Le mari de Laurie ne la touche plus ou mal... Un jour, rongée par la frustration, elle se retrouve dans un bar et y rencontre un bel inconnu pour une rencontre plus que torride qui se poursuivra même le lendemain, chez elle, et alors même que son mari se trouve à proximité.
Proposée le 4/01/2021 par philojoie
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Laurie était une jeune femme belle et incroyablement sexy. Et pourtant, il lui arrivait très souvent d’enfiler de vieux vêtements amples, salis et déchirés par endroit pour jardiner. Elle adorait ça ! Elle trouvait dans cette occupation une façon de se délasser, de lui faire oublier ses soucis quotidiens, ses tracas professionnels…
Des soucis, elle en rencontrait justement dans son couple depuis 3 longs mois maintenant. Son mari avait changé, beaucoup changé depuis qu’ils étaient mariés et il ne la touchait plus ou presque plus ou, quand il dédaignait lui faire l’amour, c’était en proposant une prestation plus que light, un minimum syndical très frustrant pour son épouse ! Elle n’avait pas joui grâce à lui depuis tout ce temps et pourtant, son corps réclamait du sexe, beaucoup de sexe ! Elle aimait ça, au moins autant que le jardinage !
C’est pour ça qu’il y a environ une semaine et après que son mari lui ait refusé une partie de jambes en l’air pourtant impossible à refuser à en croire les efforts de Laurie pour le faire bander et l’exciter, elle claqua la porte, prit sa voiture et se dirigea vers le centre-ville pour aller boire un verre, au hasard afin de se calmer. Elle se gara, pénétra dans le bar plein à craquer et s’assit au bar, seule.
Elle commanda une vodka fraise et la sirota rapidement, le but étant d’amener l’alcool le plus rapidement possible dans ses veines pour faire s’éloigner cette fichue frustration qui la rongeait.
Elle commanda un deuxième verre puis un troisième.
C’est alors qu’un homme s’assit près d’elle pour commander lui aussi. Elle le trouvait beau et parfaitement à son goût ce qui réveilla le désir qu’elle était venu enfouir dans ce bar. Exacerbé par l’alcool, son bas-ventre se réchauffa. Assise sur son tabouret, elle éprouva soudain un besoin irrépressible de se frotter discrètement en faisant aller et venir son bassin sur l’assise. Petit à petit, ses mouvements eurent pour effet de lubrifier son sexe et sa culotte ce qui facilita encore plus sa danse et ses effets.
Il fallait qu’elle câline un homme et sa queue, impossible d’y échapper.
Elle se tourna ainsi vers l’homme assis près d’elle à sa droite et entama la conversation. Elle apprit de lui qu’il était venu seul pour se détendre. Encouragée par ces informations et transformée en tigresse, Laurie ne tarda pas à aller droit au but et se rapprocha de lui. Elle était en mode « chasse » et il le sentit bien ! Elle lui parlait dans l’oreille avec une voix langoureuse, se penchait face à lui pour qu’il voie son décolleté puis, un cran plus haut quelques temps plus tard (et une ou deux vodkas ingurgitées en sus), elle posa sa main sur sa cuisse et commença à entamer des caresses de plus en plus appuyées. Pendant ce temps, elle continuait ses propres va-et-vient sur son tabouret. Sa chatte était inondée et l’humidité avait complètement enduit sa culotte de son désir.
Ses caresses sur la cuisse de l’inconnu devinrent plus intenses et surtout remontèrent jusqu’à son sexe. Elle le masturba à travers son pantalon. L’homme lui chuchota quelque chose dans l’oreille et les deux amants se levèrent et se dirigèrent vers les toilettes. Ils s’enfermèrent à clé et, bestialement, se jetèrent littéralement l’un sur l’autre. Ils n’étaient plus complètement eux-mêmes tellement la partie animale présente en chacun d’eux les possédait. Elle déboutonna son pantalon à lui, arracha son caleçon. Il lui fit enlever son pull, son T-shirt et dégrafa son soutien-gorge pour libérer ses seins, durcis et gonflés par le désir qui n’en finissait pas de monter. Il en profita pour s’abaisser et lécher ses tétons tout en les prenant à pleines mains. Pendant ce temps-là, Laurie, elle, enleva son propre pantalon. L’homme poursuivit alors sa descente vers l’intimité de sa nouvelle compagne. Il lui écarta délicatement les cuisses et commença à insérer sa langue entre ses lèvres. Il n’avait jamais vu une femme aussi excitée. Sa langue, ses doigts s’inséraient sans aucune difficulté et il parvenait même à la lécher tout en la doigtant avec plusieurs doigts. Elle gémissait énormément mais l’arrêta en repoussant doucement sa tête. Elle voulait maintenant passer à l’action elle aussi ! Les rôles s’inversèrent et c’est elle qui s’abaissa face à lui. Elle s’empara de la queue de son amant d’un soir en la regardant avec envie. Elle lécha ce membre dressé et incroyablement dur sur toute sa longueur. En même temps, elle attrapa ses testicules dans une main et les massa avec délice. L’homme éprouvait un plaisir intense et se délectait du spectacle que lui offrait Laurie. En plus, elle le regardait droit dans les yeux en le suçant semblant dire : « Mon coco, je vais m’occuper de ta queue comme jamais personne ne s’en était occupé ! ». Il n’en pouvait plus… !
