Histoire Erotique

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Jeunesse infernale

Elise est une jeune femme qui fut longtemps complexée par sa rousseur qui l'a empêchée de réaliser certaines de ses envies. Arrive l'âge ou elle se débarrasse de ce bagage pour assumer sa "différence". Elle rencontre un homme qui la transforme...en soumise ce qu'elle désirait depuis longtemps. J'ai écrit cette histoire pour une de mes lectrices.

Proposée le 4/05/2021 par Divinmarkiz

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie


Nous n’avions échangé que nos mails (adresse créée pour la circonstance) ; je me sentais libre et sans crainte de l’interroger.


Mon mari parti en mission à l’étranger j’avais une longue soirée devant moi et j’avais (presque) décidé sinon de sauter le pas en tous cas de m’avancer.

Vers 21h je me connectais avec lui et après quelques politesses d’usage notre conversation prit une tournure plus personnelle, plus intime, bref plus chaude.

« Je suis intriguée par votre remarque sur l’odeur des femmes rousses ; ce n’est pas un comportement de dominateur ! » Là je me lançais à l’aveugle, sûre de moi ce que je n’étais pas !

« Vous avez raison c’est inhabituel mais à chacun sa construction et ses fétichismes. Vous doutez que je sois un dominateur n’est ce pas »
Heureusement qu’à l’écrit on ne bredouille pas ! Ses mots simples et pertinents m’auraient fait perdre mes moyens à l’oral.
« Je ne sais pas vraiment mais je trouve ça curieux en effet »
« Je vous comprends mais dites vous deux choses , l’une c’est que j’aime la féminité et tout chez la femme y compris ses fluides et son odeur, l’autre c’est que tout se mérite si je me fais bien comprendre »

Je n’étais pas sûre de parfaitement comprendre mais suffisamment pour vouloir continuer.

Il ajouta : « Je n’en tire aucune gloire mais si j’aime humilier une femme , faire en sorte qu’elle ait honte , la punir , je n’ai aucun mépris , aucun manque de respect à l’égard de ma soumise. Nous sommes ensemble pour vivre des moments forts, en confiance »

Tout cela me parlait bien sur mais par prudence je me gardais de me laisser aller, complètement, je veux dire.
« Avez vous déjà eu une soumise rousse ? » Flûte ! Avec ces mots je me mettais dans la peau de sa soumise ! Quelle idiote !
Il eut le bon goût de ne pas relever ma faiblesse.

«Une fois il y a longtemps. Pourquoi ? »
Je décidais d’être franche et transparente : « Je suis depuis toujours complexée par mon odeur ! Aucun homme ne m’a jamais détrompé »
C’était si direct que je ne me reconnaissais pas ! Au fond de moi ses mots de la veille résonnaient encore et faisaient écho à de si anciennes frustrations, à des désirs si présents que j’étais quand même fière d’avoir pu m’exprimer. Fière et très excitée.

« Je « vénère » (j’insiste sur les guillemets) le parfum du sexe féminin ; il agit sur moi comme un aphrodisiaque et je suis sur ce sujet sans limites »

C’était dit ! Allais je enfin me débarrasser de mes complexes, acquérir la fierté d’être celle que j’étais ?

Je l’envisageais ce soir là ; me présenter comme soumise et m’abandonner entre ses mains était une autre affaire ! Je pressentais que le chemin qui me mènerait à m’accepter serait parsemé d’épreuves humiliantes et douloureuses ; en serais-je capable ?

Je remis ces hésitations à plus tard ; je voulais poursuivre.

« Vous souvenez vous de ces culottes blanches en coton côtelé que vous portiez jeune fille ? »

Propos désarçonnant!
Si je m’en souvenais ? Que trop ! Ma mère mit longtemps avant de m’acheter des sous-vêtements dignes de ce nom et, jeune adolescente, j’en portais encore. Dans les vestiaires, les jours de gym, la honte de m’exhiber ainsi restait cuisante, les remarques des filles de ma classe aussi !

« Je m’en souviens bien ; j’en ai porté longtemps mais pas par goût »
« Seriez vous prête à en porter ? »
« Je ne sais pas, un peu difficile pour moi. Pourquoi cette question ? »
« Vous posez trop de questions. Vous n’avez pas confiance ? »

Notre conversation prenait un tournant ; son ton m’entrainait soit à obéir soit à renoncer. Je choisis d’obéir.
Je ne répondis pas à sa question sur la confiance et me contentais de lui dire que je pourrais porter une telle culotte (sans que je me souvienne pourquoi, il m’en restait deux dans mon tiroir).

« Elise , êtes vous prête à faire connaissance ? »
Légère hésitation pour finir par dire oui.

« Après-demain pour un verre ; 18h30 au Pub Winston ? »
Je connaissais ce bar qui était assez proche de mon bureau.

