Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

L'initiation de Livia 2

Dans la même soirée, Livia poursuit activement son initiation au libertinage. Je ne peux que me réjouir de ce qu'elle demande et de ce qu'Emilie veut pour elle. Livia compte bien exploiter ses performances sexuelles habituellement réservées au lit matrimonial.

Proposée le 19/11/2020 par Clitorine

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Première fois
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Roman


Après deux verres, l’action commence à reprendre et c’est moi qui demande à rejoindre les alcôves. Je suis le seul à ne pas encore avoir joui et avoir donc gardé l’excitation au maximum. Ceci dit, je sens qu’ils ont tous les trois retrouvé une forte envie de baiser.


En club, je suis typiquement le mari d’une nympho : c’est pour elle qu’on y va. Moi, je la regarde la plupart du temps, assez peu actif, et je m’accorde une seule éjaculation pour ma femme, bien souvent en fin de soirée, quand ce qu’elle a fait a fait monter l’excitation au maximum. A côté de ça, je suis plutôt voyeur. Je ne suis vraiment impliqué que si nous rencontrons un couple avec lequel nous passons à un plan à quatre. C’est plutôt rare. Ma femme, par sa beauté et son côté aguicheur, a bien souvent une horde de mâles autour d’elle et c’est ce qu’elle cherche. Nous privilégions d’ailleurs, pour nos sorties, les soirées « gang bang » aux soirées « couples », et le club que nous fréquentons a un règlement très clair : les couples paient un droit d’entrée très bas, mais la femme doit être active (plus que l’homme en tout cas). Ceci dit, ce que j’ai vu de Livia ce soir m’a donné très envie d’elle.


Les deux femmes se lèvent en premier et nous les suivons. Elles choisissent la grande alcôve, elles se déshabillent et se frottent aux mâles qui les ont suivies avant nous.


Sachant de quoi ma femme est capable, je me concentre sur Livia. Les deux gin tonic semblent l’avoir désinhibée : elle embrasse un homme, puis un autre, plutôt démonstrative vis-à-vis de son mari qui se régale de voir sa femme jouer la salope. Sa culotte descend le long de ses jambes, tirée vers le bas par un homme qui s’attaque directement à sa vulve. Elle écarte les jambes et attrape deux belles bites qu’elle se met branler. Sa culotte enlevée, elle se penche vers l’avant, s’appuie sur le bord du lit et écarte les jambes. Les capotes se déballent et deux hommes sont prêts à la pénétrer. Le plus proche enfonce son dard dans la chatte de Livia. Sur le lit, d’autres hommes se positionnent à proximité de sa bouche pour profiter d’une bonne pipe. Livia leur donne ce qu’ils attendent sans rechigner. Elle suce deux bites tour à tour, léchant les deux glands tellement proches qu’elle les touche en même temps. Quand l’homme qui la baise jouit et se retire, elle se retourne, se couche au bord du lit et écarte les jambes en me regardant. Elle est juste face à moi, à un peu plus d’un mètre, complètement offerte, la moule totalement ouverte et humide. Sa courte toison ne cache rien et j’admire son sexe en me masturbant. Comme j’hésite toujours, un autre homme prend la place offerte. Surexcité, il la baise très fort, sort, enlève sa capote, s’avance et jouit sur les seins de Livia. D’un signe de la main, elle m’appelle et me montre le sperme qui dégouline sur ses seins. Elle a trouvé le truc pour m’inviter à s’occuper d’elle. Je vais lécher sa belle poitrine, sucer ses gros tétons durcis par le désir, et j’avale tout le sperme.


Je me recule ensuite pour avoir une vue complète sur la scène et jeter un œil sur ce qu’Emilie fait. Elle est à califourchon penchée sur un homme, la croupe offerte. Elle a un doigt de Dominique dans le cul. Concentré sur sa tâche, il est assis juste derrière les fesses d’Emilie et il s’affaire à lui dilater l’anus. Il n’a visiblement pas eu les mêmes scrupules que moi, qui n’ai osé autre chose que lécher les seins de sa femme – à sa demande. Émilie regarde son mari d’un air jaloux mais elle ne réagit pas. Après tout, si elle se tape le premier venu et qu’elle m’a permis de lui lécher les seins, il serait mal venu de brider son mari…de sont côté, Livia est-elle consciente que c’est Dominique qui s’occupe de son petit trou ? Dans sa position, pas sûr. Après avoir observé la scène pendant une minute, je m’approche d’Emilie et je lui donne l’info tout bas dans l’oreille.

« Dis-lui qu’il me baise le cul », me répond Emilie, à peine étonnée.

D’un signe, j’indique à Dominique qu’il peut y aller avec sa bite. Aucune résistance des deux côtés : Dominique porte son gland contre l’anus d’Emilie et pousse : ça rentre comme dans du beurre. La vue d’une double pénétration attire son petit public d’hommes qui se branlent.

