Alors que le célibat bat son plein et que se succèdent les ébats avec Florence, j'avance mes pions avec la jolie Adeline. C'est autour d'un jeu vidéo que les esprits s'échauffent et qu'Adeline révèle ce qu'elle avait derrière la tête.
Proposée le 1/09/2021 par Korn
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
La semaine dans le Verdon dépassa mes attentes : 7 jours de pure débauche sexuelle. On baisa sous la tente, dans les douches du camping, sur les plages du lac d’Esparron ou directement dans son eau, dans les pinèdes ou la rue… Une nuit où nous rentrions tard, Florence traversa le camping avec du sperme plein le visage. Un soir, elle se déhancha sur la piste de danse avec mon jus qui coulait de son petit trou et ruisselait sur sa cuisse.
Le retour chez nous ne changea pas grand-chose à notre luxure et c’est ainsi que je passai l’été, confortablement installé entre les cuisses de Florence. Maintenant que j’étais célibataire, elle me laissait régulièrement finir en elle, ce qui lui provoquait souvent de violents orgasmes. Mais tout aussi constamment elle réclamait son lot d’éjaculations corporelles, le plus fréquemment sur le visage, mais aussi sur les seins, les fesses ou le sexe. Elle adorait toujours autant ces soirées ou après-midi où elle parlait comme si de rien n’était à nos potes tout en sachant qu’une seule épaisseur de tissu cachait la semence qui couvrait sa peau. C’était son plaisir, notre jeu.
En parallèle, je continuais d’avancer mes pions avec plusieurs filles, notamment Ilhem et Adeline dont je vous ai déjà parlé. Une vraie tension avait fini par s’installer avec cette dernière, on parlait régulièrement sur Skype ou par SMS jusqu’au bout de la nuit. Souvent, la conversation prenait une tournure très ambiguë, mais la belle se dérobait chaque fois qu’on se voyait.
Un soir, début octobre, elle m’envoya un message sur Skype :
« Adeline : Salut Ludo, ça va ?
Moi : Bien et toi ?
A : Ça va. Dis donc, tu t’es pris Soul Calibur IV ?
M : Euh oui, comment t’es au courant ?
A : Fred me l’a dit. »
Évidemment. Je n’étais pas le seul dans la course à Adeline, Fred était mon principal concurrent.
« M : Quelle balance… Je me lassais de Tekken et j’ai plus de jeux de baston en attendant le nouveau Mortal Kombat.
A : Y a un nouveau Mortal Kombat ?
M : Ouais, il vient d’être teasé:D
A : Cool… Et du coup, quand est-ce que je te prends à Soul Ca ?
M : Depuis quand tu fais du jeu vidéo toi ?
A : Depuis un moment, je te l’ai jamais dit pour m’entraîner à te défoncer.
M : C’est un défi ?
A : Une réalité, tu vas morfler.
M : Je te défonce quand tu veux !
A : Sur Soul Ca ?:P »
Et voilà, le retour de l’ambiguïté.
« M : Ou sur Tekken ou sur ce que tu veux:P
A : Samedi aprem ?
M : Allez.
A : Prépare-toi à ramasser tes dents.
M : Aucun risque. Toi par contre prépare-toi à une grosse fessée.
A : Seulement dans tes rêves les plus fous:P
M : Fais gaffe, ça va finir avec des gages.
A : Raison de plus, je vais adorer avoir un petit toutou.
M : Tu vas tomber de tellement haut ma belle.
A : On verra mon chou. »
Le samedi, Adeline sonna à ma porte vers 16heures. T-shirt cintré mettant en valeur sa taille fine sous un petit blouson de cuir et jean moulant ses fesses rondes, elle m’avait sortit le grand jeu.
- Tiens, cadeau, fit-elle en me tendant deux packs de bières.
- T’as vu large, rigolai-je.
- Il te faudra bien ça pour me battre.
- Tu vas tellement déchanter.
A 18 heures, il me fallut me rendre à l’évidence : si je n’étais pas mauvais, elle était carrément forte. Mais elle avait aussi un gros défaut : elle ne jouait que deux personnages et répétait le même schéma et les mêmes coups. Petit à petit, je comprenais sa façon de jouer et réduisais l’écart.
Je profitai d’une pause pour nous décapsuler deux bières. On trinqua et les descendit rapidement. Deux nouvelles bouteilles prirent rapidement place sur la table basse devant le canapé.
- Bon, on lance les gages ? proposai-je après une victoire éclatante.
