Quand il faut contenter sa belle-mère, sa demi-soeur, Une cougar avec sa nièce, il faut être en forme. Mais l'une d'elles a trouvé le moyen, et en plus, a fait des copies hyper réaliste de ma teub.
Proposée le 2/11/2020 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
LE HAREM DE PATRICK
12ème EPISODE
Mes quatre femmes folles de ma bite.
-Qu’as tu dis ? Qu’est-ce que t’a dit ma demi-sœur ? Hurle ma belle-mère.
-Zut, (j’ai gaffé) et bien il fallait bien que tu l’apprennes un jour, oui on baise ensemble depuis des mois, elle m’a surpris un jour avec Claude et sa nièce.
- Quoi ? Et qui sont ces deux là ?
- Et zut ! J’ai encore gaffé. Eh bien si tu veux tout savoir, elle nous a surpris en train de faire l’amour et elle s’est occupé de ma bite avant de se rendre compte que c’était celle de son neveu et depuis elle ne veut plus s’en passer.
- Tu te tapes trois putes et moi par dessus le marché ! Mais tu es un véritable obsédé !
- C’est plutôt vous, dès que j’arrive quelque part, vous vous précipitez sur ma teub !
- C’est vrai que quand on a gouté à ta formidable queue et à la manière dont tu t’en sers, on ne peut plus s’en passer et que ce n’est pas à moi, ta belle-mère qui doit en être jalouse, et elles, elles acceptent de te partager ?
- Oh oui, et même on fait parfois des parties à quatre.
- Et tu arrives à les contenter ?
-Suivant mes disponibilités, j'essaie de les voir dès que c'est possible. Jusqu’à maintenant elles ne se sont jamais plaintes.
- D'après ce que tu me dis, elles sont folles de toi et ne doivent pas te ménager et pourtant je ne t'ai jamais pris en défaut, la queue toujours vaillante et infatigable.
- Merci du compliment, Anne-Marie.
Ce fut tout pour ce jour mémorable…
Une semaine après, je rentre à la maison et dans le salon que vois-je? Mon harem au grand complet.
Après mes révélations, Anne-Marie avait pris contact avec Michèle et après de longues explications assez orageuses au départ, elles s’étaient réconciliées et avaient décidé d’inviter Claire et sa tante chez nous.
Un peu gêné, je fais la bise à mes quatre amantes et demande de quoi elles parlaient à mon arrivée.
- De toi et de ta monstrueuse queue! Réplique ma tante (par alliance).
Comme je pensais bien que j'étais le sujet de leur présence ici, je ne suis pas surpris.
Belle-maman prend la parole :
-Tu te doutes bien que le sujet de la conversation tourne autour de toi et de la manière dont tu nous as rendues dépendantes de ta merveilleuse bite dont tu sais si bien te servir.
Personne ne veut s’en priver et on s’est réunies pour faire un calendrier de baise pour pouvoir te partager en te ménageant des jours de repos pour que tu recharges tes bur…tes accus.
-Et Claude nous a expliquée pourquoi tu étais si unique que tu nous rends toutes folles de ton corps, de ton sexe d'une taille largement au dessus de la moyenne et surtout d'une épaisseur très rare, de la manière dont tu arrives à dominer ton priapisme léger qui te permet de rester en érection à ta convenance.
- Elle nous a donné aussi un cours de médecine nous expliquant la spermatogénèse, la production débridée de semence qui te permet des éjaculations très rapprochées et nombreuses avec un volume de sperme énorme.
- Et comme ton anniversaire est dans quelques jours, reprend Claude, on va te faire notre cadeau toutes ensemble!
Elles se lèvent et m’enlèvent avec frénésie mes vêtements en n’arrêtant pas les caresses et les baisers à pleine bouche si bien que mon sexe jaillit comme un diable monté sur ressort quand elles me retirent le slip.
Mes quatre Gourmandes approchent leurs jolies bouches pulpeuses de ma queue dressée. Elles se mettent à la lécher doucement. Claire s’assoit sous moi et me lèche les couilles, Claude et Michèle à genoux face à face s’occupent de la hampe par de longs coups de langues tandis qu’Anne-Marie avale mon gland.
Deux langues sur la verge, une autre sur les couilles, une troisième sur le gland, cette avalanche de sensations qui s'abat sur mon sexe est extraordinaire. Le picotement de la peau de mes couilles que gobe Claire, le titillement des langues tout le long de mon tuyau, et le frottement d'une autre sur le bout de mon gland.
Les langues lèchent et les lèvres sucent. Je suis aux anges. Le manège continue et gagne en intensité. Celle qui s'occupe du gland, finit par le prendre totalement en bouche.
