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Les douze degrés du nirvâna, saison 3/3

V est présentée aux partouzeurs. Des personnages certes riches et qui se considèrent appartenant à l’élite, mais en réalité détestables. V s’abandonne à son rôle et se livre sans réticence aux fantasmes de ces dégénérés.

Proposée le 13/05/2021 par Chab

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Thème: Femme soumise
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Roman


Le majordome fait deux pas de côté.

Un spot violent t’éblouit, comme si tu étais Madonna entrant en scène à Madison Square Garden. Instinctivement, tu écartes les jambes au maximum de ce que la chaîne te permet. Tu bombes le torse, faisant bien ressortir tes petits seins fermes. Tu veux apparaître dans toute ta splendeur de femelle au faîte de son art. Les conversations cessent immédiatement, Tous les regards se tournent vers toi. Eblouie par le spot, tu ne distingues aucun des convives. Une ombre immense se dirige vers toi. Tu reconnais Gustav. Il a les mêmes pantalons en cuir et la même chemise noirs que le week-end précédent. Sa crinière blanche lui donne un air un peu satanique. Mais il t’accueille avec un large sourire. Lui aussi, il veut te mettre en confiance. Il prend ton menton dans sa main et plonge son regard dans le tien. « Tu es splendide. Je n’ai aucun doute que cette soirée restera comme un moment de gloire de nos existences. Je te fais confiance.» Sans attendre de réaction, il saisit la laisse et te mène au centre de la pièce. Le spot vous accompagne. Aveuglée, tu ne vois toujours pas les invités qui sont assis sur les deux sofas se faisant face.

« Chers amis, commence Gustav, j’ai fait la connaissance de Sklavin V. il y a une semaine. Elle m’a servi toute une soirée. J’ai été enthousiasmé par la qualité de ses services, c’est pourquoi j’ai tenu à la partager avec vous, vous qui êtes mes plus chers amis. Vous savez ce qui est possible et ce qui ne l’est pas. Maintenant, je vais présenter Sklavin V. a chacune et chacun d’entre vous. Ou dois-je dire l’introduire? Votre imagination est la limite. A genoux, Sklavin, ordonne-t-il au terme de son laïus » Tu suis Gustav à genoux, les bras dans le dos, le visage baissé. La table du salon a été enlevée et remplacée par une sorte de large tapis épais en cuir noir qui disparaît sous les deux canapés en cuir jaune qui se font face. Tu apprécies sans vraiment le remarquer, tant ton attention est ailleurs, la sensation agréable du tapis sur tes genoux. Il t’entraîne vers le sofa à ta droite, celui d’où on a la vue sur Zurich.

« Sklavin, mon hôte d’honneur est Prinz Karl. Prinz Karl, Sklavin V. Pour te servir.» Tu lèves ton regard des chaussures à lacets, bien cirées, et découvre un homme bien mis, très mince et aussi grand que Gustav. Il porte un costume bleu sombre à fines rayures claires et te considère de haut à travers un monocle. Son nœud papillon rouge est parfaitement noué sous un visage allongé de septuagénaire gris mais élégant. Il ressemble au président américain Roosevelt vers la fin de sa vie. Il croise les jambes. La semelle de sa chaussure est sous ton nez. « Lèche, dit-il simplement. » Tu ne réfléchis à rien, ni aux bactéries qui pourraient infester cette chaussure, ni aux merdes de chien dans lesquelles il a peut-être marché avant d’arriver ici. La mise en scène t’a impressionnée. Tu as saisi maintenant physiquement le rôle qu’on attend de toi. Tu ne veux pas décevoir. Tu es prête à obéir à tout. Ta langue parcourt systématiquement la semelle du vieillard, de la pointe au talon et retour. Pour atteindre le bout du soulier, tu dois te pencher et te tortiller, ce qui offre une vue splendide sur tes fesses et ta décoration anale aux convives en face. « Tourne-toi, chienne, ordonne ensuite le prince Karl. Visage à terre. » Tu te retournes prestement, offrant maintenant ton cul au regard concupiscent du vieil homme. Tu sens une pression sur ton vagin et comprend que c’est le bout de la chaussure que tu viens de lécher qu’il essaye d’introduire en toi. Il effectue un mouvement circulaire, s’attardant sur ton clitoris, puis parvient à enfiler l’extrême pointe de la chaussure, ce qui déclenche un léger soubresaut en tout ton corps. « Hm ! Réactive ! Pas mal !, commente ton tourmenteur. »