- Ok. Si tu me mets un perfect, je vire le haut.
- T’es sérieuse ?
- Ouais. Mais comme tu y arriveras pas j’suis tranquille.
- Tu vas voir ce que tu vas voir, répliquai-je en sélectionnant mon personnage fétiche.
Quelques instants plus tard, les lettres s’affichèrent sur l’écran de télé et la voix off l’annonçait fièrement : « PERFECT »
Je restai sidéré, la manette en main. Adeline m’adressa un sourire goguenard.
- Du coup, dit-elle, tu vires le haut ?
- Mais d’où t’es aussi forte ?
Elle rit.
- Je me mettais juste à ton niveau, t’es à des lieues de pouvoir me battre.
Elle se renversa dans le canapé, me désigna du menton.
- J’attends.
De mauvaise grâce, je m’exécutai et retirai mon t-shirt. Un lueur mêlant admiration et gourmandise passa dans son regard.
- Dis donc, t’as pris du muscle depuis la dernière fois que je t’ai vu torse nu.
- Faut bien que je me taille une silhouette si je veux pas rester célibataire toute ma vie.
Elle rit.
- T’en fais pas va, tu trouveras vite. Du coup pour le prochain perfect tu vires le pantalon ?
- C’est pas loyal…
- Couille molle.
- Ouais enfin pour que ça ait un intérêt, faut que ça soit un minimum équilibré. Là je vais juste me prendre branlée sur branlée.
- Alors tu proposes quoi ?
- On passe sur Tekken ?
- Non, ça sera l’inverse, j’y ai joué deux fois dans ma vie.
Elle posa un doigt sur ses lèvres, prit un air faussement pensif.
- Je sais ! Si je te colle un perfect, t’as le gage. Sinon, c’est moi. Deal ?
- Hum… Deal.
Galvanisé, je saisis ma manette et lançai un nouveau match.
- Mais putain ! criai-je au bout d’une minute.
- Allez, en calbute, pouffa Adeline.
Je m’exécutai et en profitai pour servir une nouvelle tournée. L’alcool commençait à me monter à la tête, mais avec un peu de chance ça me permettrait de placer un coup à une Adeline un peu moins maîtresse de ses doigts.
- Eh bim, dans ta face ! exultai-je.
- T’emballes pas, j’ai quand même gagné.
- Ouais, mais c’est pas un perfect.
- Tsss…
Adeline retira son t-shirt. Elle portait en dessous un joli soutien-gorge turquoise, orné de dentelles, qui pigeonnait ses petits seins déjà très ronds.
- Quoi ? fit-elle sous mon regard insistant.
- Bah c’est pas juste si tu gardes le soutif alors que je suis torse nu.
- Un vêtement à chaque fois, non ?
- C’est pas juste, t’en as plus que moi.
- Pfff… T’es vraiment mauvais gagnant.
- C’est toi qui parle alors que tu veux jouer qu’à un jeu où tu me défonces ?
- Gnagnagna.
Mais quelques secondes plus tard, elle avait retiré son dessous. Sa poitrine était aussi belle que dans mes souvenirs et je sentis un début d’érection monter.
- Allez, on enchaîne avant que tu puisses plus te concentrer, rigola-t-elle.
Mais finalement ce devait être elle qui manquait de concentration, car elle retira son jean. Elle était à présent nue, à l’exception d’un shorty assorti à son soutien-gorge et assez transparent sur le devant pour que je puisse voir son petit ticket de métro à travers la fine étoffe.
Adeline s’installa en tailleur sur le canapé, son sous-vêtement à moitié coincé dans ses parties intimes. Je déglutis face à cette vision, et elle eut un petit sourire mi-coquin, mi-triomphant en constatant que je bandais tout à fait.
Évidemment, je me pris un perfect juste après et dû retirer mon boxer.
- Eh ben, c’est pour moi cette standing ovation ?
- Quand t’as une bonnasse à moitié à poil à 20 centimètres de toi, c’est dur de pas réagir…
- Oh pauvre bichon. Je me rhabille si tu préfères ?
- Non, ça va…
- Je m’en doutais. Allez, lance le prochain.
Elle n’avait pas précisé ce qui m’attendait si je me prenais un dernier perfect, mais je m’abstins de lui demander. Par chance, je réussis à lui placer quelques coups avant d’être éjecté du terrain.
