Le jour où...(4) Épilogue

En revenant du travail Marc et moi découvrons la bisexualité de nos épouses. Nous leur dévoilons la nôtre de manière inattendue pour elles et notre quatuor passe d'excellents moments. Nos élixirs corporels coulent à flots dans des ébats homme/femme, femme/femme et homme/homme. Notre bisexualité va évoluer et nos vies prendre un nouveau départ.

Proposée le 28/03/2021 par beagle

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Thème: Couple, passion
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Février. Nous sommes au cœur de l’hiver. Il fait parfois un froid arctique certains jours mais cela s’accompagne d’un ciel bleu sans nuages et d’un soleil resplendissant. Il fait bon passer du temps à l’extérieur à marcher, patiner, jouer au hockey, faire du ski ou se promener dans la forêt en raquettes ou en skis de fond. D’autres apprécient suivre les chemins balisés pour motoneiges et découvrir de beaux paysages. On voit beaucoup de pêcheurs sur la surface glacée des lacs et rivières, attendant que le poisson morde.

Aujourd’hui il y a une tempête de neige. La météo prévoit qu’il tombera au moins trente centimètres d’une neige froide et poudreuse. Rien de catastrophique, nous sommes habitués, au Québec les municipalités disposent de tout l’équipement lourd nécessaire pour garder les rues et routes continuellement dégagées lors des tempêtes de neige. Marc et moi habitons à quelques rues l’un de l’autre dans un quartier de bungalows d’une banlieue typique nord-américaine. Le bureau n’est qu’à quelques minutes en voiture de nos domiciles. D’ordinaire nous prenons le bus pour aller au travail, mais ce matin avec le vent froid et la neige qui tombe fort, attendre un bus n’est pas particulièrement agréable. J’appelle Marc pour lui dire que je passerai le prendre en voiture.

Nous constatons en arrivant au bureau qu’il y a peu d’employés sur place. Les conseils scolaires ayant décidé de ne pas ouvrir les écoles, beaucoup de parents sont restés à la maison et font du télétravail. Depuis le début de l’hiver nous travaillons surtout au bureau, préparant des projets pour le printemps, qui arrivera ici lorsqu’au mois d’avril les dernières neiges fonderont et que les crocus se risqueront hors du sol. La tempête fait toujours rage lorsque nous quittons le bureau à seize heures.

Je reconduis Marc chez lui et j’aperçois la voiture de ma femme Josée stationnée dans l’entrée du bungalow. Marc m’invite à aller prendre un verre avec nos femmes. Est-ce le bruit du vent ou la neige qui assourdit les sons, toujours est-il que personne ne vient à notre rencontre lorsque nous entrons, malgré le bruit de la porte et le petit « bip » du système d’alarme désamorcé. On se dit que les femmes doivent être au sous-sol à s’occuper à quelque chose. Nous entendons toutefois des sons provenant de la chambre à coucher. Je fais signe à Marc de ne pas faire de bruit puis je m’approche doucement de la pièce.

Je ne m’attendais pas à ce spectacle! Nos femmes sont nues, étendues sur le lit et se font un « 69 » avec une grande concentration. J’ai l’impression que mon cœur va arrêter mais je me ressaisis vite. Quoi, nos femmes bisexuelles??? Je retourne vers Marc puis l’informe à voix basse de ma découverte. Ses yeux s’écarquillent mais il ne dit pas un mot. Que fait-on? On se regarde dans les yeux un bref instant. On se comprend sans prononcer un mot. Le secret de notre passion se termine maintenant! On se dévêt en silence, on se frotte un peu pour stimuler nos sexes puis on fait notre entrée dans la chambre à coucher.

-Hum hum, on en apprend de belles! dis-je à l’intention des deux amantes qui se séparent en vitesse au son de ma voix. L’effet de surprise est tel que pendant quelques instants, on aurait dit qu’elles ne s’étaient pas rendu compte que leurs hommes étaient nus. Je m’abas sur le lit entre les deux femmes, le membre bien dressé offert à l’appétit de Marc qui se jette dessus comme une bête affamée, sous le regard ébahi de nos compagnes.

-Mais qu’est-ce que… finit par bredouiller Catherine, la compagne de Marc.

Marc se retira momentanément de mon sexe pour lui répondre :

-Mais tu vois bien Chérie, je mange la queue de François! Et comme tu vois, il en a une belle!

-Je rêve ou quoi dit Josée, ça ne se peut pas, vous faites ça pour nous braver, nous humilier, vous n’êtes pas…

-Ben oui dis-je à Josée, tout en contemplant mon barbu préféré en train de me lécher les couilles, on est bisexuels! Te souviens-tu l’été dernier quand tu étais chez ta sœur à Toronto? Je t’avais appelé le samedi pour te dire que Marc et moi n’avions pas pu rentrer à la maison la veille à cause de gros orages et qu’on avait passé la nuit dans un motel, eh bien c’est ce soir-là qu’on a découvert notre bisexualité. Toi et Catherine, ça fait longtemps?