D’autant qu’elle poursuivit ses caresses en prenant la queue en bouche et en l’avalant de plus en plus rapidement. Avec sa main libre, elle se caressait elle-même en alternant entre ses seins et son clitoris. Comme ça, ses tétons durcis par le désir étaient également recouverts du fluide qui coulait de son entre-jambe. Son amant, près à exploser dans la bouche de Laurie, décida de se donner un peu de répit pour ne pas venir trop vite même s’il en mourait d’envie. Il s’écarta délicatement de son amante. Sa queue sortit de la bouche de sa belle. Il lui prit la main et la releva. Ils se trouvèrent alors face à face et s’embrassèrent dans un baiser d’une intensité extrême.
Il la retourna et la plaqua contre le mur encouragé par un « Baise-moi maintenant ! » de Laurie. Il lui attrapa les mains et les plaqua également en hauteur sur le mur. Sa queue s’inséra sans aucune difficulté dans la jeune femme qui échappa un cri de délice qui en disait long sur ses envies. Il commença à la prendre doucement en prenant soin de s’enfoncer le plus loin possible dans cette chatte qui n’en finissait plus de s’inonder. Laurie n’avait plus conscience d’être un endroit public et hurlait de plaisir. Son amant ne tentait pas de la retenir et accélérait la cadence jusqu’à qu’ensemble, ils explosent de plaisir, en sueur et haletant. Laurie se retourna, embrassa son inconnu et s’accroupit devant sa queue pour la sucer une dernière fois, comme pour la remercier de l’avoir si bien limée. Elle pouvait goûter le sperme de son partenaire mêlé à sa propre mouille qu’elle connaissait pour l’avoir déjà lécher sur ses propres doigts après s’être masturbée.
Les deux amants sortirent des toilettes et, au moment où la porte s’ouvrit, découvrirent un homme qui attendait que la place ne se libère. Le petit rictus sur ses lèvres et la bosse au niveau de son pantalon en disaient long sur le plaisir qu’il avait eu à assister au spectacle sonore qui s’était offert à lui.
Il était maintenant 3 heures du matin et le bar allait fermer. Laurie prit congé de son bel amant et rentra chez elle. Elle se glissa dans le lit conjugal près de son mari qui ronflait. S’il savait…
Le lendemain, après un mal de crâne désagréable qui obligea Laurie à rallonger sa grasse matinée de quelques longues minutes, la jeune femme se leva finalement, prit un Doliprane et se servit une tasse de café. Elle repensa à la torride soirée de la veille. Elle n’éprouvait même pas de remords sauf peut-être celui de n’avoir aucun moyen de recontacter son bel amant. En effet, emportés par la tempête de leur désir, aucun n’a eu la présence d’esprit de penser à échanger les numéros de téléphone. Dommage ! Un jour peut-être retournera-t-elle dans ce bar en espérant le recroiser, qui sait ?
Sur la lancée d’assouvir les grands plaisirs de son existence, Laurie décida de se consacrer au jardinage après son café. Cela lui remettrait ses idées en place.
Ainsi, à peine eut-elle bu la dernière goutte de sa boisson qu’elle fila dans sa chambre, enfila des vêtements amples (sans soutient-gorge !) et sortit.
Elle ouvrit le cabanon de jardin et sortit son matériel. Elle enfila des gants et commença à creuser dans la terre. Elle avait quelques plants à mettre en terre et s’attela à la tâche avec bonheur.
Elle planta comme ça une dizaine de plants, espacés de 5 cm les uns des autres. Il lui fallait maintenant les arroser abondamment. Elle se leva et se dirigea vers le cabanon. Elle pénétra dans la cabane et se pencha pour attraper l’outil. A ce moment-là, elle sentit quelqu’un derrière elle. Des mains lui attrapèrent les seins et les malaxèrent. Elle entendit :
- Tu as bien dormi ?
Se pourrait-il que ce soit…
Elle se retourna prestement et aperçut son bel amant ! Comment était-ce possible ?