- Booooon, fit-elle en se levant, j’imagine qu’on est à égalité pour les fringues…
Elle passa les pouces sous l’élastique de son shorty, cambra exagérément le dos pour m’offrir une vue d’enfer et descendit lentement son dessous. Une fois en tenue d’Eve, elle se tourna vers moi qui bandait toujours plus.
- Du coup, on fait quoi maintenant ? demanda-t-elle.
« On baise comme des malades ! » pensai-je. Mais je m’entendis répondre :
- Ben je sais pas.
- Pfff… Ben on se rhabille alors.
- Pourquoi, tu avais autre chose en tête ?
- J’sais pas… Tu bandes bien et je suis toute mouillée, j’imagine qu’on pourrait en faire quelque chose… Oh ! Je sais.
- Oui ?
- On fait un dernier match. Si je te mets un perfect, tu me fais jouir avec ta bouche. Sinon, c’est moi qui te fait jouir avec la mienne.
- Vendu.
Je donnai tout ce que j’avais pour porter un coup à Adeline, qui déploya tout son talent pour m’en empêcher. En mauvaise posture, je tentai une dernière manœuvre.
« Perfect ! » cria la voix off.
Adeline éclata de rire, je manquai de jeter ma manette par terre.
- Allez Ludo, lèche-moi la chatte. Allez Ludo, lèche-moi la chaaatteuh, chantonna-t-elle sur l’air de « Allez montre-nous tes fesses. »
- T’es bourrée en fait.
Elle partit d’un grand rire.
- J’suis complètement torchée. J’pourrais pas faire ça sinon.
- Ça quoi ?
- Ben ça.
Elle s’avachit sur le canapé, écarta généreusement les jambes. Du majeur et de l’index, elle joua avec sa vulve, écarta les grandes lèvres, ramena un peu de cyprine sur son clitoris déjà bien gonflé. Je sentis mon sexe tressaillir plusieurs fois à cette vue.
- Ça te donne pas envie d’accomplir ton gage ? minauda-t-elle.
- Évidemment que si ! Mais j’aurais trop l’impression de profiter d’une meuf bourrée.
- Oh arrête, l’alcool ça me désinhibe juste un peu. Putain, ça fait trois mois que je me branle sur toi presque tous les soirs, viens pas me dire que c’est parce que je suis bourrée...
- Vu comme ça… J’aurais juste une question avant.
- Ouiiii ?
- Les cunnis, tu les préfères avec ou sans les doigts ?
- Sans.
- Fort bien. Si tu permets…
Joignant le geste à la parole, je m’agenouillai devant elle, passai une main autour de chacune de ses cuisses que j’embrassai à tour de rôle, me rapprochant un peu plus de son intimité, lentement, un baiser après l’autre. Adeline frissonna des pieds à la tête quand, après cette brève torture, ma lippe se posa enfin sur son sexe, ma langue chatouilla sa vulve.
Des doigts vinrent caresser mes cheveux avec une surprenante douceur. Après m’être enivré de la cyprine épaisse et acidulée de ma partenaire, je remontais à son clitoris. Je m’appliquais à le lécher, sucer, le faire rouler sous ma langue et le pincer de mes lèvres.
Je me sentais bien, presque euphorique. Dévorer Adeline, sentir son plaisir monter, me comblait de joie. Entre mes jambes, mon propre sexe, dur comme du bois, pulsait, cherchait à déverser sa sève.
Sachant les seins de ma belle si sensibles, je laissais mes mains remonter, caresser son ventre, poursuivre leur course et se poser sur les deux petites collines. Mes doigts les pressèrent, caressèrent, cajolèrent ; ils tillèrent et flattèrent les tétons déjà fort dressés. La respiration de la jeune femme devint de plus en plus lourde et irrégulière, des gémissements montèrent bientôt de sa gorge… Jusqu’à l’orgasme, rapide, brutal.
Je me redressai, Adeline m’imita, m’attira contre elle et m’embrassa avec une passion débordante. Nos langues s’enroulèrent l’une autour de l’autre. Elle saisit mon sexe, l’astiqua frénétiquement. Moins de quinze secondes plus tard, je sentis le plaisir exploser en moi, me paralyser le cerveau et le corps en même temps que j’expédiais de longs jets de foutre chaud sur son ventre.
Adeline me relâcha, me regarda avec étonnement.
- Désolé… me confondis-je.
- T’excuses pas, ça arrive. J’suis juste partagée entre déception parce que je voulais faire l’amour et admiration devant autant de sperme.
Elle baissa la tête, scruta ses abdominaux.