Josée prit un moment à me répondre puis m’avoua :

-Bien, ça fait longtemps, des années. Un coup de foudre, dès le premier jour où nous nous sommes rencontrées à l’université… mais au début on pensait être lesbiennes puis on s’est aperçu qu’on aimait aussi les hommes. Ensuite, on vous a rencontrés et malgré les enfants, le travail et la vie de famille toutes les deux nous avons toujours trouvé le temps de s’aimer. C’est encore plus agréable depuis que nos enfants ont quitté la maison pour faire leur vie. Mais là, de te voir te faire sucer par Marc ça frappe!

-Sur le coup en vous voyant arriver j’avais l’impression que je venais de foutre toute ma vie de couple en l’air, ajouta Catherine en regardant amoureusement Josée en même temps, mais là de voir nos hommes baiser ensemble ça commence à m’exciter!

Au moment où elle terminait sa phrase, je jouis et je badigeonnai copieusement la bouche de Marc. Il prit tout ce que mon membre lui donna et se pencha sur moi pour m’embrasser, échangeant un peu de sperme. Il embrassa ensuite les deux femmes, leur faisant goûter ma semence fraichement éjaculée. Josée en avait l’habitude, mais c’était une première pour Catherine.

Me tournant sur le côté, je relevai une jambe que je plaçai sur l’épaule de Marc qui me pénétra doucement. Je sentis bientôt la douce sensation du contact des poils de ses testicules à chacune de ses poussées à l’intérieur de moi. J’en profitai pour explorer avec ma bouche le sexe de Josée qui me présentait ses petites et grandes lèvres. Elle émit un cri de jouissance absolu lorsque ma moustache se frotta sur son sexe et elle me la couvrit de son jus à elle. Sans être une femme fontaine Josée ouvrait quand même généreusement ses vannes quand elle était suffisamment stimulée. Catherine lui succéda et tout en la torturant de ma pilosité faciale j’en profitai pour découvrir avec ma langue tous les replis de son antre d’amour en espérant pouvoir y faire bientôt entrer mon membre. Ma moustache devint bientôt imbibée de son élixir féminin. Très excité, Marc ne put se retenir bien longtemps et explosa en moi à grandes giclées, m’inondant de ses petits nageurs olympiques.

-Ouf! dit Catherine, jamais je n’aurais imaginé en me levant ce matin que je finirais la journée avec Josée et nos hommes de cette façon.

-La journée n’est pas encore finie mon cœur, lui répondit Marc. Mais pour l’instant, j’ai faim. Qu’est-ce que vous diriez qu’on passe tous sous la douche avant de manger?

La douche étant particulièrement spacieuse chez Catherine et Marc, nous y étions assez confortables même à quatre. La séance de nettoyage fut entrecoupée de quelques jeux sexuels homme/femme, femme/femme, homme/homme.
Catherine prit mon sexe en bouche pour la première fois et il faut croire que la recharge de mes vésicules séminales s’était faite rapidement car je réussis à lui procurer une quantité raisonnable de semence. Elle absorba tous mes petits nageurs qui allaient cependant bientôt rejoindre son estomac plutôt que de compétitionner pour un ovule. Elle resta à genoux et se retourna pour lécher les testicules de Marc dont le sexe était bien enfoncé dans Josée pendant que j’entrepris de stimuler la prostate de celui-ci avec mes doigts accélérant son éjaculation.

Le repas terminé nous nous habillâmes et allâmes marcher dans la tempête. Le froid et la neige nous stimulèrent à revenir au lit. Marc et moi pénétrèrent nos compagnes qui frémirent au contact de nos testicules refroidis sur leur vulve.

Au bout d’un moment je me retirai de Josée. Marc comprit que je désirais pénétrer sa compagne. Catherine m’accueillit en elle avec bonheur. Les jambes relevées, son corps se cabra lorsque j’entrepris de lui lécher les mamelons tout en m’enfonçant profondément dans son sexe, les mains sous ses fesses. Josée chevauchait Marc avec vigueur, elle se retirait puis s’empalait de nouveau, le membre durci luisait, lubrifié abondement par son élixir que Marc entretenait en excitant adroitement son clitoris. Toute bonne chose ayant une fin, elles furent inondés de semence presqu’en même temps. Tous s’endormirent, le corps apaisé.

Épilogue

Il y eut plusieurs autres moments de plaisirs entre nos deux couples dans les mois qui suivirent mais une lassitude finit par s’installer. Nos prouesses à quatre s’espacèrent. Marc me confia que Catherine n’avait plus autant de désir pour lui et qu’il éprouvait maintenant de l’amour envers moi. Je lui répondis que moi aussi je voyais à présent plus clair. Josée l’avait remarqué dans nos derniers ébats alors que j’avais accordé bien plus d’attention au corps velu de Marc et avait aussi compris que Catherine la voulait à elle à présent. Nos couples se brisèrent pour se reformer autrement, au très grand étonnement de nos enfants qui acceptèrent tout de même la situation. Nous restions leurs parents malgré tout!

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