Baise (vraiment) finale dans l'espace avec des créatures perverses

Je retournais sur Terre. L’hibernation dura cinq ans avant le réveil, juste à temps aux limites de la Voie Lactée. J’étais frais et dispo mais plus le même qu’avant mes mésaventures érotiques avec des extraterrestres. Faut dire que je me suis mis en état de sommeil immédiatement après avoir quitté ces créatures perverses.

Proposée le 23/11/2020 par Lombricul

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Thème: Homme soumis
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme

Le sérum qui me permettait d’assouvir mes vices et ceux des autres ne semblait plus être dans mes veines. Je me sentais en état de manque, autant sans le sérum qu’avec le sexe. Je ne crois pas retrouver dans ma planète d’origine un seul être qui m’amènera au 13e ciel comme j’ai pu l’atteindre. Une heure après mon réveil et aux commandes de mon vaisseau, je me rends compte que ce dernier n’avance plus et est en position d’orbite. Bon, que se passe-t-il encore? Sur mon écran de contrôle, je remarque un autre vaisseau en orbite près du mien. La radio se fait entendre : « Bonjour, terrien. Nous sommes désolés que votre vaisseau soit arrêté mais il fallait entrer en communication avec vous avant votre retour chez vous. Nous ne sommes pas une menace, à moins que vous résistiez. ». Je n’ai pas l’énergie ni le goût de dire non. Alors ils continuent : « Nous sommes des scientifiques d’une planète lointaine qui fabriquons et fournissons des sérums de performance sexuelle pour tous les espèces. Nous sommes dans cette industrie depuis très longtemps et c’est la première fois que nous avons été témoins des effets de nos produits sur un humain comme vous ». Je les arrête et leur demande comment ils ont pu assister à mes séances de cul, alors qu’ils n’étaient pas filmés.

« Vous vous trompez », répliquent-ils. « Ils ont été filmés dans leur totalité, soit celle avec les cinq pirates dans le vaisseau et celle de votre striptease dans le cabaret orbital ». Soudain, mon écran principal s’ouvre : cinq pirates m’entourent en me pelotant avec leurs mains en même temps, le slip blanc trempé sur le point de glisser, respirant fort. On voit différents angles de caméra, allant du plafond aux propres yeux des pirates. Mon corps commence à avoir des petites convulsions, comme si ce dernier se rappelait ces moments charnus. Une minute plus tard, un autre extrait me montre au cabaret en train de lécher et sucer des bites extraterrestres à genoux autour de moi, avec également différentes caméras me filmant. Il y en a même une sous moi, à travers un sol transparent, observant mon cul et mes couilles égouttant de sueur. La fièvre du sexe s’empare à nouveau de moi. Quel bonheur de retrouver cette sensation. Habillé d’un simple t-shirt et d’un slip, je commence à me caresser.

La voix du scientifique continua : « Jamais nous n’aurions cru à un tel niveau de perversité chez un humain. Avec les pirates, vous avec baisé trois heures et éjaculé 8 fois. Au cabaret, avec une dose plus forte, l’orgie a duré quatre heures et les espèces sur place vous ont fait venir 19 fois environ. Cette fois, nous aimerions analyser jusqu’où sont vos propres limites. ». Je croyais avoir joui comme un dingue auparavant, et cette fois-ci, on veut mettre le niveau au maximum. « Une fois cet objectif atteint, vous rejoindrez finalement votre planète. » Bon… même si cela fait cinq ans, je garde des souvenirs délicieux de mes relations sexuelles avec des extraterrestres et j’aimerais encore une fois atteindre ce niveau, et peut-être au-delà. « Donc, vous êtes prêt pour l’expérience? »

Je suis soudainement téléporté dans une toute petite pièce sombre, presque une prison. Devant moi, je remarque une petite table, une chaise et un verre d’eau. « Buvez ce qu’il y a dans le verre et placez vos mains derrière le dos. » Je m’empare du verre, en boit le contenu. J’ai juste le temps de placer mes mains quand une vive sensation de bien-être emplit mon corps. Des menottes magnétiques referment mes poignets et mes chevilles. Je ne peux plus bouger. Mon pénis se réveille avec un violent afflux sanguin. « La substance que vous avez avalée est trois fois plus intense que celle au cabaret. Vous ne pouvez pas vous toucher immédiatement, ce qui expliquent les menottes. Votre plus intime fantasme va maintenant se révéler. »

