Jiji est aujourd'hui une cosplayeuse au physique parfait reconnu par un grand nombre de fans le jour. La nuit, elle cache de biens sombres secrets dans son donjon. Mais comment en est-elle arrivée là ? Voici comment Jiji est passée d'une oie blanche avec ses rêves de prince charmant à une mistress affirmée.
Proposée le 17/09/2021 par goelan
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Vengeance
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Roman
Jiji fait un carton sur la Toile. Il faut dire que ses cosplays en tout genre, surtout japonais font sensation. La peau blanche et lisse, dotée d'une poitrine en forme d'obus, ni maigre ni grosse, juste parfaite et équilibrée, avec un visage d'ange et un sourire presque comme un petit chat lorsqu'elle fait sa petite mimique. Sans oublier
ses longs cheveux presque noirs, ou blonds, ou bleus, selon l'occasion.
Bref, Jiji est jolie, kawaii, mignonne et fortement attirante. Elle pose sur ses réseaux sociaux et possède des comptes sur des sites payants pour cosplayeurs, autant rentabiliser ses shoots pour acheter encore et encore de nouveaux cosplays. C'est sa passion et son physique aide grandement à attirer l'oeil des autre passionnés mais aussi des pervers en tout genre. En effet, certaines de ses tenues ne cachent pas grand chose de sa morphologie. Sans compter ses nombreux décolletés, ses tenus qu'elle ne ferment qu'à moitié ou pas du tout, ses poses lascives, etc.
Mais jamais et à aucun moment elle ne laissera traîner un bout de téton, une partie intime ou une pose pouvant être jugée comme pornographique. Jiji gère son business avec application, vérifiant chaque photo avant de la poster et sans jamais utiliser photoshop ou un quelconque filtre, tout est naturel chez elle.
Forcément elle rencontre un grand succès autant de ses fidèles que d'une catégorie de fans plutôt obsédés par sa plastique et les commentaires ou messages privés pleuvent à gogo. Si elle gagnait un euro à chaque qu'on lui avait proposé de se foutre à poil, voire plus si affinité, elle serait millionnaire à ce jour. Certains même lui envoyait leur sexe tendu, voire juteux de sperme espérant qu'elle craque face à ses obscénités. Comme si une fille comme Jiji se précipiterait dans les bras du premier obsédé qui lui monterait sa bite et ses couilles.
D'ailleurs, 99% du temps, elle ne lisait même plus ce genre de messages et ils finissaient tous à la poubelle.
Pourtant, parfois, lorsqu'elle s'admirait dans un de ses larges miroir xxl, complètement nue, où l'oeil étranger ne pouvait voir qu'une chose, ses obus au tout petit téton rose, elle se demandait comment réagirait ses fans si un accident arrivait.
S'il savaient...
Elle habite dans une ancienne maison de famille. Tout était à neuf et elle faisait la plupart de ses shoot à l'étage dans deux pèces spécifiquement aménagées. Une fois sortie de chez elle, habillée comme tout le monde, ni trop sexy, ni trop prude, même si sa plastique attirait forcément le regard, elle vivait une vie normale.
Outre ses photos, elle posait aussi pour des magazines, se rendait souvent dans des conventions et partageait sa vie avec d'autres fans de cosplays, d'animation, de japaneries diverses et variées.
Mais la Jiji de la nuit n'a plus rien à voir avec la Jiji du jour. Dans le sous-sol de sa maison existe une large cave de bonne dimension en pierre avec des voutes et des murs en briques, dans la partie plus récente.
Jiji n'aimait pas les hommes, pour vivre avec surtout. Elle était lesbienne à tendance bi depuis presque toujours. Après une très mauvaise expérience à la fin de son adolescence avec un garçon beaucoup plus âgé qu'elle, elle préférait depuis la douceur des femmes, leur peau douce, leur poitrine à tenir en main, à caresser, sucer, se pelotonner contre ses coussins naturels, et fourrer son nez, sa langue et beaucoup d'autres choses dans leur intimité si chaude et bouillante.
Les mecs ne pensaient qu'au sexe, qu'à la baiser et jouer avec ses obus, les filles par contre... Bref, ce n'était pas la question. En ce moment elle n'avait pas de relation fixe, même si à tout moment quelques casse-croûte pouvaient faire l'affaire, mais jamais dans ses relations de cosplayeurs ! En cas de rupture, une mauvaise photo pouvait facilement ruiner sa réputation.
Mais certaines nuits Jiji endossait un autre costume. Et justement ce soir-là elle avait un client très spécial. Si Jiji le jour était quasi une sainte-nitouche, si l'on pouvait parler ainsi vue certaines photos en bikini très très petit, le soir elle se transformait en une maîtresse insatiable d'humiliation en tout genre, surtout sexuelle.
Elle portait un masque est une tenue souvent en cuir, parfois en vinyle, ou portait d'autres costumes en fonction des souhaits de ses clients. Mais jamais elle ne montrait son visage et c'était elle qui dirigeait toujours tout, une vrai maîtresse sans aucun doute !
Ce soir là elle recevait un homme marié, elle l'appellerait Paul. Moins elle en savait sur lui et inversement, mieux ils se portaient tous les deux. Jiji passait par un site ultra sécurisé pour recruter ses clients. D'ailleurs comme il n'était pas accessible aux premiers venus, cela en faisait déjà une belle sélection et forcément, ceux qui y arrivaient n'y venaient pas par hasard.
Jiji se prépara dans son vestiaire privé ressemblant plus à un dressing qu'autre chose. Tout d'abord elle se regarda sous tous les angles dans un autre de ses miroirs, afin de détecter s'il elle avait la moindre blessure, tâche, éléments visible qui pourraient la faire reconnaître dans la rue par hasard. Elle souleva ses seins, ils étaient lourds et son excitation la gagnait déjà, ses petits tétons roses étaient déjà pointus. Elle passa sa main sur son sexe rasé et senti aussi son émoi ici.
