Histoire Erotique

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Decouverte du Maroc par Emilie - Part 1

Emilie, jeune danoise part au Maroc avec son copain en voiture et découvre les joies du libertinage. A partir d’une histoire vraie mais largement romancée.

Proposée le 22/08/2022 par amdsoo

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Thème: Femme dominée
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


La voiture avait des ratées depuis dix bons kilomètres, Emilie et moi voyagions entre Marseille et Casablanca au Maroc. Nous étions partis une semaine plus tôt, traversant l’Espagne et maintenant nous roulions sur le sol marocain.

Emilie était ma fiancée, d’origine danoise. Elle avait vingt-six ans, était infirmière, blonde aux yeux verts, j’étais tombé amoureux d’elle presque immédiatement quand je l’avais rencontré dans une soirée près de la fac de médecine à Marseille. Emilie était arrivée en France à l’âge de quatorze ans, avec ses parents mais quand ils étaient repartis, Emilie était restée en France, et c’était comme ça que nos chemins s’étaient croisés.

Je m’appelle Marc, je suis ingénieur, j’avais trente ans à l’époque, et je travaillais dans la région provençale, nous pensions alors nous marier. J’étais le premier pour Emilie, et elle ne m’avait pas caché que cela l’inquiétait, car elle n’avait connu aucun autre homme.

Emilie était une jolie femme, assez réservée, avec de très jolies jambes fuselées, des seins hauts et de jolie taille, un corps athlétique scandinave, elle était super sexy et mes copains n’arrêtaient pas de la draguer, et je voyais bien qu’ils la regardaient avec envie. Je n’étais pas un fiancé jaloux, pas du tout, et heureusement car Emilie charmait facilement les hommes, sans même sans rendre compte avec ce petit accent qui ajoutait à son côté si sexy. Quelquefois je me surprenais à l’imaginer avec d’autres hommes que moi, cela m’excitait. J’avais eu des expériences avec d’autres femmes, mais pas elle, tout ce qu’elle savait du sexe, elle l’avait appris de moi.

Notre première étape était Chefchaouen à l’intérieur des terres, j’y avais été plusieurs années auparavant. Mais j’étais avec des copains à l’époque, et pas de femmes avec nous.

La Peugeot 205 toussa une dernière fois et s’arrêta sur le bord de la route. Je me serrai sur le côté, là où le revêtement était horrible fait d’un gravier mou ou j’enfonçais mes roues. Il était dix-neuf heures et le soleil déclinait sur l’horizon. Pas idéal au Maroc, en plus accompagné de ma jolie fiancée, je me sentais un peu responsable de la situation.
- Merde ! – Moi
- Oh non. Qu’est-ce qu’il se passe – Emilie
- Je ne sais pas, j’ai le plein quasiment, peut-être une essence un peu frelatée.
- Nous voilà bien. On fait quoi ?
- Je ne sais pas, je vais aller chercher de l’aide
- Je reste dans la voiture ?
- Oui, je vais déjà regarder un peu sous le capot…

Je m’extrayais du véhicule et soulevais le capot mais bien entendu il n’y eut pas de miracle, je n’y connaissais rien en moteur, du moins pas assez pour comprendre le problème. Rien ne semblait cassé et je me décidais à aller chercher du secours.
Je pris mon téléphone pour m’éclairer, car je n’avais pas de réseau au Maroc. D’un commun accord, Emilie resta dans la voiture, et je m’avançais en direction de la ville qu’on voyait sur les hauteurs mais au moins à dix kilomètres.

Il faisait sombre et je trouvais une route qui menait à une petite ferme, à peine éclairée. Je toquais à la vieille porte et un marocain d’âge mur m’ouvrit presque immédiatement, me regardant de haut en bas comme si j’arrivais de la Lune. Il devait avoir cinquante ans.
- Tu veux quoi ? – dit-il gentiment mais avec un Français un peu rouillé
- Bonsoir, je suis en panne avec ma voiture, je voudrais appeler une dépanneuse, vous auriez un téléphone svp?
- Hmmm, il n’y a pas de dépanneuse, mais mon fils il répare les voitures
- Ah super, ma voiture est garée à deux kilomètres, ma fiancée est dans la voiture.
- Ta fiancée ? dit-il
- Oui Emilie, elle est seule là-bas.
- Attends je fais le tour, je prends le tracteur. Mon fils n’est pas là, mais il répare ta voiture quand il rentre.
- D’accord, merci beaucoup !

