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Fantasme candauliste d'un homme marié. Épilogue.

Alors que sa femme se fait prendre par deux hommes sous ses yeux de mari soumis, il se remémore les origines de son fantasme. Sa femme prend ensuite un plaisir sadique à le faire souffrir de jalousie alors que son amant la prend par derrière...

Proposée le 3/05/2019 par Sanbun

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Cela fait des années qu’il fantasme de voir sa femme faire baiser par d’autres hommes. Le mot baiser est ici important. Il ne fantasme pas qu’elle fasse l’amour avec un autre. Non, ce qui l’excite, c’est qu’elle se fasse prendre, baiser, défoncer par d’autres que lui. Adolescent, il avait été marqué par la vision du film « Crash » de David Cronenberg. Ce film sorti en 1996 n’est pas un film mémorable de la carrière du réalisateur de « La Mouche » et n’a certainement pas marqué l’histoire du cinéma. Mais il avait été impressionné par les scènes de sexe mettant en scène la superbe Deborah Kara Unger. Dans l’une d’elle, son mari à l’écran lui fait l’amour pendant qu’elle lui narre le récit de sa dernière expérience sexuelle avec un autre homme. Dans une autre, elle se fait prendre brutalement par un homme sur la banquette arrière d’une voiture pendant que son mari, assis à la place conducteur, observe la scène sans un mot dans le rétroviseur. Il avait trouvé ces situations particulièrement excitantes, et avait revu ces scènes de sexes plusieurs fois. Il ne s’en était pas rendu compte à l’époque, mais elles l’avaient durablement marqué. Bien des années plus tard, quand il rencontra l’amour de sa vie, il eu très rapidement le fantasme d’imaginer sa future moitié se faire baiser par d’autres hommes que lui. Il n’avait pas honte de ce fantasme, bien qu’il le trouvait étrange et singulier. Il était persuadé que peu de ses contemporains le partageaient. Il ignorait d’ailleurs que ce fantasme portait un nom tirant son origine d’un roi légendaire de Lydie. Quelques années plus tard, il découvrait par hasard sur internet les mangas pornographiques japonais. Nombre de ces récits décrivaient la vie d’une épouse dévouée à son mari et qui découvrait, souvent par la force, son potentiel sexuel avec d’autres hommes que son mari. Elle finissait à chaque fois par y prendre goût et devenait progressivement l’esclave sexuelle consentante de son amant. Le mari quant à lui finissait presque toujours par découvrir sa femme et son amant en pleins ébats. L’humiliation subie le plongeait alors soit dans la résignation, soit dans la soumission aux désirs de son épouse. Les mêmes thèmes étaient mis en scène dans les films pornographiques nippons. Regroupés sous les termes « netorare » ou « cuckold », ces films ont une véritable dimension dramatique et laissent l'intrigue se développer. Ils mettent la plupart du temps en scène une jeune épouse, dévouée aux tâches ménagères et fidèle à son mari. La vie sexuelle du couple se limite à des rapports presque chastes. Soudain, un autre homme, parfois un collègue du mari ou le père de celui-ci, prend de force l’épouse dans le domicile conjugal. Elle prend progressivement goût aux assauts de son amant et finit par se libérer sexuellement. La dernière scène voit généralement le mari rentrer prématurément chez lui et découvrir sa femme se faire baiser sous ses yeux. Il tente de protester mais se fait dominer par l’amant, plus fort et vigoureux. Le mari se retrouve ligoté dans un coin de la pièce, témoin forcé de l’orgasme de sa femme avec un autre. La qualité des prises de vues, la véritable beauté de certaines actrices et l’aspect dramatique du scénario, de même que le réalisme des scènes de sexe, bien loin des scènes hard désincarnées de la pornographie occidentale, l’excitaient particulièrement. Ces films japonais matérialisaient ainsi son fantasme candauliste. Il se prenait à rêver d’être à la place du mari humilié dans un coin, contraint de voir sa femme prendre du plaisir à se faire baiser sous ses yeux.

