Histoire Erotique

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Péchés de jeunesse

C'est la relation de 25 ans de la vie sexuelle d'une jeune femme, "petite bourgeoise catho", de son apprentissage de la sexualité, et du choix qu'elle fera d'assumer son statut de lesbienne.

Proposée le 15/05/2021 par Sizaxe

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Quand j’ai rencontré Axelle, il y a bientôt 25 ans, elle en avait à peine plus de 20. Elevée dans une tradition catholique plutôt stricte, elle ne connaissait rien à la sexualité. Je suis encore persuadé à ce jour que mon sexe fût le premier qu’elle prît en main. Elle me sembla, à l’époque, avide d’apprendre, même si les privautés qu’elle m’accorda me semblèrent bien limitées. Et s’avérèrent immuables jusqu’au mariage. Elle m’avait averti dès le début de nos relations qu’elle voulait absolument y arriver vierge. Je ne vous étonnerai pas en affirmant que, mon objectif à moi étant radicalement opposé, je passais nos trois ans – 3 ans - de fiançailles (eh oui ! ça existait encore à l’époque). à tenter de parvenir à mes fins. Sans succès, en dépit d’une stratégie évolutive, chaque jour plus insidieuse.

Lors de nos premiers émois, elle m’avait semblé assez « chaude », se laissant peloter sans vergogne. Elle écarta rapidement les cuisses, m’invitant tacitement à glisser la main dans sa petite culotte. Ma voiture, malheureusement décédée depuis, aurait eu bien des choses à raconter ! Je ne la raccompagnais jamais chez ses parents sans qu’elle n’ait joui à plusieurs reprises. Depuis ses huit ans, me raconta t’elle en rougissant, elle adorait se masturber, ce qui ne semblait pas du tout heurter ses sentiments religieux. Je compris très vite qu’elle préférait que ce soit moi qui… A vrai dire, moi aussi. L’étape suivante consista à lui faire comprendre à quel point la langue est plus agréable que les doigts.

Ce fut pour elle une découverte bouleversante, et pour moi une expérience parfois douloureuse, sa généreuse pilosité irritant fortement mes lèvres et mon nez quand nous dépassions les quatre cunis – toujours vigoureux - dans la même soirée !
Il fallut plusieurs mois avant qu’elle ne se décide à me prêter une main secourable. La première fut un plein succès : invités chez ses grands-parents, nous étions allés nous promener dès le café avalé. Lors de la halte sylvestre qui suivit, peut-être pour me remercier d’un coup de langue particulièrement habile, peut-être en raison d’une alcoolémie augmentée, elle desserra ma ceinture, me lança un coup d’œil coquin puis, toute rosissante, glissa la main dans mon pantalon, dans lequel j’éjaculai en moins de deux minutes. Vingt ans plus tard, je rougis encore au souvenir de l’odeur que je devais dégager à notre retour chez les grands-parents. Et je dus, en partant, embrasser la grand-mère, mes lèvres ayant encore le goût du sexe de sa petite fille.
Puis, quand elle sut qu’elle « pouvait me faire confiance », elle vint régulièrement chez moi. C’était mieux que chez ses parents : je pouvais au moins la déshabiller !
D’un autre côté, c’était difficile d’envisager d’abuser d’une telle confiance. Or j’avais de plus en plus envie d’abuser !

Je ne sais plus bien l’ordre dans lequel je grimpais les échelons de la démarche de formation entreprise auprès de ma « fiancée » Plusieurs « axes de progrès » s’intriquèrent, façon tango, un pas en avant, deux pas en arrière J’aurais bien aimé qu’elle me raconte ce qui l’excitait, mais elle prétendait ne pas avoir de fantasmes. Je lui offris pour la St Valentin une revue porno, qu’elle accepta de regarder avec un certain intérêt. Un intérêt certain, même, à en juger par notre fin de soirée… Et c’est en regardant ces images que je lui demandais si elle aimerait faire des photos
- Quel genre ?
- Pas comme celles-ci, bien sûr, plutôt des photos de charme, tu vois, du genre de celles qu’on trouve dans les magazines « pour hommes »…
- Tu en achètes, toi ?
L’affaire partait mal, voilà que c’est elle, fine mouche, qui m’interrogeait. Je dus lui expliquer que, la nature étant ce qu’elle était et les hommes sans doute plus… que les femmes, il m’arrivait de…
- Alors, tu te branles sur des photos de femmes nues ?
Pour une catho tradi, elle n’hésitait jamais à appeler un chat, « un chat », (et une chatte, « une chatte ») ce qui me désarçonnait toujours. Mais là, j’eus L’IDEE de génie !
- Crois bien que je préfèrerais de beaucoup le faire sur des photos de toi, ma chérie !
Pour éviter d’avoir à fournir une réponse immédiate, elle me dit d’une voix rauque :
- Tu aimerais te branler sur mes photos ? En pensant à moi ?
Et elle commença à se masturber en me regardant effrontément, droit dans les yeux. Je lui demandais de le faire depuis des mois ! Elle jouit violemment, puis me masturba de sa main trempée. Je crus même un instant qu’elle allait me faire une pipe- en fait, nous n’en arrivâmes là que quelques mois plus tard.