Ce soir, elle serait en cuir moulant. Elle enfila une tenue arachnéenne ouvert de partout emprisonnant ses gros seins, ses jolies fesses rondes, ses cuisses et son ventre. Dessus elle ajouta une petite culotte et un top en cuir compressant sa poitrine, puis des bas à jarretière, des talons hauts, Elle ajouta une petite veste toujours en cuir et une jupe quasi transparente en tulle. Elle se tourna sur elle-même, toujours aussi jolie pensa-t-elle et hum, ce genre de tenue ferait aussi bien l'affaire en tant que cosplay. Elle sourit, non, non, ne pas mélanger passion et travail. Elle attacha ses cheveux en un chignon haut, se maquilla et ajouta son masque cachant tout son visage. Elle ajouta ensuite une cape et sortit juste à temps de sa maison.
Elle accueillit son client par une porte dérobée donnant sur l'arrière de sa maison. L'un comme l'autre savait que la discrétion était de mise. L'homme était un quinquagénaire à moitié chauve, portant des lunettes dorées, le visage rouge et le regard fuyant, forcément, on ne venait pas ici tous les jours et c'était plus que intimidant pour lui, comme la plupart de ceux qui venaient la voir. Il y en avait tout de même habitués du genre, ils aimaient le SM et se faire humilier. Mais lui, c'était sa première fois.
A l'entrée de la cave, il hésita, de toutes manières il avait déjà payé, donc même s'il repartait la queue entre les jambes, Jiji n'y perdait pas grand chose, à part une grande frustration. Elle adorait faire ça. Tout venait de ces premières expériences sexuelles. Déjà dotée d'une belle physionomie très tôt, elle attira l'œil des garçons de son âge et plus encore. A l'époque elle en était complexée et sa timidité en plus ne l'aidait pas du tout. Elle rougissait au moindre regard sur ses seins et elle n'avait aucune répartie sur les divers piques des filles jalouses ou des garçons un peu trop entreprenants.
Délaissant les ados boutonneux, même si un ou deux lui faisait battre son coeur, l'adolescence et toutes ses hormones la placèrent entre les mains d'un plus grand prédateur, un adulte et pas des moindres...
Elle venait d'avoir 16 ans et tout se passa durant les vacances d'été familiales. Jiji en maillot de bain à la piscine du camping 5 étoiles, même une pièce, ne pouvait pas passer inaperçue. Ce fut un animateur d'entre deux âge qui l'a repéra et se promit d'en faire son affaire. Il n'en était pas à sa première expérience avec les vacancières et la petite Jiji était une proie toute trouvée. D'autant plus qu'il était loin d'être moche, au contraire, avec un corps bien musclé, un bagou comme l'on tous les animateurs professionnels et un petit quelque chose d'autoritaire qui peut parfois faire pression.
L'affaire fut entendue au bout de 5 jours. L'animateur lui tournait autour sans grande pression, il blaguait avec ses parents, et les autres familles présentes lors des ateliers du club famille. Jiji fut rapidement sous la coupe de l'animateur, il faisait le beau, l'impressionnant, faisait comme si son corps ne l'intéressait pas, l'écoutait, etc. Mais il ne ratait aucune occasion de la mater, et il n'était pas le seul à l'avoir remarqué mais c'était chasse gardée.
Il l'invita à une dégustation de produits locaux entre ados vers 19h00. Bien entendu elle fut la seule invitée, il joua le jeu et attendit les "autres" mais personne ne vint. Après quelques discussions et dégustations des douceurs et surtout un vin fort, Jiji se retrouva contre la table de billard du centre d'animation pour ado, l'animateur contre son corps, ses mains dans les siennes et elle goûtait à son premier baiser.
Tout aurait pu en rester là, mais les sens de la jeune femme étaient en émois et elle ne l'empêcha pas de découvrir son corps petit à petit, geste après geste, baiser après baiser.
Il s'attaqua à ses seins en premier, les malaxant à travers son t-shirt puis passa ses mains en dessous pour les prendre à même la peau sous son soutien-gorge. C'était la première fois qu'un garçon ou un homme la pelotait. Si Jiji eut un premier temps de réticence, la chaleur produite par les attouchements lui brûla la peau et ses sens. L'homme sentait bon, il était si viril, ses mains étaient douces et il ne lui faisait pas mal, au contraire. Jiji sentait ses tétons durcir sous les attouchements.
L'animateur se gava de sa grosse poitrine, pas aussi imposante que celle d'aujourd'hui mais déjà énorme pour son âge. Remontant ses habits jusqu'au menton, il l'embrassa longuement puis lui enleva tout simplement son t-shirt puis son soutien-gorge. Il happa ses tétons et se mit à lui lécher sa poitrine. S'ensuivit alors un bon moment d'exploration, de baisers et de caresses sensuelles. Elle lui caressait les cheveux, devenait toute chose entre ses mains et sa bouche expertes.
Il ne fallut pas longtemps pour que Jiji se retrouve posée sur le rebord de la table de billard, la jupe relevée, la culotte au sol et la langue de l'animateur qui inspectait son intimité, sans oublier ses doigts fureteurs. Elle fixait cette tête entre ses cuisses ouvertes, la langue de l'homme s'agitant entre ses lèvres ou plus haut sur son clitoris. Ce n'était pas elle n'est-ce pas, ce n'était pas son corps, ce n'était qu'un rêve.
Pour ne plus le voir, elle finit par s'allonger en arrière sur le tapis vert, fixant le plafond à moitié, un bras en travers de son visage, le souffle court, sa poitrine se soulevant et s'abaissant de plus en plus vite.
Jamais elle n'avait ressenti cela. C'était divin tout en étant très dangereux. Si quelqu'un entrait, un de ces ados en retard par exemple. Mais elle ne pensa pas une seconde que personne d'autre n'était invité à la fête. De plus, la porte était fermée à double tours. Et depuis l'extérieur personne ne pouvait les voir là où ils étaient.
Enivrée par les attentions de l'homme et les sensations de plaisir grondant dans son corps, malgré les recommandations de sa mère sur ce genre de situation, lorsque l'animateur se redressa sa bite au garde à vous, son bermuda et boxer à ses pieds, Jiji le fixa avec un mélange d'étonnement et de fascination.
Il allait lui faire quoi là ? C'était juste des caresses n'est-ce pas ? Elle n'avait pas imaginé aller plus loin, encore moins avec un adulte plus vieux qu'elle d'au moins 10 ans !
