Muriel, jolie dame fluette et rousse de 55 ans devient mon amante. J'ai trente ans à l'époque. Dès notre première rencontre, je l'encule. Pour le moment, il ne se passe encore pas grand-chose, si ce n'est que Muriel, malgré sa taille svelte et son raffinement, s'avère être une grande enculée. Histoire vraie, avec tous les détails
Proposée le 3/03/2021 par langauchat
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Je n’en croyais pas mes yeux. Cette jolie quinquagénaire aux traits fins, cette dame svelte et douce comme une elfe que j'avais longtemps craint d’approcher, voilà que dans un silence feutré, à la lueur des bougies, je l’enculais sur mon lit.
Une semaine auparavant, la petite femme rousse me rendait visite pour la première fois. J’étais aux petits soins pour elle. En partant, elle m’avait donné un baiser sur les lèvres, un baiser semblable à une rose en bouton. Tout en elle était rose, le mouvement gracieux de sa bouche au moment où nos visages se rapprochèrent, son teint de rousse, semblable à du lait à la cannelle, et jusqu’à son petit anus de délicieuse salope, que je devinais maintenant dans la pénombre.
- Muriel, je vais te fourrer…me disais-je en me branlant après son départ.
En regardant ma grosse queue, je l’imaginais déjà, étranglée dans la fente de Muriel.
Muriel, toute nue devant moi…prête à se faire enfiler…j’essayais de me la représenter, avec ses petits seins, ses hanches étroites, ses longs cheveux bouclés lui faisant une auréole sur l’oreiller.
Je voyais ses sourcils arqués, son nez fin. Elle m'apparaissait comme une nymphe, sortie d’un tableau de la belle époque, un être tissé de rayon de lune, qui serait venu poser non pas pour un peintre, mais juste pour se faire baiser, attendant, cuisse écartées, comme une petite salope.
Sa vulve serait comme une petite bouche toute rose, une bouche qui viendrait téter le lait de ma bite. Ce n’était pas un rêve, cette bite que je branlais allait bientôt gicler dans le vagin de Muriel!
C’est ce que je me disais en me vidant les couilles trois jours avant sa venue.
Deux jours avant, nouvelle giclée enthousiaste en pensant à elle… et la veille, nouvelle branlette, la dernière giclée en solitaire avant la fête.
Réjouis-toi, ma bite, demain tu te glisseras dans la chatte de Muriel.
Je ne savais pas que ce serait dans son cul.
Le récit de notre premier rendez-vous sexuel n’est bien sûr pas aussi original dans les actes. Si j'y repense avec excitation, c'est en connaissant toutes les obscénités que nous avons commises par la suite. L'écriture m'incite à me rappeler tous les détails, tout en me caressant. J’espère évidemment que ce plaisir se transmettra quelque peu dans le texte.
Muriel était nue devant moi. Si mince, presque maigre! Sa bouche bien dessinée m’enivrai. Ses lèvres étaient humides, veloutées.
Nous sommes restés longtemps, debout, enlacés devant le canapé que j’avais déplié pour en faire un lit. La langue de Muriel s’était insinuée avec une telle douceur dans ma bouche! Cette langue de sirène, c’était trop coulant, trop suave pour être de la chair. C’était un élixir, une sève de sexe, une ivresse insinuante, une caresse liquide. Cette langue cherchait à me donner des orgasmes dans la bouche. Elle y parvenait.
Les mains fines de Muriel semblaient heureuses d’avoir découvert la grosseur de ma tige. Tant qu’à faire, si elle trompait son mari, autant que ce soit pour accueillir une bonne bite.
Elle se coucha. Malgré mon impatience de l’enfiler, je ne pus m’empêcher de goûter sa mouille en quelques coups de langues avides.
Bien qu’elle fût rousse, je ne trouvai rien dans la cyprine de Marlène qui pût me déranger. Bien au contraire. Si je devais décrire le léger parfum de cette mouille qui faisait briller sa vulve, je ne peux même pas évoquer un sirop. Tout au plus, quelques gouttes de sureau dans un jus tiède, clair et satiné.
Cette vulve me faisait penser à une rose. Son anus me parût d’emblée comme faisant partie intégrante de son sexe. Il était, lui aussi, tout en finesse printanière. Lécher l’anus de Muriel me parût très naturel.
