Tout en brodant sur quelques fantasmes, je finis de raconter dans le détail mes séances de baise avec Monique, petite dame mûre aux gros seins, notamment le plaisir que me donne son vagin lorsqu'il est difficile à pénétrer, et notre coït raté dans les toilettes d'un palace. Je rêve de la baiser devant son mari, sur demande de celui-ci.
Proposée le 9/02/2021 par langauchat
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Avec son physique un peu courtaud et ses gros seins, Monique m’aurait fait bander comme un taureau si elle avait voulu me dominer. Un bustier de cuir et des bottes auraient mis en valeur son corps de matrone.
Elle aurait obtenu de moi une érection instantanée si, d’emblée, elle m’avait pincé le visage en me disant:
- Tu sais que ta langue de petite salope m’a manqué? Cela fait deux jours que je me branle tout le temps en imaginant que tu me lapes comme la dernière fois. Allez, fais-le moi, on discutera après.
Sur ces mots, elle aurait dégrafé prestement la ceinture de son pantalon, aurait fait glisser sa culotte prestement, et j’aurais regardé ses larges fesses blanches quand elle se serai retournée pour plier ses vêtements sur une chaise.
Elle n’aurait même pas pris la peine d’enlever sa chemise, mais se serait couchée sur le lit, les cuisses écartées. Elle aurait commencé de se frotter la moule.
- Je ne fais pas ça pour que tu te branles. Tu lèches, maintenant.
- C’est bien ce que je voulais faire. J’avais juste envie de…
- Fais aller ta langue sur ma chatte, je n’ai pas envie d’écouter tes histoires. Ah! Putain, ce que ça me fait du bien! Quand je pense que j’ai des copines qui n’ont personne pour les lécher. Il faudra que je leur parle de toi…ça te plairait, n’est-ce pas, petit cochon? Tu es une petite pute à vieilles, ça te plairait de boire la mouille de toutes les copines de ta mère…Tu ne dis pas non, salope…ah! Mais c’est qu’il se concentre, il se donne de la peine…vas-y, fais-moi jouir. Tu me grimperas dessus que je te le dirai.
Mieux encore, j’aurais imaginé que la grosse Monique, le corps sanglé dans un bustier de cuir noir, les nichons débordant avec agressivité, malgré leur mollesse, se serait assise sur moi pour se branler sur ma bouche.
Mon rêve, c’était de conduire cette retraitée bien en chair jusqu’au lit d’une petite pute thaïlandaise, et de la voir écarter ses grosses cuisses pour se faire laper par la jeune fille toute menue. Passive et salope, les nichons de Monique auraient offert un contraste saisissant les petits seins de la fille, qui l’aurait léchée, docile. Monique aurait appris à se laisser couler de la chatte, à se lâcher verbalement, à jouir sans retenue.
J’imaginais la même scène, mais avec mon amante Marlène, la svelte rousse, qui serai devenue folle d’excitation en tripotant les mamelles de Monique.
Mais non…rien de tout cela n’est arrivé. Si mon récit ne se voulait pas scrupuleusement véridique, j’aurais évoqué une partie à trois, j’aurais dit que jouissais dans la croupe grasse de Monique en l’enculant, que je lui éclaboussait le cou de sperme en me branlant entre ses gros seins.
Monique me léchait l’anus, c’était déjà une prouesse pour cette femme rangée, qui avait mis toute son énergie dans des activités sociales et familiales. Elle le faisait chaque fois que nous nous voyions, que nous nous accouplions - ce qui revient au même, car nous ne nous voyions que pour nous accoupler.
Cette simplicité des rendez-vous ouvertement érotiques, voilà ce que Monique ne voulait pas assumer.
C’est bien dommage, car en ces jours mêmes, pendant lesquels ma grosse queue vigoureuse reste inemployée, nous aurions pu nous arranger pour trouver de temps en temps une occasion furtive d’enfiler le sexe du jeune homme dans la foufoune délaissée de la plantureuse octogénaire. Monique possède une énorme voiture, dans laquelle nous aurions pu nous ébattre un soir de pluie, le long d’un chemin de forêt. Nous aurions rabattu les sièges de devant, baissé nos pantalons, et un fois le cul à l’air, aurions connecté nos parties sensibles. J’aurai lâché un bon jet de semence plein de vie et de bonne humeur dans le gros fessier de Monique. Le soir, elle aurait retrouvé son vieux mari, le vagin encore tout frémissant d’avoir être défroissé, huilé au jus de bite, massé par les profondes poussées de mon gland.
Je garde d’excellents souvenirs de ces quelques séances de baise vécues non pas dans ma garçonnière, mais dans l’appartement de Monique. C’était en été. Son vieux mari s’était absenté toute une semaine pour je ne sais quelle excursions avec des amis. J’étais libre. Je retrouvais alors la fringante et opulente dame, qui m’accueillait en paréo coloré, un collier d’ambre au cou, ses énormes bagues au doigt. Cela lui donnait un petit côté soixante-huitard.
