosse encore m’écartelait le vagin. Je les suppliais d’y aller plus doucement et eux rigolaient en m’insultant. Pendant tout ce temps-là mon mari se branlait. Il m’a éjaculé deux fois au visage dont une fois alors que je suffoquais à cause d’une bite enfoncée trop profondément au fond de ma gorge. Bien sûr, aucun des quatre n’a jugé utile d’enfiler une capote.

A la fin de la soirée, mon mari m’a prise par la laisse, est venu s’asseoir les jambes écartées sur le lit et m’a forcé à lui lécher les couilles pendant que les quatre m’ont enculée chacun leur tour et ont éjaculé dans mon cul. Mon anus était complétement dilaté et du sperme s’en est écoulé longtemps après alors que je m’étais nettoyée.

Mon mari m’a montré les photos et m’a dit que s’il me venait l’envie de le quitter, ces photos et les films feraient le tour de la région et que ma carrière serait irrémédiablement foutue.
Ensuite il ne m’a plus touchée pendant des semaines, le temps d’avoir les résultats des tests MST. Par contre il m’obligeait à continuer mes séances de « punitions » comme il les appelait.

Après cette soirée, les hommes avec qui j’ai couché étaient bien moins violents. A vrai dire et même si j’en voulais à mort à ce mari que j’avais aimé, j’y ai pris un certain plaisir. Quelques-uns de ces hommes se sont montrés attentionnés et vraiment bienveillants. Il y en a même eu trois assez doués, toi y compris. Il y a eu aussi ces deux pervers qui ont pris leur pied en m’humiliant et en me frappant. Tu as du voire les marques quand tu m’a baisée l’autre soir.

- Et maintenant que tu as quitté ton mari, tu ne crains pas de représailles ?
- Cet imbécile n’a jamais compris le principe de la sauvegarde informatique. Et la carte mémoire compromettante a été formatée par…accident. C’est bête quand on y pense. Par contre, j’ai moi aussi une clé USB qui contient des trucs sur lui. Des trucs bien plus compromettants, des trucs du genre délit d’initié. Moi je risque ma réputation, lui il risque la taule.
- Pourquoi tu me racontes tout ça ? Pourquoi à moi ?
- Parce que dans quelques jours tu auras quitté cette ville et on n’entendra plus jamais parler l’un de l’autre. Parce que tu es gentil.
- Je suis gentil, c’est toute l’histoire de ma vie. Je suis le gentil, celui dont on ne se méfie pas à raison. Celui qui ne ferait pas de mal à une mouche, celui dont on peut se moquer sans se soucier des conséquences.
- Je n’ai rien fait de tout ça moi ! Pourquoi tu me dis de trucs pareils ?
- Désolé, ce n’est pas toi effectivement, c’est Lisa, ma…copine/compagne, je ne sais pas trop comment la définir. J’insiste depuis des mois pour qu’on vive ensemble et elle profite de mes déplacements pour se taper un autre gars.
- Tu peux parler ! Je te rappelle ce qu’on a fait vendredi soir ?
Catherine se lève et vient s’asseoir sur mes genoux. Cette petite femme vient se blottir contre moi, ses fins bras s’accrochent à mon cou. Elle approche ses lèvres de miennes et m’embrasse. Elle est si différente de Lisa mais si jolie elle aussi. Elle m’offre la seule chose à laquelle je suis incapable de résister ce soir de doute. Elle m’offre de la douceur, de la tendresse. J’ai la sensation de faire un truc bien plus moche encore à Lisa que si ça avait été purement sexuel. Même si ce n’est que pour un moment et même si c’est sans lendemain, j’ai envie de faire l’amour à Catherine. Je n’ai pas envie de la baiser.
On se dirige dans la chambre, on se déshabille chacun de son côté comme deux ados maladroits. On s’allonge directement sous les draps. Elle se colle à moi de tout son corps. Sa peau est très douce, elle sent décidément très bon. Je la caresse sans précipitations, sans me ruer sur ses zones « stratégiques ». Je lui caresse le dos, les cuisses, le ventre mais aussi ses fesses. Ses faux seins m’intriguent et j’hésite à les palper. Elle m’y invite d’un sourire bienveillant. Il reste des capotes dans la boîte de samedi. J’en sors une de la boite et la pose encore emballée entre les oreillés.