- Mais putain regarde ça, j’en ai même sous les seins.
- Désolé… répétai-je.
- Mais arrête de t’excuser et amène-moi plutôt des mouchoirs.
- Oui, pardon.
Elle poussa un soupir exagéré, je filai piteusement chercher de quoi l’essuyer. Une dizaine de bouts de papier plus tard, Adeline renfila ses sous-vêtements et je l’imitai. Puis elle se blottit contre moi pour m’embrasser avec plus de tendresse que je n’en avais connu depuis des années. Elle avait une façon bien à elle de faire : un smack, trois tours de langue, un baiser appuyé et enfin un bisou léger.
On finit par se lever après un long moment. J’enfilai un short, Adeline son jean et son t-shirt. Deux nouvelles bières firent leur apparition sur la table de la cuisine, tandis que je m’affairai aux fourneaux. Durant tout le temps que dura l’opération, Adeline ne cessa de se coller à mon dos, d’embrasser mes joues et ma bouche lorsqu’elles étaient disponibles, mes épaules et mon cou le reste du temps. Et moi, je me sentais bien, euphorique.
Sans trop savoir pourquoi, je décidai de mettre les petits plats dans les grands, de lui préparer un repas digne d’une reine. Une reine de cœur. Adeline dressa la table et nous nous installâmes face à face.
- Il fait chaud chez toi, rigola-t-elle en reposant sa bouteille de bière.
- C’est la cuisine, répondis-je en l’imitant.
- Ou la bière.
Adeline s’éventa avec sa main.
- Ça te dérange si j’enlève mon t-shirt ?
Je désignai mon torse nu tout en haussant les épaules.
- Avoue que c’était un prétexte pour te foutre à poil, la taquinai-je aussitôt qu’elle fut en soutien-gorge.
Elle vira à l’écarlate.
- Un peu ? concéda-t-elle.
Je lui fis signe de continuer.
- T’as pas besoin de prétexte, ajoutai-je. Si t’as envie de te déshabiller, fais-le.
- Je voudrais pas te mettre mal à l’aise, contra-t-elle.
- Vu notre passif et ce qu’on a fait tout à l’heure, je vois pas pourquoi ça me gênerait. Par contre je promets pas de pas te reluquer.
- Si c’est toi, ça me dérange pas de me faire mater, souffla-t-elle dans un sourire.
Le coup frappa fort, me laissa avec un trou chaud dans la poitrine, une douce nostalgie. J’étais flatté, touché, comme rarement. Était-ce parce que ça venait d’Adeline et qu’elle semblait vraiment sincère, dénuée d’arrières-pensées ?
- C’est juste que j’ai l’habitude de me balader en culotte chez moi. J’suis plus à l’aise comme ça.
- Tu es ici chez toi, répondis-je en toute honnêteté.
Adeline décrocha son soutien-gorge d’une main, puis elle se leva et le laissa tomber au sol dans le même mouvement qui lui permit de retirer son jean. Je restai admiratif face à une chorégraphie aussi maîtrisée, tandis que la jeune femme déposait ses vêtements sur une chaise et se rasseyait pour terminer son repas.
Durant tout le dîner, j’eus un mal fou à ne pas la regarder dans les seins. Pour être honnête, je n’y parvins pas. Adeline ne s’y trompa pas et me taquina plusieurs fois à ce sujet. Mais que voulez-vous ? Quand on a un aussi joli petit lot qui se dandine sous nos yeux, il est fort compliqué de ne pas lui accorder d’attention.
On parla de tout et de rien tout en mangeant. Adeline ne tarissait pas d’anecdotes sur tout ce qui pouvait se passer dans son job étudiant ou au labo où elle passait son doctorat. Je renchérissais sur tout ce qu’on peut voir ou entendre d’étrange et drôle à la fois lorsqu’on est paramédical. On parla encore jeu de rôle et vidéo, film, séries, livres… Je finis par oublier qu’elle était seins nus, me laissai absorber par sa conversation.
Je ne repris conscience de sa quasi-nudité que lorsque nous nous levâmes pour aller regarder Ghost in the Shell, qu’elle n’avait encore jamais vu. Je la laissai me précéder jusqu’au canapé, uniquement pour admirer ces superbes fesses dans lesquelles l’étoffe turquoise du shorty se perdait.
