Émilie adore la piscine. Faire des longueurs en fin de journée la délasse. Elle apprécie aussi beaucoup la sortie de l'eau, lorsqu'elle est seule avec William et qu'il la dévore du regard. Le spectacle qu’Émilie lui offre en clôture de sa journée ravit William. Ça fait des mois qu'ils échanges des regards. Et si ce soir il y avait plus...
Proposée le 30/10/2020 par Mekron
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Mer, piscine, plage
Type: Fantasme
Émilie nage calmement dans la piscine. Seule dans le bassin, elle finit sa dernière longueur lorsque William entre.
« Tu as fini Émilie ? Je dois fermer. »
Elle s’approche de l’échelle, lui sourit et sort du bassin avec grâce et souplesse.
William apprécie ce moment où il peut la contempler. C’est un jeu entre eux depuis plusieurs mois, elle reste la dernière dans le bassin et attend que William vienne la regarder sortir de l’eau et aller dans les vestiaires. Elle bascule la tête en arrière, se cambre avantageusement et essore ses longs cheveux, mettant en évidence sa généreuse poitrine. Elle prend sa serviette et marche vers William. Elle aime le regard qu’il lui porte, c’est un compliment et non une agression obscène. Son maillot une pièce lui laisse apprécier son corps généreux et ferme.
« Je fais vite ! »
Lui dit-elle d’une voix suave.
Ils se croisent en se souriant et William se retourne pour la regarder s’éloigner vers les douches. Il aime voir ses hanches rouler et découvre, avec surprise, que pour la première fois elle n’a pas remis son maillot en place. Il voit ses fesses rondes vibrer à chaque pas. Au moment où elle va disparaître, elle lui jette un coup d’œil enjôleur. William se dirige vers les douches, en enlevant son tee-shirt, son sexe se raidit rapidement.
Quand il entre dans les douches, elle lui tourne le dos. Il regarde, avec envie, ses belles fesses rondes s’agiter, alors qu’elle se rince les cheveux. Il se délecte en voyant la mousse glisser le long de son dos, de ses fesses, de ses cuisses musclées, de ses mollets galbés. Il rêve de passer ses mains aux même endroits. Il s’approche. Lorsque ses mains se posent sur ses hanches, elle se laisse faire. Il glisse ses mains sur son ventre et lui embrasse le cou qu’elle lui offre. Elle cherche son oreille et lui chuchote :
« Oh William ! Ça fait tellement longtemps que j’attends ça ! »
Il caresse ses fesses dénudées. Il les prend à pleine mains et les écarte. Émilie gémit et laisse échapper un « Oui… » sensuel. Elle passe ses deux mains derrière sa nuque et se cambre pour que ses fesses viennent se frotter contre son bas ventre. Quand elle commence à bouger ses fesses contre lui, il remonte ses mains et défait les bretelles du maillot, lui dévoilant sa ronde et généreuse poitrine. Il les prend à son tour et les caresse avec délicatesse et vigueur. Elle le regarde les caresser et elle gémit à nouveau, fermant les yeux et posant sa tête sur son épaule. Sentant son excitation monter, il descend une main vers son entre-jambes. Il la glisse sous le maillot et va explorer lentement et en douceur sa toison. Elle ne s’arrête plus de gémir et de l’encourager à aller plus avant. Il sent sous la pulpe de ses doigts, sa vulve, ses lèvres et, avec délicatesse, trouva son clitoris. Au moment où il l’effleure, elle s’arque davantage et émet un petit cri aigu. Il caresse, pince, joue avec lui, sentant qu’Émilie perd tout contrôle. Le temps semble s’être ralenti et Émilie sent sa jouissance monter. Elle lui chuchote de la prendre, mais William continue à jouer avec son sexe. Elle se sent prête à le recevoir en elle et elle le lui dit :
« Prends-moi William ! »
Mais celui-ci continue, sourd à ses suppliques.
Le plaisir commence à atteindre des niveaux qu’elle a rarement ressentis.
« J’ai envie de toi ! »
Dit-elle, mais il continue. Elle glisse une main dans son short et lui prend sa verge turgescente d’une main rageuse et envieuse. Elle commence à le masturber et à jouer avec ses testicules. Elle n’en peut plus.
« Prends-moi ! Prends-moi maintenant ! Je te veux !»