Les murs se changent soudainement en verre. À la vue de la créature, je pousse un cri. Adolescent, je lisais des dessins animés sur internet avec des extraterrestres qui avaient des relations sexuelles entre eux ou avec des humains. Il y en avait même sur Jabba le Hut, le même qu’on voit dans la Guerre des Étoiles, au moins où il m’excitait plus que les autres. Et là, de l’autre côté de la vitre, cette limace m’observait avec ses grands yeux noirs. Par le fait même, d’immenses écrans géants surplombent les façades autour de Jabba, me filmant les poignets et chevilles liés, bandé comme jamais je ne l’ai été. Jabba m’adresse la parole : « Comme ça, je t’ai toujours excité, hein? Je vais enfin m’offrir un humain, ce que je n’ai pas eu le temps de faire avant que la princesse Leia me tue il y a longtemps ». J’avais oublié ce grand moment de cinéma, mais bon. « En plus, tous les représentants des nombreuses galaxies qui n’ont pas pu assister à ta performance au cabaret vont t’observer en direct ».

Des gicleurs s’actionnent du plafond et une importante quantité fait grimper le niveau d’eau d’un mètre. Après quelques minutes, ils arrêtent net. Mon t-shirt et mon slip sont tout trempés. Mon propre gicleur est en état d’alerte. Je respire fort, mon corps tremble de plaisir. Jabba se colle à la vitre, se flatte la queue lentement. Soudain, mes pieds se libèrent. J’embarque et m’asseoie sur la table, écarte mes jambes pour que Jabba puisse voir la forme de ma grosse bosse dans mon slip mouillé. Je me frotte les fesses en gémissant. Ensuite, je me lève, approche ma bouche du bout de la chaise et la lèche avec avidité. Sur les écrans, des commentaires écrits apparaissent dans le bas, provenant d’extraterrestres pervers qui doivent se payer du bon temps en me contemplant. Je me colle à la vitre me séparant avec Jabba. Je lui dis que je le veux, que je veux être sa pute.

Les murs de vitres disparaissent. Mes menottes aussi. Je tourne le dos à Jabba et baisse lentement mon slip pour lui montrer mes fesses juteuses. Il grogne comme un vieux vicieux. Je joue des hanches en lui montrant mon bel anus mouillé. Sur quelques écrans, on commence à voir des extraterrestres qui se masturbent en cam. Ma bite a pris quelques pouces de plus, elle est monstrueusement aguichante. Au même moment, je glisse mon index dans le fion, l’agite rapidement et me lamente. De l’autre main, du bout de mon index, je me chatouille le prépuce, en retire une grosse quantité de liquide séminal et me l’insère dans le cul. À ce moment, l’univers était sur le point de venir.

Avant d’atteindre ce moment fatidique, Jabba me demande de m’approcher de lui. À deux pouces de son visage, je sens son haleine. Je me penche, me frotte doucement le gland et les couilles sur son visage et lèche sa peau. Ma libido est au-delà de mes limites, ce qui me fait faire d’inimaginables mais de sublimes cochonneries. Il s’empare de mes fesses, l’air de sa bouche assèche ma peau. Je me masturbe, caressant la verge sur ses grosses lèvres. Je lui crie de goûter mon sperme, il approuve avec délectation. Au même moment qu’il me serre les fesses, j’éjacule comme un porc dans sa gueule. Putain que j’ai joui. Et je suis loin de débander.

Jabba me tourne dos à lui et enlève lentement mon t-shirt. Nu devant l’univers qui me regarde et salive devant un humain qui aime le plaisir dans la soumission, je me contemple sur les divers écrans et me demande jusqu’où ma folie sexuelle va me mener… quelques moniteurs montrent des reprises de moi survenu il y a quelques minutes, décuplant encore davantage ma démence perverse. Au même moment, une grosse langue me liche le dos. Une épaisse écume descend jusqu’entre mes fesses. Je sens la lourdeur de ma verge de 25 pouces, affamée. Le bout de la langue de Jabba s’introduit ensuite doucement dans ma croupe. J’émet des plaintes de catin : oh, ah, mmm… à chaque coup, du fluide s’échappe de mon gland, gardant un filet permanent. Mon point P est stimulé au maximum.