« Je propose d’échanger nos tel. au cas ou l’en d’entre nous aurait un empêchement »
J’acceptais
« Peut être est-il temps de montrer nos visages ? »
Je lui envoyais une photo assez flatteuse en maillot de bain, légèrement bronzée, dans les limites de ma rousseur !
« Séduisante » furent ses mots
La sienne le représentait en costume, entouré, vraisemblablement à une réception.
C’était un bel homme ; c était surtout son regard qui attirait, un peu moqueur et perçant.
« Attendez vous que je porte une tenue particulière ? » Je me glissais dans mon rôle sans pudeur.
« Pas vraiment ; une robe ou une jupe serait parfaite »
Il ajouta « Dorénavant je te tutoierai »
« Et moi , comment dois je vous appeler ? »
« Tu peux me tutoyer lorsque nous nous verrons en public ; tu me vouvoieras en privé. Ca te convient ? »
Au moins j’échappais au « Maître » que je trouvais un peu ridicule ! J’acquiesçais.
«Un « détail », tu ne te laveras pas la chatte d’ici là »
Deux jours ! Ce « détail » pour reprendre ses propos me dérangeait un peu non pas vis à vis de lui mais de mon entourage professionnel ; je pensais cependant pouvoir y remédier.
Mon mari ne rentrerait que dans trois jours ; au moins pas d’explications compliquées à éventuellement lui fournir au cas ou !
« Je peux me laver ce soir ? »
« Non ». C’était sans appel !
Le jour J je choisis une petite robe, pas trop sexy, légère et qui me permettait d’aller travailler sans soulever des regards interrogateurs au bureau.

J’étais à l’heure pour notre rendez-vous, François, c’était son prénom, m’attendait, attablé dans un coin assez sombre du Pub.
Un sourire se dessina lorsqu’il m’aperçût, son regard était conforme à celui que j’avais découvert sur sa photo.
Conversation légère pour commencer ; il me posa des questions sur mon travail, ma jeunesse et ma vie en général d’un ton bienveillant et intéressé.
Il travaillait dans la finance, marié, lui aussi, avec de grands enfants qui avaient quitté le domicile familial.
Comme convenu je le tutoyais , je me faisais aussi charmeuse que possible mais avec réserve ; quant à lui , il était naturellement charmant et je devinais quand même le séducteur qu’il était.

A l’aune de nos échanges de messages, les propos policés que nous tenions étaient presque surréalistes jusqu’à ce que tout bascule !
Il posa son verre, me regarda : « L’endroit est sombre et discret ; tu vas mettre tes doigts dans ta chatte et tu les passeras sur tes lèvres »

J’hésitais, prête à refuser mais ce débat avec moi-même était bien mou. Je cédais en me demandant comment je pourrais bien me plier à cette demande.
Ma robe était évasée, j’écartais les jambes et fis tomber mes lunettes de soleil. Penchée sous la table pour les chercher, j’en profitais pour glisser ma main dans ma culotte ; délicieuse impression de les sentir glisser dans ma fente !
Je remontais mes lunettes à la main, triomphante.
« Pleine de ressources dirait-on ! J’aime beaucoup ». J’appréciais son commentaire.
Finir d’exécuter ses instructions fut facile ; je fis semblant, tube à la main, de me remettre du rouge à lèvres pour terminer par passer mes doigts humides sur ma bouche. Odeur puissante qui m’imprégnait !

« Viens m’embrasser ». Penchés au-dessus de la table, nos bouches se sont approchées pour se coller, légèrement. Ce qui devait apparaître comme un doux et chaste baiser à nos voisins se trouvait être un acte d’une merveilleuse perversité ; j’étais assez transportée, et plus, lorsqu’il me déclara « J’aime l’odeur de ton sexe ! »

Je ne pus dire que merci alors que j’avais d’autres mots en tête, crus, directs, obscènes !
« Veux tu aller plus loin ? »
Je me contentais de hocher la tête.
« As tu déjà été sodomisée ? »
« Une fois ! Une catastrophe, je ne suis pas sûre de vouloir recommencer »
« Il le faudrait ou plutôt il le faudra ; c’est un acte délicat que, je l’espère, tu finiras par apprécier »
Je n’étais pas convaincue ! La seule fois où un homme m’avait prise ainsi, je n’avais ressenti qu’une douleur insupportable ; à ma décharge, si je puis dire, le garçon n’était pas très doué et surtout manquait de douceur en toutes choses!
« J’essaierai mais il ne faudra pas m’en tenir rigueur si je n’aime pas »
« Bien sur ; je ne suis pas un sauvage ! Si tu n’y prends aucun plaisir, je n’insisterai pas car dans ce cas ça ne m’intéresse pas »

Il me rassurait ; pour avoir lu, comme vous le savez un bon nombre d’ouvrages sur ces « jeux », je savais que cet acte était cependant indissociable de ma condition de future soumise !
Il me tendit un petit paquet : « Ne l’ouvre pas maintenant ; tu verras une fois chez toi »

Il fallait décider de la date de la première « séance » et je ne connaissais pas par coeur le calendrier des déplacements de mon mari ; il voyageait souvent, principalement en Asie.

