On the road again : le Festival

Moi chauffeur routier à mon compte, j’ai beaucoup d’histoires torrides à raconter. Aujourd’hui je vais vous raconter l’histoire que j’ai nommée : Le Festival. J'ai rencontré une auto-stoppeuse qui m'a fait découvrir un fétichisme particulier...

Proposée le 29/01/2021 par JLFELC

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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

Moi chauffeur routier à mon compte, j’ai beaucoup d’histoires torrides à raconter. Aujourd’hui je vais vous raconter l’histoire que j’ai nommée : Le Festival

Été 2005. Je me reviens d’une tournée de cinq jours en Bretagne vers la région parisienne, juste avant une entrée d’autoroute, je m’arrête pour prendre une personne en auto-stop qui va dans ma direction. On ne voit pas bien, car il pleut pas mal. Je me mets de côté et ouvre la porte, c’est une nana qui monte et qui est seule avec un gros sac à doc de type camping. Pendant qu’elle retire son ciré et pose son sac à ses pieds, je redémarre doucement et lui demande :

- Salut moi c’est M***, je vais en région parisienne tu vas où ?
- Je m’arrête un peu avant vers Meaux, moi c’est N***
- OK, bah je te dirai quand on y sera, je dois faire une pause dans 1h30

Nous poursuivons la conversation, elle revient d’un festival de musique sur 3 jours. La pluie continue, il fait sombre. Je m’arrête à un feu rouge, je prends le temps d’observer ma passagère. Elle doit avoir dans les 25 ans, taille moyenne, des cheveux brun-roux en dreadlock et piercing au nez. Elle a des grosses godasse du genre newrock, avec des chaussettes hautes rayées, une jupe épaisse et un genre de poncho. Elle a une voie roque et a une allure punk/déglingué. Au bout d’un moment elle retire ses chaussures et pose ses pieds sur le tableau de bord et s’allonge dans le siège.

Il y a de la buée dans la cabine, alors je mets la ventilation. Je n’ai pas tout de suite vu qu’une des buses d’aération s’oriente directement sous sa jupe, on dirait qu’elle ne la pas vu non plus. Je me rends compte que la cabine se remplit d’une odeur bizarre, elle finit par s’en rendre compte et se remet normalement. Je lui dis « sa me dérange pas … ».

Elle me regarde avec hésitation puis elle retire sa petite culotte sous sa jupe et me la balance devant moi. J’observe cette culotte grise qui a l’air de ne pas être très fraîche, elle me fait signe des yeux. Je la renifle, je la sens, quel parfum ! C’est un mélange de transpiration de sexe et d’urine. Je l’imagine porter cette même culotte pendant 3 jours, la remettant le sexe à peine essuyé. Quelle crasseuse ! Je suis excité. Elle se mare comme pour se moquer :

- Ahah, Alors ça te fait quoi ? T’en fait une tête !
- J’ai jamais senti ça, ça fait combien de temps ?
- Depuis que je suis parti de chez ma copine.

Sa copine ? C’est peut être une lesbienne. En tout cas ça doit bien faire 4 jours qu’elle ne s’est pas lavée, normalement cela me dégoutte, je ne sais pas pourquoi mais ça m’excite aujourd’hui. J’admire ses jambes sales, je n’ai qu’une envie : c’est d’aller sous cette jupe. Je lui demande :

- Je voudrai en avoir plus.
- Je fais pas ça avec les mecs, c’est que entre filles.
- Et si tu faisais comme si j’étais une fille ?
- Ahah sérieux ? Bon OK, mais tu laisses ta queue loin de moi, tu ne l’approches pas.

Je m’arrête en bord de chemin et je tire les rideaux. Je suis à genou dans la cabine, elle est assise sur le siège. Je caresse ses jambes et sens la crasse et la poussière sur sa peau. Elle retire uniquement sa jupe et me dit « tais-toit ne dit pas un mot », sûrement qu’elle ne veut pas entendre de voix d’homme, c’est pas grave je meurs d’envie de brouter !
Je prends mon temps, je me rapproche doucement de sa chatte poilue l’odeur de sexe est enivrante. Ses poils sont poisseux et collent entre-eux, je lèche les grandes lèvres doucement le goût est amer et acide, l’odeur de vielle pisse est bien présente.

J’écarte ses lèvres et je vois sa vulve rose gluante et odorante. Entre les grandes lèvres et les petites lèvres il y a une croûte grise, je lèche, elle gémit. Je baisse mon froc pour avoir plus de place, je bande comme un taureau c’est dommage j’aurai tellement voulu la baiser. Je continue à lui bouffer le minou, elle s’agite de plus en plus.

Je ressens de l’écœurement et me recule un peu. Elle m’attrape la tête d’un coup et plaque sur sa moule avariée, j’essaye de résister mais ça l’excite encore plus. Pas le choix je dois finir le boulot ! Je frotte vigoureusement ma langue sur son clitoris que j’aspire en même temps. Elle crie de plaisir, je sens sa vulve se contacter sous ma langue, j’attrape mon pénis et en trois coups de branle j’éjacule tout sur le sol du camion.

- Pas mal pour un mec.
- J’avais jamais fait ça avec une fille négligée.
- ça te plaît ? D’habitude ça fait fuir les mecs…
- Plutôt oui, je n’ai connu que les nanas qui n’avais pas d’odeur.
- Avec ma copine on fréquente un club spécial pour ça.
- J’imaginais pas que ça existe ! Tu veux dire un club genre échangiste entre filles ?
- Oui c’est ça mais avec le côté fétichiste des odeurs.

Après avoir repris nos esprits, nous reprenons la route, je la dépose puis on se dit au revoir comme si de rien était. Elle a pris mon numéro pour peut-être m’inviter un jour à leurs orgies. Il ne me reste plus qu’à nettoyer la cabine…

Fin.

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