Charlotte et son examen du cul 2

L’examen de Charlotte continue, son docteur va essayer de la détendre au maximum afin d’arriver à ses fins. Charlotte continue de découvrir les plaisirs qu’elle ne pensait pas possible . Elle est sous le charme de son collègue qui lui procure une grande excitation. Personne n’a jamais posé ses mains sur ses fesses, encore moins dedans.

Proposée le 12/04/2021 par Cococharlotte5

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

J’essaye d’avancer mon bassin le plus loin de lui afin d’essayer d’échapper à cet examen douloureux mais je suis bloquée par le coussin. Je retiens mon souffle. Il me serre plus fort la gorge, attend quelques instants que ma tête me tourne et je sens la deuxième partie de son doigt commencer à forcer mon anus.

SUITE

Une douleur me brûle entre les fesses. Je n’ai jamais ressenti cette sensation. Je me contracte sous l’effet de ce doigt qui me pénètre.

_ Détend toi ma belle, je vois que t’es résistante et que tu ne veux pas céder sous un doigt, je n’imagine pas le reste.
Je vais devoir te faire lâcher prise un peu plus douloureusement mais ça va t’aider à complètement me détendre. Le suppositoire va t’aider également.

Je me contracte totalement, j’hésite à lui demander d’arrêter, et cette sensation unique monter un peu plus. L’envie, la honte, je mouille de plus en plus. C’est flou dans ma tête, je ne suis plus capable de penser.

_ C’est parti ma belle.
Je sens la deuxième moitié de son doigt s’enfoncer totalement et rapidement jusqu au bout de son doigt contre mes fesses.
Je pousse un petit cri, puis je sens mes jambes mes lâcher totalement, je ne pourrais pas bouger même s’il ne me tenait plus. Je ne peux plus penser pendant quelques instants. Je suis relâchée musculairement.
Je pense uniquement à la sensation que j’ai entre les fesses. Je sens bien son doigt m’écarter, ça me brûle.

_ Voilà ma Charlotte, c’est ça, tu te prends ton premier doigt entre les fesses, je vais t’obliger à te décontracter, je vais te regarder pendant un petit instant.

Je suis en train de me frotter, je mouille pas mal, et j’ai vraiment le feu partout. Mon vagin se contracte dans l’attente d’attention et de quoi se soulager.
Mon cul est un volcan. Je n’aurai pas imaginé cette sensation. Mes tétons sont durs à m’en faire mal, le frottement du tissu dessus m’excite.
Je gémis doucement entre douleur et plaisir, je remus mes fesses morte de honte qu’il me regarde.

_ Tu es serrée comme la petite vierge du cul que tu es. Tu me donnes envie de toi.

Il se passe plusieurs minutes, ou je reste prisonnière de son doigt et de son regard. Il me caresse les cheveux.
Puis au bout d’un instant, il me dit:

_ C’est bien ma petite coquine, tu te détend, mais je ne trouve pas assez.
Je vais te faire une injection afin de t’aider à te détendre. Ça te facilitera la suite et ça agira sur ton mal de ventre.

Je me contracte à nouveau car j’ai vraiment peur des piqûres. J’essai d’avancer mes fesses vers le coussin.

_ Ma petite chatte n’aime pas les piqûres apparement. Tu vas voir l’aiguille est assez longue mais tu vas être courageuse et ne pas couiner trop fort.
_ Je vais retirer mon doigt, tu vas voir ça procure aussi des sensations différentes, mais puisque tu t’es contractée à nouveau, tu vas avoir un peu mal.

Il m’embrasse sur la tête et commence à sortir son doigt. Ça me fait mal et j’ai hâte qu il sorte.
_ Le suppositoire est bien en place.
Il se dégage et me laisse attachée sur le lit à sa hauteur, les fesses nues.
Je l’entends préparer l’enjection.
Il revient vers moi. Je sens un liquide froid sur ma fesse.
Il me pince la peau d’un main. Je ne veux pas de cette injection mais je suis toujours sous l’effet de cette première pénétration anale, je n’ai plus la force de bouger, ni même ouvrir les yeux.

