Même si je suis mature et plutôt coquine, je n’ai été que récemment « initiée » à la double pénétration par mon chéri et un autre mec, mon prof de yoga. J’y ai pris un tel plaisir que j’ai décidé de récidiver, mais en prenant cette fois l’initiative du partenaire. Je n’ai eu aucun mal à attirer Eric, un prof rencontré sur mon lieu de travail, mais,
Proposée le 29/01/2019 par Lapin
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
J’ai rencontré Eric lors de la rentrée universitaire, lorsque ce jeune professeur tout juste agrégé est arrivé comme vacataire dans l’école où, depuis de nombreuses années, je suis attachée de direction. Très vite, j’ai remarqué qu’il me rendait souvent visite, pour des détails administratifs qui lui servaient de prétextes à discuter un peu, de tout et de rien, jusqu’au jour assez récent où il s’est décidé à m’inviter au restaurant, au grand amusement de ma collègue de bureau, pas dupe de son manège depuis quelques semaines et qui me dit, avec une sorte de dépit teintée d’humour :
- « Waouh, Danielle, tu as fait une belle touche… ce mec, moi, si je le trouvais dans mon lit, je n’irais pas coucher dans la baignoire… ! »
Au cours de nos discussions, je ne lui avais pourtant pas caché ma situation, en l’embellissant un peu, puisque je lui ai dit vivre en couple alors qu’en fait, j’entretiens avec mon homme une relation du genre «épisodique» parce qu’il vit en province, d’une part et, d’autre part, il est très souvent en déplacements en France et même à l’étranger pour suivre des chantiers ou des projets, ce qui, par contre, nous donne l’occasion de nous retrouver pour des soirées ou des weekend end, en général plutôt torrides.
Je ne suis certes plus une « gamine », encore moins une « sainte nitouche » car, à un peu plus de 50 ans, j’adore jouer de mon côté blonde svelte et coquine et j’avoue affectionner pimenter mes relations sexuelles en utilisant des lingeries très osées, voire pornos, et d’autres gadgets tout en offrant à mon partenaire tout ce qu’il peut désirer, y compris dans la plupart de ses fantasmes les plus osés…
Pourtant, et alors que malgré une apparence sexy et un comportement un peu « délurée » en privé, je suis, dans mon travail, extrêmement sérieuse et plutôt réservée, l’intérêt de cet homme, à vrai dire très «beau gosse» et tout juste trentenaire, m’a flattée, émoustillée aussi. Ainsi, lors de ce premier déjeuner, j’ai ressenti une indéfinissable excitation à me laisser draguer en ne lui interdisant pas d’envisager une possible «ouverture» avec moi.
Pourtant, revenue dans mon bureau, je me suis traitée de «salope» et je me suis jurée de me montrer nettement plus distante, car s’il m’est arrivé souvent d’avoir des aventures sexuelles avec des hommes de passage, même lorsque j’étais mariée, cela n’était pas encore survenu depuis que j’ai rencontré Patrick et cela ne s’est jamais produit dans mon cadre professionnel.
Malgré moi, insidieusement, peut être du fait de l’absence de mon chéri et du manque en résultant, je me suis surprise à songer à Eric, mes idées prenant un tour érotique assez marqué d’autant que mon ami «en titre» a du s’absenter pour une assez longue période sur un chantier à l’étranger.
Pour autant, j’ai mis un point d’honneur à ne jamais laisser Eric envisager quoique ce soit, sans que cela semble le décourager d’ailleurs, jusqu’à ce samedi ou, étant présente à l’école pour la préparation du concours d’admission des étudiants de troisième année, je l’ai croisé le matin en arrivant alors qu’il se préparait à faire subir les oraux de sélection. Ayant terminé les épreuves en fin de matinée, il m’a rejoint dans mon bureau et, constatant que j’étais restée la dernière pour clôturer les dossiers de la session, il m’a proposé à nouveau de déjeuner avec moi.
C’est à ce moment que, pour une raison que je ne m’explique pas encore vraiment, tout a basculé, sans que rien n’ai été prémédité.
Il faisait très chaud sur Paris et je m’étais vêtue le matin d’une jupe courte et moulante mais tout à fait décente, sans avoir pris conscience que les hauts talons de mes escarpins mettaient en valeur la cambrure de ma croupe d’une façon qui pouvait passer pour aguichante, le petit haut crème très « prêt du corps » que je portais sous une veste légère qui était posée sur mon fauteuil dévoilant mes seins ronds, fermes et menus dans un soutien-gorge si diaphane qu’il en était à peine perceptible.
J’ai ressenti un trouble intense en le voyant entrer et j’ai deviné la flamme qui s’allumait dans ses yeux pétillant lorsque son regard s’est posé sur moi. Dans mon ventre, j’ai deviné une crispation brutale de désir et j’ai constaté que ma petite chatte se mouillait subitement. Incapable de résister à cette sensation voluptueuse, j’ai senti mes jambes flageoler et je n’ai pas fait un geste pour l’arrêter lorsqu’il m’a pris dans ses bras, puis, devinant que je ne le repousserais pas, pour poser ses lèvres dans mon cou en me murmurant là quel point il me désirait…
Il aurait fallu être vraiment « nunuche » pour ne pas constater la réalité très explicite de son désir car j’ai vite perçu l’érection parfaitement évidente qui déformait son pantalon et qui grandissait contre mon ventre alors qu’il me serrait contre lui. Presqu’aussitôt, nos bouches se sont trouvés et nous avons échangé un baiser fougueux et passionné, puis je me suis laissé emporter par une incontrôlable pulsion de désir, nos langues se cherchant et se frottant avec une folle ardeur.
Rapidement, ses mains ont glissés le long de mes reins, épousant la courbe de mes fesses pour soulever bien facilement ma jupe puis s’égarer jusqu’à effleurer la fine dentelle de mon slip brésilien, constatant très rapidement à quel point il me faisait de l’effet… Ses doigts lentement se sont fourvoyés entre mes jambes que j’ai impudiquement entrouvertes, me cambrant impulsivement tout en prenant appui sur mon bureau pour lui faciliter les choses. Il a semblé surpris et ravi lorsqu’il a frôlé la chair tendre et soyeuse de ma petite chatte entièrement épilée et, très vite, il a plongé dans la moiteur de mon sexe brulant, rythmant la pénétration de ses doigts en écartant mes petites lèvres tandis que je me laissais faire avec une déconcertante docilité. Attirant sa tête entre mes cuisses avec une envie très précise, je l’ai guidé pour que sa bouche trouve mon petit abricot juteux et sensible et j’ai commencé à gémir sensuellement lorsque sa langue a entrepris une folle sarabande en s’insinuant dans le fourreau humide.