Répète-t-elle avec insistance. Il lui enlève son maillot complètement et la positionne, jambes écartées et le torse penché en avant. Elle se retient au mur avec ses mains pendant que la verge vibrante de William la pénètre. Elle l’a sentit dans sa main, mais elle est tout de même surprise de sa largeur. Son sexe pénètre en douceur.
«Oh! That’s a big boy ! »
Lâche-t-elle.
Il commence ses va-et-vient lents et amples en lui prenant les hanches. Elle s’écrie et râle, vibrante sur son pieu chaud et dur, qui s’immisce délicieusement en elle. Il commence à accélérer le rythme et les gémissements d’Émilie augmentent en fréquence et en volume. William lui pend ses seins tout en continuant de la pénétrer.
« Oh ! Oui ! Prends-les-moi ! Prends-moi ! Je suis à toi !... Oh je vais jouir, mon dieu c’est bon William ! Encore ! Plus fort ! »
Ce dernier, lui-même sur le point d’exploser se déchaîne. Elle crie, s’extasie, alors qu’elle explose dans une pleine jouissance tout de suite accompagnée par les grognements graves de William. Les soubresauts vifs de sa verge dans son vagin, prolongent un peu son orgasme et Émilie s’extasie de pus belle. Il continue ses va-et-vient plus lentement en caressant son dos. Émilie est tombée à genoux et sa tête était posée sur le sol. Dans cette position, son anus est bien visible et William en profite. Alors qu’elle halète, encore dans sa jouissance, il lui écarte bien les fesses et place son gland bien lubrifié par leurs sécrétions communes. Il le fait pénétrer lentement et en douceur. Émilie ne comprend pas tout de suite, ses sens encore submergés par son orgasme. Au moment ou elle sent le gland de William lui pénétrer l’anus elle veut l’arrêter.
« Non ! William ! Non ! Doucement! Haaaaa !»
Il vient de donner un brusque coup de rein et son chibre la pénètre sauvagement. La douleur n’est pas aussi importante qu’elle l’aurait cru. Elle est même surprise du plaisir qu’elle en éprouve. C’est aussi sa position qui l’excite aussi. Les pénétrations se font de plus en plus amples et le bas ventre de William vient claquer sur ses fesses, en des fessées mouillées. Elle lâche un cri guttural à chaque fois. Il affermit sa prise sur ses hanches et devient de plus en plus violent. Émilie recommence à perdre le contrôle avec un nouvel orgasme qui commence à la prendre. Cette fois-ci elle jouit toute seule et s’égosille de plaisir. William sens son anus se crisper sur sa queue et la sensation est sublime. Il ahane pour la pénétrer encore quelques fois jusqu’au fond et elle est secouée de spasmes.
« Oh ! Oh ! Oh ! »
« Alors, Émilie ! Tu aimes quand je te prends comme ça ? »
« Oh Oui, William ! C’est trop bon ! »
« Dis-le-moi encore ! »
Elle le regarde du coin de l’œil.
« Oh j’adore quand tu me prends les fesses ! »
Il la pénètre encore et elle ferme les yeux de plaisir et gémit de nouveau. William se retire tout doucement et, au moment où son gland à vif sort complètement, Émilie s’écroule sur le sol, hors d’haleine. Il le redresse et l’approche de son dard dégoulinant de cyprine. Elle se met à genou et le lui lèche avec zèle. Elle se sent complètement grisée et se découvre un appétit pour la queue de William. Son goût, mêlé au sien, est délicieux, elle veut le dévorer, l’avaler, le pomper jusqu’à la dernière goutte. Elle ne se reconnaît pas ! Elle ne cesse d’exprimer sa gourmandise tout en l’enfonçant profondément dans sa gorge et le pompant avec ardeur. William la contemple, le souffle court. Elle le regarde avec avidité et volupté. Il lui saisit la tête à deux mains et lui baise la bouche sans vergogne. Émilie est surprise, mais rapidement devient extatique à cette violence qu’elle ne contrôle pas. Elle le laisse lui prendre la bouche comme il le désire et elle adore ça. Son excitation monte en même temps qu’elle le sent s’approcher de son climax.
« Hum ! Hum ! Gha ! Gha ! Gah ! Hum ! »
William s’immobilise au fond de sa gorge, se tend et explose dans un râle rauque et puissant. Émilie sursaute et ouvre de grands yeux, alors que la première puissante giclée, lui percute la glotte et le fond de sa gorge. Son foutre est chaud et épais et lui inonde la gorge. Il se retire et elle avale une première petite gorgée. Sa semence, lui coule onctueusement dans la gorge et son goût est sucré-salé avec une pointe d’âpreté. Elle apprécie et avale le reste avec un plaisir non dissimulé.