Mais j’eus la preuve, quelques jours plus tard, que message avait bien été reçu 5 sur 5 : elle m’offrit dans une superbe enveloppe « Joyeux anniversaire », avec 4 mois d’avance, un : « Bon pour une séance photo, avec le modèle de ton choix ».

Croyez-moi si vous voulez, mais voilà une activité bien plaisante ! Et sportive, parce qu’à cette époque pré-numérique, il fallait donner ses photos à développer et à tirer (sic) chez un photographe. Fort heureusement, mon travail à la fac me donnant accès à une chambre noire, je me mis au noir et blanc. Les grandes vacances qui suivirent furent donc artistiques. Les débuts d’Axelle furent timides, d’autant que je ne la brusquais pas : j’étais certain que l’idée l’excitait, mais elle devait lutter à la fois contre ses principes et contre la peur d’être surprise. Je la poussais en effet à poser en extérieur, car si on peut réaliser des photos pornos dans un F2, pour les photos « de charme », comme annoncé, on a vite fait le tour des possibilités ! D’où des séances dans les bois, en voiture, sur des plages vides – ce qui nous faisait allier photos et marche. Les mois passant, elle se mit à accepter des « challenges » : photos sans culotte dans les trains, les bus, seins à l’air au cinéma (je vous recommande les séances de 13 heures, y’a que des vieux, et ils sont peu nombreux). Un de nos meilleurs souvenirs est le jour où elle a posé allongée, nue sur un talus, à la sortie d’un tunnel SNCF. Je bande encore en songeant à la surprise des voyageurs !

Un autre bon souvenir est d’avoir - sans le lui dire – fait un jour une séance « couleurs », dont j’ai confié le développement au couple de fort gentilles lesbiennes qui tenaient le labo de notre quartier. J’envoyais Axelle récupérer les clichés. Elle ne comprit pas, tout d’abord, les sourires qui l’accueillirent…

Les mois passant, ma fiancée devint de plus en plus délurée. Je la découvris un beau jour chatte rasée (Tu aimes ?). Elle me proposait des poses que je refusais : cuisses ouvertes, par exemple, rien à faire, je trouve ça vulgaire. Elle exigea de me photographier nu (Y’a pas de raison !), mais n’aimait pas que je masturbe devant elle (J’ai l’impression que tu me trompes !), sauf quand c’était « pour la bonne cause » : arroser ses seins. Par contre, elle m’avoua se branler souvent en imaginant le sort que je réservais à ses photos. Elle me demanda de lui montrer des photos de « tributes » (oui, oui, elle se mettait à l’anglais spécialisé !). C’était épuisant… Le jour où je lui en fis la remarque, en plaisantant, nous avions bu un peu plus que de coutume. Elle répondit, comme toujours très cash :
- T’as qu’à m’acheter un vibromasseur, on trouve ça en VPC, maintenant !
- Ah bon ! Tu sais çà, toi ?
- Tu me prends pour qui ? Pis même, je peux me débrouiller autrement !

C’est en ce jour mémorable que je la photographiais occupée à se masturber avec une bouteille, et qu’elle perdit, sans y penser, son pucelage ! Comme elle le dit si bien, « le mal étant fait » ce fut aussi la première d’une série assez rigolote où elle eut recours à un grand nombre de substituts aussi étonnants les uns que les autres. Quant à moi, je n’eus le droit de la sauter, Axelle n’ayant qu’une parole, qu’après que notre union eut été proclamée devant Dieu et devant les hommes. Je m’aperçu rapidement qu’elle n’y prenait guère de plaisir, et par voie de conséquence moi non plus : elle était clitoridienne, ce que j’aurais dû deviner chez une femme qui pendant les deux tiers de sa vie n’avait joui qu’en se masturbant.