Pourtant, celui-ci se plaça entre les jambes ouvertes de la jeune femme sans une once d'hésitation, plutôt excité pour tout avouer. Jiji sentit le gland de l'homme frottait contre les poils de son sexe puis descendre plus bas, glisser entre ses lèvres et puis...
Pourquoi ne réagirait-elle pas ? Avait-elle envie dans son fort intérieur de goûter à ce péché ? Le gland s'insèra dans la cavité humide de salive et de mouille, il butta contre son hymen puis d'un coup de rein l'homme la dépucela, enfonçant ensuite sa queue entièrement en elle. Ce fut assez facile Jiji était humide comme jamais et passive autant que lascive.
Elle ouvrit grand la bouche le sentant entrer en elle. Impossible, non, c'était impossible. Si, si, il l'avait fait. Elle s'était offerte, elle était une femme maintenant. Elle...
Il n'attendit pas sa réaction et commença purement et simplement à aller et venir entre ses jambes avec des petits coups de bassin. Il se pencha pour l'embrasser et la peloter, encore et encore. Caressant son corps, s'imprégnant de sa jeunesse, glissant ses doigts sur sa peau douce, caressant ses jambes, ses cuisses, ses fesses puis remontant vers sa poitrine.
Jiji n'y croyait pas, il l'avait fait, là, maintenant ! Elle était secouée, ses gros seins bougeaient sous le rythme des coups de butoir. Elle sentit de petits chocs électriques exploser dans son vagin et remonter dans tout son être. Elle eut soudain très chaud, la sueur perla sur sa peau et de petits gémissements de plus en plus répétés glissèrent hors de sa bouche. Elle agrippa l'animateur et le vagin en flamme, ignora tout le reste.
Il était trop tard pour regretter de toutes manières. Elle en éprouva du plaisir, elle ne s'était pas offerte à lui sans le vouloir tout de même un petit peu. Et elle n'avait pas peur de tomber enceinte, depuis ses 15 ans sa mère lui faisant prendre un contraceptif, juste au cas où. Elle avait bien fait. C'était juste que dans sa tête, elle attendait le prince charmant, le garçon, plutôt de son âge, avec qui elle aurait eu un coup de foudre ou une belle histoire d'amour, une découverte réciproque. Au lieu de cela, elle venait de se faire dépuceler par l'animateur de son camping de luxe. Au moins il savait y faire, et pas qu'un peu.
Le billard grinçait, Jiji gémissait, l'animateur exultait.
Que penserait les parents de cette donzelle s'il savait qu'il venait de la déniaiser ? En lui léchant son clito, il avait tenté de lui enfiler un doigt dedans, c'est là qu'il s'était rendu compte qu'elle était vierge. Il s'était alors dessapé rapidement et ne lui avait pas laissé le temps de réagir pour la pourfendre d'un bon coup de rein entre les jambes. Punaise, quelle sensation, il bandait raide et savourait chaque instant qu'il passait dans sa chatte en chaleur. Car oui elle était vraiment ouverte, offerte et réceptive, c'était divin ! De plus quelle beauté ! Incroyable que personne ne soit passé avant lui dans ce fourreau étroit et si chaud ! Les prochains jours risquaient d'être très juteux.
Il la tira à lui et doucement la retourna sur le billard. Elle se laissa faire et s'allongea à demi sur le tapis vert, écarta ses cuisses et glissa son membre le long de sa raie anale mais délaissa son anus, ce n'était pas son truc, pour replonger avec extase dans son vagin.
Tout alla très vite pour Jiji ensuite. Après le billard, il lui fit l'amour dans le canapé en levrette, celui-ci en avait vu d'autres avec ou sans l'animateur, puis la posa contre le mur soulevant ses jambes et la baisa ainsi pour se vider enfin en elle...
Exténuée, Jiji ne rentra à son mobil-home de luxe après plus d'une heure et demi de jouissance à la suite. Elle avait les jambes flageolantes et plein d'étoiles dans la tête, sans compter une forte impression de n'être plus la même dans son corps comme dans sa tête.
Personne ne s'inquiéta, elle avait prévenu rejoindre les autres ados pour une animation du soir, elle dû inventer des réponses face aux diverses questions parentales, mais sans plus que cela. Au fond d'elle même elle savait qu'il n'y aurait pas de suite après les vacances, mais l'ado qu'elle était, pour le moment, se faisait de belles idées sur la passion entre elle et ce beau gosse plus vieux qu'elle d'au moins une décennie. Ce qu'elle pouvait être naïve alors mais sur le coup, elle était sur son petit nuage nacré et sucré.
L'animateur, fier de son entreprise, après tout il avait baisé la plus belle fille du camping et pas qu'un peu, s'en venta comme il se doit à ses amis proches. Il leur raconta comment il s'y était pris et comment la gamine avait gémit et crié son plaisir lorsqu'il l'avait baisé dans toutes les positions possibles jusqu'à ne plus tenir et se vider en elle. Et puis ses seins, quelle paire d'obus, ils devaient être rouges maintenant tellement il s'en était occupé. Et cerise sur le gâteau, elle était encore vierge avant qu'il règle ce petit problème.
Jiji n'était pas passé inaperçue depuis son arrivée. Dès qu'elle s'était montré à la piscine dans son maillot de bain une pièce moulant, tous les regards des hommes s'étaient tournés vers sa poitrine impressionnante, surtout pour son âge. Ados comme adultes, jeunes comme vieux ou presque, avaient maté la jeune fille déambulant innocemment sur le carrelage de la piscine. Le must étant lorsqu'elle sortait de l'eau façon alerte à malibu, ses tétons pointant sous le tissu et la naissance de ses seins luisante et attirante.
Après moult exclamations et autres insinuations scabreuses, le connaissant de réputation, les autres experts de la drague sur place voulurent des preuves. L'animateur, qui n'en était pas à son premier coup d'essai, sortit son téléphone, qui bien placé, avait filmé toute la soirée en galante compagnie.
Les félicitations fusèrent, Jiji fut admirée sous tous les angles avec de nouveaux commentaires sur sa plastique et sa première prestation sexuelle, digne d'un film de cul amateur. D'ailleurs l'animateur la posterai sûrement dans les mois à venir le temps que tout le monde ici oublie Jiji pour la prochaine reine de la piscine, comme chaque saison.