_ Prends une inspiration et j’y vais.
Je ne peux même pas faire ce qu’il m’ordonne. Au bout de quelques secondes, je sens son doigt se balader sur le haut de mes fesses, ça me donne des frissons. Il se rapproche progressivement de ma petite chatte mouillée, il effleure mes lèvres. C’est la première fois qu’il me touche cette zone, endolorie par l’envie et le besoin d’être caressée et pénétrée.
Une envie irrépressible me submerge et je recommence à me frotter langoureusement, je fais aller mon bassin d’en avant en arrière sur le coussin, je peux faire aller et venir le tissu sur mon clitoris gonflé. Il ne demande qu’à être touché, il n’en peux plus. Il me fait mal.

_ Je vois que l’excitation monte d’un cran entre cette magnifique paire de jambes.
Tu m’offres un spectacle magnifique.

Ses doigts se rapprochent au fur et à mesure de l’entrée de mon vagin, en m’effleurant, je me frotte de plus en plus.
J’ai tellement envie qu’il me glisse ses doigts en moi, c’est comme devenu un besoin. Je n’en peux plus. Je gémis en patientant de plus en plus difficilement.
C’est de la torture délicieuse.
Encore une découverte pour moi.
Je ne me suis jamais comportée de la sorte avec personne. Je suis plutôt timide et réservée. Mais le désir qui monte en moi m’oblige à me donner en spectacle devant mon collègue.

A ce moment là, il me dit:
_ Tu ne crois tout de même pas que je vais soulager ton vagin de la sorte.
Je t’ai dit de m’écouter et que tout se passerai bien.
Tu n’es pas très sage.
Lorsque je demande quelque chose à ma patiente, j’aime qu’elle m’obéisse.
Alors si tu veux que je soulage ta petite chatte qui ne demande que ça, ne bouge plus et prend une grande inspiration.

Je ne peux me résigner à stopper ma montée vers le plaisir, ni m’arrêter de me frotter.
Je sens un doigt qui me touche plus franchement et qui se dirige vers mon petit trou.

_ Charlotte si tu ne m’écoutes pas , je vais devoir encore une fois te forcer à le faire.
Je vais recommencer à te doigter les fesses avec mon doigt jusqu à ce que tu prennes cette inspiration.
Je ne veux pas que tu aies mal avec l’injection, fais ce que je te dis.

Je sens son doigt faire le tour de mon anus, en appuyant de plus en plus.
Je sens couler du liquide sur le haut de ma raie. Le liquide est froid et commence à glisser vers le bas doucement. Je sais qu’il va lentement atteindre mon anus et ça m’exite et me fait peur à la fois, je frissonne.
Son doigt me caresse toujours.
Je continue à me frotter en respirant de plus en plus fort.
Lorsque le lubrifiant glisse sur mon petit trou, je sens son doigt l’étaler et glisser pile dessus, par de légères pressions, il forçait mon cul à s’ouvrir. Je m’arrête de bouger car je ne veux pas qu’il recommence, j’ai toujours mal.

_ Je vois que l’idée de recevoir mon doigt n’a pas l’air de te plaire. Il n’en tient qu’à toi.
Je suis partagée dans mes envies, j’ai envie de recommencer l’expérience, portée par mon désir et en même temps, j’ai toujours mal. Mais je n’ai pas envie d’être piquée.

_ Puisque tu n’es pas docile, tu vas te prendre mon doigt les fesses bien serrée comme tu as l’air de le demander.

Avec sa main libre, il me ressera les jambes rapidement et viens écarter mes deux pêches à l’aide de ses doigts au niveau de mon petit trou.
Je sens son doigt qui s’enfonce plus rapidement que la première fois et mon souffle se coupe lorsqu’il arrive jusqu à la phalange. Je ne respire plus à cause de la douleur. Il ne bouge plus.

Après quelques secondes je reprends ma respiration en inspirant très fort.
Je sens son doigt sortir de mon anus, m’arrachant un petit gémissement de douleur, mon cul est en feu, comme ma petite chatte.
Je relâche mes poumons et à ce moment là, je sens une vive douleur dans ma fesse droite, l’aiguille de l’injection traverse ma peau fine et s’enfonce en moi. C’est assez douloureux et je ne bouge pas du tout.
Je sens le liquide se répandre dans ma fesse, ça me pique.