Ses poils, coupés très courts, me faisaient penser à une bruyère domestiquée par un jardinier minutieux. Ils ne cachaient rien de l'ouverture de son vagin, rien de ses lèvres intimes, nues, candidement exposées.
Pendant les premiers enfoncements de ma verge, les parois vaginales de Muriel s’étirèrent pour le plus grand bonheur de l’intéressée. La jolie quinquagénaire souriait, bien pinée, bien fourrée par un jeune homme frustré aux couilles pleines.
Après l’avoir pénétrée depuis un bon moment, elle me demanda:
- Tu voudrais que je te suces?
Cette phrase courte, murmurée, en plein accouplement, elle devait souvent me la redire.
Elle m’a donc sucé. Je ne voulais pas éjaculer dans sa bouche pour cette première fois. Je ne sais plus comment la jolie dame rousse me proposa de la sodomiser. Sa position elle-même était une invitation. Je me rappelle que Muriel était à quatre pattes devant moi, qu’elle se tirait sur une fesse pour dégager son petit trou.
Peut-être murmura-t-elle:
- Tu veux…par là?
Quand on la voit, toute fine et gracieuse, il est difficile de s’imaginer avec quelle facilitée cette quinquagénaire distinguée se laisse enculer. Ses petites fesses avalent ma grosse bite avec un naturel déconcertant, alors que d’autres amantes au postérieur provocant possèdent un oeillet crispé sur lequel ma bite finit par se décourager.
Cette femme mariée et bourgeoise venait pour la première fois se faire sauter chez moi, et c'est dans son petit cul que je giclais!
Je compris bien vite que la jolie petite rousse était une grande enculée. Son mari, qui entretenait une relation avec une autre femme, toléra notre relation, qui ne prenait que quelques heures dans la semaines. Il savait que je fourrais sa femme. Lui même continuait de la baiser. Muriel s’était mariée très jeune. Lorsque je m’étonnais de la facilité avec laquelle je pouvais l’enculer, je compris qu’elle en avait pris l’habitude dès le début de son mariage.
A chaque fois que nous baisions, ma bite se retrouvait presque toujours dans le cul de Muriel. Ce n’était pas forcément le point final. Parfois Muriel voulait me voir gicler sur ses petits seins.
Je la baisais très longtemps. Bien loin d’être évacuateur précoce, j’étais plutôt éjaculateur tardif. Nous voulions tellement prolonger l’acte sexuel que, du coup, le moment de la giclée semblait toujours se dérober.
Muriel me faisait souvent jouir en me bouffant les couilles. Elle adorait me voir me branler.
- J’aime voir ta main sur ta grosse queue, me disait-elle, couchée à côté de moi.
Je me branlais d’une main vigoureuse, en proférant des obscénités qui l’excitait. Je voyais sa main caresser sa fente rose.
En y repensant, je retrouve très précisément la sensation de douce chaleur sur mes couilles tandis que je m’asseyais tout doucement sur elle pour me masturber. Elle me regardait en souriant. Parfois, je projetais mon gland vers sa bouche de rose pour qu’elle me suce encore, et me mettais à onduler du bassin pour pratiquer le coït dans l’humide douceur de ses lèvres.
L’exceptionnelle douceur de la langue de Muriel, qui me faisait frémir dans le baiser, je la goûtais, mais avec un plaisir décuplé, sur la surface laquée de mon gland.
Lorsque Muriel décide de faire sa petite chatte avec sa langue de velours, elle procure des plaisirs inouïs. Plus tard, en club échangiste, j’ai entendu des femmes couiner d’étonnement dès que la langue de Muriel commençait à les lécher.
Muriel aimait faire sa petite pute, sentir qu’une homme devenait fou sous ses caresses. Elle le savait, lorsqu’elle restait bouche ouverte, la langue tirée, offerte à ma bite. Et je me branlais sur la langue de cette jolie mère de famille si distinguée, élégante et svelte, qui savait qu’elle m’offrait non seulement une caresse suave, mais aussi une image terriblement excitante. Impatiente de recevoir de grosses coulées de foutre sur sa frimousse, elle se palpait les seins avec frénésie, en pinçant ses tétons tout rouges, comme des fraises des bois.
Il nous a fallu quelques séances de baise avant d’oser nous exprimer par des mots crus.