La table était préparée pour un bon petit souper, qui serait bien sûr précédé, et peut-être suivi d’une vigoureuse injection de sperme sur le lit conjugal.
Nous prenions une douche à tour de rôle. Une fois rafraîchi, j’aimais me balader à poil dans l’appartement tandis que j’entendais le bruit de la douche. J’imaginais le ruissellement de l’eau sur ses gros nichons.
Je me précipitais tout nu dans sa chambre à coucher, là où elle passait toutes ses nuits à côté de son mari. Je goûtais la fraîcheur de l’édredon, qui serait bientôt le support de notre imminente copulation.
Le vagin de Monique sur le dos me caressait mollement la bite. Le vagin de Monique sur le ventre me faisait rapidement monter le foutre. J’aimais voir ma tige disparaître dans les gros coussins de chair de la croupe de Monique, heureux de l’injection de foutre qui était en train de lui faire tant de bien, grâce à ce même processus d’éjaculation qui, lorsque je me branlais devant un lavabo, n’apportait rien que de la fatigue.
Ce qui aurait été vraiment jouissif, c’eût été de me coucher sur le flanc derrière Monique, de peloter ses gros seins, et de bouger tout doucement, le bout du gland étranglé dans son anus. Cette longue et tranquille sodomie sur le lit conjugal de la vieille dame ne restera qu’un fantasme. Et pourtant, même aujourd’hui, je m’offrirais volontiers de rejoindre Monique dans la solitude de son grand lit pour l’enculer tranquillement, si elle me le demandait.
Mes rendez-vous avec Monique s’espaçaient. Insensiblement, nous nous étions éloignés. Nous avons encore baisé quelques fois, parce qu’une rencontre de hasard, au coin d’une rue, nous avait poussé à nous revoir. Et revoir Monique, c’était la pénétrer.
Un matin, je tombai sur Monique alors que je marchais à côté de mon amie Nathalie. Pendant quelques secondes, je ressentis la peur de voir découvert dans mes lubriques et secrètes activités. Mais la brève présentation qui suivit, pendant laquelle les deux femmes échangèrent quelques mots, me rassura complètement. Rien dans l’allure de Monique, rien dans notre bise amicale ne pouvait laisser supposer qu’elle me bouffait la rondelle, ni que je jutais en râlant dans sa matrice.
- Elle n’est pas terrible, laissa tomber Nathalie sans méchanceté, une fois que nous nous étions éloignés.
Je pouvais admettre que l’allure de Monique ne faisait pas se retourner les regards masculins. Il faut vraiment se retrouver dans l’intimité, dans le décalage résultant d’un visage vénérable et d’une nudité mûre, cuisses écartées, avoir vu cette bouche de retraitée joviale prodiguer des caresses obscènes pour concevoir tout l’érotisme qui peut se dégager d’une ménagère de cet âge. Bien des séducteurs feraient la fine bouche en voyant une Monique passer dans la rue, mais triqueraient comme des malades si, dans l’espace étroit d’une chambre à coucher, ils pouvaient peloter les nichons d’une grand-mère de ce genre, s’ils la voyait avancer la main pour leur soupeser les parties, une grand-mère prête à les sucer, prête à se faire fourrer.
Lorsque Monique revint chez moi, elle se coucha sur un matelas déplié à même le sol, car pour une raison inintéressante à expliquer ici, je m’étais débarrassé de mon canapé-lit. Notre accouplement se déroula dans un cadre encore un peu plus inattendu pour une femme de cet âge.
- Tu sais que ça m’a drôlement démangé, là en-bas, lorsque mes poils ont repoussé! précisa la grand-mère dévergondée en baissant sa culotte.
C’est donc vers une touffe grisâtre et renouvelée, que je pointai mon sexe tendu, à genoux sur le matelas. Monique avait envie que je la baise, mais pas sa chatte. Le vagin de Monique était sec, la vulve était fermée. Heureusement que j’étais excité de voir mon improbable vieille amante ainsi couchée, dans l’attente d’une bonne saillie, et surtout de me voir dans le rôle de baiseur tout-terrain.
Le gland positionné à l’entrée du vagin, je poussais du bassin pour tenter d’introduire mon sexe, au moins de quelques millimètres. Heureusement que Monique entretint mon excitation en me caressant les couilles, car la progression fut lente, très lente, interminable. Les minuscules va-et-vient de mon gland me procuraient juste assez de sensations pour entretenir mon érection. Là où j’avais pu m’enfoncer, la muqueuse vaginale de Monique s’humidifiait légèrement, si bien que je pouvais caresser la zone conquise en bougeant. Mais le millimètre suivant demandait à être convaincu, avec patience et fermeté, mais sans brusquerie.
