Un groupe d'amis s'en vont passer la nuit dans la nature, en altitude. La soirée ne se déroulera pas comme ils se l'étaient imaginés, à leur plus grand plaisir. Entre voyeurisme et ébats érotiques, la nuit promet d'être intense.
Proposée le 1/02/2021 par Caramelle
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
L’après-midi avait très bien commencé. Nous étions partis, avec une heure de retard sur le programme évidemment, à cause d’Élise qui avait eu besoin d’un temps interminable pour faire sa valise, alors qu’on partait deux jours camper dans la nature. Ça m’a toujours surpris, et en même temps un peu émerveillé, comme certaines personnes se devaient d’emporter beaucoup trop d’affaires. Toujours est-il que nous sommes partis, gaiement et tous entassés dans la petite polo de Julien. Nous étions cinq, trois garçons, Élise et moi. Julien, le propriétaire de la voiture, était mon meilleur ami depuis de nombreuses années. David, le copain d’Élise depuis quelques années, était venu avec son copain d’enfance, Max, que nous connaissions tous bien aussi.
Nous n’avions que 2h de route pour rejoindre le magnifique endroit que nous avions choisi pour passer la nuit. Le trajet se déroula dans les rires et la joie, semblable à une euphorie précédant une aventure. Une fois arrivés au minuscule parking de terre, qui en réalité, n’était qu’un bout d’herbe suffisamment plat pour garer notre petite voiture, nous avons joyeusement pris nos affaires et commencé notre ascension jusqu’au petit lac d’altitude. Elle ne devait pas durer bien longtemps, entre une heure et une heure et demie. J’avais passablement d’expériences dans les randonnées et je me suis donc vite retrouvée en tête avec Max, qui avait apparemment envie de suivre mon rythme. Ça faisait longtemps que je le connaissais mais je ne le voyais pas si souvent. Nous avions en effet des cercles très différents bien que ça ne nous ait jamais empêché de très bien nous entendre. Nous venions de milieux très éloignés et avaient donc peu de points communs. Il avait eu une enfance difficile, avait perdu son père très tôt et avait très vite dû gérer le reste de sa fratrie, étant donné qu’il était l’aîné et sa mère souvent absente, à essayer de faire survivre sa famille avec son seul salaire. Max avait vite succombé au deal de drogue, moyen relativement sûr de se faire de l’argent rapidement et de manière efficace. À cause de ça, il avait dû faire un court séjour dans une prison pour mineurs durant son adolescence. Il était dorénavant sorti du deal mais restait néanmoins dans un milieu particulier, il était rappeur. Il avait donc des rythmes de vie et un quotidien drastiquement différent du mien, qui était professeure de philosophie dans un lycée. Je n’étais pas forcément habituée à côtoyer ce genre de personnes, étant plutôt habituée à des intellectuels chevronnés et des torturés à la recherche du sens de la vie. Avec Max, tout semblait plus simple. Nous parlions de choses diverses, aussi intenses que gaies, mais toujours avec la même légèreté. J’avais toujours beaucoup de plaisir à le voir. Durant cette ascension, comme à l’accoutumée, notre conversation était fluide et agréable. Il me racontait la soirée de sortie de son album qui avait eu lieu dans une boîte branchée du centre-ville et avait été riche en rebondissements. Une violente dispute avait éclaté et des voitures avaient été brulées. Je me rappelais que j’avais pu la lire dans le journal le lendemain ainsi que de voir quelques photos. J’en avais d’ailleurs vue une de Max, avec une dizaine de femmes, chacune plus belle que l’autre, entourés par le luxe autant par les bouteilles que les bijoux. Un monde, donc, très différent du mien. Je lui racontais mes trois jours de conférences dans le nord, sur la philosophie de l’esprit qui avaient eu lieu le mois précédent.
Je l’avais pourtant vu à de nombreuses reprises par le passé, mais ce jour-là, Max me parut différent. Il me plut. Je l’avais toujours trouvé beau mais je n’avais jamais ressenti de l’attirance pour lui, car j’avais toujours l’impression que c’était une personne que je ne pouvais pas cerner, dont le sens m’échappait entre les doigts. C’était toujours le cas mais au lieu de me refroidir, il m’attira énormément. Je le trouvais beau avec ses cheveux longs, avec ses innombrables tatouages sur le corps, avec sa voix grave presque rauque et ses belles lèvres pulpeuses. Je ne me lassais pas de le regarder quand il parlait. Je voyais la sueur perlée sur son front, due à l’effort de la montée, et cette moiteur me donnait envie. Il dégageait une certaine brusquerie qui m’excitait beaucoup. Je peinais à détacher mes yeux des siens et nous échangions donc de longs regards, qui firent accélérer mon souffle et humidifièrent mes lèvres.