On s’installa sur le canapé, je posai la main sur sa hanche et elle, la tête au creux de mon épaule. A chaque temps mort du film, nous en profitions pour nous embrasser. A chaque fois, je sentais la peau soyeuse de ses seins effleurer mon torse, à chaque fois ce simple contact, doux et intime, suffisait à me déclencher une érection qui retombait dès que je me concentrais à nouveau sur l’écran.
Une fois le film terminé, nous nous lançâmes dans une longue discussion entrecoupée de baisers. Par respect pour celles et ceux qui n’auraient pas vu Ghost in the Shell, je tairais nos propos et me contenterai de dire qu’Adeline l’a adoré.
Mais très vite, les paroles cédèrent la place au langage du corps, aux embrassades de plus en plus passionnées, aux langues qui se cherchent, se cajolent. Adeline me grimpa à moitié dessus, je lui pris les fesses à pleines mains. Son pubis effleura mon sexe dur comme du bois, elle se mit à onduler des hanches pour frotter son abricot contre ma branche, accompagnant le tout de gémissements.
- Je crois que tu bandes, dit-elle lorsque nos bouches se séparèrent une seconde.
- Un peu, avouai-je.
- Petit cochon, me rabroua-t-elle en retournant m’embrasser.
Je fis glisser une main entre nous pour lui caresser les seins, elle n’en feula que de plus belle.
- Mon dieu, souffla-t-elle, j’ai tellement envie de toi.
- Moi aussi, répondis-je sur le même ton.
Il ne lui en fallait pas plus. Adeline quitta mon étreinte, s’agenouilla devant moi. Elle me baissa short et boxer sur les chevilles, saisit ma turgescence, donna un peu du poignet pour la décalotter.
- Tu veux qu’on aille sur le lit ? proposai-je.
- Après, pour faire l’amour.
Son souffle était court, sa voix rauque, son ton saccadé. D’un geste élégant, elle replaça une mèche de cheveux derrière son oreille.
- Là je veux te sucer un peu.
Et elle me suça, d’une façon bien à elle. En serrant les lèvres fort, en les laissant courir le long de ma verge, aussi loin qu’elle le pouvait, puis en les faisant remonter. Une fois au sommet, elle émettait un fort bruit de succion, donnait plusieurs coups de poignet à ma bite trempée de salive, recommençait son manège. C’était si bon !
Ce délicieux supplice dura peu, j’étais trop impatient, je la relevai, l’embrassai à nouveau à pleine bouche. Elle avait le goût de ma queue, cela m’excita encore plus. Adeline, qui tenait toujours mon sexe en main, le sentit, voulut reprendre sa fellation, je ne l’embrassai que de plus belle, basculai sur elle, entre ses jambes.
Elle écarta son shorty, frotta ma bite contre sa vulve ; une fois, deux fois, dix fois. Elle m’imprégnait de sa cyprine épaisse et abondante. Puis elle me guida en elle, je poussai un râle de plaisir en sentant enfin la chaude étreinte de sa grotte, lui fit l’amour à même le carrelage.
C’était une étreinte à la fois douce et sauvage. Nous nous embrassions passionnément, nous caressions tendrement, mais nos corps se heurtaient violemment, nos sexes s’emboîtaient avec fureur.
Finalement on se leva, gagna le lit précipitamment, presque en courant. Là, ce fut Adeline qui me chevaucha avec le même mélange d’onctuosité et de passion. J’en profitai pour dévorer ses jolis petits seins et lui arracher très vite un premier et puissant orgasme.
- Prends-moi à quatre pattes, me supplia-t-elle.
- Volontiers.
On s’installa, je pénétrai de nouveau Adeline, mais cette fois je donnais le rythme et il était soutenu. J’avais une vue parfaite sur le derrière non-moins splendide de la jeune femme, ces fesses généreusement écartées qui me dévoilaient le chemin défendu. Dieu ! Que j’avais envie d’emprunter ce sentier, mais ce n’aurait pas été raisonnable si tôt, alors je me retins et, à la place, posai mes mains sur sa taille.
- Han oui, souffla Adeline entre deux gémissements, j’adore quand tu me prends par la taille comme ça.
Je me penchai sur elle pour couvrir son dos et sa nuque de baisers avant de reprendre mon matraquage. On continua un moment, dans de nombreuses positions, alternant entre tendresse et sauvagerie. Adeline était la fille la plus facile à faire jouir que j’ai connu : il me suffisait de moins d’une minute à lécher ses petits seins ronds ou à titiller ses tétons durs pour la faire venir. Dans le temps de nos ébats de ce soir-là, je lui donnai pas moins de six orgasmes.