Lucide quand à mon comportement digne d’une catin, mais emportée par une libido sexuelle frénétique et impérieuse, je me suis laissé aller en arrière pour me coucher sur mon bureau, consciente de lui offrir un spectacle aussi indécent que porno, m’agrippant aux bords en faisant valser dossiers et crayons qui se sont répandus sur le parquet tandis qu’il se débattait pour dégager sa virilité au bord de l’explosion de son pantalon. Ecartant moi-même d’un doigt l’ultime rempart de ma culotte devenue bien inutile, j’ai noué mes jambes dans son dos tandis que, d’une longue poussée irrésistible, il a enfoncé un sexe bien membré et palpitant dans mon ventre torride. Soulevant mes reins pour le sentir m’empaler jusqu’au bout de sa queue ferme et rigide, j’ai senti mes talons aiguilles lui égratigner le dos en s’accrochant dans sa chemise alors que, conduisant la cadence syncopée de ses violents coups de boutoirs, j’en accompagnais les frénétiques va et vient d’une houle de mes hanches tandis qu’il me besognait sans retenue en ahanant de longs grognements de délice, mes seins pourtant menus ballotant si follement sous mon top ajusté au gré de ses coups de boutoir qu’ils en ont été « éjectés » des balconnets de mon soutien gorge, contribuant encore plus à l’indécence de la scène !
Puis, se crispant soudain en s’arc boutant tout en gémissant un long râle de plaisir, je l’ai senti se vider de sa semence dans un orgasme fulgurant en brutales giclées spasmodiques qui ont inondées ma chatte défoncée par son pieu, avant même que j’ai pu jouir moi aussi! Pourtant, alors qu’il finissait d’éjaculer en s’agitant encore dans de brusques va et vient, j’ai laissé échapper un ou deux petits cris suivis de geignements plaintifs, simulant un orgasme en resserrant par à-coups rapides mon vagin sur son sexe encore frissonnant, sachant d’expérience que les hommes adorent avoir le sentiment qu’ils ont donné un plaisir infini à leur partenaire…
Essoufflé et au bord de l’apoplexie, il est retombé sur moi en cherchant son souffle, s’exclamant dans mon cou :
- « Ah mon Dieu,… que c’était bon,… il y a longtemps que… que je n’avais pris autant de plaisir à faire l’amour… Oooh, Danielle, tu es vraiment une nana fantastique !»
Pour ne pas être en reste, et alors même qu’un sentiment de culpabilité commençait à se faire jour dans mon esprit, je lui ai susurré qu’il m’avait « baisée » comme une bête, ce qui a semblé flatté son amour propre et lui faire plaisir, ce qui était exactement le but recherché !
Un petit moment après, rhabillés et rajustés, nous avons remis un peu d’ordre dans le bureau et je me suis rendu aux toilettes pour essuyer mes cuisses le long desquelles avaient dégouliné en serpentins tièdes quelques gouttelettes de sa semence et sécher un peu ma petite culotte toute trempée afin de la remettre pour accepter son invitation à manger ensemble ce midi là.
Lors du déjeuner, j’ai réussi à lui faire admettre que mon comportement n’était pas habituel, (ce qui est vrai, surtout dans mon cadre de travail !), et que c’était ma première expérience de ce genre (ce qui est moins vrai…), lui laissant entendre qu’en fait, j’avais cédé à son charme sous le coup d’une impulsion sexuelle aussi irrésistible que foudroyante.
L’après-midi même, je l’ai pourtant laissé m’emmener chez lui et nous avons à nouveau fait l’amour, d’une façon beaucoup plus satisfaisante pour moi puisque, sans doute un peu moins « crispé » que le matin et « vidé » d’une partie de son énergie, il m’a donné du plaisir avant même que je ne le fasse jouir et je l’ai « finis » en le suçant, gardant bien profond dans ma gorge son sexe en érection tout en pressant ses bourses jusqu’à la fin de son orgasme en cadence avec ses éjaculations, avalant sa semence d’un air gourmand, ce qui a achevé de le convaincre de ma grande dextérité amoureuse, ce que je n’ai certes pas démenti, attendrie par son attachement sentimental qui commençait à se manifester très visiblement et très vigoureusement.
Il m’a gentiment raccompagné chez moi en voiture ce soir-là car j’avais rendez-vous avec ma fille, en fait pour qu’elle puisse sortir avec ses copines et me laisser en garde ma petite fille, ce que je me suis bien cachée de lui faire savoir, pas plus que je n’ai confié à Vanessa les détails croustillants de ma journée ! Nous nous racontons bien souvent, et sans réticence, nos « expériences » torrides lors de conversations intimes, ce qui nous conduit parfois à d’incoercibles éclats de rire car il m’est arrivé de séduire, bien malgré moi, certains de ses « ex », ce qui nous offrait l’occasion de faire, très impudiquement, certaines « comparaisons » sur leurs capacités sexuelles !
Mais, si ma fille, qui a une trentaine d’années, a une vie amoureuse plutôt débridée, elle semble parfois admettre plus difficilement que je puisse encore en faire autant.
Bien entendu, je n’ai pas raconté tout de suite cet épisode à « mon » homme, continuant d’entretenir avec lui par mail une correspondance amoureuse et osée comme nous en avions l’habitude, ni les épisodes suivant qui ont vu Eric venir me rendre visite plusieurs fois chez moi et même, y passer certaines nuits avec une inclinaison de plus en plus insistante à essayer de m’entrainer plus avant dans une relation qu’au fond, de mon côté, je ne souhaitais pas différente, trouvant l’apaisement de mes sens dans nos étreintes qui, je l’avoue, me comblait de plaisir en devenant de plus en plus intense et coquines.