Si seulement ils pouvaient à leur tour. Patience, patience, leur conseilla-t-il, il savait partager, il fallait juste trouver le moment. Dans un premier temps, maintenant qu'il avait ferré le poisson, il fallait entretenir le feu pendant qu'il couvait encore. Et pour cela, l'animateur ne doutait aucunement de ses compétences. Jiji allait encore gémir et lui baiser comme un phoque.
Le lendemain, Jiji ne sut pas trop comment réagir lorsque l'animateur se fit froid face à elle en public, elle eu peur d'avoir été juste un coup en passant. Mais un petit clin d'oeil discret la rassura rapidement et son petit coeur se mit à battre la chamade en regardant celui qui l'avait fait femme. Elle était toute chose à repenser à la soirée précédente et elle rougissait dès que leurs regards se croisaient. Sans le vouloir
Forcément sa façon de se tenir, de bouger, de se déhancher changea pour attirer l'attention de son bel étalon. Et qui en profita, son public forcément. Certaines femmes bougonnes et jalouses, des mères de familles à qui cela ne plaisait pas la traitèrent presque de pute et de dévergondé. Mais Jiji n'en savait rien et c'était mieux pour elle. Et comme ses parents n'allaient jamais à la piscine aux heures où Jiji s'y trouvaient, ils évitèrent quelques esclandres.
L'animateur n'était pas froid à ce manège et il réussit à la coincer un peu avant le déjeuner pour lui avouer avoir mal dormi tellement il avait pensé à elle. Les aveux furent doubles, la jeune fille était sous le charme de l'homme, il la complimenta encore, il la trouvait belle et désirable, ce qui n'était pas un mensonge après tout. Il l'emmena dans la salle douche/WC de la piscine et la poussa dans un renfoncement où étaient stockés seaux et balais de nettoyage. Jiji avait toujours la frousse qu'on les surprenne, mais les premiers baisers de l'animateur la firent fondre comme neige au soleil. Elle venait d'aller se baigner et l'homme, outre ses seins, atteignit rapidement son entre-jambe pour écarter le tissu humide et commencer à lui chatouiller le clitoris.
Jiji voulu le repousser, ce n'était ni l'endroit ni le moment, puis elle finit par agripper son bras fermant la bouche pour éviter de laisser passer un son douteux lorsqu'elle sentit les doigts de l'animateur la caresser puis la fouiller. Son ventre chauffa aussitôt et lorsqu'il glissa deux doigts dans son vagin, elle glapit s'accrochant encore plus à lui. Ses jambes ne la soutenaient plus. L'homme les lui écarta d'un petit mouvement de pieds et il se mit à faire aller et venir ses doigts en elle de plus en plus vite dans un bruit de mouille. En même temps, du pouce il frottait son petit bouton plus haut. Jiji n'en demanda pas tant, malgré sa peur elle s'arqua en jouissant. Il resta un moment ses deux doigts profondément enracinés dans son vagin sa bouche dévorant celle de l'adolescente.
A regret, il se retira. Il ne demanda rien en retour malgré son sexe tendu à l'extrême. Il la laissa partir en premier avant de quitter les lieux ensuite, il souriait, elle était vraiment sous sa coupe.
A juste titre, il continua son manège les jours suivants. Ses potes et complices du camping le couvraient lorsqu'il l'emmena régulièrement dans des endroits discrets où il pouvait à loisir la déshabiller, ou juste relever sa jupe, écarter son maillot de bain ou baisser son pantalon pour la lécher, la masturber et surtout la baiser ! Jiji n'était plus du tout rétive, s'il elle l'avait été un jour réellement et dès que les doigts de l'animateur se posaient sur elle, Jiji en avait des frissons et frémissait dans l'attente de la jouissance à venir.
Il lui apprit même à le sucer et surtout faire attention à ses dents car la première fois il en eu des frissons. Voir entrer sa queue entre les lèvres de cette ado en chaleur l'avait tellement excité qu'il avait failli tout lui lâcher au fond du gosier. Mais après plusieurs minutes de pratiques et d'écoutes de conseils, elle devint une bonne élève et s'appliqua à lui offrir ce qu'elle recevait tout aussi bien de sa bouche.
Au bout de 8 jours, les craintes et la culpabilité de faire cela dans le dos de ses parents firent place à une envie de retrouver le plus possible cet homme qui la faisait trembler de plaisir. Elle le cherchait même entre deux, quitte à avoir des ennuis.
Une fois même, il vint la retrouver à son mobil-home. Ils se glissèrent discrètement derrière, entre la paroi et la haie et à genoux, Jiji fit glisser le short et le caleçon de l'animateur pour choper son sexe tendu et lui faire une fellation rapide. Heureusement pour eux, le mobil-home était en zone de luxe avec de la haute végétation entre chaque parcelle. Personne n'en sut rien et pendant que l'ado aux gros seins faisait aller et venir le sexe tendu entre ses lèvres, levant ses yeux vers son amant pour voir s'il aimait, elle pouvait entendre ses parents discuter juste derrière la paroi de la prochaine visite qu'ils feraient en famille le lendemain. L'animateur ne tint pas longtemps mais il bloqua la tête de Jiji au moment où son sperme fusa, de peur se se faire prendre, elle ouvrit de grands yeux et dut avaler pour la première fois la semence d'un homme.
Comme les lieux étaient prévus à l'avance, à plusieurs reprises il y eut des témoins cachés trop heureux de profiter du spectacle, leur queue dans leur main, se branlant en attendant leur tour.
Jiji ne se doutait de rien, elle était sur son petit nuage d'amour et de sexe, prête à tout jeter aux orties pour rester avec son amour de vacances même à braver ses parents.
Sauf que les choses n'en restèrent pas là. Et c'est ce qui changea profondément Jiji.
Lorsqu'une activité nocturne, une sorte de Cluedo géant à travers le camping eut lieu, forcément, Jiji se retrouva avec l'animateur bien ailleurs que sur le terrain de jeu. Il lui avait donné rendez-vous dans la chaufferie de la piscine dans un petit nid douillet qu'il avait préparé à cet effet. jiji était habitué maintenant aux lieux insolites et en prévision de la future soirée d'orgie avec son homme, elle en mouillait d'avance.