« Moi aussi, je veux ! » C’est Livia qui s’adresse à moi. « Chez moi aussi, ça rentre sans problème. Dominique adore me prendre dans le cul ». Savoir que Livia a déjà pratiqué la sodomie augmente encore mon excitation. « Prépare-moi à essayer la double pénétration ».


Elle se couche sur le dos, elle écarte les jambes au maximum et elle m’offre sa chatte et son petit trou. Je n’en peux plus. D’une main, je caresse son clitoris et sa vulve ; de l’autre, je m’occupe de son anus. Je prends un peu de lubrifiant et je l’étale sur et autour de son anus. Elle soupire de plaisir. Je vais une étape plus loin : deux doigts dans la chatte et un doigt dans le cul. Elle pousse un petit cri de plaisir. J’entame un va-et-vient dans les deux trous. Dans sa chatte, j’essaie d’atteindre le point G, j’accélère et je renforce le mouvement. Au bout de quelques secondes, quelques petits jets de cyprine m’éclaboussent les mains. C’est léger, mais c’est un début. Soit Livia ne s’en rend pas compte, soit elle fait semblant de rien. Je tente un deuxième doigt dans son trou de cul et ça rentre. Je pense que je n’aurai pas trop de mal à y entrer ma bite. Je mets une capote, je relève ses cuisses et je m’enfonce doucement. La dilatation est parfait pour le diamètre de mon sexe. Je ne suis ni trop à l’aise, ni trop serré. Je peux commencer un va-et-vient que j’essaie de plus en plus profond. Livia serre les draps dans ses mains et, à voir son visage, c’est plus de plaisir que de douleur.


Nous voilà tous les deux en train d’enculer la femme de l’autre. Je n’aurai jamais cru ça il y a quelques heures à peine. Parce que si je savais que Livia aimait le sexe, je savais aussi que ce serait difficile de lui faire passer le cap. On a beau aimer baiser comme dans les films porno, c’est pas pour autant qu’on aime faire ça avec des inconnus devant des inconnus. Est-ce l’alcool ? L’ambiance érotique du lieu ? Ou bien nous avait-elle seulement caché son jeu ? Il est clair que cette soirée ne pourra se passer d’un débriefing autour d’un verre d’ici peu, entre hommes d’abord, à quatre ensuite.

Quand je suis au fond d’elle, mes couilles touchent les fesses de Livia. Je ne vois que du plaisir sur son visage. Un homme voudrait qu’elle le suce, mais elle est toujours complètement concentrée sur son cul. Si on veut profiter d’elle, on peut juste lui caresser les seins. Mon pouce gauche est sur son clitoris que je frotte délicatement. Elle expulse quelques gouttes de cyprine sur mon bas-ventre.


« Baise-moi la chatte, maintenant », m’ordonne-t-elle. Je sors et je change de trou. Son vagin est merveilleux. Tout comme son cul, pile aux dimensions de ma bite. J’attrape ses seins et je les malaxe. Je lui enfonce des solides coups de butoir avec ma bite. Je trouve qu’on ne l’a baisée que trop gentiment jusqu’à présent. Une méthode virile, voire brutale, s’impose. Elle se met à crier sous les coups que je lui assène. Dominique et Emilie, toujours dans la même position, tournent le regard vers nous. Je leur fais un clin d’œil et j’augmente encore le rythme. Je ne viendrai pas tout de suite, c’est trop tôt. Je sais que je peux y aller franchement sans devoir m’arrêter à cause d’une éjaculation.


Livia crie de plus en plus fort. Je continue, de plus en plus fort moi aussi, jusqu’à la voir atteindre l’orgasme. Son corps se crispe, ses jambes se mettent à trembler et je me retire dans un but précis : voir ce qui va maintenant sortir de sa chatte. Je ne suis pas déçu : un petit jet se projette contre mon ventre, suivi de deux autres.. Livia se relâche mais ses cuisses continuent de trembler. Elle n’a pas eu sa double pénétration, mais je pense qu’elle a son compte pour un moment. Je la laisse reprendre ses esprits et je rejoins Emilie et Dominique. Excité par la scène de sa femme, Dominique pilonne Emilie dans son cul et jouit au fond d’elle. Elle aussi a joui et nous décidons de nous arrêter pour prendre une douche et nous rafraichir.