Nous sommes arrivés très, trop, rapidement au lac. Malgré ma déception de ne plus pouvoir marcher dans cette belle nature en compagnie de Max, la vue me coupa le souffle. De hautes montagnes enneigées entouraient ce petit lac d’altitude, d’un bleu intense, presque vert. Il y avait, par endroits, des petites forêts constituées d’arbres majestueux. Malgré ses 1500 mètres d’altitude, nous étions en plein été et il faisait chaud. C’était absolument splendide. Après avoir admiré en silence le paysage magnifique qui se déployait devant nous, nous nous mîmes en quête d’un endroit pour poser nos tentes. Après quelques temps, nous sommes arrivés sur une minuscule plaine, de quelques mètres carrés. Elle était tout au bord du lac, avec une petite plage de galets. Elle était contre la paroi rocheuse des montagnes et entourée par une forêt, éparse par endroits et dense par d’autres. Cet endroit était merveilleux. Nous avons déposé nos sacs et monté les tentes. Nous étions en train de finir quand les autres ont fini par nous rejoindre, et je les ai regardé arriver presque à contrecœur, frustrée de voir notre moment à deux voler en éclats.
La fin d’après-midi se déroula joyeusement. Nous avions préparé un feu et buvions des verres au bord du lac. Nous étions tous de très bonne humeur et l’ambiance était taquine. Je regardais avec amusement Élise qui essayait de persuader Julien de venir se baigner avec elle. Après un moment de négociations, elle enleva son pantalon avec un regard mutin, face à Julien. Elle lui enleva ensuite son t-shirt et il se laissa faire, mi- gêné, mi amusé. David les rejoignit en courant, enleva son t-shirt et se jeta dans l’eau. Voyant que les autres étaient réticents à le rejoindre, il sortit de l’eau et alla à leur encontre. Ce faisant, il enleva son pantalon trempé. Il arriva près d’Élise et lui ôta son t-shirt. Il se tourna vers Julien et lui enleva en riant son short. Il colla ensuite de manière joueuse son corps mouillé et froid contre celui de Julien, afin de lui donner un avant-gout de la température de l’eau. Quand il se détacha, on put tous observer que Julien bandait. Je n’étais pas la seule à savoir que Julien était bisexuel et avait un petit coup de cœur pour David. Julien partit en courant et se jeta dans l’eau. Élise le rejoignit, à grands renforts de cris tonitruants. David les rejoignit en criant à son tour. Ils rigolaient joyeusement et s’aspergeaient d’eau. Ça me faisait rire de les voir ainsi s’amuser de manière enfantine.
Je repris ma conversation avec Max, tandis que nos entendions les éclats de rire des autres ricocher contre la paroi rocheuse. Je me laissai à nouveau absorber par son visage. Sa bouche, ses yeux, même ses grandes mains puissantes. Notre conversation s’interrompit quand nous avons réalisé le silence qui régnait autour de nous. Plus loin, David s’était approché d’Élise et nous l’avons vu la prendre d’un coup sec, souleva ensuite ses jambes pour les nouer autour de son corps et l’embrassa goulûment. On pouvait voir qu’il avait ses deux mains sur ses fesses et qu’il les malaxait gentiment. Le silence nous entourait et tout le monde avait les yeux rivés sur eux. Julien était à deux mètres d’eux et paraissait envoûté par le spectacle. David détacha son visage de celui d’Élise et tourna la tête vers Julien. De là où j’étais, je peinais à voir leurs yeux mais je ne pus que constater la durée de ce regard échangé. Tout en ayant toujours la tête tournée vers Julien, David laissa lentement glisser le corps d’Élise contre le sien. Une fois à nouveau debout, il la poussa vers Julien. D’un pas hésitant, elle se dirigea vers lui, tout en se retournant vers David. Je pus voir qu’il lui fit un geste de main, pour dire qu’elle pouvait y aller. Elle arriva devant lui et enleva doucement son soutien-gorge. Julien la regardait fixement. Elle empoigna ensuite délicatement ses seins et se les massait doucement tout en ne le quittant pas des yeux. En regardant la scène de derrière, on pouvait voir la verge de David se durcir et se dresser lentement ainsi que les jolies fesses rebondies d’Élise devant le corps sec de Julien, en contre-jour face au soleil couchant. Élise s’approcha de Julien, lui prit les mains et les plaça contre ses seins. Elle prit ensuite sa tête entre ses mains et la dirigea vers son visage et l’embrassa doucement. Je pouvais voir leur corps lentement se coller l’un contre l’autre et leur visage unis par la bouche. David était plus loin et regardait sa copine embrasser un autre homme, avec une érection notable. Il commença à se caresser doucement, tout en fixant la scène des yeux. Entre Élise et Julien, la situation s’échauffait. Julien avait toujours une main sur un de ses seins tandis que l’autre s’aventurait vers son intimité. On pouvait voir le dos d’Élise se cambrer au fur et à mesure que les doigts de Julien s’enfonçaient en elle. On pouvait voir le corps d’Élise se cambrer au rythme des doigts qui la pénétraient. David arriva à ce moment-là, retourna brusquement Élise face à lui, et la doigta à son tour. Il prit ensuite la main d’Élise et la plaça sur la verge dure de Julien. Je pouvais voir Julien s’approcher lentement de David et esquisser un timide baiser sur ses lèvres. David eut un mouvement de recul, resta interdit quelques instants et lui retourna son baiser. Nous assistions donc à David et Julien qui s’embrassaient, tandis qu’Élise, entre leurs deux corps, branlait Julien.
