Patrick va chez la soeur de sa belle-mère pour s'expliquer avec elle après ce qui s'est passé quelques jours plus tôt. Mais au lieu de regretter, Michèle veut connaître à nouveau ce qu'elle a ressenti avec lui. Il se laisse faire et cette fois, il n'a qu'une fille à contenter.
Proposée le 2/11/2020 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
LE HAREM DE PATRICK
7ème épisode
LA SOEUR DE MA BELLE-MERE
MICHELE
(suite de : Une inconnue fait du rodéo sur ma queue)
Quelques jours après, tout penaud je frappe à la porte de ma tante (enfin ce n'est pas ma vrai tante puisque s'est la sœur de ma belle-mère) Michèle.
Elle ouvre la porte et me regarde bizarrement. J'entre et je l'embrasse sur la joue et la questionne.
- Ma tante, comment vas-tu et que va-t-on faire maintenant après ce qui est arrivé?
- Eh bien, j'avoue, quand j'ai vu que c'était toi, j'ai complètement paniqué, me répond-t-elle rougissante, ses mains sur mes épaules.
- Claude m'avait bien parlé de son amant exceptionnel super bien membré qu'elle partageait volontiers ce qui m'avait déjà choquée.
-Quand je suis rentrée dans la pièce... elle m’a demandé si… Ça fait si longtemps que je n’ai pas fait l'amour...Si je voulais goûter...et... oh Patrick, quand elle s'est retirée de cet énorme gourdin je n’ai pu résister à sucer ta magnifique bite, elle est vraiment extraordinaire! Quand je l'ai prise dans ma bouche j'ai tout de suite voulu m’empaler sur ce monstrueux engin et quand je l’ai introduit dans ma chatte, ooooh... mon Dieu! Elle fait une pose pour reprendre son souffle et poursuit ;
- Le temps de m’habituer à la taille exceptionnelle de cette superbe verge qui dégorge des flots de foutre à n'en plus finir, j’ai tout de suite su que cette bite mystérieuse allait me faire jouir comme jamais et j’attendais ça depuis si longtemps. Oh Patrick ! Je te connais depuis que tu es tout petit, c'est tellement embarrassant, mais je n'ai jamais pris autant de plaisir sexuel! Je voulais demander à Claude si elle accepterait de partager son étalon avec moi! Mais ensuite Evelyne se levée et je t'ai vu!!!
Tout en parlant, sa main descend doucement jusqu'à mon pantalon et elle commence à me caresser à travers le tissu.
- Michèle, tu sais ce que tu fais?
Elle me sourit et tombe à genoux, ouvre ma braguette et sort mon sexe, le prend en bouche avalant doucement ma teub. Sa langue fait des merveilles, je gémis de plaisir à la voir ainsi, à mes pieds, ma queue entrant en érection entre ses magnifiques lèvres humides, au bout d'un moment elle retire ma bite de sa bouche et commente.
- Patrick...Je peux enfin admirer ce sceptre magnifique tranquillement. Je n'ai jamais connu un monstre pareil. La plus longue c’était celle de mon mari mais elle ne dépassait pas 16 cm et sa grosseur était plutôt en dessous de la moyenne. La plus grosse c’était celle d’un garçon au lycée, mais ma main en faisait largement le tour. La tienne est beaucoup plus longue et son épaisseur est fantastique.
Elle regarde avec amour mon pieu dressé que ses deux mains branlent sur toute sa longueur.
- Ooohhh Patrick, elle est dure mais si douce ! T'as un sacré engin entre les jambes!
Et sa bouche gobe de nouveau ma queue pour une gorge profonde. Pendant cinq minutes elle me fait une fellation de ouf, sa bouche distendue par le pieu de chair qui est devenu énorme.
Je sens mon gland vibrer préparant la salve de foutre qui va inonder sa gorge. Elle se met à pomper encore plus vite, donnant des coups de langue précis et nerveux.
Je ne vais pas tarder à gicler alors c’est moi qui recule de 3-4 cm et j’envoie toute ma sauce dans ce gosier qui n’attend que ça !
- Ouiiiiiiiii, Tiens salope ! Avale mon foutre ! AAAaaaHHHHhhhh... Putain d’enfoirée de cochonne ! T’es douée !
Soudain elle reçoit une très forte giclée de sperme au fond de la gorge et manque s'étouffer tant elle est abondante suivie aussitôt d'autres jets aussi copieux. Michèle recule un peu sa tête pour faire rouler sa langue autour de ma bite et profiter pleinement de toute cette crème qui envahie sa bouche et coule dans sa gorge. L'excès de jus coulant sur son menton, après avoir tout avalé goulument elle reconnait.
- Eh bien toi quand tu jouis tu ne fais pas semblant, allez, fini les amuse-gueule je veux que tu me baises ! Prends-moi Patrick et fais-moi jouir!