Et voilà que ce soir, son fantasme se réalise. Il est là où il avait toujours désiré être. La seule différence est que c’est lui qui est à l’origine de tout ça. C’est lui qui a poussé sa femme à le tromper et c’est encore lui qui s’est invité dans la chambre des amants. Mais le résultat est identique. Il est même au-delà de ses espérances. Il est dans un coin, humilié, et sa femme prend un plaisir indicible à se faire baiser à tour de rôle par deux hommes sous ses yeux de cocu soumis. Elle venait de connaître l’orgasme le plus intense de son existence et était maintenant occupée à engloutir une nouvelle fois le sexe de l’invité. Elle s’appliquait à la tâche dans le seul but d’exciter son amant et lui prouver qu’elle était la femelle la plus désirable. Elle ne voulait perdre sa place de favorite pour rien au monde, mue par son instinct de femelle à se reproduire avec le mâle dominant du groupe. Elle pompait le sexe de l’invité encore et encore, puis l’encourageait à s’enfoncer dans sa gorge. Elle se retrouva finalement couchée sur le dos, la tête légèrement renversée sur le bord du lit. L’invité se trouvait quant à lui debout les pieds sur le sol, prenant appuis d’une main sur le matelas tandis que l’autre tenait fermement le cou de la femelle. Dans cette position, elle était totalement à sa merci et il en profitait pour s’enfoncer intégralement dans sa bouche. A chaque poussée, il pouvait sentir dans sa main son propre sexe à travers le cou de sa partenaire. Cette sensation inédite le mis dans un état de transe qui déforma son visage et il se mit à pousser des râles sourds et profonds. Elle commençait à suffoquer et par réflexe s’agrippa de la main à une fesse de l’homme et y planta ses ongles. Ceci eu pour effet de resserrer davantage l’étreinte et d’encourager la fougue de l’invité. Elle commença à agiter les jambes en l’air comme un pantin désarticulé. L'homme finit par exploser de plusieurs longs jets dans le fond de la gorge de la femelle. Elle sentit le sperme chaud et abondant couler lentement en elle. Elle accueillit cette fois ce magma comme une récompense et s’en délecta, tandis que l’homme retirait lentement son membre. Elle s’y reprit à plusieurs fois pour avaler tout le nectar qui lui avait été offert. Une fois que ce fut fait, elle ouvrit à nouveau la bouche et l’homme y introduisit son sexe pour qu’elle puisse finir son festin. Elle avala goulûment tout le sperme qui s’y trouvait encore jusqu’à ce qu’il n’en reste plus aucune trace.

Le mari trompé fulminait dans son coin. Sa femme venait de se faire violer la bouche et elle n’avait protesté à aucun moment. Pire, elle avait visiblement aimé ça. Il ne reconnaissait plus la femme qu’il avait épousé. Elle qui n’avait jamais fait le moindre régime protéiné, voilà qu’elle se goinfrait de la semence d’un inconnu. Il était amer et fiévreux, fou de jalousie et cela l’excitait au plus haut point.

L’amant officiel était impressionné par les capacités hors normes de sa maîtresse. Il l’avait décidément bien dressée et avait contemplé avec fierté sa création. Il avait dès le départ soupçonné son potentiel mais elle était malgré tout parvenue à le surprendre une nouvelle fois. Il désirait ardemment reprendre possession d’elle et montrer à tous qui était le chef de la meute. Il dit à sa maîtresse de s’approcher de lui et elle obéit en venant poser sa tête sur son torse.