On a installé pour moi une chaise haute au coin du bar de la cuisine, d’où je jouis d’une vue imprenable sur toute la scène. Je le vois plier son genou au maximum de ce que son grand âge lui permet, avant de le déplier à toute force pour frapper ton vagin offert de sa semelle de cuir. Tu pousses un grand cri et t’étale sur le sol, surprise par ce geste inattendu plus que par la douleur. «Prometteur, se borne à dire l’aristocrate, caustique, en se calfeutrant à nouveau dans le profond canapé. » Gustav te redresse en tirant sur la laisse et t’entraîne aux pieds du personnage suivant. « Fürstin Hildegard, Sklavin V., annonce le maître de maison. » Une femme plus jeune que son conjoint, la soixantaine plantureuse, vêtue d’une longue robe bleu foncé satinée, te saisit par les cheveux et plante ses yeux à 5 centimètres des tiens. Elle porte de grosses lunettes dont les montures sont parsemées de petits diamants.
« Es-tu Suissesse, demande-t-elle sur un ton haineux. »
« Oui, réponds-tu, plutôt fièrement, mais inquiète du ton et de l’allure de la femme. » Une gifle violente retentit sur ta joue gauche.
« Oui, qui ? »
« Oui… Madame, murmures-tu désemparée » Paf ! Une deuxième gifle vient marquer de rouge le même côté de ton visage.
« Oui… Fürstin, continues-tu sans trop savoir quoi dire. »
« Gustav, cette pute doit s’excuser correctement »
«Excuse-toi, ordonne Gustav.»
«Fürstin, mon ignorance et mon effronterie me pèsent lourdement, et je vous prie de bien vouloir me pardonner.»
Paf! Une troisième gifle.
«Pas suffisant.»
«Mendie une punition, commande Gustav.»
«Je vous en prie, Fürstin, je mérite une peine sévère, déclares-tu, implorante.». Te tirant toujours par les cheveux, elle dépose ton torse sur le sofa, entre elle et le Prinz, puis s’assied sur ton dos. Elle est lourde, ta poitrine est compressée, et tu halètes. Une volée de coups s’abat sans discontinuer sur tes fesses pendant une bonne minute. Essoufflée par la fessée qu’elle vient de t’administrer, la grosse femme se relève et te tire en arrière. Son visage est à nouveau à deux doigts du tien.
« J’exige un respect total de la part d’une salope comme toi. Compris, Sklavin V.? Elle crache sur ton visage.» Tu sens son haleine empestant le champagne et la cigarette froide.
« Bien sûr, Fürstin, je vous dois un respect total et je ferai tout pour vous satisfaire pleinement, confesses-tu, secouée par le traitement que t’a réservé cette salope perverse. Mais aristocrate allemande.»

Gustav reprend la laisse, te retourne, et tu découvres maintenant des jambes boulottes, courtes, et revêtues de bas noir qui arrivent à mi-cuisse. Tu lèves le regard et dévisages une noiraude sans âge, grasse, boudinée dans une robe noire trop courte. Elle ne porte pas de culotte sur sa chatte poilue. « Gräfin Gertrud, Sklavin V., annonce Gustav. » Sans dire un mot, elle met sa main gauche derrière ta tête et l’attires vers son sexe. Comprenant le message, saisissant que la scène précédente l’a probablement émoustillée, tu explores la chatte poilue avec ta langue, recherchant son clitoris dans les plis de sa peau et la broussaille de son buisson fourni. Lorsque ta langue s’attarde enfin sur son bouton magique, une décharge électrique secoue tout son corps laid et gras. « Ouiiiiiiii, gémit-elle, continue ainsi. » Elle a pris soin de parfumer son sexe, si bien que l’entreprise n’est pas trop désagréable. Ta langue s’agite en experte sur et autour de son clitoris jusqu’à ce qu’elle explose dans un orgasme retentissant. Au travers de ses hurlements, tu reconnais quelques mots usuriers. «Ouououh ! La bonne putain! Hoyoiyoi, quelle chienne ! Ach ! c’est tellement bonnnnn! » Lorsque tu ressors finalement de cet antre à plaisir, elle se penche vers toi pour plonger sa langue dans ta bouche en signe de gratitude. « Nous aurons encore beaucoup de plaisir, conclut-elle en s’affalant sur le divan. »

Reste le quatrième personnage, un petit homme qui est le sosie en homme de la femme que tu viens de satisfaire. Pas plus d’un mètre soixante, très gros, il est chauve et la première chose que tu vois est le sexe, petit mais très épais, qu’il tient entre ses mains. « Graf Friedrich, Sklavin V., annonce Gustav pour la dernière fois. » « Gustav, je veux la baiser. Maintenant. Jetzt. Le besoin semble urgentissime. Bitte, installe-la en levrette.» Le maître de céans détache tes mains toujours attachées dans le dos et te dispose à quatre pattes au milieu du tapis de cuir, cambrée, les fesses tendues, le diamant bien en évidence. Sous le regard des trois autres invités, et de Gustav qui tient la laisse devant toi, l’homme se positionne derrière toi et te pénètres d’un coup d’un seul. Tu n’avais pas pensé que ce petit sexe au bout d’un homme vieux, laid et gras, provoquerait une sensation pareille. Peut-être les humiliations subies auparavant ont-elles développé le désir de l’humiliation suprême : être chienne et baisée comme une chienne ? Et qui plus est par l’homme le plus moche du monde ? Peut-être son sexe, parce qu’il est petit, appuie-t-il exactement sur des senseurs délaissés par des membres plus longs ? Peu importe. Tu t’abandonnes entièrement à la saillie. Tu gémis plus fort que d’habitude alors que ton corps est secoué de soubresauts. Lorsqu’il jouit en toi, un orgasme inattendu t’emporte. Tu t’écroules aux pieds de Gustav, le petit homme encore fiché en toi. Tu sens son gros ventre peser sur tes fesses. Esclave de vieux pervers, pute payée pour être baisée, tu es parfaitement dans ton rôle.

S’il y a un paradis pour les soumises, tu y es. Absolument

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
J'ai adoré la série, j'attends la suite avec impatience...
Posté le 1/08/2021


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