Par la suite, il me soulève, me dépose sur son ventre humide et, tout en gardant une bonne souplesse, continue de me faire un coït anal avec sa langue. Mon gigantesque phallus est secoué de haut en bas lors des mouvements. Les dépravés commentent chaque pli de mon pénis tout en augmentant la cadence de leur branlette. À un certain moment, je sens une main douce me malaxer les couilles et je pousse un gémissement. Jabba la glisse ensuite vers ma bite, mais au simple toucher, une importante quantité de sperme sort du gland et s’étend sur ma poitrine et mon visage. La grosse langue se retire de mon anus.

Respirant fort, je prends ma propre semence sur mes joues avec mes doigts et en dépose sur ma langue. Jabba me susurre : « Jamais je ne croyais qu’un humain pouvait se transformer en truie. » J’entends un des vicieux s’exprimer en ondes. Il m’adresse une requête en direct pendant qu’il se masturbe avec une graine deux fois plus grosse que la mienne : « Paraît que lors de ton orgie au cabaret, plusieurs sur place ont particulièrement aimé voir te sucer. Moi je n’en peux plus d’attendre, je veux regarder ça, j’en rêve ». mmmmm oh oui, je le veux aussi. Je demande à Jabba de plier doucement mes jambes avec son bras, qui s’exécute promptement. Je liche mon prépuce lentement mais avec passion. Je l’aspire pour en avaler le restant de semence de ma dernière éjaculation. La bouche pleine de bave, je l’introduis en sentant la chaleur douce de l’organe. Je pourrais faire ça pendant des heures. J’aperçois du coin de l’œil trois des scientifiques (tous mâles) qui sont incapables de prendre des notes, préférant plutôt de prendre leur propre membre en m’observant de manière peu scientifique.

Frôlant mes lèvres sur mon gland, je leur fais signe de s’approcher et d’admirer de plus près toute la perversité qui m’envahit. Autour de moi, à l’œuvre avec ma verge, il se surprennent à se toucher et se masturber mutuellement. Ils semblent eux-mêmes surpris. C’est la première fois, semble-t-il, qu’ils commettent des actes qui vont à l’encontre de leur travail. On dirait bien que j’excite tout le monde. Soudain, un d’entre eux se penche et lèche mes couilles avec assiduité. Je murmure de plaisir tout en continuant à travailler ma grosse bite dans ma bouche. Les deux autres frottent leurs lèvres gloutonnes sur mon sexe. Nous sommes quatre à le triturer. J’entends au loin les spectateurs qui nous traitent de porcs et crient de jouissance à notre place.

Après avoir léché mes couilles, un des scientifiques se concentre sur mon derrière, caresse mes fesses rouges enduit d’une couche de sueur et introduit sa langue humide dans mon trou de cul. En plus de la pipe d’harmonica des deux autres pervers, mon prépuce à l’intérieur de ma joue rouge et la galaxie qui joue dans ses culottes en me regardant, Jabba, n’y pouvant plus, se met à balancer tout son foutre sur moi. Les trois scientifiques se lèvent en même temps, se branlent mutuellement et éjaculent dans mon visage. Gluant et bandé comme un cheval, je maintiens les téléspectateurs dans leur excitation en écartant mes jambes pour mettre mon pénis en évidence et me dandine les hanches en me léchant les doigts avec sensualité. Les dépravés sur vidéo me lancent des obscénités telles qu’elles me stimulent davantage. Je ne connais plus tellement de limites.

Vous voulez connaître la suite?



Après ma mésaventure chez les scientifiques, j’ai eu une bonne conversation avec eux Satisfaits de leur expérience avec moi, ils m’ont indiqué que le sérum en moi a créé une forte dépendance au sexe avec d’autres espèces et que probablement aucun autre humain ne m’égalerait dans ma planète. Je le pensais aussi. Mes congénères terriens m’ont envoyé dans l’espace il y a quelques décennies pour faire de l’exploration scientifique. Ma mission était accomplie depuis longtemps, bien avant ma rencontre initiale avec les pirates et autres pervers qui m’ont initié à ce sérum. Donc je suis libre de changer de carrière…