L’amant s’adressa au mari cocu : « on a soif, va nous chercher à boire. De l’eau pour ta femme et des bières bien fraîches pour nous. Dépêche toi !! ». Le mari avait complètement renoncé à son orgueil et s’exécuta sans un mot. Il revint 2 minutes plus tard et servit les trois héros de son fantasme. L’amant lui ordonna ensuite de regagner sa place. L’épouse bu l’eau à grandes lampées pour étancher sa soif. Dès qu’elle fut désaltérée, son amant mis sa main dans les cheveux de sa maîtresse et poussa la tête de celle-ci vers son sexe. Elle lui était désormais complètement dévouée et se laissa entraîner. Elle avala la verge du mâle alpha pendant que celui-ci dégustait sa bière nonchalamment. La dextérité de la femme qui s’appliquait à le combler avec sa bouche l’excita rapidement. Il délaissa sa bière et commença à caresser son amante sur tout le long de son corps. Très vite, il introduisit un, puis deux doigts dans le sexe humide. L’action de ses doigts produisit des épanchements abondants de cyprine. Il en s’en aida pour introduire son pouce dans l’anus de sa femelle, tout en continuant à lui stimuler le vagin de l’index et du majeur. Elle poussa un cri, étouffé par la bite qui se trouvait dans sa bouche, au moment où son cul s’entrouvrit. Les parois de son anus étaient de plus en plus lubrifiées par l’action du pouce et de la cyprine. Le sexe de l’homme avait quant à lui retrouvé sa taille maximale et il jugea bon de changer de fourreau.

Il invita sa maîtresse à se coucher sur le ventre et se mit sur elle à califourchon. Il posa son sexe à l’horizontale entre les fesses de la femelle et se mis à le coulisser d’avant en arrière. A chaque passage, il pressait son gland sur l'anus de plus en plus fort jusqu’au moment où une brèche s’ouvrit. Il s’y engouffra sans hésitation. Elle releva machinalement la tête et poussa un cri bref tout en empoignant les draps du lit. A cet instant, elle croisa le regard exorbité de son mari. Elle le fixa du regard. Elle voulait voir dans ses yeux ce qu’il ressentait en voyant sa femme se faire prendre par derrière par son amant alors qu’elle avait toujours refusé l’accès à son mari malgré ses multiples tentatives. Elle éprouvait un plaisir sadique à le voir souffrir d’envie et de jalousie devant le spectacle de son cul offert à un autre que lui. Elle ne le lâcha pas du regard pendant que l’énorme sexe de son amant continuait sa progression jusqu’aux tréfonds de son antre. Elle grimaça de douleur et se mordit les lèvres de plaisir. Elle s’adressa à son mari pendant que son amant allait et venait en elle par des mouvements amples et profonds : « … regarde… regarde comme il baise mon cul… c’est trop bon… t’aimes ça ?... mater une grosse bite baiser mon cul… »

Son mari ne répondit pas, mais il éprouvait un immense plaisir à voir un homme bien membré prendre sa femme par derrière. Il se délectait de la vision de sa moitié totalement métamorphosée en sadique déesse du sexe. Elle était sa tortionnaire et la salope d’un autre. Elle se donnait à deux autres hommes devant lui, et il l’aimait follement. Les gémissement qu’elle produisait sous l’effet des incursions de l’énorme membre dans son cul étaient différents de ceux que son mari avait l’habitude d’entendre. Ces plaintes déchirantes augmentaient encore la fièvre amère du mari trompé. Ce qui se passait sous ses yeux lui donna une forte érection dont il ne savait que faire et qui le torturait.