Pour parfaire cette soirée, l'animateur avait apporté de la nourriture, de l'alcool et un peu d'herbe aussi. L'adolescente, un peu rétive au début, après une belle séance de caresse et baisers, mangea, but et se mit aussi à tirer un peu sur le joint que lui proposait son amant.
C'était sa première fois et l'effet fut immédiat...
Elle se mit à rire toute seule et déballa le sexe comprimé par le tissu pour l'engloutir puis le pomper tout en le branlant. Elle était trop contente de la réaction de celui-ci et des compliments qui pleuvaient à profusion. Il lui apprit aussi que tous les hommes du camping n'avaient d'yeux que pour elle, s'il y avait eu une élection de miss camping pour sûr qu'elle aurait été élue. Jiji buvait ses paroles des étoiles dans les yeux se voyant déjà la couronne sur la tête tournoyant dans une robe du soir imaginaire. Tout en l'embrassant et la caressant, il lui avoua que plusieurs de ses amis très discrets avaient appris pour leur relation, bien entendu ils ne piperaient mots à personne, mais lorsqu'ils avaient demandé à la voir en personne, il n'avait pas pu refuser.
Lorsque deux hommes vinrent les rejoindre une fois la jeune fille bien échauffée, elle ne réagit pas comme elle aurait dû le faire en situation normale. L'animateur en beau parleur les invita à prendre un verre avec eux, après tout Jiji était habillée et l'animateur avait remballé ses affaires.
Jiji fut flatté d'avoir un fan club, surtout que les deux potes sélectionnés, deux autres beaux gosses, avaient tout pour plaire aussi. Un verre se vida, les ventre se remplirent de nourriture, le joint tourna à nouveau et Jiji ne s'offusqua pas lorsque l'animateur commença à la peloter devant les deux gars qui ne la lâchaient pas des yeux. Après tout, ils étaient là "juste pour voir"...
L'animateur n'avait qu'une envie, la foutre à poil et la prendre en levrette, mais il prit sur lui pour chauffer la belle. Les deux hommes s'approchèrent lorsque l'animateur retira le t-shirt de Jiji. Comme demandé, elle ne portait rien dessous et sa grosse poitrine fut visible sous la lumière des néons blafards de la pièce. L'animateur lui demanda de bomber le torse pour mieux montrer ses seins et Jiji se mit à genoux se redressant, puis se penchant, comprima ses seins et les balança devant les regards brillant des trois hommes. Se prenant à son propre jeu, elle avança toujours à genoux vers l'un d'eux et le provoqua en soupesant ses seins sous son nez.
Lorsque l'homme n'y tenant plus sortit son sexe tendu, Jiji ouvrit des yeux tout ronds le montra à son amant du bout du doigt tout en riant. Puis sans que quiconque n'aurait pu le prévoir, elle se pencha, le prit dans sa main et s'engouffra dans sa bouche. L'animateur sourit et sortit son membre, le dernier en fit autant. Jiji se retrouva au final avec une bite dans chaque main, la dernière dans la bouche, les pompant les unes après les autres. L'animateur la complimentait, lui caressait les cheveux, le visage, les jours, les épaules ou les seins. Elle avait les yeux pétillants, et elle ne savait pourquoi, le corps étrangement chaud, l'esprit en ébullition sans compter son intimité humide comme jamais.
On finit par l'allonger et lui retirer le peu de vêtements qui lui restaient. Les caresses se multiplièrent, chaque centimètre de sa peau fut exploré. Après les mains, les langues s'occupèrent d'elle. On écarta ses jambes et une bouche s'écrasa aussitôt sur son intimité. Une autre dévorait ses seins sans ralentir, le dernier lui préféra se refaire sucer.
Dans l'état où elle se trouvait, à aucun moment l'idée que trois hommes s'occupant d'elle la troubla plus que les gémissements qui commençaient à sortir de sa bouche.
Elle attrapa la tête qui se tenait entre ses cuisses lorsque la langue joua si bien avec son clitoris et deux doigts dans son vagin qu'elle en lâcha la bite dans sa bouche pour crier de plaisir. L'animateur trouva qu'il fallait passer aux choses sérieuses. Il s'installa sur le matelas à côté de Jiji et la fit grimper sur lui. Elle était déjà en sueur, des yeux brillants et avait hâte de sexe. Elle passa une jambe au-dessus de lui et, ignorant superbement les deux autres, attrapa la queue tendue pour s'empaler dessus. Il l'attira à lui et l'embrassa, les premiers coups de queue la firent gémir.
L'un des deux autres empoigna ses seins pour les presser comme des fruits mûrs. Le dernier passa derrière la jeune fille et avisa le cul offert. Si l'animateur n'était pas très chaud pour la sodomie, lui au contraire n'allait pas rater l'occasion. Surtout que d'après son ami, personne n'était passé par là non plus. Sous ses yeux la chatte humide de jiji se faisait défoncer par l'animateur qui poussait son bassin vers le haut dans des mouvements brusques et profonds. L'autre écarta les fesses de la jeune fille et admira l'oeillet serré de celle-ci qui n'attendait que son bon vouloir, alors pourquoi attendre ? Autant l'honorer, non ?
Il se pencha et écartant toujours les fesses de la jeune fille en rut, il se mit à lui lécher le cul et saliver abondamment sur la rosette qui se ramollit sous les attentions buccales.
Pendant ce temps, le dernier releva la tête de Jiji et lui présenta son membre. Il disparut aussitôt entre ses lèvres et elle se mit à le pomper sauvagement.
La suite logique arriva, la langue qui lui fouillait le derrière fut remplacée par un doigt inquisiteur puis un second. Cela ne semblait pas la gêner mais lorsque Jiji sentit une pression plus imposante pointer entre ses fesses, la jeune fille eut un mouvement de recul, mais l'animateur qui comprit aussitôt ce qu'allait faire son complice, l'emprisonna dans ses bras.