… d’autant plus que les scientifiques m’ont indiqué que les téléspectateurs qui ont assisté à ma précédente dépravation leur ont fait des commentaires très positifs à mon endroit. Ma réputation est désormais très élevée dans la Voie Lactée grâce à mes performances. Certains sont prêts à me payer pour me rencontrer. Les hommes de science m’ont donc suggéré fortement que je puisse offrir mes charmes aux plus offrants. Je leur ai répondu: pourquoi pas?
Une fois de retour à bord, des fichiers contenant une description détaillée de toutes les espèces dans la galaxie m’ont été transféré par l’équipe scientifique sur mon ordinateur de bord. Il y avait également une kyrielle de messages d’extraterrestres avec des offres monétaires alléchantes pour mes services. Même sans être rémunéré, j’aime assouvir mes vices. Je consulte mes nombreux messages. Plusieurs, pendant qu’il se branlent, me promettent la plus belle baise de ma vie. Certains ne sont pas sérieux. Ils sont tous désirables. Cependant, il y en a un que je remarque… un être massif, de couleur bleue, au nom de Nerlus, le plus riche négociant de la galaxie. Petits yeux jaunes et grande bouche pulpeuse, il aurait selon les rumeurs une appétit sexuelle vorace et légendaire, selon son fichier. Il est assis torse nu dans une mare d’eau. Il observe la caméra et déclare ceci : « Jusqu’à récemment, j’ignorais qu’un humain pouvait avoir des pulsions sexuelles aussi fortes, sinon plus, que les autres créatures. Et j’ai compris quand je t’ai vu à l’œuvre à distance. »

Ensuite, il claque des doigts, et un vaisseau en 3d apparaît. « Cet appareil est de la toute dernière technologie. Elle est à toi si tu me rejoins rapidement. Je vais enfin pouvoir me taper un terrien. » concluait-il ainsi en poussant un petit grognement pervers. Je commençais à bouillonner entre les jambes. Je me mis en communication avec lui aussitôt. Un porte-parole répond et me donne les instructions pour me rendre à la planète en question.

Une semaine plus tard, j’atterris sur la dit planète dans une plaine verdoyante avec une grande forêt tout près. Le porte-parole en question, qui ressemble à Nerlus mais en plus maigre, m’accueille avec joie, habillé d’une sorte de boubou africain. Il observe ma combinaison moulante blanche de haut en bas et hoche de la tête en souriant : « Mon maître a une énergie sexuelle dévorante. Il a eu des relations avec plusieurs espèces dans sa vie, mais jamais avec un humain. Il vous attend avec impatience. » Il me prie de l’accompagner dans la forêt. Mon cœur bat la chamade, anticipant un moment savoureux. Un quart d’heure plus tard, on rejoint une clairière avec un petit lac de l’autre extrémité. Le porte-parole me pointe Nerlus dans l’eau tel que je l’ai vu dans son message. Sans nous avoir encore vu, il semble dormir la tête sur le bord du lac. Soudain, le porte-parole se penche vers moi et me glisse des instructions dans l’oreille tout en me tripotant les fesses. Je réponds avec un petit gémissement de plaisir. Il sourit de plus belle et dit : « Si ce ne serait pas de mon père, je te savourerais à sa place. » Il s’éloigna par la suite et me laissa à ma mission.

Une fois sur le bord de la rive, j’aperçois Nerlus de l’autre côté toujours en plein sommeil. Pendant que j’enlève mes bottes, il se réveille et me voit. Il s’agite soudainement, fébrile. Il me crie : « Viens dans l’eau et approche-toi, n’aie pas peur, elle n’est pas profonde. » J’entre dans l’eau, nage doucement vers lui et m’arrête à trois mètres de lui. Je me lève debout, car le niveau d’eau arrive à mes genoux, et le temps s’arrête. Sous ma combinaison, on remarque les contours de mon corps dont ceux de ma grosse bite. Nerlus, la bouche ouverte, m’observe, la bave qui coule. Je glisse mes mains sur mes seins, me dandinant avec sensualité. Je lui tourne le dos, bombe mes fesses. Quand je me fais regarder comme ça, je suis dans un vrai état d’ivresse. Soudain, Nerlus se lève. Il est deux fois plus grand que moi (je mesure 6 pieds 1). Il ne porte qu’un string… et il semble avoir un gigantesque phallus.

Il s’approche et me soulève d’un bras par les fesses. Mon cœur s’arrête. En me regardant respirer fort, il me dit à l’oreille: « J’ai rarement été aussi émoustillé comme je le suis. J’ai rêvé d’un humain pendant si longtemps.» Et il m’embrasse goulûment. Mmmmm sa bouche et sa langue goûtent bonne, sa bave coule abondamment le long de ma combinaison. J’enlève le haut lentement. Il me caresse la poitrine avec des yeux cochons. « Tu as une belle peau moite ». Il se met à me lécher un sein avec sa langue rouge râpeuse. Il me désire, c’est évident. « J’adore goûter la sueur des espèces que je baise. » Il me soulève plus haut et explore ensuite mon ventre de ses lèvres frétillantes. L’humidité ambiante extrême (la température ressentie indiquait 47 degrés celsius dans l’ordinateur de bord de mon vaisseau) rend ma peau très rouge, suintant comme un vrai porc.