J’avais quand même encore deux jours ou je serai seule ; je lui en faisais part.
« Si je le voulais, je ne pourrais te voir qu’après-demain ; tu ne seras plus seule le lendemain ; ta peau est fine et je ne veux pas qu’une fessée, par exemple, laisse des marques qui pourraient te mettre dans une situation délicate »
Je n’y avais pas pensé moi-même et cette prévenance rajouta un peu plus de confiance ; il avait raison mais j’avais à ce moment précis une grosse envie.
« Tu devras également te préparer et ces 2 jours ne seront pas suffisants »
Je l’interrogeais sur ce qu’il appelait préparation ; il n’en dit pas plus.

Il devait se rendre à un diner ; après avoir convenu que nous pourrions dialoguer plus tard le soir même , François me quitta , moi les lèvres odorantes et la culotte très humide ! Je m’essuyais la bouche et masquait mon odeur avec du rouge à lèvres.

Je veillais un peu fébrile derrière mon écran ce soir là. Son message sonna vers minuit et quart. Je pris, assez bêtement mon temps pour répondre.
« Je ne te réveille pas ? »
Nous étions en privé, la règle du vouvoiement s’imposait.
« Non Monsieur, vous deviez me contacter ce soir ; j’attendais »
« As tu une idée plus précise de tes moments de liberté ? »
Du fait de ses déplacements fréquents, mon mari établissait un calendrier que je pouvais consulter ; plus pratique pour organiser notre vie sociale de couple. Il le devenait aussi pour cette relation !

Il fallait attendre quinze jours avant son prochain voyage mais il avait le mérite de durer six jours.

François fixa la date de notre rencontre trois jours après le départ de mon mari.

Dix huit jours à attendre ! Je n’y pouvais rien.
J’étais installé derrière mon écran, en T-shirt sans culotte et dès mon repas terminé, je m’étais caressée, très régulièrement en regardant des vidéos.

« Tu as ouvert ton paquet ? »
Bien sur je l’avais ouvert ! Il contenait un plug relativement petit de couleur noire.
Après m’être enduite de vaseline, j’avais commencé à le faire pénétrer dans mon anus sans avoir encore réussi à l’enfoncer jusqu’au bout ; je m’étais rendue compte que manié avec douceur, la sensation était, à ce stade intéressante.
« oui Monsieur »
« Tu l’as utilisé ? »
« Oui un peu Monsieur »
« Tu as chassé tes mauvais souvenirs ? »
« Pas complètement mais ce que j’ai fait était assez agréable »
« Tu es consciencieuse et motivée, c’est très prometteur! »
« Merci Monsieur »
Il avait raison, bonne élève depuis toujours j’aimais les règles et les rites. François était de ceux pour lequel les deux ne manqueraient pas !
« Y-a-t-il certaines choses que tu crains, lorsque nous nous verrons j’entends ? »
Ils y en avaient en effet et je lui étais reconnaissante de m’en parler.

«Tout ça est nouveau pour moi et mes expériences que vous connaissez sont limitées. Je crains la sodomie, vous le savez, le fouet aussi. »
« Pour la sodomie, ton plug va t’aider. Entraine toi à le faire pénétrer, utilise tes doigts aussi et fais moi part de tes progrès.
Je n’utilise pas de fouet surtout avec une novice, uniquement un martinet ; c’est moins dur »
Le martinet lui aussi me faisait peur mais je choisis de ne pas m’exprimer.

« Vous me donnerez la fessée Monsieur ? »
« Bien sur, pourquoi tu la crains ? »
« Non je ne la crains pas ; je crois que j’aimerais »
Je perdais insensiblement ma retenue !
Je voulais entendre sa voix et lui proposais de s’appeler plutôt que de poursuivre à l’écrit.
Il m’appela bien sur, je baissais le volume de mon téléphone pour le mettre en haut-parleur sans crainte que ses paroles puissent être entendues par des voisins (un peu parano je l’admets).
Il égrena, les différentes punitions qu’il avait l’intention de me donner ; je restais muette trop occupée à me caresser en mettant ses mots en images.
« Tu es entrain de te caresser ? »
Inutile de mentir ! Je répondis que oui.
« Approche le téléphone de ta chatte que je puisse entendre le bruit de tes doigts »
Cette demande était divinement perverse et je m’exécutais sans aucunes arrière-pensées.
Ma chatte coulait et je pouvais moi aussi entendre le bruit de mon fluide au rythme de mes doigts.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Belle histoire et bien écrite!
Posté le 1/02/2022


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