Cela dit, elle m'emmène dans sa chambre, se déshabille en vitesse puis s’allonge sur le lit et écarte ses cuisses. Elle ouvre en grand sa fente avec ses doigts pour me laisser voir un tunnel sombre à l’entrée toute rose.
Je la tire vers moi pour approcher ma queue qui a repri toute sa vigueur vers cette grotte grande ouverte. Elle gémit à chaque mouvement de mon gland que je frotte le long de ses grandes lèvres quand elle m'implore.
- Patrick, prend moi lentement... le plus lentement possible, pousse ton interminable queue dans ma chatte. Donne-moi du plaisir.
Je guide le gland violacé au bord de sa grotte intime. Ma bite commence sa longue pénétration. Je l'entends gémir.
- Ouiiiiii... comme ça, chéri je te sens bien ! C’est si bon...doucement! Huummm...ouiiiii... prend tout ton temps, quel magnifique bélier tu as!
Et je m’enfonce tout en douceur au plus profond dans sa chatte frémissante. 5, 7, 10 cm, elle n'arrête plus de geindre, ses yeux grands ouverts fixant ma verge qui pénètre et écartèle ses chairs. 16 cm, il reste encore un quart de ma bite dehors quand tout son corps est pris de tremblement, elle est si chaude que je voie ses admirables seins briller sous sa sueur.
- Oh mon Dieu, Patrick, mon vagin se distend au maximum pour pouvoir absorber tout ton monstre de queue! J’ai l’impression que tu vas me déchirer!
Je me retire un peu mais Michèle s'y oppose et attrape mes fesses à deux mains. Ma queue reprend lentement son voyage à l'intérieur de son vagin, 20, 22 cm, mes couilles butent sur ses fesses, sa chatte accueille en entier mon mandrin et elle murmure dans un souffle en poussant de petits soupirs de plaisir;
- Oh la vache, t’es si gros ! Patrick! Mon Dieu! T’es énorme ! Je n’arrive pas à croire que tu m'as tout mis !... ¬C’est bon, très bon …elle est bonne, ta queue, elle est dure et chaude…
Je suis enfin en butée, déclenchant dans tout son corps d'incontrôlables vagues voluptueuses. Je commence un lent et puissant mouvement de va et vient, je me cambre sur elle, je joue du bassin, de plus en plus vite.
Je la pénètre d’un coup et la ramone sans ménagement tout en lui caressant les fesses. Son pubis bat la cadence sur ma bite jusqu'à sa première vague orgasmique, elle part… Je sens son vagin qui sert ma verge dans des contractions de plus en plus fortes. Quant à moi, j'utilise tout ma force pour tenir ma bite fermement plantée au fond de son sexe brulant, pétrissant ses seins, les caressant. Ma bouche suce son aréole gauche, ma langue effleurant rapidement le téton dardé puis mes dents le mordillant doucement. Ça fait "tilt" dans sa tête et son corps se tend pour un nouvel orgasme.
Je recommence lentement à mouvoir ma bite de quelques centimètres, l’écrasant contre son clitoris dur et tendu et me renfonçant à fond. Je l'entends haleter comme la petite chienne qu'elle est. Elle jouit de nouveau sous mon pilonnage.
- OH OUIIII! Tu butes sur mon utérus… Ooooh merde, Nonnn... pas encore.....mon Dieu je jouiiiisssssss, putain de merde je suis une vraie fontaine ! Aaaaahhhhh..... Quel pied ! Cela explose dans mon ventre. Tout le bas de mon corps est douloureux du plaisir qui monte. Je ne sais même plus ce que je dis, oh mon neveu adoré, c'est bon, continue de baiser ta tante lubrique avec ta grosse bite, encore plus fort ! Ouiiiiii... Patrick, fore-moi avec ta longue teub!
- OK!
Je prends la direction des opérations, sort complètement de sa fournaise et pose mon gland gonflé par toutes ces réjouissances sensuelles à l’entrée de sa fente et d'une seule poussée rectiligne, je rentre la totalité de mon chibre qui va cogner au fond de sa chatte.
- C'est ça, Patrick, défonce-moi, j'adore ça !
Sa main droite frotte son clito avec le bout de ses doigts que j’écrase à chaque poussé. Et de nouveau je sens les muscles de son vagin se contracter et un 3ème orgasme l’anéantir !
Son corps repose désarticulé sur le lit après ses jouissances si rapprochées mais sa chatte n'a toujours pas libérée ma bite. Reprenant ses esprits elle me dit.
- Putain je n’ai jamais eu trois orgasmes l’un derrière l’autre aussi rapidement. Il faut dire que je n'ai jamais connu d'hommes capables de tenir aussi longtemps sans jouir. Et en plus sur la bite de mon propre neveu, enfin presque… ! Je ne peux pas croire que suis aussi lubrique que ça !
Elle se redresse, regarde ma queue encore en elle et part dans des délires.