- Comment as-tu su où j’habitais ?
- Pour être sûr qu’il ne t’arrive rien à cause de notre soirée arrosée, je t’ai suivie jusqu’à chez toi cette nuit. Après m’être assuré que tu étais bien rentrée, je suis retourné chez moi pour dormir mais je n’ai pas pu ! Je pensais à toi, à nous. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit et, aux aurores, je suis venu chez toi. J’ai attendu que tu sortes pour ouvrir discrètement ton portail et me voilà.
- Mais tu sais que mon mari est là ?!!!!
- Non mais je ne l’ai pas senti très présent dans ta tête et en toi hier soir !
Laurie sourit. Ce n’était pas faux ! Et puis, de revoir son amant ici, chez elle, avec son mari qui pourrait les surprendre réveilla brutalement son désir !
Elle se jeta sur lui et le déshabilla. L’homme fut à peine surpris par l’assaut de la jeune femme et espérait secrètement que la situation dégénérerait de la sorte. Contrairement à elle, il ne la déshabilla pas, très excité qu’il était par cette tenue ample qui laissait tout de même entrevoir les formes parfaites de Laurie. Il pouvait ainsi deviner au lieu de voir et il adorait ça. Par exemple, au gré de différents gestes de son amante, il apercevait ici un téton qui pointe en déformant le t-shirt, là un relief au niveau de l’entre-jambe du legging. Il embrassa lui aussi fougueusement sa compagne et sortit un objet de sa poche : un gant vibrant ! Il l’enfila et commença à caresser Laurie.
La jeune femme fut très surprise de ce troisième compagnon mais très vite elle comprit qu’il était un atout majeur dans cette sensation de chaleur qui la reprenait. L’homme caressait la jeune femme avec son accessoire magique. Il pouvait sentir les lèvres s’écarter, se frotter, gonfler… et cela eut pour effet de le faire bander comme la veille !
Quant à Laurie, l’effet des vibrations la fit à nouveau basculer dans cet état de possession qu’elle avait connu dans les toilettes du bar ! Elle redevenait tigresse, une tigresse inondée qui ne demandait qu’à jouir. Elle lança dans un sourire coquin:
- Tu es venu accompagné !
L’homme poursuivit ses caresses tout en léchant les seins généreux de sa compagne. Cela eut pour effet immédiat de déclencher l’orgasme de sa compagne qui explosa littéralement sous les caresses. Elle jeta la tête en arrière et cria son plaisir ! Mais il lui en fallait plus ! Elle voulait rendre l’inconnu complètement dingue. Elle s’assit par terre et écarta les cuisses tout en gardant son legging. Le bel inconnu devint effectivement complètement fou lorsqu’il observa la jeune femme recommencer à se caresser l’entre-jambe en le regardant droit les yeux. Il pouvait apercevoir une tache au niveau de la chatte de sa partenaire et, voulant profiter du spectacle inouï, il s’empara de sa queue et commença à se masturber.
Voir cette femme fatale caresser son sexe dégoulinant de désir commença à lui faire tourner la tête. Il n’était plus lui, lui non plus. Il se faufila entre les cuisses de Laurie, attrapa le legging devenu extrêmement souple à cause de la mouille et le déchira délicatement à cet endroit. Il introduisit alors sa grosse queue dans le ventre de Laurie. Il ne prit pas le temps d’augmenter la cadence et commença dès le début à la prendre extrêmement fort. La jeune femme bougeait son bassin en même temps qu’il lui enfonçait son sexe ce qui amplifia les délicieuses sensations qui innervaient son membre.
Sentant monter le plaisir, il s’abandonna complètement aux gestes de sa belle en stoppant les siens. Elle comprit qu’il allait se répandre en elle et accéléra ses coups de bassins. Le sperme jaillit du jeune homme et vint à nouveau se mêler à l’excitation de Laurie. Les deux amants restèrent un moment à reprendre leur souffle, s’embrassèrent et se rhabillèrent.
Ils échangèrent cette fois-ci leurs coordonnées pour pouvoir échanger quelques sextos avant de se revoir.
Ils se séparèrent. Laurie pris l’arrosoir et se mit à rire en pensant :
« Mes deux passions se ressemblent en somme : il s’agit d’arroser en faisant se dresser ! Seul l’ordre change »
Elle repensa souvent à cette scène dans le cabanon et ne lava plus jamais son legging. Il lui arrivait même de sentir son odeur au niveau du trou dans le tissu tout en se masturbant en pensant à son amant.
Le soir, elle reçut un texto :
« Au fait, je m’appelle Max, et toi ? »
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