.La bouche pleine, incapable de bouger, Jiji sentit son anus s'ouvrir sous la pression de la bite qui voulait se loger en elle. Elle poussa un cri étranglé, les yeux s'affolèrent lorsqu'elle perdit sa dernière virginité anale. Elle sut qu'elle venait de passer un cap. Une peur bleue s'insinua en elle ainsi qu'une angoisse terrible de faire une connerie monstrueuse. Elle sentit son anus se faire remplir progressivement par une présence étrangère.
Jamais Jiji n'aurait pensé passer de telles vacances. Pendant que sa mère regardait sûrement un feuilleton sur Netflix dans le mobil-home et son père faisait ses sacro-saint mots croisés du soir dans son coin, leur jeune fille chérie se faisait prendre par trois mecs en même temps ! Ils ne pensaient pas à mal, ils l'avaient eu sur le tard et n'était pas friand d'activités de ce type; Il l'avait laissé aux bons soins des animateurs auxquels ils avaient toute leur confiance. Mais pour être aux bons soins, elle l'était !
Une partie de son cerveau de l'ado savait qu'elle n'était plus seule avec son bel animateur, une autre mélangeait tout cela dans un affreux maelstrom de sensations, de bruits, de caresses, d'odeurs, d'alcool, de joints et surtout de coups de bites. Heureusement pour elle qu'elle prenait la pilule depuis ses 15 ans...
Celui de derrière la tenait d'une main, la ramonant avec délectation, de l'autre, il tenait son téléphone et filmait en gros plan sa queue aller et venir dans le cul de l'ado, et ce, depuis le début. Il avait toujours rêvé de péter l'anus d'une petite salope comme Jiji. Alors si en plus il pouvait garder cela sous le coude en souvenir, pas question de se priver. De toutes manières, l'animateur ne se privait pas pour en faire autant, il était sûr que son téléphone ou toutes autres caméscopes, devait traîner dans un coin enregistrant chaque seconde de cette orgie.
Les trois hommes avaient adopté un rythme plus lent, leur sexe glissant jusqu'à la garde ou presque, car Jiji n'arrivait à absorber totalement la jolie queue qui cognait contre sa joue. Rétive au début, elle se faisait maintenant sodomiser sans grande réaction. La gêne et la douleur du début n'étant plus que souvenir.
L'animateur termina le premier vidant ses couilles au fond du vagin de l'ado. Il la repoussa contre son gré, il devait tout de même assumer un minimum de présence à son travail. Se rhabillant, la bite molle et luisante encore des fluides de la belle, le bel animateur la laissa aux bons soins de ses complices. Il repasserait plus tard et si elle était encore là...
Même si la jeune fille était plus que désirable et sûrement l'un de ses meilleurs coups, il s'était promis de ne pas s'attacher. Il regretterait néanmoins sa plastique, ses seins, sa peau lisse et les heures de jouissance avec elle. Avant de partir, il reprit son téléphone dont la mémoire était à sa limite.
Jiji ne fit même pas attention au départ de l'animateur, en levrette, elle subissait les assauts des deux autres qui venaient changer de place. Celui qui lui avait défoncé le cul la tenait par la tête et se laissait pomper et branler par la fine main de l'ado. L'autre passa derrière elle, flatta ses courbes, glissa sa queue de son cul à sa chatte à plusieurs reprises, indécis, puis s'enfonça dans son vagin d'un coup puissant qui la fit crier malgré son bâillon de chair.
A peine dehors, l'animateur envoya un SMS à ses amis qui patientaient...
Durant cette soirée d'orgie, Jiji goûta à chaque bite des huit membres de ce clan d'employés peu scrupuleux. De l'animateur à l'homme à tout faire, et du paysagiste au gardien d'entrée, aucun d'eux refusa ce sublime cadeau avec plus ou moins de tendresse. Son corps n'eut plus de secret pour aucun d'eux. A tour de rôle, seul ou jusqu'à plusieurs, chacun prit son plaisir là où il l'entendait.
La fin de la soirée approchant, Jiji épuisée et emballée d'une serviette de piscine XXL, fut emmenée dans les douches de la piscine pour un nettoyage de rigueur de fond en comble. Elle puait le sexe, la sueur, l'alcool et le joint. Le sperme collait et dégoulinait entre ses jambes, son anus qui avait plus à la plupart en dégorgeait d'autant et le fond de sa gorge baignait de la semence de ces pervers. Elle titubait et se laissa faire sous les mains passaient du gel douche ou du shampoing de ses pieds à sa tête. Ils n'étaient plus que deux, nus avec elle, profitant des derniers instants à l'admirer et la caresser tout autant qu'ils la nettoyaient.
Le bel animateur revint sur ces entrefaites, toujours en rut, il se déshabilla et prit le relais, renvoyant ses autres tout bonnement. S'il n'était pas fan de cul, il ne voulait pas la laisser sans avoir y goûter, il la sodomisa donc, l'ado pliée en deux sous le jet de douche, ses seins emprisonnés dans les paluches de son homme, qui ne le serait sûrement plus pour longtemps.
Plus tard, il la ramena à son mobil-home en alertant ses parents que l'adolescence ne c'était pas sentit très bien durant la soirée mais elle avait insisté pour rester. Sûrement un bon coup de soleil en journée, après tout il avait fait plus de 38°C sans nuage.
Vu la tête de Jiji, elle eut droit à un doliprane et fut mise au lit tout de suite. Comment auraient-ils pu imaginer une seconde la vérité ? Elle fut couvée et l'animateur remercié mais tout de même un peu enguirlandé. Il aurait pu les prévenir plus tôt, vu l'état de santé et de fatigue de Jiji.
Il s'excusa, effectivement il aurait dû faire plus attention à leur fille, mais avec son travail et ses obligations pour la soirée, il avait été pris ailleurs. Il se cacha bien de préciser que c'était leur fille qui avait "prise" ailleurs et pas qu'un peu. Il sourit la laissant aux bons soins de ses parents.
Celle-ci dormi aussitôt, gémissant dans son sommeil plus que troublé par les derniers évènements. Il y avait de quoi...
A son réveil, le contre-coup fut terrible pour le jeune fille. Outre une gueule de bois d'enfer, tout lui revint en mémoire.