Elle releva ensuite quelque peu sa croupe pour mieux recevoir les assauts toujours plus énergiques de son amant. Ses yeux continuaient de fixer son mari prostré dans un coin tandis que son corps était secoué par les coups de boutoir du sexe de son amant dans ses fesses. Elle se redressa quelque peu et se retrouva à quatre pattes, poussant des gémissements toujours plus forts. Elle sentit soudain un autre membre tendu sur sa joue. C’était l’invité qui venait de les rejoindre, trop excité par ce qu’il voyait pour rester simple spectateur. Elle ouvrit instinctivement la bouche pour recevoir le nouveau venu sans détourner un instant son regard sur son mari. Les deux hommes baisaient maintenant la femelle de concert. L’un dans sa bouche, l’autre dans son cul. Le soumis observait le spectacle avec fascination. Les trois corps s’enchevêtraient parfaitement. Les deux sexes allaient et venaient comme deux pistons bien huilés. Rien ne semblait pouvoir enrayer cette harmonieuse mécanique sexuelle. Pourtant, la pression montait graduellement et l’explosion était inéluctable. Au bout de quelques minutes, les deux hommes explosèrent quasi simultanément. Elle sentit la lave couler dans sa gorge et dans ses intestins pendant qu’elle convulsait de plaisir. Elle s’écroula ensuite sur le matelas et repris peu à peu ses esprits. Elle se avala le sperme qui était encore dans sa bouche et se frotta les lèvres d’un revers de la main. Les deux hommes vinrent s’allonger à côté d’elle. Elle enlaça son amant, épuisée, et s’endormit rapidement dans ses bras.

Le mari était toujours aussi fiévreux d’envie et de jalousie. Il retrouva petit à petit contenance et fit le bilan de ce qui venait de se produire. Il était arrivé à ses fins. En poussant sa femme dans les bras d’un autre, elle était devenue une véritable déesse sexuelle. Elle était dévouée à un autre que lui et elle prenait du plaisir à le faire souffrir de jalousie. L’amant possédait désormais sa femme et il avait affirmé sa domination sur lui. La soumission dans laquelle il se trouvait le rendait fou de jalousie et l’excitait au plus au point. Il finit par s’endormir dans son coin à même le sol. A plusieurs reprises pendant le reste de la nuit, son sommeil était troublé par les gémissements de sa femme qui continuait à se faire prendre selon la volonté de son amant ou celle de l’invité. Au petit matin, elle était encore possédée par ses deux amants, ivre de fatigue et de plaisir et couverte de sueur mêlée de sperme.

Après cette nuit, l’amant venait parfois à l’improviste, seul ou accompagné, pour prendre sa femelle. Le mari se soumettait. Il était parfois autorisé à assister aux ébats de sa femme et de son amant. Parfois non et devait alors resté bien sage dans une autre pièce. Il devait se montrer aussi obéissant et soumis qu’un animal domestique pour espérer sa récompense. Celle de pouvoir mater se femme se faire prendre par ses amants.

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Commentaires de l'histoire :

Didier
Je suis déjà triste que cette histoire se termine !!! Didier
Posté le 24/02/2021

ralfie
CE N’EST PAS DU TOUT VRAI que “dans les films pornographiques nippons” il y a du “réalisme des scènes de sexe,bien loin des scènes hard désincarnées de la pornographie occidentale”!Quelles GROSSES BETISES!Bien au contraire,les scenes de la pornographie occidentale SONT REALISTES et celles de la pornographie nippone SONT DES SCENES DESINCARNEES(en ce qui concerne la partie “hard”,TOUTE LA PORNOGRAPHIE EST HARD,qu’elle soit occidentale,nippone ou d’autre type)!Dans la pornographie nippone,pour la plupart des scenes,ON NE VOIT MEME PAS LE SEXE DES GENS parce qu’il est brouille!Ca,CE N’EST JAMAIS DU REALISME!Arrete d’ecrire ce genre DES SOTTISES!
Posté le 7/06/2020

Sanbun
C'est en effet un fantasme. Lodi ? Si tu l'achète, tu en fais quoi? ;)
Posté le 13/06/2019

Lodi
C'est plutôt un fantasme.j'achète l'histoire ????
Posté le 11/06/2019

Shinghouz
Intelligemment pervers
Posté le 5/05/2019

Anonyme
Bonjour. La réponse est dans la question. Au départ c'est une histoire vraie, la suite est fantasmée. Bien à vous
Posté le 4/05/2019

Anonyme
Au depart c'est 1 histoire vraie et ensuite 1 fantasme, finalement c'est du réel ou de l'imaginaire ??
Posté le 4/05/2019


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