La toute première fois, je l’avais enculée à quatre pattes. La plupart du temps, je lui pinais le derrière le plus tranquillement du monde. Couchés sur le côté, en petite cuiller comme on dit, nos bassins ondulaient lentement. Je me sentais bien au chaud, emboîté dans son cul.
Je regardais ses jambes fines et bien galbées, ses petites fesses rondes , abritant ce petit cul qui gantait étroitement ma grosse bite. En m’écartant d’elle, je pouvais caresser la courbe de son dos, et celle de ses épaules que je dégageais du flot roux de ses longs cheveux bouclés.
Muriel se retournait parfois, tendant le cou, les yeux mi-clos, afin de me présenter sa bouche entr’ouverte, d’où sortait sa passive et toute molle.
- Ah! Ce que j’aime t’enculer…disais-je, avec le sentiment de franchir un tabou, d’oser parler vulgairement.
Nous étions en train de découvrir le plaisir de parler pendant l’acte.
- Moi aussi, j’aime quand tu m’encules.
Des étincelles de plaisir pulsaient dans mes reins tandis que je lui disais cela. Je me touchais le périnée lorsque je sentais que le lait du plaisir aller se déverser de mes couilles jusque dans le cul de Muriel.
Mes burnes se contractaient. Je pouvais percevoir en me touchant le passage du liquide blanc qui s’était déjà frayé un chemin vers ma tige. Mon lait pleurait ensuite par saccades dans le cul de la jolie dame, dans une série de hoquets retardés par la contraction de l’anus de Muriel. C’est alors qu’il était délicieux de l’entendre dire d’une petite voix essoufflée:
- J’aime que tu m’encules. Je suis ta salope. Je suis ta pute.
Je prenais conscience de la chance que j’avais de recevoir une telle visite à domicile…une jolie dame maquillée, fière et vive, à qui je pouvais déclarer, lové tout nu contre la douceur de son corps: « Je t’encule comme une pute ».
Je fréquentais beaucoup les bordels à cette époque, mais n’enculais que très rarement les putes ( je n’emploie ce mot vulgaire que dans une habitude d’excitation, plus que par le besoin si méprisable de rabaisser une personne. Simplement, lorsque je me branle avec une hôtesse du téléphone rose, ou lorsque j’encule Muriel, le mot pute m’excite bien plus que celui de prostituée).
Je n’enculais jamais Muriel à sec. En principe, elle posait toujours près du lit un petit pot contenant un lubrifiant.
Ma petite enculée n’utilisait jamais de gel en tube. Elle ne se servait pour graisser son anus que de cette petite boîte ronde, sur laquelle elle avait collé une étiquette ornée d’un coeur.
Il arrivait quelque fois, ce n’étais pas souvent, que Muriel me refusait ses fesses.
- Non, pas cette fois, disait-elle.
Elle voulait me dire, par cette simple phrase, que son mari avait joui dans ses fesses la nuit précédente, peut-être plusieurs fois. Le message de Muriel était clair: j’aime me prendre une bite dans le cul, mais il y a tout de même des limites. Mon mari vient de me la mettre bien profond, je suis un peu irritée, tu m’enculeras la prochaine fois. Viens, couche-toi, ta petite pute va bien te sucer.
A la ville, je restais songeur en regardant Muriel au milieu d’autres dames de son âge. Elle, toute fine et raffinée, au milieu de dames quelconques, un peu boulottes. Je me disais que ces dames, d’allure peu sensuelles, ne devaient recevoir les hommages de leurs maris vieillissants que dans la tiédeur de leurs vagins de matrones grisonnantes. Tandis que Muriel, avec sa silhouette d’elfe dans ses jupes élégantes, avec ses hanches étroites, faisait régulièrement exploser de joie au moins deux bites dans son petit cul serré.
Muriel et moi, nous avions découvert nos corps. Ce n’était encore rien. Quelques semaines plus tard, les visites de Muriel prirent une teinte nettement plus obscène. Avant de mettre en pratique nos fantasmes, nos paroles commencèrent à nous mener vers des sentiers pleins de vice.
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Commentaires de l'histoire :
james
c'est une trés belle histoire d'amour charnel entre un jeune homme et une femme mure mais peu importe la différence d'âge, c'est une femme mure qui aime le sexe avec un homme.
Posté le 19/01/2023
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