Honteuse, trompée et humiliée, et malade de surcroît, elle ne pouvait le croire, c'était un cauchemar, pas la réalité ! D'autant plus que le mélange de bouffe, d'alcool et d'herbe n'étant pas très bon pour une néophyte, elle resta au lit toute la journée. Elle avait mal partout. Une migraine lui broyait le cerveau et ses orifices plus que labourés la picotaient horriblement.
Le pire c'est qu'elle avait souvenir d'avoir jouit comme une folle et d'en avoir redemandé, de s'être jeté sur chaque bite, grosse, petite, large ou courbée qui se présentait à ses mains, sa bouche ou son intimité. Elle ne se souvenait même plus des visages, seulement des queues qui s'étaient succédé. Impossible, c'était impossible... Pourtant la vérité était là, elle se voyait encore, lorsque la lucidité était encore présente, narguer les trois hommes avec sa poitrine et sucer l'inconnu comme-ci c'était une habitude de sa part.
Elle cacha sa tête sous son oreiller pour pleurer. C'était ça qui la détruisait le plus. Elle sentait encore les sexes la fouiller, ces mains sur sa peau, ces voix complimentant son corps, les bites et encore les bites. Toutes ces scènes tournaient dans sa tête la rendant encore plus malade.
Sa gorge la tiraillait et elle se demandait comment personne n'avait entendu cette orgie hors norme. Sa poitrine lui faisait mal. Point de mire de la soirée, à force d'être pelotés et caressés, ses seins étaient devenus plus que sensibles. Elle se leva penaude, jamais ses parents ne devaient savoir, elle devait maintenant faire semblant et garder ça pour elle. Elle prit une douche et remarqua dans le miroir de la petite salle de bain des marques sur ses seins, ses hanches, ses fesses et son dos.
Elle était à l'agonie, folle de rage aussi. Comment avait-elle pu croire "aimer" cet animateur ? Ce beau parleur aux pectoraux en forme de tablette de chocolat et qui sentait si bon ?
Il l'avait bien eu avec ses mots enjôleurs, tout ce qu'il voulait c'était la baiser. Comme tous les autres hommes d'ailleurs. Elle avait refusé les avances des garçons de son âge pour se brûler les ailes au premier tombeur venu. Elle avait perdu sa virginité, sa naïveté et tout le reste en quelques jours à peine.
Jiji se promit alors de ne jamais, mais jamais faire confiance aux hommes. Plutôt crever que de se faire encore avoir !
Il restait encore 10 jours de vacances et Jiji se refusait d'accepter une seule fois toutes propositions indécentes de cet animateur ou quiconque autre de son gabarit. C'était fini, il en avait eu ou plusieurs lui et ses potes, pour leur argent, mais la Jiji naïve était morte et enterrée.
Pour ne pas inquiéter ses parents, elle dut sortir "comme avant" et affronter le reste du camping et surtout l'animateur. Contre toute attente, l'autre la laissa tranquille, l'ignorant superbement même. Ayant eu ce qu'il voulait, il prenait une pause avant de s'attaquer à une autre proie.
Pourtant la jeune fille ne voulait pas en rester là, elle le suivit de loin et profita d'un moment où il était seul dans un coin, elle alla le trouver pour "discuter". Elle voulait savoir, avait-il eu des sentiments pour elle ou était-ce seulement pour le sexe ? Et elle, quels étaient ses sentiments pour lui ? Après ce qu'elle avait vécu, elle le haïssait et en même temps son coeur souffrait par son absence. Quelle dualité difficile lorsqu'on était une ado pleine de rancoeur...
La voyant arriver, l'animateur avait une envie folle de se refaire cette petite idiote, mais il devait faire passer outre ses envies.
Comme Jiji l'attaqua tout de suite sur un ton peu commode, il lui répondit qu'elle s'attendait à quoi ? Outre la différence d'âge, pensait-elle qu'il allait tout quitter pour elle ? Jamais il ne lui avait promis quoi que ce soit et encore moins fidélité ou exclusivité. D'ailleurs, vu comment elle s'était comportée la veille, elle n'avait pas de leçons à lui donner. Jamais il n'aurait cru cela d'elle, franchement, à son âge, se laisser ainsi aller comme elle l'avait fait. Il ne l'avait pas forcé, encore moins menacé.
Jiji devint livide, il avait raison, mais sa main partit d'un coup d'un seul pour le gifler. Mais l'autre s'y attendait et la prit au vol.
Jiji le visage rouge, la colère lui broyant le jugement, les larmes aux yeux, le traita de tous les noms.
Non, ce n'était pas de sa faute, non jamais elle ne l'aurait fait si lui ne...
L'animateur lui montra les têtes des passants plus loin dans le camping, voulait-elle que tout le monde soit au courant ? Il lui parla plus doucement, elle devait accepter le fait que c'était une amourette de vacances.
Jiji lâcha la pression d'un coup et elle se mit à pleurer lui demandant pourquoi il avait fait cela, il aurait dû la prévenir tout de suite. L'autre lui répondit juste par un "parce que tu es jolie et que j'ai eu envie de toi et inversement".
Le coeur de l'ado était déchirée, oui elle avait craqué pour lui et s'était offerte la première fois, et depuis aussi, mais la veille... il avait invité ses amis et elle s'était offerte à chacun d'eux ! Non, elle ne pouvait lui pardonner cela mais...
Il l'attira à elle plus tendrement que prévu, elle voulut le repousser puis céda. Contre son torse musclé à l'odeur d'homme, elle pleura avec de nombreux regrets dans la voix. L'autre la berça sa queue grossissant dans son bermuda de travail.
Après tout, pourquoi pas une dernière fois ?
Il était presque sûr d'y arriver. Il releva le menton de Jiji du pouce et lui parla encore, elle était si belle, si désirable, si... Sa bouche se colla à celle de la jeune fille...
Jiji sentit la langue de l'homme entrer dans sa bouche et contre elle son sexe dur contre son ventre. Après tout ce qu'elle avait vécu, pensait-il réellement qu'elle accepterait de se faire baiser sans sentiment ? Elle n'était plus la oie blanche qu'il avait séduite avec de belles paroles. Il lui caressait les cheveux... Non elle ne devait pas. Sa langue répondait pourtant à celle de l'homme, elle sentit sa main descendre dans son dos et palper ses fesses. Son corps même meurtri et fatigué en avait envie mais elle avait encore beaucoup trop de rancune contre lui pour accepter cela. Oui Ok elle s'était laissé aller, mais sans cet homme jamais tout cela ne serait arrivé.