Pendant que nous regardions ce spectacle dans un silence assourdissant, j’avais été très consciente de la présence de Max à côté de moi et de mon souffle qui s’accélérait. Je respirais avec avidité son effluve, un doux mélange de son parfum, de la chaleur du soleil et de sa moiteur, due à la journée passée dans la forêt. Son odeur m’excitait beaucoup. Je ne voulais pas détacher mon regard de la scène se déroulant devant nous mais je sentais parfois le regard de Max se poser intensément sur moi. Malgré mes joues empourprées, je ne déviais pas le regard et restait en apparence imperturbable. Lorsque David avait rejoint Julien et Élise, Max avait doucement collé sa jambe contre la mienne. Ce contact me rendit folle. Il suffisait que je sente sa cuisse contre la mienne pour sentir mon clitoris se gonfler d’excitation. Nous regardions Julien et David s’embrasser tandis que ma cuisse voulait tant bouger contre la sienne, au rythme des mouvements imperceptibles de mes reins.
Élise s’était dorénavant mise à genoux et avait commencé à sucer David, tandis qu’il embrassait encore intensément Julien. Julien se mit lui aussi à genoux et ce fut ensuite à deux qu’ils suçaient David. Élise était au niveau du gland tandis que Julien lui gobait et léchait ses boules. David rejeta la tête en arrière et on pouvait entendre quelques halètements étouffés. Julien s’aventura doucement de plus en plus bas, et de plus en plus en arrière, jusqu’au moment où il se releva, se plaça derrière David et s’agenouilla à nouveau. Je pouvais voir les mains de Julien écarter les fesses de David et son visage s’enfoncer dans l’espace qu’il venait de créer. David contracta doucement tout le dos au premier contact de la langue de Julien contre son anus. La scène était étrangement belle. Je pouvais voir Élise, avec le sexe de David dans sa bouche, tandis que ses seins rebondissaient au rythme de ses va-et-vient. Je pouvais voir David, dressé et le haut du corps contracté, pendant que ses mains guidaient fermement la tête d’Élise. Je pouvais voir Julien derrière lui, son torse musclé contre les jambes de David et sa bouche posée sur son anus.
Cette scène dura longtemps, tandis que nous observions le soleil se coucher lentement derrière les montagnes en face, leur corps se détachant dans le crépuscule. Élise avait cessé de sucer David et lui léchait doucement les boules, tandis que Julien alternait les caresses orales et manuelles à son anus. On pouvait voir Julien enfoncer doucement sa tête entre les fesses de David et sa langue vraisemblablement venir lécher doucement l’entièreté de sa raie pour venir s’éterniser sur son anus. On pouvait voir aussi ses doigts le pénétrer avec délicatesse par instants, avec fermeté à d’autres tandis qu’il embrassait ou mordait son fessier qu’il avait plutôt rebondi et bien musclé. À un moment, il me sembla que David jouit car je pouvais deviner son corps entier se contracter et un long râle s’échapper de sa gorge. Il se retourna ensuite, releva brusquement Julien et l’embrassa avec passion. Il prit lentement sa verge dans ses mains et le branla. Élise, un peu loin, se caressait pendant qu’elle les regardait, à genoux dans l’eau. Apparemment, elle jouit à son tour, rapidement et avec de longs gémissements. L’entendant ainsi prendre du plaisir, David et Julien se dirigèrent vers elle. David la mit à quatre pattes, la lécha brièvement mais sentant sans doute qu’elle était déjà bien mouillée, mit sa verge à l’orée de son vagin et la pénétra doucement. Julien se positionna en face et Élise prit son sexe entre les mains pour le glisser dans sa bouche. Ils étaient dorénavant tout sur les genoux et l’eau leur montait donc jusqu’à mi-cuisses. Je pouvais entendre le clapotement que faisait l’eau sur leur corps, au rythme des coups de reins de David. Élise gémissait bruyamment et peinait presque à sucer avec application Julien. Il lui empoignait les seins et dirigeait sa verge entre ses lèvres entrouvertes afin qu’elle puisse se concentrer sur son plaisir à elle. Il gardait la tête bien droite, sûrement pour regarder la scène qui s’offrait à lui, David prenant Élise par derrière. Je pouvais entendre le corps de David venir s’entrechoquer avec celui d’Élise dans un bruit sourd. Il lui asséna une énorme fessée et ce claquement résonna dans tout l’espace.
