Suite du deuxième degré « L’Amour est universel « . Après avoir satisfait aux règles du shopping, V et ses accompagnateurs se dirigent en voiture vers le lieu de l’orgie dont elle sera l’héroïne. Mais elle devra satisfaire le chauffeur balkanique en chemin.
Proposée le 23/04/2021 par Chab
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Roman
Un trajet dont tu te souviendras
« Je peux me doucher? » demandes-tu au couple pervers qui vient de recevoir quelques billets de mille et de cent de Gustav. Tu te fais soudain du souci. Dégoulinante de toutes sortes de liquides humains comme tu l’es, tu n’es vraiment pas présentable.
« Tu fereas ça à la maison. J’ai encore beaucoup à faire avant que les invités arrivent, tranche Gustav en jetant un coup d’oeil à sa Hublot» Il saisit deux chaînes solides en laiton à un présentoir, en fixe une de 30 cm aux bracelets de tes chevilles, une autre de 10 cm à tes poignets et t’entraîne à grandes enjambées par la laisse Agent Provocateur scintillante vers la sortie.
Tu crapahutes à sa suite, complètement nue à part le collier de chienne, les deux paires de bracelets et les hauts talons. Sans se soucier des quidams encore nombreux à cette heure de l’après-midi, il te conduit vers la voiture stationnée une trentaine de mètres en dessus du magasin. Un vieux couple effaré te lance un regard horrifié et songe à appeler la police, tandis qu’une ménagère scandalisée met ses mains devant les yeux de sa fille qui doit avoir 5 ou 6 ans. Une ado de 14 ans aux cheveux roses te scrute de bas en haut. Elle aura de quoi alimenter ses fantasmes pour sa masturbation de la soirée… Horriblement gênée, mais aussi très excitée comme toujours par cette tranche d’exhibitionnisme, tu pries pour que personne ne te reconnaisse.
Nous arrivons à la voiture après quelques secondes qui t’ont paru durer des heures. Gustav ouvre la porte avant, à côté du chauffeur, et te pousse à l’intérieur. Gênée par les chaînes et les hauts talons, tu t’encoubles au marche-pied et t’étale de tout ton long à l’intérieur de la Mercedes, ton visage s’écrasant sur le pantalon du chauffeur qui repose prestement son portable. Tu sens quelque chose de dur le long de ta joue. Ton esprit étant toujours en mode sexe, tu imagines qu’il devait consulter un quelconque site porno….
Nous nous installons à l’arrière tandis que le chauffeur a posé sa main sur ta nuque, t’empêchant ainsi de te relever. « Hé! Bonne idée, Mirko, lance Gustav au chauffeur. Elle a le droit de te sucer, mais seulement si elle est d’accord. Et moi je ne la paye pas pour ça.» «Ah… Mais moi je dépense volontiers 100 francs pour ça. Qu’est-ce que tu en penses, petite ? propose le chauffeur en caressant tes cheveux mouillés et gluants » Il a un fort accent balkanique, une trentaine d’années, beau, svelte, sportif, vêtu d’un costume bleu d’excellente facture, très doux au contact de ta joue droite. La bosse qui déforme son pantalon exerce une pression de plus en plus forte sur ton visage. « Son sexe doit être énorme, penses-tu. » Curieuse, ayant perdu tous tes tabous, mais rassurée aussi d’être dans l’abri d’une voiture confortable, tu assumes maintenant pleinement ton rôle de femelle soumise. Tu ouvres sa braguette sans rien dire, en extirpes avec difficulté l’engin monstrueux qui te rappelle la bite de ce gigolo qui t’avait baisée en Australie. Pendant qu’il met le moteur en marche, tu humectes ce membre majestueux avec ta langue – espérant naïvement qu’ainsi lubrifié, il sera plus facile de le prendre en bouche.
Mirko conduit d’une main, l’autre dirigeant ta tête le long de son sexe. Quand finalement il le pousse dans ta bouche, tu manques t’étrangler. Il est vraiment trop long et trop épais ! Tu tousses, tu râles, tu n’y arrives pas.
- Je sens tes dents, te reproche Mirko plutôt fâché ! Tu réussis à te dégager tant bien que mal et t’excuses.
- Pardon, vraiment, je suis désolée, mais il lest vraiment trop gros. Mirko tend le bras et introduit un doigt dans ta chatte.
- Mais tu es super-mouillée. Tu aimerais mon sexe dans ta chatte ? je te donne 200 francs.
Tu es partagée. D’un côté, après l’expérience pas très positive du gode, tu aurais bien envie de sentir un vrai sexe mâle dans ta chatte. En plus, tu es curieuse de connaître les sensations que cette bite énorme te procureraient. Chaque bite a ses vertus, éveille des zones différentes, produit des sensations diverses. Ce gros machin saurait-il te faire découvrir des plaisirs que tu ne connais pas encore ? D’un autre côté, le mérite du sexe mâle comparé au gode, c’est le contact de la peau, le frottement des millions de senseurs dont la nature nous a généreusement dotés. Une capote, c’est 90% de plaisir en moins. Tout en réfléchissant, tu le branles avec la main gauche en caressant ses couilles de la droite. Gustav vient interrompre ta réflexion.
- Mirko, quand est-ce que tu es allé voir le médecin, cette semaine? J’exige que mes collaborateurs les plus proches cnduisent un test HIV une fois par semaine.
- Hier, Herr von Goetze.
- Est-ce que tu as baisé depuis?
- Non, vous savez que ma femme m’a quitté. Et hier soir je vous ai conduit à Saiont-Gall. Non, vraiment, je baiserais bien la petite.