Après une éternité, je baisais le vagin de Monique à une profondeur d’une centimètre. Le centimètre suivant se laissa conquérir tout aussi laborieusement.
J’avais l’impression d’accomplir un travail artisanal minutieux, fatigant. La disproportion entre l’effort fourni et la superficialité toute sensuelle du projet m’excitait. C’était comme si je devais garer au millimètre près une voiture en panne dans une impasse, sachant que je devrais l’instant d’après la retirer.
Oui, je travaillais dur à enfoncer ma bite dans le vagin stérile de la retraitée.
L’humidité relative enveloppant mon gland m’encourageait à pousser mon sexe plus loin, car ce début de pénétration me faisait jouir. En effet, le vagin de Monique en version sèche me serrait la queue délicieusement, comme jamais il ne l’avait fait en mode humide.
Lorsque je pus m’enfoncer jusqu’au couilles, avec franchise, le con de Monique resta serré, ce qui rendit mon labour hautement jouissif. Lorsque je sentis que le foutre avait amorcé sa montée dans ma tige, je vis la bouche de Monique se tordre de plaisir, dans une bienheureuse synchronicité. Je ne ferais qu’énoncer une banalité en soulignant mon plaisir de badigeonner les parois vaginales de Monique d’un foutre impétueux.
J’aurais adoré le faire dans la pénombre de sa chambre à coucher, devant son mari, à la demande de celui-ci.
Il aurait eu connaissance de ma relation secrète avec sa femme, ne se serai pas fâché. Impuissant depuis des années, il aurait demandé à Monique de pouvoir au moins s’exciter par personne interposée en me regardant fourrer sa femme. Nous aurions convenu que je viendrais chez eux, ouvrirais moi-même la porte, me déshabillerait dans l’appartement silencieux. Sans un mot, j’entrerais dans la chambre à coucher. Je distinguerait la silhouette d’un homme assis au coin de la pièce, et monterait sur la femme bien en chair attendant sur le lit les cuisses écartées. Toujours sans un mot, j’accomplirais mon travail. Je m’accouplerais avec Monique, je le fourrerais sans ménagement, avec des mouvements rapides, profonds, pour être sûr de ne pas y passer des plombes. Malgré l’obscurité, je serais excité de baiser la vielle dame aux gros seins devant son mari. Ayant juté en elle, je me retirerais, satisfait.
Monique me demanderait de revenir de temps en temps. Je viendrais me vider les couilles dans sa vieille chatte, et tout le monde serait content.
Ce n’est que fantasme. La séance de baise laborieuse que j’ai décrite plus haut, et qui est tout à fait réelle, ne devait pas amorcer la reprise de nos jeux luxurieux. Ce n’était que les derniers éclats d’une parenthèse sensuelle et secrète. Je ne devais plus piner Monique qu’une seule fois, mais dans une circonstance mémorable.
Nous buvions un verre dans un magnifique palace. Contre toute attente, Monique accepta de descendre aux toilettes pour que je la baise.
Ma proposition n’avait rien de sordide: les sous-sols de ce palace n’étaient que marbres, riches tapisseries, produits de luxe en vitrines. Au détour d’un couloir , une lourde porte en bois s’ouvrait sur des toilettes individuelles, à l’usage des handicapés. C’est dans cette pièce que Monique me suivit, guettant prudemment vers le couloir, toujours désert.
Une fois enfermés dans cette pièce, qui était assez spacieuse et très propre, Monique baissa son pantalon. Je sortis mon sexe et me branlai. Monique m’embrassa, je touchai sa motte, cherchant l’humidité parmi la rudesse des crins.
Le temps n’était pas aux finasseries. Je devais la monter rapidement, comme pour une saillie. Elle n’avait pas le temps de me montrer ses gros nibards. Je ne vis que sa croupe grasse et blanche, lorsque qu’elle se retourna. Je saisis ses hanches après avoir guidé ma queue dans son vagin. J’effectuai de rapides mouvements de coït.
Le tableau devait être magnifique: la vieille dame boulotte qui se fait baiser en levrette par un jeune homme crispé dans l’effort, se tenant à ses hanches…
Est-ce le stress, ou la fatigue…je ne sais pas. Toujours est-il que je me mis peu à peu à débander. Cette séance de baise se termina en queue de poisson. De tels détails ne s’inventent pas. Je n’éjaculai que dans la soirée, tout seul, en repensant à Monique, comme je vais le faire maintenant.
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Commentaires de l'histoire :
Pongodu21
merci pour ce récit très excitant
Posté le 16/02/2021
Micfou53
Subtil mélange de fiction et de réalité ! triste fin très bien écrite !
Posté le 10/02/2021
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