J’avais une folle envie de me toucher, ou encore mieux, que Max me touche. Nous n’avions pas échangé un seul mot depuis que nous observions le spectacle et je m’efforçai à ne pas le regarder. J’avais pourtant terriblement envie de donner libre cours à mon excitation et de le faire jouir, qu’il me fasse jouir. J’avais pu entendre son souffle s’accélérer par instants et je devinais donc qu’il était passablement excité aussi. Je me retenais de ne pas le regarder, à moitié parce que je ne voulais pas quitter des yeux la scène devant nous, à moitié parce que croiser son regard en ce moment intense m’intimidait.
David était toujours en train de prendre Élise par derrière mais Julien s’était rapproché de lui et l’embrassait à pleine bouche, tout en se branlant. Élise se caressait vraisemblablement le sexe et elle dû jouir à nouveau car j’entendis ses râles de plaisir atteindre leur apothéose. David se retira et Julien le suça énergétiquement tandis qu’Élise reprenait doucement son souffle. Je pouvais voir le sexe de David disparaitre entièrement dans la bouche de Julien. David ne tant sûrement plus, le retourna et le pénétra. Il entra doucement tandis que Julien le guidait dans les méandres de son intimité. Ils étaient tous deux debout et Julien entourait de ses bras le corps de David pour lui empoigner les fesses, lui indiquant ainsi le rythme qu’il voulait. Élise revenait vers eux, se plaça devant Julien et l’embrassa, tout en saisissant sa verge des deux mains et le branlait ainsi. David pénétrait doucement Julien, les contractions de ses fesses suivant la cadence de ses hanches. Julien avait dans une main la fesse de David tandis que l’autre caressait le sexe d’Élise. Elle se massait un sein tout en branlant lentement, puis rapidement Julien. A nouveau, cette scène me stupéfia par sa beauté. Nous ne voyions, à ce moment-là, que leur silhouette se dessiner dans la pénombre grandissante. Je peinais presque à distinguer le contour de leur corps et j’avais l’impression qu’ils ne formaient qu’un seul tout, vibrant au rythme de leur plaisir.
Je sentais ma culotte s’humidifier de mouille et mon excitation grandir en moi. Je ne tenais plus, j’avais trop envie de me toucher. J’osa enfin tourner la tête et regarder Max. Nous avions encore nos cuisses collées l’une contre l’autre et ce contact ne faisait qu’attiser mon excitation. Je le regardai, il avait toujours les yeux rivés sur la scène devant nous. Je pouvais observer l’excitation dans ses yeux et cela me troubla intensément. Je pouvoir voir ses lèvres pulpeuses, presque humides à force de les avoir léchées et la peau fine de son cou tressaillir avec les vagues de son désir. Il détacha enfin son regard des autres et le plongea dans le mien. Mon excitation s’accrue. On se regarda longtemps et j’alternais mon regard entre ses beaux yeux bruns, presque noirs, avec sa bouche que je rêvais d’embrasser. Je mordais mes lèvres tellement je souhaitais que ce soit lui qui me les mordille. Je m’approchai de son visage lentement et posa enfin mes lèvres contre les siennes. Elles étaient si molles que je m’enfonçai presque dedans. Ma langue se fraya un chemin entre ses dents et vint doucement caresser la sienne, mélangeant ainsi nos salives. Je pouvais enfin le goûter et ça me plut énormément. Je m’assis sur lui et colla mes seins contre son torse chaud. Mes mains glissèrent sous son t-shirt et je caressais le haut de son corps, du ventre aux épaules. Il avait la peau douce et les muscles saillants. Je pouvais sentir leur relief se dessiner sous mes doigts. Il me tenait fermement le visage entre ses mains et m’embrassait parfois doucement, parfois sauvagement. Je ne pouvais empêcher mon bas-ventre de se rapprocher du sien et j’ondulais donc de manière infime sur lui. Pendant que nos corps se découvraient doucement, j’entendais les corps de David, Julien et Élise s’entrechoquer sourdement, leurs gémissements et leurs râles de plaisir, le clapotement de l’eau suivant la cadence de leurs ébats. Je sentais la mouille imbiber ma culotte et venir presque couler le long de mes cuisses. Je n’avais jamais encore été aussi excitée lors de simples baisers.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email