Mon mari m’a bandé les yeux et offert à un inconnu. D’abord lent et maîtrisé, son toucher est devenu plus ardent, jusqu’à ce qu’il me prenne avec une intensité brute. Puis, sans un mot, il est parti, me laissant tremblante, encore brûlante de cette nuit inoubliable.
Proposée le 10/04/2025 par HairyNessie
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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie
Mon cœur battait à tout rompre tandis que je me tenais debout, privée de la vue, un bandeau soyeux glissé sur mes yeux. Mon mari m’avait guidée jusqu’ici, dans cette loveroom à l’atmosphère feutrée, où la lumière tamisée diffusait une chaleur presque irréelle sur ma peau frémissante.
Je pouvais sentir l’odeur subtile des bougies parfumées, un mélange de bois de santal et de vanille qui enrobait mes sens. Le silence, seulement troublé par ma propre respiration légèrement saccadée, rendait l’instant encore plus intense.
— Fais-moi confiance, m’avait murmuré mon mari à l’oreille avant de poser un baiser brûlant dans le creux de mon cou.
Un frisson avait parcouru mon échine. Je ne savais pas exactement ce qui allait se passer, mais je devinais ce qu’il avait préparé pour moi. L’idée seule m’électrisait.
Puis, j’ai perçu un bruit de porte qui s’ouvre. Des pas feutrés, lents, maîtrisés, s’approchant de moi. Une présence que je ne connaissais pas, mais dont l’aura dégageait une tension brute, presque magnétique.
Mon souffle s’est suspendu lorsque j’ai senti une main effleurer mon bras, remonter lentement vers mon épaule, s’arrêter une seconde avant de repartir dans une caresse à peine perceptible. Ma peau frémissait sous ce contact inconnu, et pourtant, étrangement attendu.
La voix grave et posée de mon mari a résonné derrière moi.
— Laisse-toi aller. Ressens chaque instant.
J’ai obéi. Je me suis abandonnée à cette sensation exquise d’être découverte par d’autres mains que celles que je connaissais par cœur. Cet homme, cet inconnu, prenait son temps. Ses doigts exploraient chaque centimètre de moi, effleurant mes poignets, mon cou, mes hanches avec une lenteur calculée. Il jouait avec mes nerfs, attisant un désir brut qui me consumait de l’intérieur.
Chaque respiration devenait plus profonde, chaque frôlement plus intense. L’inconnu ne disait rien, il se contentait d’agir, d’orchestrer ce ballet invisible où je n’étais que sensations et frissons.
J’aurais voulu voir son visage, lire dans ses yeux ce qu’il pensait en découvrant mon corps offert. Mais le bandeau était toujours là, renforçant mon abandon, exacerbant mon imagination.
Mon mari était là aussi, spectateur et complice de cet instant hors du temps. Je sentais son regard sur moi, comme une braise attisant encore davantage la chaleur qui m’envahissait.
Et puis, tout s’est accéléré. Les caresses sont devenues plus pressantes, les souffles plus proches, les sensations plus intenses…
Les secondes s’étiraient, chaque sensation devenant plus aiguë, plus vibrante sous l’effet du bandeau qui m’empêchait de voir, mais me forçait à ressentir.
Les mains de l’inconnu s’étaient faites plus fermes, plus possessives. Elles parcouraient mes courbes avec une lente assurance, comme s’il voulait mémoriser chaque relief de mon corps. Il traçait le contour de ma taille, effleurait mon ventre, puis descendait lentement le long de mes cuisses, ses paumes brûlantes contre ma peau frémissante.
J’entendais sa respiration, posée, contrôlée, contrastant avec la mienne, plus saccadée, plus impatiente. Il jouait avec moi, prenant son temps, testant mes réactions.
Derrière moi, mon mari n’avait pas bougé. Il était là, silencieux, témoin et complice, attisant encore davantage mon excitation.
Un frisson m’a parcourue lorsque j’ai senti les lèvres de l’inconnu frôler la peau sensible de mon cou. Une chaleur intense m’a envahie, une onde de plaisir se propageant à chaque point de contact. Ses baisers étaient lents, précis, une torture exquise qui me laissait à bout de souffle.
— Tu es magnifique… a-t-il murmuré d’une voix grave et envoûtante.
Ces simples mots ont résonné en moi comme une caresse supplémentaire, attisant ce brasier qui ne demandait qu’à s’embraser.
Ses mains sont remontées, explorant chaque courbe avec une lenteur insoutenable, frôlant les limites sans jamais les franchir. Il jouait avec mon désir, me poussant à l’extrême, me laissant dans cet état d’attente insoutenable où chaque sensation était multipliée.
J’étais là, vulnérable et offerte, entre les mains de cet inconnu qui savait exactement comment attiser mon plaisir, sous le regard de mon mari qui savourait chaque seconde de mon abandon.
Le reste de la nuit promettait d’être inoubliable…
L’atmosphère était devenue électrique, chargée d’un désir brut, incontrôlable. Mon corps frémissait sous les caresses de cet inconnu dont je ne connaissais ni le nom, ni le visage, mais dont la présence m’embrasait tout entière.
Ses gestes étaient devenus plus pressants, plus affirmés. Il ne jouait plus. Il prenait.
D’un mouvement sûr, il m’a saisie contre lui, sa chaleur brûlant ma peau déjà enfiévrée. J’ai senti sa force, son besoin, cette envie viscérale qu’il ne cherchait même plus à contenir. Son souffle s’est fait plus court, plus profond. Ses mains, d’abord exploratrices, se sont faites possessives, réclamant chaque parcelle de mon être.
Mon mari était toujours là, silencieux, complice de cette étreinte sauvage qui me consumait tout entière.
Et puis, il m’a prise. Sans retenue, sans douceur feinte. Avec une intensité brute, un désir si puissant qu’il m’a coupé le souffle. J’ai laissé échapper un gémissement, me perdant dans cette tempête de sensations, chaque mouvement ancrant en moi une fièvre irrépressible.
Tout n’était que plaisir pur, une danse ardente où je n’avais plus aucun contrôle, seulement l’abandon total à cet instant.
Puis, aussi soudainement qu’il était entré dans ma vie, il s’est détaché de moi. Son souffle était encore lourd, mais son énergie avait changé. Il savait que son rôle était terminé.
Je l’ai senti s’éloigner. La porte s’est ouverte, puis refermée dans un silence troublant.
Le vide qu’il laissait derrière lui était presque vertigineux. Je n’avais toujours pas retiré mon bandeau, encore suspendue entre l’extase et l’incrédulité.
Mon mari s’est approché, posant doucement une main sur ma joue, me ramenant à lui.
— Alors… ?
Je n’ai rien dit. Mon corps parlait pour moi, encore parcouru de frissons, encore marqué par cette nuit qui resterait gravée en moi à jamais.
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Commentaires de l'histoire :
Ricounet
Très bien écrit. On devient aussi impatient que cette femme, pour connaitre la suite Merci
Posté le 11/04/2025
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