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Les ancêtres de Patrick

1942... La guerre... La résistance... Julien est dans le maquis, il se cache seul, seulement ravitaillé par sa belle-mère. Mais c'est un jeune obnubilé par le sexe. Malgré qu'il cherche des dérivatifs, rien n'y fait. Alors quand sa belle-mère a le malheur de montrer un peu de son intimité, il ne peut résister et elle cède aux ardeurs du jeune mâle

Proposée le 20/04/2021 par mlkjhg39

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


Cette histoire commence pendant la dernière guerre et va couvrir plusieurs générations.

1ère partie. Julien et sa belle-mère.

Nous sommes en 1942. Sans en avertir mes parents je servais de messager entre différentes personnes de la résistance dans le Jura. Suite à une dénonciation une grande partie du réseau local s'était fait prendre et mon nom avait été divulgué. J’ai donc du me cacher dans une maison abandonnée uniquement ravitaillé par ma belle-mère que j'avais mise dans la confidence avant de prendre le maquis.

Je me présente, Julien F…, le cadet de trois enfants, très grand et costaud pour mon âge et je n'avais qu'une idée en tête ayant eu une puberté très précoce et étant déjà obnubilé par la chose, je ne pensais qu'aux filles et étant assez bien monté j'ai été dépucelé par une copine largement plus âgée le jour de mon anniversaire. Depuis je ne pense plus qu'à ça et ma voisine ayant trop vanté mes exploits à deux de ses meilleurs amies, je faisais l'amour plusieurs fois dans la semaine sinon tous les jours.
Planqué dans cette masure depuis des mois, je ne trouvais comme dérivatif que la masturbation plusieurs fois par jour allant jusqu'à un jardin voisin dérober des grosses aubergines, faisant un trou de chaque côté dans lequel j'enfilais mon engin tout raide et faisais manœuvrer le légume avec les deux mains jusqu'à la jouissance trois à quatre fois par jour.
Ca m’apportait un soulagement appréciable mais mon envie devenait de jour en jour plus exigeante.
Ma belle-mère, très jeune, après avoir été abusée par un goujat s'était mariée à mon père et avait héritée de la marmaille. Veuf depuis peu, il cherchait une compagne pour s'occuper de nous, c'était un homme riche mais beaucoup plus âgé qu’elle.

C'était maintenant une superbe créature de trente ans mais qui souffrait de manque d'amour, mon père n'étant plus beaucoup porté sur la chose et guère capable de la satisfaire. Un jour après m'avoir apporté des provisions elle avait relevé son jupon afin qu'on ne s'aperçoive pas qu'elle s'était assise sur la paille. Etant assis en contrebas, j'avais pu voir en un éclair son joli derrière et la bosse que formait sous la culotte la motte abondamment fournie de poils. C'en était trop pour moi et en un rien de temps ma bite se tendit à éclater, je déboutonnais mon pantalon et profitant que ma belle-mère s'était penchée du coté opposé pour ramener son jupon sous son derrière étant cul nu sur la paille, je la saisis avec un bras autour de la taille, la pressant contre moi et je lui introduisis ma verge turgescente jusqu'à la garde.
J'avais agis avec une telle violence si rapidement qu'elle poussa un cri d'effroi. Elle se débattait pour se dégager mais je la maintenais avec toutes mes forces et en moins d'une minute elle était remplie d'un véritable torrent de foutre. Cependant, exaspéré par ses mois sans aucune femme, je ne sentis même pas mollir mon gourdin dressé et recommençais mes mouvements saccadés avec un peu plus de délice, ma belle-mère s'étant résigné et acceptant je dois dire la chose après ses premiers mouvements de défense.
Elle était terrorisée à l'idée que mon père ne l’apprenne. Mais étant une femme excessivement ardente et en manque d'amour, elle ne pouvait sentir une aussi belle chose lui labourer délicieusement les entrailles sans sentir venir le plaisir et n'arrivait plus à maîtriser son désir.
Ce n'est qu'à ma troisième jouissance que je me retirai enfin de sa chatte en feu, un véritable flot de foutre s'écoula de sa grotte. Une fois assise elle retrouva enfin la parole:
- Oh! Julien, qu'as-tu fait?... Comment as-tu pu me faire ça!... C'est monstrueux!!!