En effet, il s’est montré un « élève » très doué et très passionné, y compris lorsque je l’ai initié à l’art de me faire jouir avec un vibro à double pénétration. S’il a été étonné que je sorte cet engin d’un tiroir un après-midi, il n’en a pas moins appris très vite à s’en servir, ce qui lui a donné le désir licencieux que je cherchais à déclencher, à savoir de me prendre par mon petit orifice anal en s’enfonçant avec lenteur dans le fourreau étroit de mon petit cul jusqu’à m’envahir au plus profond de mes reins, ce qui a pour effet de me faire jouir comme une folle en déclenchant en moi des orgasmes multiples, successifs et « bruyants » sans doute juste un peu plus que nécessaire, mais pour le plus grand plaisir et dans le but de flatter la vanité du mâle qui me baise ainsi, et aussi en même temps, pour satisfaire un certain désir pervers et vicieux de me l’attacher un peu plus…
Il s’en est suivi une période un peu compliquée, mon ami étant revenu de son séjour à l’étranger, ce qui m’a obligée à gérer mon emploi du temps en jonglant avec les rendez-vous.
Heureusement que ce dernier vit en province et la fréquence de nos retrouvailles me laissait tout de même une certaine latitude, pour autant, je n’arrivais pas à me passer de l’un ou de l’autre, le côté gentiment « pervers » mais vigoureux et très endurant de l’un complétant l’ardeur plus juvénile de l’autre, ce qui me comblait totalement, me trouvant des excuses à l’insidieuse idée de me comporter comme une « trainée » mais en me disant que l’on ne vit qu’une fois !
Pourtant, germant dans mon imagination érotique un peu dévergondée, l’idée de les amener à se rencontrer en servant de « lien charnel » faisait son chemin dans ma tête. En fait, ce qui avait été un fantasme, suggéré par mon compagnon dans certaines de nos correspondances ou nous nous racontions nos « délires sexuels », était devenu assez récemment une réalité lorsque Patrick avait invité mon prof de yoga pour une « partie » à trois. Et, comme je l’avais craint avant de passer à l’acte, le plaisir que j’y avais pris avait généré l’envie de plus en plus intense de pratiquer à nouveau une «double pénétration » mais cette fois, il me plaisait beaucoup d’en être l’instigatrice…
Je n’ai pas eu à faire œuvre de beaucoup de persuasion après avoir raconté (en partie !) ma relation avec cet homme, pour suggérer cette idée de « rejouer » une partie à trois à mon ami qui, loin d’être jaloux (au fond, je n’aurais pas détesté !) a accroché beaucoup plus vite que je ne l’imaginais, sachant que, du côté d’Éric, j’ai plutôt imaginé le scénario d’une rencontre « fortuite » au cours d’ébats déjà bien engagé avec Patrick et dans lesquels il nous « surprendrait » incidemment…
C’est ainsi qu’un soir, ce dernier est arrivé chez moi et, pour respecter nos habitudes, je m’étais habillé de manière très sexy, portant des bas à maille très large retenus très haut sur mes cuisses et une courte jupe plissée très légère, arborant des escarpins à talons si haut qu’ils me mettaient pratiquement à sa hauteur, un chemisier au décolleté très osé sous lequel mes seins jouaient librement complétant cette tenue aguichante dont je savais qu’elle le faisait « craquer » au premier regard.
Je me sentais émoustillée au possible, sachant ce qui allait se passer dans la soirée et, pour mettre toutes les chances de notre côté, cela faisait deux semaines que je repoussais les avances d'Éric en arguant de prétexte familiaux, de migraines ou d’obligations professionnelles, ayant pris bien soin de ne plus me retrouver seule avec lui dans l’école pour ne pas risquer un épisode identique à notre première expérience, d’autant que nous l’avions renouvelé une ou deux fois, chaque fois de façon bien plus « osée » dans un bureau fermé à clef, mais alors que des élèves ou des personnels de l’école pouvaient encore être présents dans les couloirs, ces derniers n’étant pas vraiment dupe de mes « relations » avec ce professeur ce qui d’ailleurs suscitait parmi certaines collègues une jalousie qui m’amusait plus qu’elle ne m’ennuyait !
Pour autant, en voyant les yeux pétillant de mon amant et la bosse révélatrice d’une érection bien réelle déformant son jean, incapable de résister à de telles dispositions, je me suis senti fondre de désir et, alternant de longs baisers langoureux et des caresses de plus en plus précises, sachant que nous avions du temps devant nous avant l’arrivé « inopinée » d'Éric, je me suis retrouvé à ses genoux, libérant le manche bien gonflé et disproportionné qui me fait toujours autant fantasmer de la pression de son slip qui l’étouffait et tandis qu’il posait sa main sur ma nuque, ébouriffant mes longs cheveux blonds en un chignon approximatif pour guider mes lèvres vers le gros gland rose que je commençais à sucer avec une agile docilité et une obéissante application. J’adore la sensation excitante de voir un homme ainsi à ma merci et sentir, sous ma caresse experte, enfler la hampe rigide de son pieu massif et raide. Docilement, sous la pression insistante de sa main sur ma nuque, j’enfonce hardiment dans ma bouche le membre maintenant bien dressé, puis j’accélère le mouvement de ma tête, m’étouffant presque alors que j’engloutis presqu’entièrement la queue au fond de ma gorge, arrachant des soupirs d’extase à mon mec tout en effleurant de la main libre la dentelle trempée de mon string sous laquelle palpite ma petite chatte torride et que j’ai pris soin de parfaitement lubrifier en prévision de ce qui l’attend… Dans le mouvement qui s’accélère, je m’accroche à ses hanches, laissant la houle de ses reins enfouir fébrilement le sexe maintenant énorme au bord de l’explosion au plus profond de ma gorge, émettant de longues plaintes étouffées en simulant le plaisir, sachant que cela renforce la libido férocement érotiques de mon homme jusqu’au moment où, dans le râle extasié qu’il laisse échapper, je devine l’imminence de son orgasme.
