Comment je suis devenu le sex toy de ma chef (2ème partie)

C’était le moment de passer aux choses sérieuses. Je proposai alors aux autres de prendre en main la musique. Je mis alors ma meilleure playlist Zook en espérant pouvoir faire monter la température avec Cécile.

Proposée le 15/02/2021 par BehindTheDoor

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Tout en la regardant, je m’imaginais chaque position dans lesquels j’allais la prendre à la fin de la soirée. Je suis assez imaginatif quand il s’agit de sexe et ce soir je comptais être un véritable artiste du plaisir. Bien entendu je recommençais à bander. Une grosse bosse s’était formée au niveau de mon sexe, heureusement que la pièce n’était pas trop éclairée car difficile de cacher cela. Je tirai d’un coup Cécile contre moi comme une invitation à danser mais c’était surtout pour lui faire sentir l’effet qu’elle me faisait. C’était le moment de passer aux choses sérieuses. Je proposai alors aux autres de prendre en main la musique. Je mis alors ma meilleure playlist Zook en espérant pouvoir faire monter la température avec Cécile. Vous savez le Zook, cette fameuse danse dans le même style que la Kizomba qui se danse en duo où les corps se frottent de façon parfois très sensuelle.

Malcolm entraina directement Floriane sur la piste. J’attendis alors qu’Alice s’affale dans le fauteuil, morte de fatigue et me dirigea vers Cécile qui semblait déjà m’attendre. Je ne sais pas si elle l’avait fait exprès, mais bizarrement elle m’attendait dans le coin le plus sombre de la pièce, assez loin pour que les autres ne remarquent pas ce qu’il pouvait s’y passer, même si l’une était trop occupé à somnoler sur le canapé et les deux autres à danser, mais tout de même assez prêt pour ne pas faire ressentir un besoin d’intimité trop flagrant.

J’empoignai Cécile virilement et nous commençons à danser. La tension sexuelle est palpable, nos échanges de regards respirent le sexe…Je la veux et elle me veut. Elle se sert de plus en plus contre moi pour bien sentir l’épaisseur de ma verge contre son ventre. Ma main quant à elle est au niveau de ses fesses. J’adore les belles paires de fesses et Cécile en a une belle paire.

Je commence à jouer avec la ficelle de son string jusqu’à arriver à ses grandes lèvres. Je sens Cécile en feu, elle est trempée. Je balade mes mains sur ses globes charnus tout en laissant mes doigts s’aventurer au creux de son sillon. Des gémissements presque imperceptibles me parvenaient aux oreilles à chaque fois que j’effleurais sa chatte trempée. Délicatement, j’humectais mes doigts d’un peu de salive, avant de pénétrer son antre avec mon majeur et mon annulaire pendant que mon auriculaire titillait son petit trou.

- « J’ai envie de toi Ronald ! »
- « Moi aussi j’ai envie de toi, ce soir tu es à moi. Mais avant, il faut qu’on soit seul j’ai envie de prendre mon temps pour te baiser, cela fait trop longtemps que j’attends ça ». Chuchotai-je à l’oreille de Cécille. Il était hors de question que je la baise en présence de nos collègues. Cela pouvait être très excitant je l’avoue, mais ce soir, je voulais avoir un champ d’action quasi illimité. On s’était bridé toute la soirée pour ne pas attirer l’attention des autres invités et je comptais bien la prendre dans toutes les pièces de la maison et la faire crier.

Ni une ni deux, Cécille et moi imaginons un stratagème selon lequel j’allais faire mine d’appeler quelqu’un pour venir me récupérer afin d’inciter les autres à partir et pouvoir continuer notre soirée en tête à tête.

Notre plan fonctionna assez bien car moins de 30 minutes après, nous étions tous au niveau de la barrière d’entrée se faisant la bise et se souhaitant bonne soirée. Malcolm, Alice et Floriane étaient venu ensemble et répartirent de la même façon. Ils avaient insisté pour attendre avec Cécille et moi le temps que mon ami imaginaire me récupère mais je leur ai vite répondu que celui-ci n’allait pas tarder à arriver donc qu’ils pouvaient déjà y aller. C’était bien sur totalement faux, personne n’était censé venir me récupérer et je comptais bien passer le reste de la soirée avec ma supérieure hiérarchique.

À peine la voiture de mes collègues engagé dans l’allée de la propriété, Cécille referma aussitôt la barrière et se jeta sur moi pour m’embrasser langoureusement. Nous étions enfin que tous les deux et nous pouvions enfin nous laisser aller à nos pulsions.

Je soulevai Cécille et plaçai ses jambes autour de ma taille ce qui eut effet de faire remonter sa robe laissant ses belles pêches à l’air. Je la serrais fort contre moi tout en continuant nos échanges de salives. Je ne tenais plus, ma queue allait exploser.