- Je vais jouir, la prévins-je finalement campé entre ses cuisses.
- Vas-y, je prends la pilule, articula-t-elle entre deux gémissements.
Je me cramponnai à sa taille d’une main, à sa poitrine de l’autre, me lançai dans un sprint final qui se conclut par une explosion de plaisir. Je me déversai dans le vagin chaud d’Adeline, lui provoquant une ultime jouissance.
Je m’effondrai sur elle, mais nos corps continuaient de parler, de s’embrasser, se caresser, se baiser. Nous n’arrêtâmes de faire l’amour que lorsque mon pénis ramolli ne parvint pas à rester fiché en elle. Nous n’avions pas fini de nous cajoler lorsque je m’endormis dans les bras de ma belle.
Nous refîmes l’amour dès le réveil, avec beaucoup de douceur et de tendresse. Il y avait entre nous une espèce d’alchimie sexuelle, quelque chose qui nous rendait capables de donner énormément de plaisir à l’autre tout en faisant durer aussi longtemps que nécessaire. Comme de vieux amants, alors que ce n’était que notre quatrième rapport, partouze et cunnilingus compris.
On passa la matinée sur Soul Calibur, cette fois Adeline fut beaucoup plus gentille et m’entraîna plus qu’elle ne me massacra. Finalement vers 11 heures du matin, elle se rhabilla pour rentrer chez elle ; car oui, elle avait passé la matinée en shorty.
Sur le pas de la porte, elle me prit les mains, m’embrassa doucement.
- On se revoit vite ?
- Bien sûr, répondis-je en lui rendant un autre baiser.
En refermant la porte sur elle, je dus me rendre à l’évidence : j’étais heureux. En moins de vingt-quatre heures, Adeline m’avait donné plus de douceur et de tendresse que Cécile en trois ans. Ça me faisait un bien fou et j’envisageais soudain mon avenir sentimental de manière beaucoup plus sereine.
Jusqu’au soir où je vis qu’Adeline avait changé son statut Facebook sur « En couple. »
« Quelle connasse » pensai-je « elle voulait juste niquer avant de se mettre en couple. »
Le petit nuage sur lequel j’avais passé la journée vira soudain au noir. Les mots de mon ex me revinrent en mémoire avec le tranchant d’une lame chauffée à blanc.
« Personne d’autre voudra de toi. »
Et si elle avait raison ? Tristesse et colère éclatèrent brusquement, j’attrapai mon portable pour envoyer un message sanglant à Adeline, mais elle m’avait devancé.
« Coucou mon cœur, ça te dit un resto demain soir ? Tu me manques déjà <3 »
Je réalisai soudain. Celui qui était en couple avec Adeline… C’était moi. J’étais le dernier des imbéciles de ne pas l’avoir compris, le pire des abrutis de m’être emporté comme ça. L’orage se dissipa aussi vite qu’il avait éclaté, le soleil brillait à présent sur ma vie et sur mon cœur.
-------------------------------------------------
L’histoire de mes aventures de jeunesse approche de sa conclusion, il ne me reste que l’épilogue à vous livrer. Quelques frasques nous en séparent, aussi je vous pose, vous qui me lisez depuis le début ou depuis ce chapitre, une question : souhaitez-vous connaître dès à présent la fin ou préférez-vous quelques croustillantes anecdotes de plus ?
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Je veux tout savoir
Posté le 8/11/2021
Kalliste
J’aime beaucoup vos histoires et je veux bien encore des anecdotes avant le fin. J’ai hâte de les lire
Posté le 4/09/2021
Korn
Du coup je vais m'atteler à vous narrer les quelques petits amusements qui nous séparent de la fin :) @Okmar : je n'ai malheureusement jamais revu Sabrina. Virginie par contre... c'est une autre histoire que je m'en vais coucher sur papier ;)
Posté le 3/09/2021
Anonyme
Des anecdotes avant la fin c'est si bien raconter que l'on veut savourer encore avant la fin
Posté le 3/09/2021
Anonyme
Les deux! Cette longue mise en haleine qui dure depuis un moment et qui nous donne toujours autant envie de revenir... Les rencontres avec Sabrina et les vacances avec Florence seraient appréciables ^^ et la chute également ^^
Posté le 2/09/2021
Okmar
Alors volontiers d'autres anecdotes croustillantes et plus particulièrement ta semaine de débauche avec Florence :) P. S. : est ce que tu as revu Virginie ou Sabrina avant ça ?
Posté le 2/09/2021
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email