Tout d’un coup, il me dépose et se rasseoit dans l’eau. « C’est par mes partenaires d’affaires du réseau, ayant assisté à ton légendaire spectacle dans un cabaret, qui m’ont parlé de toi en premier. Tu serais un véritable être soumis, qui adore se laisser faire et se faire prendre comme une pute. Est-ce vrai? » Je lui réponds : « Oui, mon cher. J’ai découvert la fornication avec d’autres races que la mienne et ma vie sexuelle s’est complètement transformée par la suite. Car répondre à leurs désirs charnels me satisfait entièrement.» Nerlus se délecte de mes paroles. En m’approchant de lui, je lui lâche : « Observes-moi et gâtes-toi». Sous l’eau, il enlève son string et commence à se masturber, très facile à voir dans l’eau claire. Dos à lui, au niveau de ses jambes, je baisse lentement mes pantalons, les enlève complètement. Mon bel anatomie, objet de convoitise pour tous les vicelards de la galaxie, est maintenant disponible pour leur maître. Il se met à s’astiquer la bite de plus belle, les yeux arrondis, à la vue de ma grosse verge dont le gland est totalement sorti de son prépuce.

J’observe ses grosses lèvres avec avidité. Une pensée vicieuse me traverse l’esprit... « Aimerait-tu la mettre dans ta bouche et la déguster? » dis-je en lui tendant mon membre viril. Il répondit en sortant sa langue sirupeuse. En ébullition totale, je m’approche le cœur battant. Nerlus commence d’abord par me sucer les couilles. Il arrête de se branler, empoigne mes grosses fesses avec ses deux mains et les tripote avec douceur. Je pousse un petit gémissement. Par la suite, Nerlus se met à renifler ma queue avec ravissement : « Tu sens le sexe, humain. Je vais enfin me farcir ton corps et tu vas profiter au maximum de ma dépravation. » Il commence à goûter à mon gland, chatouille mon urètre avec le bout de sa langue, remue ses lèvres sur la tige. Et enfin, il l’insère dans sa bouche. Seigneur que c’est bon! Pendant plusieurs minutes, je me la fais pomper et stimuler comme jamais, lentement puis avec une telle intensité que je me demande comme je peux résister aussi longtemps car jamais je me suis fait tailler une pipe de la sorte. Soudainement, en serrant mes fesses plus fort avec ses mains, le trop-plein sort en plein dans la gueule de Nerlus pendant que je rugis comme un animal.

« Ton sperme est délectable. À ton tour de goûter au mien ». Nous sortons de l’eau tous les deux. Il s’étend au sol sur le dos, moi sur lui mais à l’envers. Je m’empare de son gigantesque phallus et le déguste avec avidité. Au toucher, sa texture est très chaude mais également très douce. Pendant ce temps, le visage de Nerlus est plongé entre mes deux fesses. Je lui retourne le compliment en lui savonnant le gros prépuce avec ma bave. Par la suite, j’introduis une partie de ma langue dans son large urètre et amorce un mouvement de va-et-vient qui fait réagir de plaisir mon amant. Je le branle en même temps pour doubler le plaisir. En quelques minutes, un liquide légèrement sucré envahit ma gorge. J’avale le tout avec volupté. « Tu sais, je connais ton point sensible, je me suis informé… », dit-il. À son tour, sa langue s’enfonce dans mon rectum et se met à chatouiller ma prostate. Accroupi sur le visage de Nerlus, j’observe ma queue, nouvellement bandée, remarquant qu’elle est encore plus grosse que d’habitude.

Soudain, j’aperçois le fils de Nerlus dans l’eau nous observant. À travers son boubou, il se mastique le bâton avec douceur mais entrain. Quittant mon anus, ce dernier me dit : « Junior a vu tous tes vidéos et il rêvait à toi depuis longtemps. Mais il n’a que le droit de nous regarder tant qu’il reste mon héritier ». Le fait d’avoir caressé mon cul plus tôt l’a véritablement allumé. De plus, l’odeur de mon sperme a déclenché chez lui une folle envie de venir me voir de près et d’admirer mon énorme phallus. Il aura tout le loisir de l’admirer, c’est certain. Mais pour le moment, j’ai un désir féroce de me faire enfiler.