Tout en portant Cécile, j’effectuais les quelques mètres qui nous séparaient de l’entrée de la maison. J’ouvris la porte, traversât le couloir et déposa Cécille sur le canapé.

Je me mis à genoux face à elle de telle sorte que nos visages soient à la même hauteur pour reprendre notre échange de salive. Je délaissai de temps en temps sa bouche pour lui déposer de délicats baisers dans le coup alors que je faisais méticuleusement glisser les bretelles de sa robe le long de son épaule pour découvrir ses seins.

Dans un geste de grande souplesse Cécille finit de faire glisser le haut de sa robe jusqu’à sa taille laissant apparaître ses magnifiques seins en forme de poire. Elle devait faire un bon 90D avec un piercing à chaque téton. Cécille ne disait pas un mot, seuls ses gémissements étaient perceptibles et s’intensifiaient au fur et à mesure que je m’approchais de sa poitrine.

J’empoignai chaque sein avec mes mains et me mis à les lécher. Ils étaient ferme set encore bien debout. Un vrai délice. Je suçais, aspirais et mordillais ses bouts à tour de rôle pour ne pas faire jaloux. Je me délectais de ses mamelles quand Cécille lâcha dans un ultime gémissement :

- « Occupe-toi de ma chatte maintenant »

Vous vous en doutez, elle n’a pas eu à le dire deux fois, en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire je délaissais ses seins pour parsemer son ventre de doux baisers avant d’atteindre sa source brûlante.

Je lui enlevai sa robe qui ne faisait plus que fonction ceinture, et lui écarta délicatement les jambes. J’aimais voir sa fente ainsi offerte à mon regard et à mes baisers enflammés.

Sa chatte est fendue en deux par le tissu du string qui s’est replié. Je tire alors de chaque côté et passe un doigt pour le retirer de sa fente. Cécille lâche un léger gémissant en s’enfonçant un peu plus dans le canapé. Cela devait faire longtemps qu’elle attendait que quelqu’un s’occupe d’elle et je me devais de la faire jouir. Je sentais son clitoris palpiter, réclamant son dû. Entre dextérité linguale et doigté, je voulais amener ma partenaire aux portes du plaisir.

Cécille serrait de plus en plus les cuisses autour de ma tête et son corps commençait à trembler. Avec ses mains placées au niveau de ma nuque, elle m’indiquait la cadence et ondulait son bassin au rythme de mes coups de langue.

Le Cuni est une pratique que j’affectionne particulièrement. Doux plaisir partagé. J’aime la sensation d’une chatte contre ma langue et sentir la mouille envahir mon palet…et celle de Cécille est particulièrement appétissante.

Je prends plaisir à la lécher, alternant entre son clito et ses orifices qui ne demandent que ça. Cécille ondulait son bassin de plus en plus. Je sentais son souffle s’accélérer et ses gémissements semblaient plus intenses. Elle attrapa ma tête pour m’empêcher de bouger et commença de rapide mouvement de hauts en bas contre ma langue. Elle stoppa subitement ses vas et vient et son corps se mit à trembler comme si elle avait une attaque et d’un coup elle a joui. Oh oui elle a joui…intensément et violemment. Elle lâcha de longs jets de mouille pendant plusieurs secondes.

Voir son fluide couler le long de ma bouche et de mon torse m’excitait comme un fou.

- « Oh mon Dieu ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas joui comme ça ». Me disait-elle droit dans les yeux tout en essayant de reprendre son souffle
- « Tu en veux encore » ?

Cécille me fixa, s’approcha de moi et avec un regard des plus pervers sortis sa langue et se mis à lécher la mouille qui dégoulinait sur ma barbe tout en me fixant…On se croirait presque dans un film X.

Je me relève alors ni une ni deux et dans une poussée d’adrénaline, lui ordonne :

- « À toi de me sucer maintenant ! »

Tout comme Cécille, je n’ai pas besoin de le répéter deux fois.

Elle se redressa, se rapprocha du bout du canapé et commença à déboutonner mon pantalon. Je n’y croyais pas, étais-je dans un monde parallèle ? C’était maintenant moi qui donnais les ordres à ma chef qui obéissait sans sourciller. Elle était sous mon emprise.

Elle fit descendre mon pantalon et mon boxer jusqu’à mes chevilles pendant que j’enlevais ma chemise. Ma queue était bien raide et se dressa face au visage de Cécille qui la prit d’une main et se caressa le visage avec pendant qu’elle pétrissait mes testicules avec son autre main.

Puis, d’un coup sec, elle engloutit mon membre bien profondément. J’étais surpris ! Elle me suce comme une reine.