« Haaa ! Tu aimes, hein ? »
« Hum.. Oui, j’adore ! »
Elle s’essuie le coin des lèvres et de jette sur sa verge pour la nettoyer entièrement. William grogne de plaisir et hoquette lorsqu’elle lui aspire vivement le bout de l’urètre.
« Coquine, va ! »
Émilie glousse en finissant de déglutir les dernières gorgées. Il lui caresse la joue, la flatte.
« Tu es une belle cochonne toi ! »
Émilie se mord la lèvre avec un grand sourire lascif.
« Rhabille-toi, je dois fermer. »
William ressort des vestiaires pour aller à son bureau. Émilie se retrouve seule avec un sentiment partagé de plaisir et de honte de s’être donnée ainsi. Ce n’était pas son habitude, que lui avait-il pris ?
‘Putain quel pied !’
Une fois séchée, elle se glisse, nue, sous sa mini-jupe en cuir et chausse ses grandes cuissardes noires. Alors qu’elle enfile son chandail à col en V, elle se sent saisie à la taille fermement. Elle s’esclaffe et part immédiatement dans des gémissements en sentant les larges mains de William lui assaillir les seins avec fougue.
« Oh mon dieu ! Ouiii ! Encore ! »
Ils s’embrassent goulûment. Après un long baiser, William la plaque contre les casiers, qui font un bruit du tonnerre et le son résonne dans toute la piscine.
« Ha oui ! Prends moi fort William ! »
Il lui remonte sa jupe d’un geste vif et elle s’esclaffe. Elle écarte les jambes et lui donne librement accès. Il lui plonge deux doigts directement dans son antre humide et chaud.
« Putain tu es encore trempée ma salope ! »
Elle lui jette un regard aguicheur.
« Tu es encore bien raide mon salaud ! »
Il lui agrippe fermement les hanches et plonge en elle avec rage.
« Tiens ! Prends ça ! »
« Oh oui ! Oui ! Encore ! Plus fort ! Vas-y William ! Prends moi fort ! Ha ! Han! Han ! »
William se déchaîne et percute violemment Émilie à chaque pénétration. Il est si violent qu’Émilie se retrouve ballottée entre lui et les casiers. Elle les percute sans ménagement.
« Oh ! Ohou ! Ohou ! Oui ! Là ! Comme ça ! C’est terrible ! Ohouf ! »
William jette un œil au grand miroir du vestiaire et la vue est captivante.
« Regarde comme tu es belle comme ça ! »
Émilie se regarde et la vue est assez vertigineuse. Elle, pliée en deux, les jambes écartées gainées dans ses belles cuissardes, sa mini-jupe remontée à la taille et ses beaux seins ballottés par les coups de reins puissants et ample de William complètement nu. La vision est exquise et Émilie se prend un sein tout en continuant à se regarder.
« Que tu es beau ! J’adore te voir me prendre par derrière comme une chienne ! »
« Han ! Han ! Han ! Tu aimes ça ! Hein ?! »
« Oh mon dieu oui ! »
Il lui prend les poignets et tend ses bras vers l’arrière pour la retenir, la place en face du miroir et la surine avec véhémence.
« Regarde comme tu es belle ! »
Émilie se regarde dans la glace et s’émerveille de la vision de ses seins ballotter alors que ses fesses se font martyriser par le bas ventre de William. Elle est soumise et à sa merci et elle kiffe grave.
« Oh putain oui ! C’est beau ! C’est bon ! William ! Oh ! William ! Haaaaa ! »
Elle le voit couvert de transpiration, le visage grimaçant sous l’effort, alors qu’il la pénètre sauvagement et sans retenue. William se repaît de la voir ainsi, les courbes de son corps lui rappellent un magnifique violoncelle. Il kiffe voir ses grosses fesses se faire fesser et vibrer à chaque claque de son corps. Il modifie légèrement l’angle et maintenant ses bourses viennent frapper son clitoris. Émilie pousse une série de cris associés à la nouvelle divine torture.
