Suite et fin de pa première saison. “Tu aimeras ton prochain comme toi-même “. V démontre ses capacités de pute de luxe et s’engage à revenir le week-end suivant pour une soirée exceptionnelle. Jusqu’ici, l’histoire relate des aventures bien réelles. À partir de la saison prochaine, nous serons plus dans les fantasmes.
Proposée le 7/04/2021 par Chab
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Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Roman
Tu aimeras ton prochain comme toi-même / 5
Pute de luxe – suite et fin
Tu hésites quelques secondes. Tu aimerais avoir mon autorisation, mais je suis resté au salon. Je chatte sur WhatsApp avec une de tes rivales. Tu t’en doutes et tu m’en veux. Alors, moitié par défiance à mon égard, moitié parce que le projet t’excite, tu dis oui. Et puis, 2'000 francs par personne, ça n’est pas rien…10'000 s’ils sont cinq. Tu te dis qu’à ce taux-là, tu pourrais rapidement t’acheter un appartement en vielle ville de Berne. Et tu songes déjà à y aménager un donjon que tu louerais… avec une caméra cachée pour filmer les couples sado-maso qui viendraient y assouvir leurs fantasmes…
- Ja, Meister, das mache ich gerne. Ich liebe es, die Sklavin von mehreren Männern zu sein. (Oui, Maître, je le fais volontiers. J’aime être l’esclave de plusieurs hommes)
- Es werden auch eine oder zwei Frauen dabei sein, sourit-il. (Il y aura aussi une ou deux femmes)
- Ich mag es auch, von Frauen, insbesondere älteren Frauen, dominiert zu werden. (J’apprécie aussi d’être dominée par des femmes, surtout si elles sont plus âgées).
Il se lève. L’eau dégouline de tout son corps massif et poilu. La conversation l’a inspiré. Son sexe est à moitié dressé. Sans réfléchir, tu saisis une serviette et l’essuie soigneusement, sans oublier naturellement son sexe, ses couilles et son derrière qu’il a plutôt plat et tout aussi poilu que le reste. Mais l’autorité que l’homme rayonne te fait tout oublier. Tu n’as de souci que de le servir et de le satisfaire.
Une fois séché, il t’indique la direction de la chambre à coucher et te demande de l’attendre assise sur le lit en te masturbant. « Ein Dildo steht auf dem Betttisch, précise-t-il. Und auch ein Blindfold » (Il y a un gode sur le lit. Et aussi un bandeau). Tu jettes un regard vers moi en traversant le salon. Alerté par le bruit des talons, j’ai levé la tête de mon téléphone.
- Tu es splendide, out of this world, awesome, te complimenté-je.
- Love you, dis-tu simplement sans t’arrêter.
Tu as pris pleinement conscience du bonheur que t’apporte la servitude des autres, même et peut-être surtout dans ses aspects les plus sordides : lorsqu’il s’agit de servir presque sans limite les désirs d’un ou d’autres personnes et de leur procurer une jouissance infinie. Tu marches fièrement. Tu es fière de ce que tu as réalisé jusqu’ici ce soir, et tu es confiante en toi : tu sauras être la meilleure pute de luxe. L’homme n’avait pas menti : un gode violet assorti à la guêpière trône sur la table de chevet. Tu le saisis, t’installes confortablement sur l’immense lit recouvert d’une couverture en soie, violette également, fixe le bandeau autour de ton visage, écarte ton string et enclenche la fonction clito du sex toy. La vue bouchée, tu apprécies chaque sensation, espérant que d’autres yeux t’observent. « J’aime m’exhiber, songes-tu en retenant un râle de plaisir. »
A plusieurs reprises, tu frôles l’orgasme. Mais tu te retiens. Soudain, tu sens une main qui saisit ton sein droit. Quelque chose de dur frappe à ta bouche. Tu l’ouvres. Tu le suces en te masturbant, ce qui t’excite prodigieusement. Après quelques minutes, il quitte ta bouche, subtilise le vibromasseur et écarte tes jambes. Tu te laisses faire. Son sexe est maintenant à l’orée de ta chatte. Il te pénètre en douceur, puis reste immobile en toi. Tout son poids, conséquent, repose sur ton corps. Il colle sa bouche sur la tienne, puis retire ton bandeau. La vue de ce vieil homme ridé, lourd, gros, te possédant, t’aurait dégoûtée en temps normal. Mais ce n’était pas un moment normal. Tu lui rends son baiser et ferme les yeux. Tu te concentres sur les sensations agréables que diffuse son sexe dans tout ton corps. C’est juste bon.