J’en profitai pour la caresser et je compris que sa fente réclamait son dû. Mes doigts s’activaient alors à titiller son clitoris et son petit trou pour la faire mouiller encore plus.

Elle accéléra les mouvements de ses lèvres sur mon manche y déposant de plus en plus de salives chaudes, tétant le gland puis relâchant mon emprise pour mieux gober mes deux fruits jaloux de plaisir.

Je sentais l’excitation monter mais je ne voulais pas jouir, pas maintenant, pas avant de l’avoir baisé. J’attrapai ses cheveux en queue de cheval d’une poigne ferme et douce à la fois pour guider ses allées et venues afin de ralentir le mouvement. J’avais eu ma dose de fellation et Cécille s’en rendait vite compte :

- « Tu veux me baiser maintenant ? » me lança-t-elle tout en essuyant les filets de bave dégoulinant le long de mon engin avec sa langue.

J’acquiesçais de la tête sans dire un mot et Cécille se leva, saisit mon membre et m’entraina en me guidant par le bout de la queue. Je bandais comme un âne.

Sa chambre a accueilli la seconde manche. Cécille s’est avancée sur le lit à quatre pattes m’offrant une vue plongeante sur sa vulve qui demandait à s’empaler avec force sur mon membre. J’enfilai une capote et me place derrière Cécille.

- « Baise-moi ! Défonce-moi » me cria-t-elle.

Je pris ma queue en main, me plaça face à l’entrée de sa chatte et la pénétra d’un coup sec et précis. Je ne rencontrai aucune difficulté bien aidée par son antre bavant de plaisir.

- « Putain t’es bien au fond là »

Oui j’étais bien au fond et je comptais y rester. Je saisis Cécille par les hanches laissant libre cours à ma puissance. Son vagin s’adaptait parfaitement à mon membre, l’effet « était incroyable.

J’en profitai pour l’enculer doucement avec mon pouce. Son petit trou commence à se dilater et Cécile ne dit rien, elle semble aimer ça. Est-ce qu’elle va m’offrir cette partie de son intimité ce soir ? À peine le temps de m’imaginer une sodomie que Cécille se releva pour me jeter sur le lit.

- « À moi de te baiser maintenant »

Cécille se plaça à califourchon sur moi en me faisant face et s’empala d’un coup sec sur ma bite. Elle ondulait son bassin telle une danseuse du ventre pendant que je lui assenais des coups de bite secs par intermittence.

Cécille me demandait de me retenir encore le temps de jouir sur ma « grosse queue ».

Avec des mouvements de plus en plus rapides, frottant de plus en plus intensément son clitoris contre mon pubis, elle se rapprochait de l’orgasme.

- « Je vais jouir, je vais jouir ! »

Cécille s’affala sur moi et serra ma tête fort contre seins. Elle avait expulsé mon manche en même temps que ses puissants jets de cyprine, j’en avais pleins le ventre. Cécille m’embrasse langoureusement et me remercia pour cet orgasme. Elle engloutit mon sexe encore dur et qui ne demandait qu’à cracher sa semence dans sa bouche. On dirait bien qu’elle apprécie le goût de son liquide intime sur mon engin. Elle remonta jusqu’à mon oreille et me chuchota d’une voie sensuelle :

- « Tu veux me prendre par le cul » ?

AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHH (Cris de joie internes)

En moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, j’enfilai une autre capote et invitai Cécille à s’allonger sur le dos. Elle releva les jambes au maximum et j’écartai ses fesses avec mes mains. Elle s’offrait complètement à moi comme une récompense pour l’orgasme que je venais de lui donner.

Je pris place puis me suis immobilisé, attentif à son confort. Je posais mon gland sur sa couronne tendrement, son petit trou s’ouvrait en douceur avalant mon membre viril centimètre par centimètre.

Je pris petit à petit mon rythme de croisière, entre coups profonds et amples et va-et-vient plus courts, rapides et saccadés. J’allais bientôt exploser.

Dans un dernier mouvement j’enlevai ma tige du cul de Cécille et déversai des puissants jets de sperme sur ses seins. Jamais je n’aurais cru vivre une baise aussi intense avec ma chef.

Nous avons remis ça avec Cécille ce soir-là, sur chaque meuble de sa maison, debout ou contre les murs, en soixante-neuf, en missionnaire, en levrette et j’en oublie surement.

Cécille et moi nous sommes revus quelques fois après ça. Peut-être qu’un jour je vous raconterais.

Sinon quant à vous qui me lisez est-ce que mon histoire vous a-t-elle rappelé une expérience vécue ou fantasmé ? Entre nous, qui n’a jamais eu envie de se taper ses collègues ;)

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