Je fondis en larme voyant ma belle-mère si désespérée et entourant son cou de mes bras lui avouai que cela avait été plus fort que moi, que le manque de sexe m'avait rendu fou. Elle me caressa la tête en me consolant:
- Pauvre garçon, ton dévouement pour notre pays a fait de toi un paria, tu as des excuses à ton acte et de mon coté ce n'est qu'une petite chose pour notre liberté de me sacrifier à ton irrépressible envie de sexe… Tu es un vigoureux mâle drôlement bien monté d’un sacré bel engin, et pourtant tu es si jeune…
Nous tombâmes dans les bras l'un de l'autre et l'effet fut immédiat sur moi, mon membre reprit aussitôt une rigidité ferrugineuse et c'est presque malgré moi que je la renversai sur le dos et malgré sa faible résistance lui fis écarter les cuisses et pénétrai aisément dans son sexe faisant dégorgé un torrent de mouille et de sperme de sa chatte. Et de nouveau je la pris deux fois de suite sentant ses contractions internes accompagnées nos ébats.
Tous les jours nous avons recommencé variant les plaisirs. Elle adore prendre ma grosse queue en bouche, s'agenouillant entre mes jambes écartées, elle approche son visage de ma verge qu'elle maintient entre ses doigts serrés et se met à aspirer mon gland dans sa bouche ouverte au maximum.
Ce massage terriblement voluptueux devenant très vite insupportable, mon bas-ventre se contracte sous des accès de plaisir. Incapable de me contrôler je mets mes deux mains dans sa chevelure l'obligeant à enfourner pratiquement la totalité de ma bite dans sa bouche en extension maximum, en lui bloquant le visage contre mon pubis et je ne bouge plus, le temps que l'excitation retombe.
Je sens ma verge comme enveloppée par un cocon étroit, chaud et moelleux.
Je relâche ma pression sur sa nuque et elle en profite pour se rejeter vivement en arrière, crachant mon gros chibre qui lui obstrue la gorge. – Ouah !... Quel morceau, s'exclame-t-elle avant de me reprendre en bouche, les commissures des lèvres luisantes de salive... Tu as bien failli m'étouffer...Je n'ai jamais mis dans ma bouche un tel mandrin.
Dans un grognement inhumain en proie à une jouissance phénoménale je décharge à longs jets dans la cavité buccale de ma belle-mère, tandis que tout mon corps se tétanise de la nuque aux pieds. Elle a refermé ses lèvres autour du gland, ne gardant en bouche que le bourgeon de chair. Lorsque le premier jet de sperme onctueux lui frappe le palais elle n'est pas surprise. Vivement elle bloque sa déglutition afin de garder en bouche cette semence tant désirée. Un second jet aussi copieux que le premier jaillit du gland et un troisième puis un quatrième. Le sperme encore fluide s'agglutine au fond de son gosier, elle fait des efforts pour ne pas avaler immédiatement ce nectar qui lui emplit les joues. Les jaillissements suivants perdent enfin de leur force s'écoulant mollement du gland assagi, engluant sa langue.
- Tes décharges sont toujours aussi abondantes! Et ta bite est toujours disponible et dure comme un roc, mon vigoureux mâle!

Par la suite elle venait sans dessous inutiles persuadée de rendre un service patriotique en m'empêchant de risquer ma vie pour assouvir mes instincts.
Deux mois après, elle est tombée enceinte et a dû jouer de subterfuge avec mon père pour le forcer à faire l'amour lui faisant croire que le futur enfant était de lui.

Elle mit au monde une ravissante petite fille Lucie, ma sœur pour mon père.

A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
J’adore ce genre d’histoire ????
Posté le 14/07/2024

lachatte12
Je commence à comprendre les capacités sexuelles de Patrick
Posté le 21/04/2021


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