Catherine roule sur le dos, elle ouvre légèrement ses cuisses m’invitant à lui caresser son intimité. Je glisse une main sur sa vulve lisse, je trouve son clitoris gonflé. Du bout de mon doigt, je récolte un peu de sécrétions entre ses petites lèvres et profite de ce lubrifiant pour m’attarder sur son petit bouton. Doucement, sans appuyer, sans brusquer, je m’approprie peu à peu cette zone, ces chaires tendres et humides. Catherine se laisse faire, tellement qu’elle est maintenant immobile, ne pensant pas à me toucher en retour. Elle profite pleinement de la situation. Je tente d’introduire une phalange dans sa vulve, elle écarte un peu plus les cuisses. J’entre tout mon majeur, toujours tendrement. Je fais quelques vas et viens et reprend la caresse de son clitoris. J’entre ensuite mon indexe puis mon indexe et mon majeur. Du pouce je recommence à stimuler son clitoris. Elle roule du bassin, elle gémit doucement les yeux fermés, elle me demande de continuer, me dit à quel point c’est agréable. Ce soir on ne fera rien qu’elle n’ait pas envie, rien qu’elle se sentirait forcée de faire. Si elle ne veut pas que je la pénètre, je me contenterai de la caresser, de la lécher peut-être.
- Arrête-toi un peu, si tu continues je vais jouir dans deux minutes !
- Et alors ? Tu ne veux pas jouir ?
- Si mais pas tout de suite. Ça fait des mois que j’attends qu’un homme s’attarde à me donner du plaisir alors je veux faire durer ce moment le plus longtemps possible. Et puis je dois m’occuper de toi un peu.
Elle vient se placer sur moi, son sexe collé à ma bouche. Elle est à genoux frottant ses petites lèvres et son clitoris sur mon visage. Je lui empoigne les fesses alors qu’elle se cambre. L’odeur naturelle de son sexe m’excite à un point que je n’aurais pas cru possible. Plus que ses belles courbes, plus que la fermeté de son corps, plus que la douceur de sa peau, c’est l’odeur de cette femme qui m’excite. Je ne me l’explique pas, c’est une réaction animale. Je me demande à quel point ce n’est pas on odeur qui m’a fait craquer par deux fois. Elle mouille abondamment maintenant et moi je bande comme un âne. Toujours cambrée, elle se penche en avant et m’empoigne la queue. Une belle quantité de liquide séminale s’en échappe que Catherine étale sur toute la longueur de mon sexe. Elle se penche un peu plus et me prend dans sa bouche tout en continuant de me branler. De son autre main elle caresse mes couilles. Moi je lui écarte les fesse et lui enfonce la point de ma langue dans l’anus, la retire et la remplace par la moitié de mon majeur alors que je recommence à lui lécher le clitoris. Je veux rester comme ça dans cette position aussi longtemps que possible. On se fait mutuellement du bien de la manière la plus intime qu’il soit alors qu’on se connait à peine. On s’applique à faire plaisir à l’autre. Je me retiens tant que je peux mais je sens monter l’orgasme. Je n’ai jamais été aussi bien sucé de ma vie. Catherine s’active de plus en plus fort, son bassin se tord sur mon visage à mesure que je sens ma queue s’enfoncer dans sa bouche. Elle jouit tout en me gardant dans sa bouche et émet un son étouffé mais bruyant. Je la préviens de mon orgasme imminent pour qu’elle se retire mais au lieu de cela elle m’aspire de plus belle. C’en est trop, je me vide en longues saccades dans sa bouche. Elle s’affale sur moi, m’embrasse le haut des cuisses et le bas du ventre. Je lui caresse les fesses et lui embrasse l’intérieur des cuisses. Elle bouge enfin et vient se caler contre moi. On a l’un pour l’autre des gestes de tendresses comme en ont les amants de longue date. On se remercie mutuellement pour ce plaisir partagé. Je me surprends à renifler le creux de son cou. Elle dit que ça la chatouille et rit de bon cœur. C’est la première fois qui je l’entend rire. Ce rire cristallin me brise le cœur car il témoigne d’une trahison bien plus forte que si Catherine et moi on s’était contenté de coucher ensemble sans y trouver un réconfort affectif. Non seulement j’ai une fois de plus trompé Lisa mais en plus, j’ai de l’affection pour celle avec qui je la trompe.

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Commentaires de l'histoire :

humeuriste
Bonsoir et encore merci pour cette très jolie conclusion vraiment, mais alors, vraiment érotique ! Je vous donne 10/10 Didier
Posté le 3/10/2021


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