Soudain, elle eu une idée...
L'animateur, sur de lui, l'entraîna entre deux haies vers un emplacement en travaux. Jiji hésita, il était pourtant si beau. Sa peau était si sensible que la première caresse sur ses seins lui remit les pendules à l'heure.
Le coeur brisé, elle se recula et lui décocha un coup de genoux exceptionnel dans l'entre-jambe. L'animateur étouffa un cri et s'écroula au sol en gémissant, se tenant les burnes à deux mains.
Jiji se mit à genoux aussitôt, son "amour" pour lui partagé par sa colère d'avoir été juste un coup de saison et un partage entre potes.
Toujours en pleurs, elle lui lança un "tu as mal ? " puis un "cela te calmera un peu" !
L'animateur la fixait avec étonnement mêlé de douleur, il tendit une main vers elle. Jiji hésita une nouvelle fois puis elle se redressa et d'un bon coup de talon bien senti, frappa à nouveau l'entre-jambe de l'homme qui hurla et agonisa en pleurant comme un bébé. En proie à une frénésie, elle se mit à genoux, lui tira la tête en arrière et lui balança à l'oreille tout ce qu'elle pensait de lui. Elle le planta là, se retourna et hop lui assena un dernier petit coup avant de partir. Quelque chose en elle craqua, elle avait pris du plaisir à le faire souffrir après que lui lui avait brisé le coeur.
On ne reverrait pas l'animateur de si tôt...
Légèrement soulagée, elle le laissa en plan pour s'enfuir dans un coin pour se calmer.
Revenir en pleur chez elle n'était pas la bonne solution. Elle regrettait son geste mais d'un autre côté il méritait cette punition même si ce qu'il lui avait dit était vrai. Aucune promesse, aucun respect, aucun amour et visiblement que du sexe et rien d'autre.
La rancune s'accumula, ses beaux rêves de jeunes filles avaient été réduit en miette. Et ainsi, années après années, Jiji n'eu aucune relation sérieuse avec un homme, juste quelques aventures depuis cet épisode, mais sans grand intérêt à ses yeux.
Elle connut l'amour avec une fille de son page et s'y trouva bien, elle resta avec quelques temps. Cela choqua son père au début puis il l'accepta. Sa mère ne s'en formalisa pas plus que cela.
Puis elle découvrit le cosplay lors d'un salon sur le japon et Jiji craqua tout de suite sur cette forme de déguisement. C'était l'occasion de montrer son corps sans entrer dans l'érotisme ou la pornographie et surtout de faire un pied de nez à tous ses salopards qui ne pensaient qu'à ses seins et son corps !
Comment était-elle devenue une "maîtresse" ? Je vous le raconterai peut-être un jour, mais pour le moment, elle allait s'occuper de cet homme immonde qui n'avait aucun scrupule à trahir sa femme et payer pour ses services... Tous que des salopards. Elle gardait toujours en souvenir ce coup de genoux dans les couilles de l'animateur, sa tête lorsque la douleur se répercuta sur son visage, son étonnement, ses gémissements au sol. Oh, oui, elle l'avait vu, vu et revu ce coup de genoux et de mémoire, comme en réalité, elle n'y avait pas été de main morte.
Et ce petit salopard qui voulait connaître son petit donjon... Carte blanche lui avait-il dit. Lorsqu'il quitterait les lieux, il ne reviendrait pas de sitôt. Elle allait lui faire la totale, tant pis si cela laisserait des marques, qu'il se débrouille avec sa petite femme chérie qui devait sûrement garder les gosses pendant que lui pensait prendre du bon temps.
Le dit bonhomme hésita lorsqu'il arriva au sous-sol et pu admirer à contre coeur poutres, chaînes, chevalets et tables remplis d'ustensiles, allant de la cravache, à la bougie, passant par un fouet, des godes de différentes tailles, etc. La porte claqua dans son dos, Jiji lui ordonna de se déshabiller tout en enlevant sa cape pour montrer ses formes compressées par le cuir.
Ce qui arriva à l'homme est une autre histoire, mais Jiji pu à loisir se défouler, se venger, s'excite et jouer avec son client comme elle l'entendait. Elle testa sur lui beaucoup de choses, trop peut-être pour une première fois. Mais le souvenir de ces vacances en famille juste avant son arrivée l'avait mit dans un état de transe comme il lui en arrivait rarement.
Son client ne pourrait plus s'asseoir sans grimacer avant un moment, il repartait la queue basse, soulagé d'une bonne somme et de ses couilles aussi, car Jiji avait finir par le retourner et le chevaucher jusqu'à éjaculation. Il avait bandé le bougre et plus d'une fois, Jiji se demandait tout de même s'il reviendrait, dans tous les cas, elle était repus.
Il fallait tout nettoyer maintenant et refermer cette porte secrète jusqu'à sa prochaine fringale d'humiliation masculine. Pour le moment, elle avait en tête son prochain salon cosplay, quelle tenue allait-elle mettre ?
Habillée de sa seule armature en cuir, ses gros seins ballottaient pendant qu'elle nettoyait le chevalet.
Quel méchant petit homme, il avait tout sali. Elle réfléchissait à des choses beaucoup plus futiles maintenant comme l'idée de laisser traîner un téton, non juste une bout d'auréole, dans une de ses prochaines photos l'excita tout de même. Il faudrait quelle pense réellement à cela. Reposant le plug anal sur son présentoir, elle prit le god suivant, encore luisant de gel intime et se mit à le nettoyer en chantonnant, balançant son corps sublime sous une musique imaginaire... Oui, elle taquinerait son public avec une photo par "erreur".
Elle sourit en elle même mais rêvait de retrouver cet animateur pour l'inviter dans son petit donjon... Un coup de pied dans les burnes ne lui suffisait pas, mais peut-être qu'avec ce qu'elle tenait dans les mains il comprendrait ?
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