Alors, je retire prestement l’engin frémissant pour le maintenir d’une main sur mes lèvres, agaçant à petits coups de langue rapide l’extrémité gorgé de sève tout en malaxant délicatement de l’autre main ses couilles boursouflées, provoquant le jaillissement délicieux de brusques giclées de sperme sur ma bouche, ma langue et mes joues, laissant gouter les trainées de foutre dans mon cou qui dégoulinent jusque dans le creux de mes seins, tandis qu’il s’arc boute convulsivement en enfonçant à nouveau le membre encore secoué de contractions et tout poisseux de nectar dans ma bouche en me traitant de « salope »…
Je brule littéralement d’envie de me faire violer brutalement alors que mon partenaire récupère en retrouvant son souffle tout en se laissant aller sur mon divan, son pantalon tombé à ses pieds lui donnant un air de Charlie Chaplin émouvant et attendrissant.
Rapidement je me rajuste en épongeant l’élixir qui m’a inondé avec un Kleenex et, comme je m’étonne de le voir encore très « en forme » malgré ma prestation dont je tire une perverse fierté, il me répond en riant qu’il a pris une pilule de viagra juste avant d’arriver en prévision de la suite de la soirée.
Je suis alors tenté de l’enjamber pour le chevaucher et qu’il m’empale sur son membre encore bien contracté mais il commence à se rhabiller en susurrant à mon oreille que je vais en prendre tout mon soul et que, si mon autre amant se montre décidé et à la hauteur, c’est peut-être moi qui vais crier « grâce », ce dont je doute en faisant une moue aguicheuse et un peu « nynpho » qui le fait sourire !
Après avoir remis ma « tenue » en ordre, je minaude auprès de Patrick mon souhait de le voir rester nu auprès de moi puis nous nous installons en nous lovant dans le divan et, tout en prenant un apéro et quelques amuse-gueules, nous attendons l’arrivée « impromptue » de mon autre homme. Je me sens un peu nerveuse quant à sa réaction qui pourrait tout à fait ne pas être du tout celle que je me plais à imaginer, mais je me console en me disant qu’il me restera au moins un mec à me mettre sous la main et, vu la forme qu’il semble tenir et que ma fellation tout à l’heure ne semble pas avoir entamée, je devrais être comblée !
Vers vingt heures trente, alors que Patrick est à nouveau bien « remonté » après que je l’ai affectueusement « énervé » pour le tenir sous pression, résistant difficilement à son insistance pour que je me livre sur lui à d’indécentes activités à caractère pornographique, mon portable sonne et Eric me demande de lui ouvrir la porte de l’immeuble dont, par précaution, je ne lui ai jamais donné le code ! Je prends un air faussement embarrassé pour lui répondre et, vu ma tenue et l’état de singe en rut de mon compagnon, il n’est pas difficile de deviner ce que nous étions en train de faire !
En effet, lorsque je lui ouvre la porte de l’appartement, son premier geste est de me contempler avec ravissement puis de me prendre dans ses bras mais il s’interrompt soudain en découvrant un autre homme avec moi dont la « prestance » ne laisse rien ignorer de l’état de nos relations !
Son regard interrogateur se pose à nouveau sur moi mais il reste froidement courtois pour me dire, en balbutiant un peu sous le coup d’une intense émotion, tout en prenant un air faussement détaché :
- « Je crois comprendre que je tombe bien mal, sans doute… mais pourquoi m’as-tu dit de venir, si… si tu n’es pas seule ? », reprend-il en s’adressant à moi.
Sans répondre, mais en lui souriant d’un air enjôleur, je l’invite à entrer puis je le prends par la main pour l’attirer vers moi et je l’embrasse, doucement d’abord, puis avec plus d’ardeur, me collant à lui et ondulant mon bassin contre son ventre le long duquel je sens, malgré sa réticence, se dresser son sexe dans une érection naissante, murmurant à son oreille d’une voix suave et enamourée :
- « Ça fait longtemps que j’ai très envie de tester l’expérience de me faire baiser par deux vrais mecs, tu sais… » sachant par habitude qu’il vaut mieux ce pieux mensonge et lui laisser croire qu’il s’agit d’une toute première fois…
Ses yeux se tournent alors vers Patrick, qui semble s’amuser de la situation et qui ne fait pas un geste lorsque, glissant lentement le long du torse d’Éric, je l’embrasse en déboutonnant sa chemise, puis je le débarrasse de son pantalon sans qu’il proteste le moins du monde, et, lorsque mon visage arrive à la hauteur de son nombril, je libère de son boxer son sexe déjà bien redressé pour commencer à le sucer sans qu’il ait fait un geste pour me retenir.
En moi-même, à ce moment précis, je jubile parce que je devine d’instinct que la partie est maintenant gagnée; Eric, à ma merci, me laisse le caresser et, entourant le gland de mes lèvres, je le masturbe très lentement, sentant enfler la tige qui durcit de secondes en secondes et se rigidifie à vue d’œil. Je devine la présence de mon autre amant à proximité qui vient de commencer à se masturber et il vient s’adosser au mur juste devant moi, dévoilant à côté de la virilité épanouie d’Éric sa queue bien raide dressée en une impressionnante érection.
Un sexe mâle dans chaque main, je les branle tous les deux tandis qu’ils se laissent aller, les yeux fermés, goutant chacun leur tour la caresse de ma bouche qui les avale l’un et l’autre, alternativement, dans une fellation que je leur applique en les engloutissant progressivement jusqu’au fond de ma gorge tour à tour. Eric gémit le premier et, à sa manière de se contracter, je devine l’orgasme qui monte inexorablement. Je ralentis la cadence pour serrer ses bourses entre mes doigts, les palpant et les malaxant alors que Patrick me contourne pour se placer derrière moi, retirer mon chemisier, puis saisir mes petits seins à pleine mains, en faisant rouler les pointes entre ses doigts agiles, les pinçant vicieusement avec une excitante brutalité en me faisant soupirer puis les relevant en les serrant l’un contre l’autre pour les relâcher ensuite. Alors que je continue à sucer son « rival », avec une lenteur sensuelle et une délicatesse délibérée tout en enserrant la base de sa verge fermement pour en retarder l’orgasme, Patrick soulève mes hanches pour délacer les fines lanières de mon minuscule string en relevant ma jupe sur mes reins. Puis, écartant mes cuisses en saisissant une de mes chevilles par la bride de mon escarpin, il pose le talon aiguille sur une chaise et, avec une infinie douceur, il glisse son membre épais dans le sillon de mon petit cul pour atteindre ma chatte bien lisse, douce et complètement trempée dont les petites lèvres s’écartent sous la pression du gros pieu viril. Alors, sans autre préliminaire, d’une poussée horizontale, vigoureuse et abrupte, il s’enfonce d’un coup dans l’écrin délicat et brulant en me propulsant en avant, me faisant avaler soudainement le sexe bien dur d’Eric que je suis en train de sucer et qui s’enfonce jusqu’au fond de ma gorge, ma bouche venant s’écraser contre le ventre velu de l’homme surpris qui, dans un réflexe typiquement masculin, m’appuie brutalement sur la nuque pour me retenir.