En même temps qu’il m’injecte le décontractant, il me dit:
_ C’est bien ma belle. C’est bientôt fini.
Tu vois que même si tu ne fais pas ce que je te demande, j’arrive à te faire plier et je te répète qu’il vaux mieux pour toi être plus docile.
Ce doigt t’a permis de le réaliser je pense.

D’un coup sec, il retire l’aiguille, puis m’applique à nouveau liquide froid sur la zone endolorie par l’injection. Il me masse doucement la zone. Ça me fait mal.
Puis tout doucement, il écarte à nouveau mes jambes, il se penche sur moi et me prend les tétons entre les doigts. Il m’embrasse dans le cou.
Mes tétons sont reliés directement à mon entre jambe et ce traitement fait tout son effet partout dans mon corps.

Après la douleur de l’injection vient une délicieuse sensation de plaisir qui monte.
Je sens une chaleur m’envahir les deux fesses, puis mon bassin, le haut de mes jambes. Je me relaxe totalement, je me sens perdre le contrôle petit à petit, ça me fait peur mais cette impression de planer me plaît en même temps. Je suis beaucoup plus relaxée.

Je continue à me frotter et comme je ne ressens que plaisir et chaleur à ce moment là, je pense à mon charmant médecin qui s’occupe de moi. Depuis le temps que je le matais, je n’en reviens pas.
Il continue de s’occuper de mes tétons et respire au niveau de ma nuque. Je suis aux anges. Cela dure environ 15 minutes.

15 minutes de pure plaisir ou le désir et la frustration de n’avoir rien en moi grandissent. Le plaisir de me frotter et la honte ressentie également.

Les caresses de cet homme expérimenté me procurent de délicieuse sensation. Il s’occupe de moi à merveille et m’envoie dans un monde inconnu pour moi jusqu à présent. Je plane totalement et profite de cet instant unique.

_ Je pense que tu es prête à présent pour les examens que j’ai besoin de te faire subir.

Il relâche mes tétons prisonniers de ses doigts. Une douleur s’échappe de mes tétines jusqu à l’ensemble de ma poitrine, je me frotte d’avantage afin de faire passer cette douloureuse sensation.

Je l’entends préparer à nouveau quelque chose derrière nous et revenir derrière moi. Je ne m’habitue toujours pas à ce moment ou je suis nue, les cuisses ouvertes devant les lui, et qu’il me regarde sans rien faire.
Heureusement le relaxant m’aide à ne pas trop y penser et je me focalise sur le plaisir.
Je sens un liquide froid sur mon anus directement.

_ Je vais t’enfoncer un petit spéculum entre tes fesses. Je pourrais ainsi voir si tout va bien. Ce n’est pas agréable mais ça ne va pas durer longtemps.
Je vais t’ouvrir un peu plus le cul afin de te soumettre totalement à moi.

Ces paroles m’excitent et m’effraient à la fois.
Je sens un objet se positionner sur mon petit trou.
_ Bien entendu le spéculum est un peu plus large que mon doigt. Mais tu vas être une bonne petite chatte soumise et tu vas accepter sans te contracter l’intromission entre tes fesses.
Sinon je serai obligé de t’y contraindre à nouveau, pour mon plus grand plaisir, mais je pense que tu m’as compris.

La tension monte et à l’écoute de ses paroles, je me suis déjà légèrement contractée. J’ai peur qu’il le remarque et sois plus sévère après ça.
_ Comme la pénétration va être un peu plus douloureuse, je vais t’aider.

Il saisit à l’aide d’une de ses mains mon sein droit et le malaxe doucement.
Je ne vais pas non plus te faciliter les choses en touchant ton téton.

Je sens contre mes fesses l’objet froid, faisant des petits cercles afin d’avancer en forçant mon anis à s’écarter progressivement.