Une pratique raisonnée de la discipline nous donna tout de même deux charmants enfants, qui firent notre bonheur. Mais chacun sait que les enfants se nourrissent de l’amour de leurs parents, et que ce que ceux-ci leur donnent est prélevé sur ce dont ils disposent pour leur couple. Quand les petits quittèrent le nid pour poursuivre leurs études dans une autre ville, Axelle perdit peu à peu sa curiosité et son goût du jeu, les séances de photos s’espacèrent… En ce funeste 13 avril 2020, je rêvassais justement que la dernière devait remonter à près de trois ans, quand ma femme surgit comme un diable au salon.
- Bon, c’est pas tout ça, mais faut qu’on parle…
- Oui…
- J’ai rencontré quelqu’un, alors je te quitte !
Je n'ai pas changé pas une virgule au texte !

Complètement détruit, je risquai quelques questions maladroites, genre : Qui ? Pourquoi ? Depuis quand ? Je compris aux réponses qu’il s’agissait plus exactement de quelqu’une, en l’espèce d’une jeune collègue plutôt gironde qu’elle connaissait depuis des années. Mais il ne s’était rien passé avant ce dernier mois, me jura t’elle. Toutes deux avaient programmé au petit poil la dissolution de notre communauté, et c’est un euphémisme de dire que le partage ne la désavantagea pas. Grand seigneur, je ne discutai pas pour ne pas risquer de créer un conflit dont les enfants auraient à souffrir, prétextai-je d’abord, avant d’être obligé de m’avouer que c’était en réalité par pure lâcheté.

La brutalité et l’inélégance du procédé auraient dû m’aider à cicatriser. Si ce ne fut pas le cas, c’est que j’étais toujours amoureux de la jeune femme vive, gaie et inventive que j’avais rencontrée vingt-cinq ans plus tôt. Je ne recherchais pas une nouvelle partenaire, dont je savais qu’elle ne pourrait prétendre qu’au statut de médiocre remplaçante. Quand la nature faisait valoir ses droits, je me masturbais en pensant à Axelle, même si parfois, je dois l’avouer, je l’imaginais batifolant avec sa jeune maîtresse. Et puis un beau jour, ou plus exactement une belle nuit, une érection telle qu’elle en était presque douloureuse me tira d’un rêve merveilleux. Je réagis à l’urgence en appliquant le protocole prévu, puis essayai de toute mes forces d’atteindre cet état mi-veille, mi-sommeil où je pourrai peut-être retrouver mon rêve. J’y parvins, et me rendormis en suivant son cours. Il était simple : j’exhibais les photos de ma femme sur le net ! Durant la semaine qui suivit, je réfléchis beaucoup – mon travail en pâtit – et dormis peu – mon travail en pâtit donc doublement.

Plusieurs questions se posaient :
1) Que m’apporterait la réalisation de ce fantasme ? Plusieurs choses : d’abord un sentiment de revanche. Ce n’était pas le plus important, mais comptait quand même ; ensuite, la fierté : j’étais toujours aussi fier de celle que je continuais à appeler « ma femme », de ce qu’elle avait accepté de faire pour moi. De mes photos, aussi ; enfin, et surtout, l’excitation de la savoir exposée aux regards de mâles heureux, d’imaginer le plaisir que ces photos leur procureraient. Bref, à quarante-cinq ans je me découvrais candauliste avec surprise, heureux d’offrir ce qui m’avait appartenu en propre avant de m’être repris.

2) Etait-ce bien honnête vis-à-vis d’Axelle ? Tout d’abord, elle n’aurait pas à en souffrir puisqu’elle ignorerait tout de l’affaire. Quand l’usage d’internet s’était répandu, l’idée m’était venue de proposer à Axelle d’y montrer ses photos, voire même de tchater avec des admirateurs virtuels. J’avais pensé que cela pourrait peut-être « faire rejaillir le feu de l’ancien volcan », mais je n’avais pas eu l’audace de lui en faire la proposition, ce qui fait qu’objectivement, elle n’avait pas opposé de véto à l’idée. Ensuite, je ne lui ferai courir aucun risque, les techniques de correction d’images permettant, à coup de rognages et de légers floutages, d’anonymiser les photos les plus hard. Enfin, elle s’était tellement goinfrée lors du partage que je m’accordais ma propre bénédiction pour récupérer « en nature » une partie du trop-perçu. Je répondis « non » aux deux questions suivantes, qui étaient :

3) Est-ce bien élégant ? (j’ai toujours été très attaché à l’élégance),
4) Cette inélégance va-t-elle m’arrêter ?