L’Allemand entame son va-et-vient, étalé de tout son long sur toi. Tu as de la peine à respirer, mais le plaisir qui monte de ton vagin te fait tout oublier : ce corps vieux et peu ragoûtant, les punitions et humiliations subies, et celles auxquelles tu t’es engagée pour le samedi suivant. Seul le plaisir compte pour le moment, et peu importe ce qui le provoque. Il joue maintenant avec le rythme, alternant des séquences slow avec des séquences rock et même techno. Tu aimes cette variété. Tu t’abandonnes. Tu es au bord de l‘extase.
Essoufflé, il se relève et se retire de toi. Il se couche sur le dos. Son sexe pointe vers le ciel comme un pylône de ligne à très haute tension. Naturellement, sans réfléchir, tu le montes. « Du hast fünf Minuten zum Kommen, murmure-t-il. »(Tu as cinq minutes pour jouir). Il t’en faudra moins de deux. Les feux d’artifice éteints, tu quittes ta position et entreprends de sucer et lécher son sexe toujours bien dressé et ses couilles gonflées. « Leck mein Arsch, ordonne-t-il tout en sachant que tu avais explicitement exclu cette délicatesse de la panoplie des plaisirs que tu étais prête à offrir. Ich gebe dir 1'000.- Franken mehr, ajoute-t-il, remarquant ton hésitation.» (Léche mon cul. Je te donne 1'000.- francs de plus). Tu n’hésites plus. Ton visage plonge dans son cul et tu lèches sans réserve son trou du cul qui fleure bon la lavande. Il râle de bonheur et t’insulte.
« Jaaaa, so ist es, so macht’s die gute Hure. Tiefer, Sklavin, steck’ deine Zunge tief rein, Schlampe, so mag’ ich es.» (Oui, comme ça, tu fais ça bien, pute. Plus profond, esclave, enfonce bien ta langue, salope, c’est comme ça que j’aime.) Tu obéis, tu te concentres. Il se masturbe pendant que tu lèches son cul. Tu te demandes s’il va jouir comme ça. Mais, tu t’en doutais, l’homme a des ressources. Et de l’imagination. « Auf alle vier, ordonne-t-il soudain. » Son ton autoritaire trahit un besoin urgent d’enfoncer sa bite en toi. Tu te mets à quatre pattes, prête à le recevoir. Tu espères qu’il choisisse cette fois ta chatte pour se soulager. Tes espoirs ne sont pas vains.
Il t’embroche d’un coup d’un seul, et entame une course frénétique dans ton sexe toujours abondamment lubrifié. C’est Le Mans, Monte-Carlo, Monza. Il accélère en te fessant et en hurlant : « Ja, Schlampe, ich fick dich wie eine Hundin. Du bist meine schmutzige Hure, meine Sklavin, du gehörst mir, Scheissfickstück!» (Salope, je te baise comme une chienne. Tu es ma sale pute, mon esclave, tu m’appartiens, petite merde à baiser). C’est en hurlant ces insanités qu’il jouit une troisième fois, dans ta chatte cette fois. Tu as presque joui une nouvelle fois toi-même. Mais tu sais te réjouir de l’orgasme de ton partenaire même sans jouir toi-même. Il s’écrase sur ton dos, comblé, dévasté. Tu t’affales sur le lit, épuisée, satisfaite. Tu es satisfaite parce que tu estimes avoir mérité ton salaire. Et, plus important encore, parce que le vieil homme aussi estime que tu as mérité ton salaire.
Je vous observe de l’encadrement de la porte, un sourire narquois aux lèvres. Tu es belle. Je t’aime plus que jamais. L’inconnu se dégage péniblement, se dirige vers une armoire et en sort un billet de mille qu’il me tend. « Sie ist ausgezeichnet. Wir sehen uns wieder nächsten Samstag. » (Elle est excellente. On se revoit samedi prochain.) Puis il se couche sur le lit, sur le dos, complètement détendu, et s’endort immédiatement.
Toi aussi, tu sors de ta torpeur. Tu te précipites dans mes bras et je t’enlace en te serrant très fort.
-Tu es extraordinaire. J’ai adoré chaque moment de cette soirée. Je t’aime, te murmuré-je à l’oreille.
- C’était tellement fort… Des larmes coulent sur tes joues. Je lui ai promis de revenir samedi prochain pour une session encore plus extrême… Je ne sais pas si je peux…
- Bien sûr que tu peux. Tu peux tout. Tu es la femme la plus extraordinaire de la planète.
Tu te serres contre moi et m’embrasses avec plus d’amour que personne ne m’a jamais donné.
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