Je change de bord et me couche sur le ventre de Nerlus. J’empoigne sa bite pour la faire glisser entre mes deux fesses. Lentement, je bouge mes reins de haut en bas pour que ma raie sente sa grosse quéquette. J’entend Junior bêler derrière moi. Nerlus, me regardant le visage saoulé par tant de plaisir, me chuchote : « Tu es vraiment une salope ». Sur ces mots, je commence à l’enfoncer dans mon cul. Mon Dieu! Je crie d’euphorie. J’ordonne à Nerlus de m’enculer. Empoignant mes fesses rouges, il s’exécute. Dire qu’il attendait ce moment depuis longtemps. Par la suite, je le chevauche tranquillement pour bien stimuler mon point P. Toute ma sueur s’étend sur mon amant. J’entends derrière Junior émerveillé de voir mes fesses détrempées se mouvoir ainsi. J’indique à son père mon désir de voir son fils se déshabiller et nous observer de plus près. S’exécutant, Junior se remet à se masturber de plus belle en faisant une véritable fixation sur ma queue. Voyant cela, Nerlus me chatouille le bout de mon gland, où ressort un jet de liquide séminal. Le doigt mouillé, il le tend à son fils pour qu’il le sente. Voyant cela, j’accélère la cadence, encore plus excité. Au bout de plusieurs minutes, Nerlus vient en moi comme une bête. À force de se faire balancer dans tous les sens, mon pénis explose une deuxième fois, éclaboussant abondamment les alentours. Junior se met à grogner et éjacule à son tour.

Je demande alors à Nerlus pourquoi son fils ne peut pas se joindre à nous. Il me répond qu’il existe une tradition dans sa planète dans laquelle le roi seul peut avoir du sexe avec d’autres espèces. Par contre, l’invité peut demander d’ajouter un troisième participant sous conditions. C’est alors que je lui démontre mon désir d’inclure Junior. Nerlus alors me signifie que je devrais abandonner d’acquérir le vaisseau 3d promis. Je m’en fiche pas mal car ma libido n’a jamais été aussi élevée. Junior, tout en recommençant de se frictionner le phallus, supplie son père. Ce dernier réfléchit puis proclame à mon endroit: « Si cela peut te donner encore plus de stimulation, que ce soit ainsi. » Junior, n’en pouvant plus, se penche pour le remercier. Je me charge de le lever debout en me collant à lui et à l’embrasser. Je lui ordonne de me peloter les fesses. Nous nous frottons les queues mutuellement. Trop excité, il vient immédiatement sur moi. Je le rassure doucement… « Je la veux dans ta bouche, dégustes mon foutre ». Comme un chien affamé, il se baisse alors, palpe les contours de ma tige, enduit de bave mon prépuce. Pendant ce temps, de ma main droite, je me mets à branler Nerlus. Une fois engloutie, mon gros pénis ressent une chaleur aussi indescriptible provenant du fils que la première fellation du père. Pendant que ce dernier me lèche le cou, je jouis avec puissance dans la gueule de Junior. Je suis dans un état de débauche total. Mon ventre respire fort. Nerlus, constatant mon léger épuisement, me glisse à l’oreille si j’ai besoin d’une pause. Je lui prends la tête et d’un soupir, lui répond d’attendre encore.

Pendant plusieurs heures, mon corps a été soumis à une myriade de plaisirs repoussant davantage les limites de ma libido. L’extase était à son comble. Nerlus et Junior m’ont bouffé littéralement. Ils ont élargi mon anus avec deux bites dans le cul en même temps. Nerlus me tenait par les cuisses et Junior me défonçait. Ils ne voulaient rien perdre de mes fluides : un autre moment de sodomie pendant que j’étais à quatre pattes, Junior tendait sa langue en-dessous de ma verge pour gober tout mon liquide séminal et mon sperme. Mais il adorait particulièrement quand je me suçais moi-même, ce qui faisait surtout ma réputation interstellaire. En la mettant dans ma bouche, cela confirmait que ma bite était vraiment rendu énorme. Je la comparais en même temps que les leurs, qui la tendait pour pouvoir profiter pleinement de tous les phallus disponibles.

Totalement vidé, j’ai pu partir en catimini, sans me faire remarquer. Après autant de sexe en peu de temps, je crois bien avoir atteint mes limites. J’espère que toi, lecteur, en a bien profité.

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