La semaine suivant me vit explorer les sites dédiés au partage d’images de ce genre. J’en sélectionnais trois qui me semblèrent point trop vulgaires, et m’y inscrivis sous un même pseudo. Restait à retrouver les photos...

Mis à part quelques grands formats, la plupart avaient été tirées en 18x24 (au verso figuraient date et lieu de prise de vue), et rangées dans les boîtes originelles de papier photo. Quand les enfants eurent 7/8 ans, il nous sembla dangereux de les conserver – c’est que ça commence à fouiner, à cet âge-là. Nous décidâmes donc de les brûler, et profitâmes de vacances de Pâques où les petits étaient chez leurs grands-parents pour procéder à l’autodafé. Cette semaine fut, sans aucune exagération, l’un des meilleurs moments de ma vie ! Installés dans le salon, un feu brûlant dans la cheminée, nous avons repris les boîtes l’une après l’autre, regardant une par une les photos, conservant les plus excitantes, ou les plus belles, et jetant au feu les autres, nous jetant l’un sur l’autre chaque fois qu’une émotion ou une excitation nous y poussait, baisant comme des bêtes. Pendant cette semaine dionysiaque, nous fûmes emportés par une frénésie de sexe. Je filmais nos ébats avec un petit caméscope Sony. Le soir, au lit, nous baisions en nous regardant baiser sur la télé de la chambre.

Bref, je n’avais plus les photos, mais restaient les négatifs, soigneusement conservés dans un classeur. Il faudrait les scanner, ce que je savais faire : deux minutes par photo, il devait y avoir, de mémoire, une vingtaine de rouleaux de pellicule, donc 2 x 20 x 36/60, soit environ 24 heures de boulot. Pas de problème ! Je trouvais sans peine le « classeur coquin » au milieu des classeurs « photos de famille » ou « de vacances » - pellicules couleurs, celles-là. J’ouvris le classeur. Les trois premières pages, composées de photos de travail, constituaient un leurre. Je les tournais une à une, lentement, la gorge nouée. Page 4 : vide, 5 : vide, 6 : une bande de 5 malheureuses photos. Je tournai machinalement les pages, lentement, une à une. Arrivé page 32, j’avais dû rencontrer une cinquantaine de photos isolées ou en bandes. Sur la troisième de couverture figurait une photo d’Axelle, fixée par quatre coins : nue, allongée sur le dos en travers d’un lit, la tête pendant en arrière, elle regardait tout droit l’objectif. Son avant-bras gauche était levé, le dos de la main effleurant le mamelon dressé pendant que le bras droit, dirigé vers l’aine, évoquait, hors-champs, une masturbation, impression renforcée par avec un demi-sourire aguichant. Photo et modèles étaient magnifiques. La photo ne pouvait être due qu’à sa maîtresse, qui avait bien du talent.
Un bristol était à moitié glissé, de biais, sous la photo. Je le retirai.

"Je suis tellement certaine que tu aurais su résister à la tentation de m’exhiber sur le net, que je n’ai pas eu le cœur de t’y soumettre. Tu trouveras, à titre de souvenirs, quelques-unes de tes photos, les moins compromettantes pour moi. Plus celle-ci, que tu ne connais pas. J’espère ne pas me flatter en imaginant l’usage que tu en feras…"

C’était écrit de la belle écriture ronde d’Axelle.

Je ressentis une curieuse impression, mélange de plaisir (le relai était pris) et flash intense de jalousie. Les yeux humides, je fis appel au cynisme, pensant :
Tu peux en être sûre, ma belle, je te déshonorerai avec le plus grand plaisir, et souvent ! Mais le cœur n’y était pas, et j’ajoutai en moi-même : Mais pas pour l’instant… Pas envie…
La photo, encadrée, est posée sur ma table de chevet. Faut juste pas oublier de la ranger quand les enfants viennent !

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