- Tu me remplis tellement bien que quand tu te retires, ma vulve fait un bourrelet circulaire autour de ta bite bouillante. Tu me fais mourir, jute-moi dans la chatte, je vais mourir, c’est trop, jute-moi dedans petit merdeux, ta queue est trop grosse, tu me défonce!
Je sens ma queue devenir encore plus grosse, le gland enfle et me fait mal et dans un dernier mouvement je sors de sa chatte et me renfonce d’un grand coup en prenant soin de m’enfoncer à fond et de revenir en arrière juste au bord de ses lèvres. Michèle ne tarde pas à crier sous les poussées de ma queue prisonnière de sa chatte. C’est incroyable comment elle maitrise ses muscles vaginaux. Elle fait varier la pression sur ma bite en fonction de sa pénétration.
Je sens qu’elle essaye de se retenir, mais elle recommence à prendre son pied car elle remue de la chatte d’une façon incontrôlée. Apres plusieurs aller retour elle dit d’une voix déformée par le plaisir ;
- Huummm c’est tellement bon ! Oh ouiiiiii... continue, je vais jouir. Oh Dieu, oui, je sens que ça repart! Tu me fais jouiiirrrr ! OH MON DIEU!
Dès que son orgasme commence je me lâche et mon sperme gicle dans sa chatte, remplissant le peu d'espace libre de ce puits accueillant.
J'envoie une énorme giclée dans son vagin, puis une deuxième puis une troisième très abondante avant que je ne retire vivement mon pieu et le présente devant son visage. Sa chatte déborde de sperme. Je continue à éjaculer pendant un temps qui me parait interminable, envoyant d'abondantes giclées sur ses lèvres, son front, ses cheveux. Cela n'en finit plus. Tout son visage est ruisselant de sperme et il en arrive encore et encore.
Quand j’ai fini de me vider les couilles ma tante me serrant dans ses bras ajoute ;
- Oh mon Dieu, mon chéri, mon amant ! Pas un seul mec avec qui j’ai baisé n’a été capable de me faire autant jouir et ta charge se semence est tout bonnement monumentale! Tu ne débandes donc jamais? Ta queue est toujours en pleine érection après deux éjaculations incroyables. Comment peux-tu faire ça, toi qui es si jeune ?
Après lui avoir donné un sensuel baiser, je lui caresse ses cheveux avant de dire ;
- Et bien ma tante, je crois que tu peux remercier Claude, elle m'a bien éduqué. Mais je crois aussi que la nature m'a bien dotée pour donner du plaisir à une femme capable d’accueillir mon calibre, et jamais une fille ne m'a surpris les burnes à vide.
Michèle me rétorque.
- Ah bon ! Prétentieux avec ça! Comment peux-tu en être sur ?
- Euuuuhhhh... Claude me l'a dit et m'a informé que je souffre d'un léger priapisme et d'hyper spermatogénèse ce qui fait que je bande à volonté et peux expulser des quantités très importantes de foutre.
-Eh bien si c'est vrai, refais-moi l'amour!
Elle a les yeux rivés sur la grosse tige bien tendue que j'approche peu à peu de sa foufoune. Elle guide avec sa main ma bite qui se présente à l'entrée de sa caverne intime, d'un impétueux coup de reins, je la plante sur mon mat avec une précision redoutable.
Michèle crie, autant de surprise par la rapidité de la pénétration, que de plaisir de sentir cette énorme teub qui vient de la transpercer si brusquement, je la fais lentement monter et descendre sur ma longue hampe, elle sent le gland appuyer sur le col de son utérus.
J'accélère le rythme. Michèle sent ma bite follement glisser en elle, terriblement grosse. Elle hurle de plaisir et l'orgasme arrive comme une violente vague qui la laisse presque dans un état de demi-conscience. Plus tard, alors qu’elle est secouée par les spasmes d'un énième orgasme, je n'arrive plus à me retenir.
Ma bite prise dans ce fourreau de convulsions, éjacule de monstrueux jets de sperme dans ses entrailles. Elle hurle de plaisir, encore et encore, jusqu'à que je termine de me vider dans son trou béant, dégoulinant de mon foutre encore chaud.
- Bon Dieu, je ne pourrai plus baiser avec un autre que toi ! Ça fait si longtemps que je n'ai pas eu de rapport sexuel, que j’avais presque oubliée la jouissance que l’on peut tirer d’une belle bite, mais je n'ai jamais connue ça avec personne. Une fois il y a longtemps je me suis fais prendre par trois hommes à tour de rôle mais à toi tout seul tu les bats à plate couture.
Elle me donne des baisers et des caresses avant de poursuivre.
- Eh bien, tu as peut-être encore des forces mais moi je suis plus bonne à rien, tu m’as anéantie.
- Non ma tante, ce n'est pas fini, maintenant je vais t'enculer!
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email