Lucie tient sa vengeance, enfin croit-elle... Bien sûr, Brigitte dérouille salement sous les coups de la grosse trique de Claude. Tous ses trous y passent, certains avec difficultés. Mais cette salope serre les dents tout en appréciant ce jeune étalon si bien doté par la nature.
Proposée le 19/09/2020 par mlkjhg39
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Thème: Vengeance
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Beau-papa
Chapitre 16
C’est sorti tout seul, la sueur commence à couler sur son visage, ses seins tandis que Claude pilonne sa chatte. Je l’encourage :
- Tu vois… je le savais que tu apprécierais un partenaire TTBM, endurant et plein de savoir faire. Mais tu n’as encore rien vu. Ferme les yeux, apprécie la pénétration profonde du sexe qui te remplit, qui circule librement dans ta chatte serrée.
Il est le maître du coït et j’admire les allers-retours de son pénis dans la vulve de Brigitte, laissant courir mon imagination quand il me demande d’ouvrir la bouche. Maintenant, il passe de l’une à l’autre. J’ai en face de moi ce mandrin fabuleux dont je réussis à m’emparer. J’agrippe sa verge, baissant avec difficulté l’orgueilleuse trique pour en goûter le museau mafflu entre mes lèvres pressées de sentir cette colonne de chair glisser à l'intérieur de ma bouche.
Comme dans un rêve, je l’entends me demander :
-Serre le doucement avec tes lèvres pendant que tu fais des va et vient avec ta main, caresse le prépuce du bout de ta langue.
Je branle doucement ce sexe dur qui palpite dans ma main. Instinctivement, j’approche mon visage de cet obélisque qui me fascine dont le gland est à quelques centimètres de mes lèvres. Je tends ma langue et en titille le méat au goût agréable de cyprine et d’un relent de foutre. Je pose mes lèvres sur son gland et le suce avec douceur pendant que ma langue s’active et s’enroule autour. J’écarte les mâchoires en grand et absorbe lentement cette grosse prune gorgée de sang, prenant garde de ne pas en blesser la peau si fine avec mes dents.
Le bruit de succion l’excite encore plus que je me demande s’il ne bande pas plus fort encore.
Il pousse un gémissement de plaisir, rejetant la tête en arrière, et pose ses mains sur ma tête. Claude donne de petits coups de reins, me baisant la bouche sans que je ne puisse rien n’y faire. Le plus énorme, le plus gros, le plus long sexe que je connaisse va et vient dans ma bouche déformant mes joues, écrasant ma glotte. Mes mains crispées sur le reste de la hampe essaient d’en contrôler l’introduction et butent sur ses couilles. La tentation est si forte que je les saisis dans ma main droite, les faisant rouler l’une contre l’autre dans leur sac fripé. La chose lui plait et je me demande si son gland ne grossit pas encore. Claude, conscient du risque que je le fasse jouir, arrache sa poutre de ma bouche et replonge dans la chatte esseulée de Brigitte sans aucun ménagement et se fige, le temps de laisser la pression redescendre un peu.
Une fois calmé, Claude reprend le limage, changeant régulièrement de rythme, bousculant le Plug toujours plongé dans son petit trou. Brigitte a un moment d’inquiétude. Elle doit se dire que ça ne passerait jamais…
- Mets-toi à quatre pattes. Lui ordonne t’il, je vais te faire hurler comme la truie que tu es !
Brigitte ne proteste même plus, elle se positionne, les mains et la tête posées sur le dossier du divan, présentant son arrière-train à son tourmenteur. Il retire d’un coup sec le Plug qui laisse entrouvert la porte de service.
- Mmmhhh ! Beau petit cul, tentant...
Brigitte tressaille. Sa supplique résonne dans la pièce quand elle sent l’énorme queue appuyer sur son sphincter heureusement déjà préparé au pire.
-Noooonnn, pas par là !!!
- Tais-toi, ma petite cochonne ! Que tu le veuilles ou non, je vais te prendre par le cul !
- Non, pas par là, t’es trop gros !!! Reprend-t-elle, avant de pousser un cri de truie qu’on égorge.
- Haaannnn !!!
Claude vient de l’éperonner avec son gourdin d’un formidable coup de reins, pénétrant sans délicatesse le cul offert, il est tellement embouqué que ses couilles tapent sur la fente de Brigitte.
- Ta gueule salope ! Je suis sûr que tu mourrais d’envie te faire enculer par une si grosse queue! -
Sous la douleur, Brigitte s’est presque évanouie. Elle est dans un tel état que ses neurones ont disjonctées, elle râle, pousse des feulements rauques telle une lionne prise par le roi des animaux. Une chaleur intense se propage dans ses entrailles submergeant ses zones érogènes d’adrénaline. Son corps est secoué par de longs spasmes de jouissance, ses cris résonnent encore une fois quand Claude se retire et, plaquant les mains sur ses fesses, défonce à nouveau le petit orifice en raillant :
-T’es vraiment une vraie machine à jouir ! Il a suffit de moins d’une minute pour que tu trouves ton plaisir, et tu disais : « Non, pas par là », une vraie petite pute ! Tu vas voir ce que ça fait quand une grosse cylindrée met les gaz !
Et pendant de longues minutes, il défonce méthodiquement son arrière-train, se perdant de temps en temps au plus profond de la chatte béante et trempée qui inonde son jonc vigoureux d’une abondante sécrétion vaginale.
-Alors ? Je suis toujours un petit con ? Un abruti qui ne sait pas piner ?
Des crispations violentes n’arrêtent plus de traverser le vagin de Brigitte qui contracte son périnée pour mieux sentir la « bête ». Claude les ressent jusqu'au bout de son gland, déclenchant enfin son plaisir. Il sent la sève monter dans sa tige. Il se crispe, agrippe les seins de Brigitte et presse son corps contre le sien, graissant de son sperme le puits béant qui ne tarde pas à déborder de foutre,
déclenchant aussitôt un mini orgasme de ma belle-sœur qui lui jouit dessus.
Ils tombent tous les deux épuisés sur le divan, Brigitte est satisfaite de l'ouvrage réalisé, admettant en me regardant:
-Bon, tu avais raison Lucie, je dois admettre que Claude est un sacré bon coup. Tu l’as déjà pratiqué ?
-Oh que oui ! Je ne voulais pas te le dire avant, je lui rétorque, mais tu te trompes si tu crois en avoir déjà fini avec lui, Tu viens à peine de finir les hors-d’œuvre…
-Tu veux dire que ? M’interroge Brigitte.
Mais je n’ai même pas besoin de lui répondre. La verge de Claude qui a repris vie joue déjà avec l’anneau fripé de Brigitte qui se détend comme attendant avec impatience de connaître à nouveau l’outrage. Claude plante sans aucune résistance son défonce-cul jusqu'à son diamètre le plus large et reprend son travail de sape.
-Je n’arrêterai que quand tu me demanderas grâce, j’y passerai des heures s’il le faut. Les abrutis n’ont aucune limite…
Il a fallu encore une heure avant que Brigitte ne lui demande grâce :
-Arrête, je suis lessivée, je te présente toutes mes excuses Claude ! Je dois bien reconnaître que tu es un étalon infatigable avec ta bite de poney !
Bon… Je me suis vengée de mon mari et de ma belle-sœur, (mais je me demande maintenant si ma vengeance ne s’est pas retourné contre moi car elle y a trouvé tant de plaisir qu’elle a demandé à Claude son numéro de téléphone pour remonter à cru un de ces jours)… Il ne reste plus que ma belle-mère. Mais là, je ne sais pas si j’oserai…bien que…
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