Prise d’une soudaine frénésie sexuelle, je le pompe avec une avidité renouvelée, sans plus chercher à retenir la jouissance imminente qui fait palpiter la queue qui distend ma bouche et qui soudain, semble exploser en lâchant une gerbe de foutre qui gicle brusquement et m’étouffe presque, tandis que j’essaye d’avaler le sperme qui m’inonde en de longs jaillissements ininterrompus et saccadés durant quelques secondes.
Durant ce temps, Patrick me besogne avec une vigueur inattendue qui résulte peut être de la prise de Viagra mais aussi sans doute de la situation torride qui doit lui faire songer à une scène de film porno. La longue plainte de jouissance d’Éric se finit dans un râle puis il se dégage lentement, à bout de souffle, pour venir s’écrouler sur le canapé ou il tombe sur le dos alors que Patrick me baise infatigablement en une longue houle qui m’envahit le ventre et défonce ma petite chatte écartelée par le gros piston qui va et vient inlassablement. Je creuse mon ventre en faisant saillir ma croupe pour qu’il m’envahisse encore plus profondément et le spectacle que l’on offre semble de nature à redonner de la vigueur à Eric dont le sexe qui avait commencé à dégonfler semble retrouver une certaine vitalité car sa taille s’accroît par à coups en rampant maintenant tout en se développant le long de son ventre.
Patrick se dégage lentement :
- " Regardes comme tu l'excites ton prof, petite salope... Allez, va t’embrocher sur le membre de ton copain », me dit-il, et il ajoute d'un ton goguenard :
- « Et puis, j'ai envie que tu me suces aussi… »!
Obéissante et soumise, tout en ayant conscience de jouer le rôle d’un jouet sexuel pour mes deux hommes, mais fébrile d’une excitation que je ne parvenais plus à maitriser, je me suis débarrassée rapidement de ma jupe pour ne garder que mes bas et mes escarpins, et, dans cette tenue digne d’une actrice de hard en pleine action, enjambant Eric qui repose sur le dos et se laisse faire, je guide, d’une main sûre et d’un geste expert, son sexe déjà raisonnablement bandé vers ma chatte lubrifiée et, d’un mouvement souple des reins, je l’enfouis dans mon ventre en me cambrant en arrière, faisant voler mes longs cheveux blonds au rythme de mes coups de reins avec lesquels je m’empale avec délectation, mes petits seins ballotant follement en cadence avec les mouvements rythmés et cadencés qu’il imprime a ses hanches et qui propulse son sexe qui se rigidifie à vue d’œil au fond de mon vagin en me faisant gémir de petits feulements aigus.
Dans le même temps, Patrick passe derrière moi et, pesant sur mes épaules, il me courbe vers Eric qui s’empare goulument de mes seins qui viennent tressauter à sa hauteur pour les téter avidement, puis, glissant son engin puissant vers le bas de mon dos, il en pose l’extrémité sur le petit anneau de chair fragile de mon petit cul qui lui inspire toujours autant de vicieuses pulsions qu'il me plait bien de susciter et même, d'encourager...
Je devine bien évidement son intention et je cambre vers lui ma croupe d’une façon volontairement très explicite tout en resserrant mon étreinte autour du pieu qui laboure ma vulve, l’extrémité du gland faisant pression sur mon anus fragile et étroit qui se dilate pourtant sous la poussée en l’absorbant sans aucune difficulté alors que mon gémissement devient un cri de jouissance lorsque je sens les deux membres masculins bien raides perforer en même temps avec une cadence syncopée mes deux orifices tandis que les mâles en rut me bourrent maintenant dans un tempo désordonné et qui s’accélère à grands coups de reins brutaux.
Il me semble perdre la tête sous le flot de la jouissance qui déferle de mon ventre et de mes reins tant je m’éclate avec une extase totale dans la réalisation de mon fantasme, et c’est un véritable délice, à la fois charnel et terriblement excitant de me faire prendre ainsi comme une vraie salope… Les yeux mi-clos, accompagnant la cadence de gémissements très évocateurs d’un orgasme que je simule à peine mais que j’extériorise pour exciter la libido de mes deux mecs, je réalise à quel point j’aime cette situation qui comble mes fantasmes les plus osées et les moins avouables…
C’est une exclamation soudaine de stupéfaction féminine, qui dénote entre les râles de mes conquérants et mes propres soupirs de plaisir qui me fait ouvrir les yeux… et je constate, avec un ébahissement incrédule qui me fige brusquement que ma fille est debout à l’entrée de l’appartement et fixe intensément, et sans doute depuis un petit moment, le spectacle choquant de sa mère en train de se faire baiser comme une pute dans un scénario porno par deux vigoureux étalons !
« Embrochée » comme je le suis, je me rends compte que Patrick, une main posée au creux du bas de mon dos pour me maintenir en levrette, n’a pas cessé son instinctif mouvement de balancier même s’il a sérieusement ralenti et c’est sur le membre rectiligne et luisant qui va et vient encore lascivement entre mes reins, englouti par mon petit orifice entre les globes de mes fesses pour en ressortir en exhibant toute sa longueur triomphante que Vanessa a les yeux fixés, comme hypnotisée par le spectacle ! Néanmoins, il retire son engin dont l’énormité qui se redresse comme un mat fait paraitre plus indécente encore la situation en même temps qu’Éric, qui semble très mal à l’aise et se débat fébrilement pour se dégager aussi, tout en contemplant d’un regard interrogateur et embarrassé ma fille. Mais celle-ci, avec un à propos tout à fait indécent, posant sans vergogne sur les deux membres érigées un regard brillant et très intéressé, semble bien plus émoustillée que réellement choquée tandis qu’elle s’approche de nous avec un sourire sibyllin sur les lèvres, puis me déclare d’une voix un peu voilée ou transparait une très perceptible excitation,:
- « Maman, mais enfin, comment peux-tu… te faire sauter comme ça, avec deux mecs… comme.. comme une pute... Toi ! Je n’imaginais pas ça possible », s’exclame t’elle, d’une voix troublée par un immoral émoi, mais en "matant" quand même d'un œil captivé et curieusement étincelant les deux hommes dont les sexes raidis et dressés fièrement trahissent une stimulation que la situation semble encore exacerber.