La douleur lancinante que je ressens depuis tout à l’heure se réveille et l’ouverture de mes fesses se fait dans le plaisir et la douleur.
J’ai l’impression que je me soumets totalement et ce lâcher prise est très agréable je dois le reconnaître.
Il avance doucement mais sûrement. L’objet froid me pénètre centimètre par centimètre, il est doux et ferme à la fois, ce qui me laisse le temps de savourer chaque sensation que me procure cette pénétration.

Passée la moitié de l’objet, la taille augmentant je me crispe. Il le remarque aussitôt.

_ Et bien Charlotte, tu te resserres. Est ce que c’est pour mieux sentir ou bien serais tu encore craintive ?
Il s’arrête et lâche mon sein.

_ Je comprends que tu aies mal, mais tu dois te relâcher encore plus.
Pense à mon gros sexe durcit dans mon caleçon qui aimerait tant être à la place de ce spéculum.

Lorsqu’il prononce ces paroles, il reprend l’écartement de mon cul et me force à le prendre entièrement. Ma respiration s’accélère. Je sens mon cœur dans mon petit sphincter contraint et soumis.

Lorsqu’il arrive à la fin de l’introduction, il me dit à l’oreille :
_ J’ai compris que tu es gênée lorsque tu est offerte devant moi et que je te regarde. Surtout avec quelque chose planté dans tes fesses.
Nous allons devoir travailler ça.
Je vais tourner une molette qui t’ouvrira un peu plus à chaque demi tour. Et progressivement ton cul va s’habituer et s’ouvrir.
Je vais te mordre les tétons avec de petites pinces puis jouer avec eux.
À chaque gémissement de ta part, tu auras le droit à un demi tour entre tes fesses jusqu à ce que tu sois assez ouverte pour recevoir mes deux doigts dans ton petit cul de chatte excitée.
Plus tu gémiras, plus ça ira vite et plus tu auras mal.
Je vais réussir à te faire totalement céder.
Je vais devoir enfoncer loin mes doigts afin de pouvoir te palper pour l’examen de manière efficace.
Je glisserai également deux autres doigts au fond de ta chatte pour bien sentir les parois des deux organes. Ça va te soulager également, je sais que tu attends ce moment depuis bien longtemps. Bien avant que mes mains ne se posent sur toi.

Tu fantasmais sur moi petite coquine, je suis derrière toi à présent et j’adore te voir t’offrir à moi. Je bande comme un âne.
Je vais t’examiner si profondément que tu vas me supplier de prendre un autre rendez vous.

Je ne suis pas préparée à ça et je me contracte encore plus fort. Ce qui me fait ressentir encore plus de douleur et de peur.
En même temps j’adore tellement qu’on s’occupe de mes tétons, et cette situation de patiente soumise commençait par me séduire.
Il me plaît de plus en plus, la gentillesse alterne avec la sévérité. Il est attentif et dur à la fois.
Je me frotte sur la petite trace de mouille qui s’est formée sur le coussin à force de me frotter dessus, les fesses remplies par le spéculum. Ma chatte ne peux plus attendre, elle demande des caresses, et se faire remplir.
Je fantasme sur ses doigts qui vont prendre possession de mon entre cuisse. J’en frissonne par avance.
J’ai peur de ma réaction face aux pinces à seins, je panique car je sais à quel point je suis sensible, et si j’échoue, me prendre ses deux doigts me fait frémir. En même temps une petite partie de moi commence à peut être avoir envie de cela. Je suis perdue, je ne sais plus quoi penser.

Il attrape la première pince et je sens glisser sa main sous ma poitrine, il remonte sur un sein, touche mon téton, puis rapproche la seconde main tenant la pince. Il se place juste autour de mon téton tout en la maintenant afin que ça ne me serre pas immédiatement.

_ Un gémissement et je t’augmente la taille de ton cul, souviens toi.
Malheureusement pour toi, j’aime voir les petits culs gigoter devant moi, j’ai réglé la taille du serrage des vis sur la moitié.
J’ai encore été soft pour te laisser une chance, mais je dois avouer que j’ai terriblement envie de t’entendre gémir et t’enculer avec deux doigts.
Sur ces mots il lâche la pince qui se reserre sur mon téton.

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