Sous la douche, je continue d’admirer Livia. Emilie s’approche d’elle, prend du savon et l’étale sur son dos par une caresse suave. Elle l’embrasse dans la nuque et fait glisser ses mains vers l’avant, tout d’abord sur ses seins mouillés et puis vers sa chatte. Elle plonge un doigt dans son vagin en continuant à l’embrasser par derrière. Livia se cambre, tourne légèrement le visage et embrasse Emilie. Les deux femmes mélangent leurs langues en se caressant. C’est terriblement érotique et quelques hommes se rassemblent autour des deux femmes pour mater le spectacle. Ils sont une dizaine à se masturber, leurs bites dressées vers Livia et Emilie. La douche ne coule plus. Emilie pousse Livia à pivoter pour exposer son corps aux hommes présents. Elle reste derrière et parcourt les zones sensibles du corps de Livia face au public inattendu. Emilie pousse Livia à se mettre à genou : elle prend la bite la plus proche et l’amène à la bouche de Livia qui l’enfourne directement pour commencer une fellation gourmande. Un autre homme s’approche et Livia lui offre sa bouche. D’autres comprennent et s’amassent autour de Livia. Emilie se retire pour leur laisser de la place et pour profiter du spectacle, satisfaite d’avoir provoqué ce qui est en train de se passer. Un blowbang comme elle en a déjà connu. Ce qui est particulièrement excitant cette fois-ci, c’est que nous savons que c’est une première pour Livia (ou à tout le moins nous le pensons, Livia ayant dévoilé un aspect de sa sexualité dont nous sommes en droit de nous demander s’il s’agit vraiment d’une initiation ou si elle nous a caché les exploits d’une vie antérieure). Et pendant que je me pose ces questions, Livia continue de sucer les quatre bites qui l’entourent. Celui qui est face à elle reprend son pénis en main, le serre et accélère le mouvement de masturbation en s’approchant de la bouche de Livia : Il éjacule sur sur ses joues. Un second suit immédiatement, traçant un jet de sperme de part et d’autre de son visage. La place se libérant, d’autres approchent leur bite du visage de Livia. Deux beaux glands y expulsent de gros jets de sperme en même temps. Les autres hommes qui se masturbaient ne suivent pas : sans doute ont-ils joui il y a peu et ne sont pas encore prêts à reproduire une éjaculation.


Le sperme dégouline de son visage dans son cou et sur ses seins,et un mince filet descend jusqu’à sa chatte. Elle m’appelle pour le nettoyage. Comme Livia a encore du savon sur le corps, je dois me limiter à son cou, ses joues et son menton. Elle a tout de même évité d’avoir du sperme dans la bouche. Pour une première fois, on ne peut pas vraiment le lui reprocher…


Comme pas mal de femmes, Livia aime qu’un homme goute le sperme d’un autre, à plus forte raison si ce sperme dégouline sur leur corps. Une gangbangueuse expérimentée que j’embrassais après chaque éjaculation faciale m’a avoué n’avoir jamais vécu cela auparavant et que cela l’avait terriblement excitée – comme une nouveauté dans un acte auquel elle est habituée. On peut aussi se rendre compte de ce fantasme chez les femmes lors de soirées bi. Le club dans lequel nous sommes en organise une fois par mois. J’ai pu y voir des femmes accompagner leur mari dans un glory hole mais sans toucher une seule bite : c’est le mari qui, sous leurs ordres, suce les sexes qui se présentent et reçoivent les éjaculations. J’ai vu une fois une femme mettre un bandeau sur les yeux de son mari et lui ordonner de sucer toutes les bites qui se présentent à lui. Elle n’était vêtue que d’une paire de bas collants noirs. Les hommes la caressaient mais ils n’avaient pas accès à son vagin et elle ne s’est occupée d’aucune bite sur la soirée : l’acte sexuel avec des hommes devait être réservé à son mari.


Nous discutons de tout cela au bar, après avoir pris une bonne douche. De nouveau, notre pause correspond avec celle d’une grande partie des personnes présentes. La différence est que, comme nous quatre, presque tout le monde est nu, la lingerie ayant fini par être considérée comme inutile…


Parmi une clientèle de gens « normaux » plutôt dans la quarantaine ou la cinquantaine, quelques femmes méritent d’être reluquées et appréciées à leur juste valeur. Je suis attiré par une femme dont le beau visage me laisse penser qu’elle approche de la cinquantaine, mais dont le corps est celui d’une fille de vingt-cinq ans. Un corps de sportive. Ses seins sont petits et fermes : ils ne montrent aucun relâchement. Le ventre est plat, sans aucun repli ou ramollissement. Ses fesses et ses jambes sont fines et galbées. Certaines sont plus gâtées par la nature que d’autres, mais je suis convaincu que ce beau corps est le résultat d’une pratique sportive régulière. Une autre femme très différente attire mon attention : la trentaine, très jolie, les cheveux noirs, plutôt forte et vêtue d’une longue tunique en tulle noir transparent qui lui colle au corps : toutes ses parties sont visibles mais légèrement voilées. Ses seins, de taille raisonnable, sont plutôt fermes, ce qui est rare chez les femmes fortes. J’essaie de voir s’il s’agit d’une poitrine naturelle : à première vue, ils ne m’ont pas l’air d’être refaits. Deux jeunes hommes sont en train de la caresser, pendant qu’un troisième – sans doute le mari – regarde sa femme en sirotant un verre. Elle se met à branler les deux hommes, chacun dans une main. Cela dure deux ou trois minutes, puis le supposé mari se lève, entraine sa femme et les deux hommes vers les alcôves. Quelques hommes seuls les suivent, espérant certainement avoir accès à la dame ; à tout le moins, ils pourront se masturber en jouant les voyeurs.


Suite au prochain numéro...

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
L'initiation de Livia 3
L'initiation de Livia 1
Initiation
Initiation
Initiation torublante