Alors, à ma grande stupéfaction, elle ajoute en enveloppant Eric d’un regard appréciateur et gourmand :
- « Mais, après tout, j’aimerai bien en profiter aussi... Je te laisse Patrick ? Et… je m'occupe de celui-là..." dit-elle, puis, sans plus attendre, et sans qu’il réagisse autrement qu’en fermant les yeux et en se cambrant instinctivement, elle tend la main et se saisit du membre d’Éric tout en refermant les doigts autour de la hampe luisante de ma mouille pour commencer à le branler avec une dextérité qui trahit une certaine expérience...
Devant mon air abasourdi et dubitatif, elle ajoute :
- " Je te laisse finir ton mec… Mmmh, il a l'air à point aussi...!"
et, avant que j’ai pu esquisser le moindre geste, elle s’empare aussi du gourdin de Patrick, qui, ce salaud, ne s’en défend même pas, en s’exclamant :
- « Hé, mais dit donc, ils sont durs comme du béton, tes deux étalons, Maman… » et d’ajouter, en pouffant : « … tu sais vraiment t’y prendre…»
Prise au dépourvue un instant par une réaction aussi inattendue de la part de Vanessa que je ne pouvais pas soupçonner d'être si délurée, je la regarde un instant en réalisant qu’elle a sans doute de qui tenir et je contemple ma fille en train de masturber en experte les deux garçons qui paraissent absolument ravis d'être ainsi pris en main...
Le premier à réagir est Patrick qui, connaissant Vanessa lui dit qu'il lui abandonne son rival et propose, comme pour un jeu en la regardant :
- "Peut-être que ta mère pourrait me sucer... Je ne suis pas sûr que tu aies son expérience..." et, se dégageant de l'étreinte de Vanessa, il pose sa main sur ma nuque pour m'attirer vers lui!
Je ne sais pas encore aujourd'hui comment j'ai pu céder aussi docilement a cette invitation mais je me suis retrouvée dans cette inconcevable situation en "compétition" avec ma fille ou, agenouillée a côté d'elle, chacune devant notre mâle, en train de sucer mon mec avec une ardente fébrilité, Vanessa, sans doute pour nous prouver qu'elle excellait dans l'art de la fellation, déployait d'intenses efforts pour faire jouir Eric le premier...
Ce ne fut guère long et, alors que Patrick, dans un râle semblait rendre l'âme tout en éjaculant de longues giclées de foutre que je m'empressais d'avaler en resserrant mes lèvres gourmandes autour du sexe frémissant, Vanessa, toujours à genoux, achevait Eric et, sentant monter dans les palpitations de la hampe frémissantes les prémices de l'orgasme, elle le retira de sa bouche en le maintenant à l'horizontale tout en le branlant énergiquement vers moi. Puis elle poursuivit résolument sa caresse le long du manche distendu en serrant convulsivement dans de creux de sa main les bourses d’Eric, lui arrachant un brusque gémissement sous la torture délicieuse, jusqu’au moment où jaillissaient dans une orbe gracieuse de longues trainées de sperme qui sont venus exploser sur mes seins nus et mes flancs en de longues traces translucides et chaudes pour finir par dégouliner le long de mes hanches alors que je n’en finissais pas de sucer mon mec…
A ce moment, lorsque je me dégage enfin, nos regards se croisent et je remarque dans les yeux gris /verts de Vanessa la même lueur perverse et coquine qui fait briller les miens dès que je me sens excitée par mon mec lorsqu’il me fait part de ses fantasmes sexuels ou qu’il me « cherche » dans des préliminaires érotiques. Et justement, je vois bien que Patrick, essoufflé, guette du coin de l’œil ma réaction tandis que Vanessa, que je n’aurais jamais imaginé capable d’une telle audace, a pris pour les flatter, avec une évidente dextérité et une apparente délectation dans ses mains les deux sexes encore palpitant de leur éjaculation qu’elle caresse avec une lenteur voluptueuse et une technique amoureuse digne d’une nana aussi salope qu’émérite dans cette activité. Elle semble se complaire à donner du plaisir à ces deux salauds, dont la vigueur semble ne pas vouloir retomber, et qui se laissent faire. Eric, les yeux mi-clos visiblement en train de récupérer de son orgasme, tendant même vers elle d’une manière sexuellement très intelligible son membre encore frémissant dans ce qui me semble être les prémices d’une remontée de sa virilité…
- « Tu devrais peut être ralentir un peu », lui dis-je en constatant l’effet dévastateur de sa caresse, « tel que tu t’y prends, tu vas les faire jouir encore si vite que l’on ne vas même pas pouvoir en profiter… et, ce serait dommage… » ajoutais-je en me sentant malgré moi vivement émoustillée par cette situation.
Puis, tout en massant mes seins pour étaler la « crème » masculine qui dégouline encore, je me décide alors de me joindre à leurs ébats et me penchant en avant pour effleurer de la pointe de la langue le torse nu d’Éric dont les mamelons durcissent sous le contact de mes lèvres, ma main rejoignant autour de sa queue fougueusement dressée celle de ma fille qui le branle toujours, offrant intentionnellement la vision provoquante du profil aguicheur de ma croupe excessivement et outrageusement cambrée à Patrick dont le visage s’orne d’un sourire à la fois amusée et libertin.