Elle le suce, elle le pompe, elle l'avale, en plus des langues et lèvres suceuses sur mes couilles et ma hampe, chacune d'entre elles vient butiner ma bite sans discontinuer.
Pendant que l'une se gorge de mon gland dans un mouvement délicat de va-et-vient, deux autres lèchent la hampe de ma queue, tandis que la quatrième s'occupe des couilles et frotte sur des zones très sensibles.
La peau de ma verge est très sensible à toutes ces caresses buccales. Un véritable supplice sensuel, m'envahit.
Le plaisir est tellement intense, que je voudrais qu'elles cessent. Mais je suis totalement soumis à ces bouches qui lèchent, qui sucent, qui avalent et qui pompent, partout sur mon sexe, ça me rend dingue...
Soudain, une main se saisit fermement de ma queue et la maintient bien redressée. Trois jolies têtes s'approchent, langues tendues. Elles se positionnent sur le gland comme elles peuvent et avec leurs langues, elles se lancent dans un long massage de la base du gland jusqu'à son sommet.
Très vite je sens des sensations de plaisir intense. Avec ce massage en trois dimensions de ces trois langues conjuguées, je sens la jouissance monter inexorablement mais, contre toute attente, elles marquent des pauses. La pression retombe et je décompresse. Puis les langues reprennent leur ouvrage.
Elles s'arrêtent à nouveau, reprennent... Il s'agit là d'une véritable torture sexuelle. Une fois l'orgasme presque atteint, tout s'arrête. Tant que les langues de ces trois tortionnaires sensuelles ne se fatigueront pas, cela continuera, je l'ai bien compris.
Cependant, les belles semblent se lasser, les trois langues se font plus dures. Les langues avides frottent âprement sur le gland. Je sens que je vais jouir. Mon gland gorgé de sang, au bord de l'explosion, s'achemine vers un orgasme irrépressible.
- J’explose, je crie à gorge déployée.
Un flux énorme que je ne peux plus contenir de sperme sort de ma queue et noie le visage de Michèle, du menton aux cheveux. Une deuxième giclée bien épaisse frappe Claude la bouche ouverte qui avale mon sirop. Une troisième décharge surpuissante de mon foutre chaud et crémeux s’élève dans les airs et retombe dans les cheveux d’Anne-Marie.
C'est l'orgasme absolu de ce somptueux manche qui crache en saccades puissantes un liquide chaud, épais, lourd, gras. Une bouche vient de s’emparer de mon pénis. Un flot de foutre ininterrompu sortant de ma bite en feu la remplit.
Après un léchage en règle de ma queue, elles décident de changer d’exercice.
Récit de Claire :
Comme je m’y attendais, Patrick n'a pas baissé pavillon et je décide de passer la première.
Je le fais s’étendre sur le divan et lui ordonne de rester passif, Michèle et sa demi-sœur continuent de branler Patrick et je profite de cet énorme membre bien droit pour me mettre à cheval sur ses cuisses et remplir ma chatte par ce vit exceptionnel.
Mon vagin explose sous la violence de la pénétration mais je n’en ai cure et ma chatte est si humide que son engin glisse bien en moi et me reculant un peu je me renfonce profondément le pieu à l'intérieur pour en profiter.
- AAAAhhhh, putain que c’est bon ! Je veux sentir ta bite partout dans mon corps... humm... je veux être remplie... et défoncée... par ta saloperie de poutre !!!
J’entame des va-et-vient de plus en plus rapides, touchant le fond de mon vagin à chaque fois. Je retire sa queue de ma chatte et la positionne pour un enculage et d’un seul coup l’enfonce entièrement dans mon cul.
C'est comme un morceau de bois qu’on enfonce dans mon derrière. Mon trou du cul va éclater et Michèle en profite pour me dévorer la foufoune.
Pendant ce temps Claude à califourchon sur la tête de Patrick se pâme sous ses coups de langue dans sa vulve, il lui dévore le clito, le salaud !
Au bout d’un moment, je cède ma place à Michèle et à tour de rôle, nous nous empalons sur cette chose immonde, si longue, si dure, ce phénoménal pieu de chair, interrompant régulièrement notre orgie pour prolonger le plus longtemps possible ces moments merveilleux avant sa jouissance.
Cette ronde infernale a duré presque une heure avant que notre étalon nous honore une nouvelle fois de sa semence.
- Ooooohhhh, je jouiiiiiiiss. Aaaahhhh... putain de nom de dieu ! Vous me faîtes jouiiirrrr !
Nous nous sommes serrées à genoux devant sa lance avant qu’il éjacule de nouveau d'énormes quantités de foutre.
Tenant à pleine main son phallus qu’il déplace à chaque giclée pour nous asperger, il continue inlassablement à se vider les couilles.