Cette conversation te rassure suffisamment pour faire pencher la balance. « Tu peux, concèdes-tu. Des picotements de désir mêlés de crainte chatouillent à nouveau ton anus et ton sexe. Mais où ?» « Tu verras bien, petite chienne. Entre-temps, lèche mes couilles !» Ta langue parcourt ses couilles poilues qui sont à la mesure de son membre. Tu réussis avec peine à prendre la moitié d’une dans ta bouche pour la sucer. « Ouuuh ! ça j’aime, mais vas-y doucement, petite! Ça peut faire mal !» Gustav et moi dégustons la scène sans rien dire. Il m’offre une autre gorgée de whisky pendant que j’observe de mon siège, derrière le chauffeur, ton petit cul qui se tortille, un doigt du chauffeur maintenant enfoncé dans ton anus. Ce n’est pas que ta bouche qui travaille. Tout ton corps est impliqué. Et plus que ça : Ton être en entier, cœur, corps, mental, esprit, âme même, ne sont plus que sexe.
Le trajet ne dure pas longtemps. Quelques minutes plus tard, la limousine pénètre dans le garage souterrain de l’immeuble de prestige où réside l’aristocrate allemand. Elle se gare exactement sous une caméra de surveillance. Gustav ne s’attarde pas dans la voiture : « J’ai à faire. Amène-la en haut dès que tu auras fini. Tu montes avec moi? lance-t-il à mon égard.» Je préfère rester à tes côtés, parce que je sais que ma présence te rassure et te donne la confiance dont tu as besoin pour accepter toutes ces expérimentations. Mais aussi parce que je me réjouis de voir cette bite immense te déchirer. Gustav disparaît dans un ascenseur. Mirko s’extrait de la Mercedes sans reboutonner son pantalon. Je peux enfin prendre la mesure de ce qui t’attend. La bête est vraiment énorme. Tu as fait du bon travail : son gland est déjà boursouflé, ses couilles tendues. On sent qu’il ne va pas tarder à jouir. Et que son besoin est urgent.
Il te tire hors de la limousine par la taille. Sans douceur, il te jette sur le capot et s’apprête à te prendre en levrette. Tu écartes les jambes autant que tu peux, entravée que tu es toujours par la chaîne qui relie tes deux chevilles. Je le vois cracher dans sa main pour humidifier son sexe et le présenter à l’entrée de ton vagin. Je vois aussi une certaine angoisse dans tes yeux. Tu crains que, comme ta bouche, ta chatte ne saura pas accommoder ce géant. Je tiens tes deux mains et dépose un baiser sur ton front. Il essaie d’engager son gland dans ta chatte, mais tu es soudain prise de panique et tes muscles se resserrent. Il essaie de forcer l’entrée, mais n’y arrive pas. Excédé, il hurle des insanités en serbe. Je reconnais les mots pute, salope, cochonne….. Furieux, il se retire, détache sa ceinture et assène quelques coups violents sur ton cul. Tu le laisses faire sans te débattre, comme si tu savais que ces coups calmeraient tes appréhensions et te permettraient de te détendre. Il doit en être au huitième coup lorsque je l’arrête d’un geste du bras.
« Attends, j’ai une meilleure solution». Je sors mon sexe à demi-dressé et attire ta tête de mon côté du capot. Tu comprends la manœuvre et ta bouche se précipite sur mon membre comme une lapine sur une carotte. Tu te relaxes instantanément, ce que le Serbe confirme en introduisant deux gros et longs doigts de basketteur dans ta chatte. Avant qu’il ne tente à nouveau de te violer, je le retiens une seconde fois. « Laisse-moi faire. Je vais préparer le chemin. » Mon sexe glisse aisément dans ta chatte. Du velours soyeux. Quel bonheur. Toi aussi, tu es heureuse de retrouver ta bite préférée. Elle te rassérène, te redonnes de la vigueur et de la confiance. Quand tu es pleinement ouverte, que toute ton angoisse a disparu et que seul demeure l’envie de sexe, je me retire et indique ton cul au chauffeur. « Je vous en prie, l’invité-je ». Il se rue sur toi et parvient à enfoncer les trois quarts de son membre en une fois. Tu hurles sans qu’on puisse dire si c’est de plaisir ou de douleur. Agrippé à tes poignées d’amour, il te pilonne de toutes ses forces. Tes seins frottent le métal encore brûlant de la Mercedes, ce qui accélère la jouissance se répandant à toute vitesse de ton sexe jusque dans chaque cellule, dans chaque atome de ton corps. Il pousse un grand cri en se répandant dans ton sexe. Un sperme épais et chaud gicle contre les parois sensibles de ta chatte. Ton orgasme est puissant comme l’éruption d’un volcan.
Epuisée, tu glisses le long du capot et te retrouves aux pieds de ton amant. Il essuie soigneusement son sexe gluant dans tes cheveux et sur ton visage, se reboutonne, saisit la laisse et te remets sur les pieds. Avant de te mener vers l’ascenseur, il se retourne pour faire un petit signe à la caméra. « Smile, tu es filmée, sourit-il. » Sans réfléchir, tu tournes la tête et esquisses un sourire comblé. Je vous suis en admirant ta démarche chaloupée, ces fesses innocentes et naïves qui ont hébergé tant de plaisirs, et l’or qui brille à ton cou, à tes poignets et à tes chevilles. Je t’admire. Tu es merveilleuse. Saisi d’une bouffée d’amour, je cours vers toi et t’embrasse au creux du cou. Tu sens un frisson remonter le long de ton échine. Tu es heureuse comme si tu avais gagné les championnats suisses de patinage artistique.
Mais maintenant, ce seront les jeux olympiques que tu devras affronter.
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