Vanessa choisit ce moment pour se relever lentement en relâchant son emprise sur les deux hommes, et elle se défait alors rapidement de son jean et du haut qui l’accompagne, dégrafant d’un geste gracieux son soutien-gorge en libérant ses deux seins volumineux, bien dressés et magnifiquement galbés sur lesquels le regard d’Eric se fixe avec une vive admiration pour ne conserver qu’un minuscule slip bleu pastel mais si translucide qu’il ne cache rien de sa jolie petite chatte soigneusement épilée à l’exception d’un fin triangle pubien qui semble juste destiné à en souligner le fin renflement. Pendant ce temps, Patrick, visiblement « ému » par le spectacle torride que je lui présente, est passé juste derrière moi et, glissant son sexe qui n’a rien perdu de sa superbe et garde virilement une raideur très convenable dans le sillon de mon petit cul, il en suit le chemin jusqu’à écarter du bout de son gland bien gonflé mes petites lèvres délicatement satinées puis, saisissant fermement mes hanches, il m’empale brutalement et sans aucune difficulté avec un « han » de bucheron d’une poussée directe et puissante de toute la longueur de son pieu jusqu’à la garde. Instinctivement, je me cabre en faisant saillir ma croupe pour mieux m’offrir à sa pénétration énergique et il se met à me besogner à grands coups de reins dans une levrette indiciblement délicieuse, ce que je ne manque pas de lui faire comprendre par de petits jappements syncopés en rythme avec le va et vient de son membre qui me laboure… Obligé de me cramponner au montant du divan, j’abandonne Eric à la convoitise de Vanessa qui le repousse sur le divan avec une autorité qui semble le subjuguer. Vivement, elle l’enjambe avec la dextérité et la souplesse d’une vraie tigresse pour saisir la hampe bien rigide et, écartant la dentelle de sa lingerie, le guide jusqu’à l’orée de sa chatte pour l’engloutir d’un coup de reins impétueux ! Et, durant un moment dans un duo digne d’un scénario de film hard, alors que Patrick va et vient avec une vigueur qui me semble inépuisable dans mon ventre à une cadence qui s’accélère, je ne peux m’empêcher de mater ma fille qui, arc-boutée en arrière prend visiblement son plaisir en chevauchant bruyamment Eric de haut en bas, ses seins lourds aux pointes brunes saillantes s’agitant en cadence avec les ondulations folles de ses hanches, ce qui m’excite au point de déclencher au creux de mes reins le picotement délicieusement exquis d’un plaisir que je simule explicitement en gémissant au même rythme que le mouvement du pieu qui me défonce. Soudain, avec une crispation qui semble la tétaniser brièvement, elle laisse échapper un long feulement révélateur d’un orgasme brutal et manifestement intense puis, comme fauchée par l’extase, elle s’abandonne en arrière, libérant en même temps au son grand désenchantement de son propriétaire le sexe bien raide d’Éric qui se dégage tout seul du fourreau soyeux et chaudement lubrifié qui l’enserrait, ce qui donne à mon chéri une idée qu’il me susurre dans le creux de l’oreille tout en se « retirant » pour me pousser vers mon autre amant :
- « Allez, à toi maintenant, peut-être vas-tu réussir à le faire jouir maintenant… ». Mais, sans doute frustré de voir échapper sa « proie » et avant que j’ai pu faire quoique ce soit, Eric s’est redressé en voyant peut être dans ma position à quatre patte l’occasion de se faire sucer, ce que je fais à merveille, parait-il... Mais je l’attire sur moi en culbutant sur le dos, ma tête immobilisée par le ventre souple de Vanessa qui semble encore « évaporée », prenant une posture aussi acrobatique qu’inconfortable mais terriblement « stimulante», avec l’irrésistible sensation de me comporter comme une pute, puis, enserrant très haut ses hanches de mes cuisses en « plantant » mes talons aiguilles dans ses reins, je l’aiguillonne en frottant indécemment mon pubis contre le barreau rigide qui bat entre ses cuisses tout en semblant le mettre au défi de me « violer », l’incitant d’une voix rendue rauque par le désir :
- « Allez, vas-y mon cœur, baises moi vite de toute tes forces… fourres-moi ta grosse queue bien profond » lui susurrais-je en prenant un ton volontairement obscène pour l’encourager, et, sentant Eric s’enfoncer brusquement en moi d’un mouvement énergique, je laisse échapper dans un gémissement charmeur et volontairement troublant :
- « Oooh, ouiii, c’est bon, vas-y… Mmmh, encore ! ».
Comme liée charnellement à mon étalon qui se déchaine furieusement entre mes cuisses largement ouvertes et relevées très haut, je me laisse emportée par la houle exquise de l’ondulation saccadée qui me pistonne, ma tête, posée juste sur le nombril de Vanessa, dodelinant maintenant au rythme sauvage du mec qui me baise avec une vigoureuse maestria en me « malmenant » dans une sarabande effrénée. Mon corps tressaute au rythme des coups de boutoir dans une chevauchée fantastique en me faisant presque perdre toute notion de temps, entrainant des oscillations du divan sur lequel je repose avec Vanessa qui, indolente et languissante, est plus ou moins coincée sous moi et j’entrouvre les yeux lorsque que je l’entends murmurer en s’adressant à Patrick qui, debout auprès du trio que nous formons, est en train de mater comme un voyeur tout en essayant de se « finir » en se branlant avec de lents va et vient de sa main le long de la hampe rigide de son sexe raide et vertical :
- « Ma mère est trop occupée avec ce mec, mais j’aimerai bien profiter de ta forme pour que tu me fasses la même chose… Je peux être aussi bonne qu’elle, tu sais… ». Encouragée de la sorte par Vanessa que je n’aurai jamais soupçonnée d’être aussi salope, je réalise que je suis en train de me faire « enfiler » par un mec alors que le mien s’apprête à baiser ma propre fille et que cela m’excite plus que cela ne me gêne… Aussi, dans l’espoir vain de le vexer alors que je sais bien au fond que cela ne va faire qu’accentuer sa libido, je simule ma jouissance exagérément en soupirant de petits cris plaintifs et terriblement jouissifs, resserrant par de petits à coups de mes muscles intimes les parois de mon vagin qui emprisonne le sexe qui me taraude pour amener Eric à un orgasme tout en regrettant inconsciemment de ne pas sentir Patrick profiter de la situation et me prendre encore comme tout à l’heure à la manière d’une pute en défonçant mon autre petit orifice… Il me suffit juste de tourner un peu la tête pour distinguer très nettement mon homme qui saisit Vanessa par les chevilles pour ouvrir