« Oh ! Ha ! Oh ! Putain oui ! Là ! Comme ça ! Ho ! Oui ! Oui ! Juste là ! Comme ça ! »
« Tu aimes te voir te faire prendre comme ça, ma salope ?! »
« Oh oui ! J’aime quand tu me prends par derrière comme ça ! »
« Tu es ma petite salope ! Qui en redemande encore ?! »
« Oh ! Oh ! OUI ! OUI ! Encore ! Donne tout ce que tu as à ta petite salope ! Je suis à toi ! Défonce-moi comme une chienne ! »
William continue ses pénétrations vigoureuses.
« Oh ! William, je vais jouir ! Je vais jouir ! Haaa ! »
« Attends ! Pas encore ! »
« Oh je ne vais pas pouvoir résister… C’est trop fort ! Mon dieu ! Ha !»
« Attends ! »
William accélère encore et Émilie ne peut plus s’exprimer de manière intelligible. Il lui fait crocheter ses bras au niveau des coudes, sur son avant bras et lui saisit les cheveux à la base du crâne et les tire de l’autre. Émilie doit se cambrer davantage, la tête tirée en arrière ne pouvant que voir la scène puissamment érotique dans la glace. Lorsqu’elle le sent exploser en elle, son vagin se tétanise sur sa verge et ils hurlent à plein poumon leur orgasme profond et puissant. Leurs sexes respectifs sont douloureusement crispé l’un dans l’autre. Émilie bouge presque inconsciemment son bassin pour amplifier les effets de sa queue en elle, et la faire bouger à l’intérieur, pour stimuler toutes les parties de son vagin en feu. Elle tremble de manière incontrôlable, des pieds à la tête. Ils sont hors d’haleine. Il la tire à lui et plaque son dos, ruisselant de sueur, sur son torse tout aussi trempé. La sensation est exquise et Émilie, tout en continuant à bouger lascivement son cul sur son membre, lui caresse la torse avec son dos. Il lui prend les seins à pleine mains et elle chavire complètement.
« Oh Putain ! William ! Que tu es fort ! C’est trop bon ! On ne m’a jamais fait autant de bien ! La Vache ! »
« Hum, j’avoue que tu m’inspires comme aucune autre avant toi ! »
« Hum… »
Elle roucoule et ronronne de plaisir, collée à lui. Ils restent là quelques minutes, à se regarder dans la glace.
« Putain, qu’est ce qu’on est beau tous les deux comme ça ! »
Émilie exprime l’exacte pensée de William, qui lui tourne le visage pour l’embrasser langoureusement. Émilie fond un peu plus et reprend ses mouvements lascifs du bassin, alors qu’elle a placé ses mains sur celles de William, qui continue à lui honorer sa poitrine généreuse et particulièrement sensible. Elle le sent moins vigoureux en elle, mais elle apprécie tout autant la sensation.
« Putain quel pied ! »
William glousse et joue avec ses tétons pour la faire gémir et crier un peu.
« Voyou ! Oh ! Voyou ! Ha ! Aïe ! »
Elle glousse et soupir.
« Je pourrais rester là des heures, te sentant en moi ! »
« Hum.. délicieuse pensée, mais il faut vraiment que je ferme. »
« Ho ! Non ! »
Elle minaude et roucoule, mais elle sent William se retirer lentement.
« Hum… Hum... »
Elle fait la moue et essaye de le garder en elle en contractant son vagin. Ça a, hélas, l’effet inverse et elle expulse William un peu fort.
« Wouhoh ! Putain ! »
« Oh je t’ai fait mal ? »
Elle se retourne contrite.
« Non, Non ça va ma belle. »
Il l’embrasse et elle se serre tout contre lui.
« Ai-je le droit à une seconde douche ? »
Demande-t-elle toujours minaude.
William rit.
« Oui, je vais t’accompagner, j’en ai bien besoin aussi. »
Ils essayent de vraiment se doucher, mais ne peuvent se réfréner à se caresser et s’embrasser voluptueusement. Ils se rhabillent enfin et Émilie attend que William ferme l’établissement. Une fois dehors, ils marchent main dans la main et William lui propose de la raccompagner en voiture. Elle accepte volontiers. Il la déposa en bas de son immeuble et se quitte sur un ultime baiser suave et délicieux.
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Commentaires de l'histoire :
Minou14
Merci pour cette histoire torride. Le scénario est excellent ! J'ai vraiment pris mon pied, j'en tremble encore. Seulement un peu trop d'insultes à mon goût, mais très bien !
Posté le 26/05/2024
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