Son sexe toujours aussi dur et tendu ne débande pas et crache sa semence par vague qui atterrissent sur nos seins, nos visages, maculent nos cheveux. Bon sang, c'est incroyable, il se vide par flots sans fin.
Son sexe est en train de terminer son travail, je ne vois plus aucun soubresaut ni flot de foutre sortir de sa bite encore dure qui baisse à peine du nez. Lorsqu'il termine, il avoue :
-Putain, vous m’avez pratiquement vidé les couilles !
C’est surprenant mais son gros dard est toujours aussi gros, à peine moins bandé mais toujours si épais. C'est comme s'il ne venait pas d'éjaculer. Juste incroyable !
Récit de Patrick
Après cette ronde de folie sur ma bite, on a pris un instant de repos et une collation pour récupérer quand ma belle-mère est partie dans sa chambre et est revenue avec un étrange matériel.
Anne-Marie se penche en arrière et pèche sur la table un lacet de cuir et entoure la base de mon pénis avec le lien, le comprimant.
- Ne t’inquiète pas si ça serre. Y’a pas de danger…
Après avoir pris une bonne dose de crème dans le creux de sa main, elle entreprend de me masser le gland, forçant sur ses pouces pour bien faire pénétrer l’onguent dans les plis du prépuce.
La sensation est délirante, cet onguent est comme un millier d’aiguilles et je rebande à mort illico. C’est comme si on avait plongé ma bite dans de la poix chaude.
Anne-Marie interrompt ses caresses, un afflux de sang sous pression se produit dans mon membre congestionné qui se gonfle encore plus gagnant deux centimètres supplémentaires de tour et qui prend une teinte violacée.
« Bon dieu ! Ma trique n’est déjà pas assez épaisse comme ça? » Puis elle se saisit du long tube de plastique gris. Je comprends enfin à quoi tout ça rime.
Anne-Marie me veut au maximum de ma forme, au moment de « prendre l’empreinte ». Quelle vicieuse ! Ç’en est diabolique ! Elle dégage la base du tube et en coiffe mon nœud dressé à la verticale.
L’intérieur du cylindre est rempli de gel. Au fur et à mesure qu’elle l’enfile sur mon membre, j’éprouve des sensations étonnantes, ma bite brûlante s’enfonce dans quelque chose de froid et d’humide, agréablement frais.
Une fois le cylindre bien en place, elle me demande de rester immobile une minute ou deux, avant de défaire le cockring improvisé à la base de mon sexe. Ma bite dégonfle peu à peu, libérant un interstice entre moi et mon « empreinte ».
Sous les regards complices de mes trois chiennes, Anne-Marie, très concentrée, entreprend le démoulage avec précaution, comme une petite fille retirant le moule d’un drôle de gâteau. Ensuite elle remplit l’empreinte d’un silicone spécial à prise rapide et démoule après quelques minutes mon chibre ou plutôt sa réplique en silicone. Le nouveau gode est hyper réaliste, avec le détail des veines gonflées, presque vivant.
- Beau spécimen, n’est-ce pas ? S’exclame-t-elle. Mais il me parait encore plus grand que sa bite ! Et elle en prend la mesure. Effectivement, sous la pression exercée par son lien, ma verge s’est tellement gorgée de sang qu’elle a enflé.
La longueur a gagnée un centimètres et la grosseur est devenue monstrueuse, mon vit passant allègrement les 18 centimètres de circonférence!
- Comme convenue, commente-t-elle, je vais faire pour chacune d’entre vous un exemplaire de son gros nœud pour nous permettre de toujours l’avoir avec nous même lorsque Patrick est « occupé » ailleurs.
Aussitôt dit, aussitôt fait, elle remplit le moule trois fois de suite et mes quatre vicieuses ont chacune leur gode géant.
J’ai su par la suite que Claude qui avait des connaissances dans des magasins érotiques avait proposé cet article à la vente. Ma bite trônait en vitrine et se vendait particulièrement bien.
Après cette intermède et vu l’effet que fait un cockring à ma teub, elles veulent essayer en me mettant un anneau très serré sur ma verge qui est devenue énorme et d’une raideur incroyable qui me fait mal, à la limite du supportable.
Elles se sont ensuite relayées jusque tard dans la nuit sur mon nœud par tous les trous possibles.
Claire complètement déchainée aidée de deux complices tenant chacune un gode « made in Patrick » allant même jusqu'à mettre ma bite dans ses trois trous en même temps.
Elles ont hurlées car le diamètre obtenu par ma queue a du encore repousser les limites qu’elles pouvaient accepter dans leurs différents trous mais aucune n’a reculé et du fait que ma queue congestionnée ne pouvait plus ni débander ni jouir, plus rien n’empêchait une baise sans fin.
J’ai failli y rester et il m’a fallu trois jours pour m’en remettre.
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