ses jambes à l’équerre et se glisse entre ses cuisses tandis qu’elle se laisse faire très docilement, et je vois son sexe rigide qui, vu sous cet angle, me parait monstrueusement gonflé à quelques centimètres de mes yeux qui déflorent la petite chatte brune de Vanessa au travers de mes longs cheveux blonds éparpillés au cours de notre joute sexuelle, tandis qu’elle l’accueille avec un gémissement étouffé et une contraction du bassin que je ressens jusque dans mon cou… Très vite, Patrick, qui avait pourtant entamé une lente et régulière pénétration à la plus grande satisfaction apparente de Vanessa en enfonçant complètement son gros manche frémissant dans la petite chatte distendue et gourmande, semble s’emballer autant qu’Éric qui lui, n’a pas ralenti et me pistonne avec une fougue juvénile en relevant mes jambes de plus en plus haut au risque de nous faire perdre l’équilibre précaire qui nous retient tandis que Vanessa se cramponne à moi d’une main en s’agrippant à mon épaule, son autre main crispée sur le bord du divan pour contenir des ébats amoureux de plus en plus torrides puisqu'ils se conjuguent à quatre. Un long moment, impossible à préciser et qui nous emmène, Vanessa et moi au septième ciel, les deux hommes nous baisent avec une endurance et une ardeur qui semble monter crescendo puis, les mouvements syncopés et désordonnés des deux hommes atteignent rapidement leur paroxysme lorsque, prise d’une irrépressible pulsion, je saisis Patrick par ses couilles qui battent éperdument avec des « flop, flop » rapides dignes de la bande son d’un film « X » en s’écrasant contre les fesses musclées de ma fille sur lesquelles il semble rebondir et je les malaxe vicieusement avec l’idée d’en extraire toute la semence au moment où il va jouir ! Alors que se mêlent mes soupirs rapides et les petits cris de ma fille qui semble jouir encore en une série d’orgasmes successifs qui lui font perdre contact avec la réalité, je perçois dans la crispation brutale de mon partenaire qui semble soudain se bloquer au plus profond de mon ventre qui palpite pour l’accueillir, et dans le long râle de plaisir de Patrick qui s’arc boute soudain en se raidissant en arrière qu’un orgasme presque simultané va faire exploser nos deux mecs sans que vraiment Vanessa et moi ayons cherché une telle synchronisation… Mais, alors que je sens dans mon ventre gicler avec la puissance d’un jet le foutre chaud d’Éric qui m’inonde de longues saccades spasmodiques peut être un peu moins fournies, petit à petit, je constate qu’il s’effondre sur moi en relâchant son étreinte sur mes cuisses pour se retenir. A ce moment même, la jouissance qui emporte Patrick est si brutale que dans la brusque impulsion du plaisir qui déferle et qui le fait grogner de satisfaction puis l’entraine à se cambrer contre le mur, et le fait que je n’ai pas lâché ses bourses viriles qui palpitent entre mes doigts, sa queue agitée de soubresauts jaillit comme un diable hors du cocon torride qui l’emprisonnait puis, une éruption de lave brulante fuse en une cascade de liqueur blanchâtre et tiède qui éclabousse au rythme des à-coups de son éjaculation mon visage et ma bouche en même temps que son sperme gicle sur le sexe béant de Vanessa, maculant même de gouttelettes de semence mes cheveux blonds épars qui se collent entre ses cuisses largement ouvertes, alors que je cherche désespérément à saisir l’extrémité de la hampe le long de laquelle dégouline le foutre de la fin de son éjaculation pour le prendre entre mes lèvres et en avaler les dernières gouttes…
Alors que les deux hommes, épuisés, vidés mais visiblement comblés retrouvent leur souffle, Patrick reste le dos au mur en nous regardant et Eric se laisse glisser sur un petit espace du divan ou il s'effondre littéralement.
Je ne peux m'empêcher de remarquer le regard de Vanessa qui détaille avec une insatiable gourmandise l'érection encore très raisonnable qui fait palpiter le membre de mon mec, comme s’il se refusait à débander, et sur lequel l'effet de la pilule du début de soirée semble encore agir... Eric, lui, voit sa virilité se recroqueviller et, retrouvant un semblant de lucidité, je crois bon de préciser :
- "C'était sympa comme expérience mais, ce ne sera pas une habitude, je vous le dis tout de suite ! ", et, me tournant vers ma fille qui balaye d’un rire communicatif le semblant de gêne qui voulait s’installer, et que je crois maintenant capable de prendre gout à mon chéri, et réciproquement, je la préviens en riant:
- "Et ça vaut pour toi aussi, espèce de … de… »
Voyant bien qu’il y a plus d’humour qu’autre chose dans ma remarque, elle me rétorque que si je veux dire « salope », c’est sans doute qu’elle a certainement « de qui tenir »… ce qui est indéniable, et nous pouffons de rire toutes les deux en voyant l’air interdit de nos deux amants qui paraissent dubitatifs devant notre échange !
Vanessa et moi avons ensuite quitté le salon pour aller nous doucher car nous étions toute dégoulinante de la semence des deux hommes et, alors que je me séchais après une douche bien revigorante, ma fille, en s’étirant comme une chatte sous le jet d’eau bien chaude m’a confiée avoir adoré cette petite séance tout en me demandant si j’étais coutumière de ce genre d’expérience… Et, comme je lui laissais entendre que, si ce n’était pas une première, je n’avais pas non plus pour habitude de me livrer à cette perversion, je fus bien surprise d’apprendre qu’elle y avait déjà gouté…
Je prêtais à ma fille une « petite tenue » de nuit qui peinait à contenir ses charmes mais, lorsque nous sommes revenus dans le salon, les deux hommes qui semblaient avoir fait connaissance étaient rhabillés, puis Eric nous déclara qu’il devait repartir.
De ce jour, nos relations à l’école furent nettement plus distantes et cela se remarqua très vite et, à mes collègues féminines qui feignirent de me plaindre, je leur laissais entendre que je l’avais persuadé du caractère mal assorti de notre union et que notre différence d’âge rendait improbable la durée de notre histoire et donc, qu’il m’avait laissé tomber pour se consoler dans les bras d’une autre…
Peu de temps après, il quittait son poste à l’école pour entrer dans une administration, donnant du même coup une justification inespérée à l’histoire que je racontais mais je suis bien certaine d’avoir procuré à ce garçon une « expérience » que j’espère être inoubliable tout en me révélant le véritable caractère de ma fille…
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