J’entendis le tracteur démarrer et il fit éruption sur le côté de la petite ferme, il me fit alors signe de monter et je me mis sur la marche. Quand nous arrivâmes à la voiture, un homme discutait avec Emilie qui lui faisait face. Elle semblait un peu effrayée mais me sourit largement quand elle me reconnut sur le tracteur.
- Chéri ! dit-elle
- Ce monsieur. Heu …
- Je suis Ahmed dit il
- Ahmed va nous amener à sa ferme et son fils pourra la réparer, probablement.
- Inch Allah Ahmed, dit l’autre homme

Ils bavardèrent en arabe pendant un instant. J’eus l’impression que l’homme aurait préféré être seul avec Emilie que de nous voir arriver. Il regardait le t-shirt d’Emilie avec insistance, ses seins qui tendaient le tissu et qui pointaient dans sa direction. Il prit son congé, et nous accrochâmes la voiture au tracteur. Emilie monta sur la marche à côté d’Ahmed et je conduisais prudemment, suivant le tracteur jusqu’ à la ferme. Je voyais les fesses d’Emilie se dandiner à chaque secousse du tracteur. Ahmed jetait un coup d’œil dans le miroir pour voir que tout se passer bien derrière, et surtout matait les jambes de ma nana et le mouvement de ses seins à chaque cahot.
Il était près de vingt heure quand nous arrivâmes, nous étions épuisés.
- Tu veux manger ? dit Ahmed
- Je voudrais réparer la voiture d’abord.
- Réparer demain
- Demain ? mais ton fils ne rentre pas maintenant. ?
- Si mais trop tard, il faut soleil pour réparer, viens manger avec ta zawja, ta fiancée.
- Elle s’appelle Emilie. Ok merci
- Elle est jolie Emilie. dit-il en la regardant

Elle était en short et ses jambes longues et bronzées du soleil d’Espagne étaient très appétissantes. Ses cheveux blonds attachés et remontés en chignon mais qui se défaisait et laissait tomber de jolies mèches sur ses épaules, elle était à croquer.
Nous nous installâmes dans son petit salon, qui était aussi sa chambre à coucher visiblement. Je lui proposai vingt euros pour le repas mais il n’en voulut pas, il me dit que le repas c’est cadeau pour moi et ma zawja. On était assis par terre sur des tapis confortables, Emilie les jambes croisées en tailleur, je lui caressais les cuisses discrètement sous la table et je m’enhardis à lui toucher l’entrejambe, elle répondit en ouvrant un peu plus ses jambes, je sentais sous mes doigts la crevasse de sa vulve bombée. Le repas était bon, on lui parla de notre voyage et il était charmant, et puis son fils arriva en voiture.

En fait, Ils étaient deux, Ibrahim, le fils et Mohamed son assistant au garage. Tous deux dans un état de saleté intense, cela me rassura sur son habileté à réparer notre voiture. Les introductions furent brèves et après s’être lavé les mains, ils prirent par à notre diner. Ibrahim devait avoir mon âge à peu près, mais Momo était plus jeune. Ils n’avaient d’yeux que pour Emilie avec qui ils flirtaient sans égard pour moi, j’étais flatté mais aussi inquiet, nous étions tous les deux, chez des Marocains que nous ne connaissions pas deux heures plut tôt, et Emilie toute jolie et un peu trop dénudée au milieu de tout ça. Elle était visiblement sous le charme du fils, car elle le regardait fixement.
- Tu veux prendre une douche, tu peux aller dans la cour, il y a une douche – me dit Ibrahim
- Oh oui je veux bien. Et toi Emilie ?
- Oui avec plaisir, je me sens un peu sale, avec toute cette poussière – dit elle

Ibrahim et Momo se regardèrent en souriant et parlèrent arabe entre eux. Je ne sais pas pourquoi mais la perspective qu’Emilie allait se dévêtir à côté d’eux les émoustillaient tous les deux. Ils devaient l’imaginer nue. Un frisson me parcourut.
Nous partîmes dans la cour, et il y avait deux endroits abrités sous un toit, la douche sommaire et un WC, tous les deux sans porte.
- Il n’y a pas de porte ? dit Emilie
- C’est souvent comme ça au Maroc, dit Ibrahim, et il tourna les talons.
- Ok, dit-elle.

Elle regarda à gauche et à droite, et constatant que personne n’était là, elle fit tomber son petit short, sa culotte glissa le long de ses cuisses. On ne voyait pas grand-chose, il n’y avait qu’une petite ampoule pour toute la cour. Elle enleva finalement son haut et détacha son soutif, ses beaux seins dansèrent devant mes yeux. J’avais une érection qui me faisait presque mal. Elle s’engouffra dans la douche et une cataracte d’eau lui tomba dessus, une eau fraiche et propre et elle cria de façon très féminine. Puis je la rejoignis sous la douche car elle était suffisamment grande pour deux. Je m’empressais de lui palper les seins, et je la savonnais. Mon érection était visible, et elle me branla un peu, puis elle sortit de la douche pour se sécher. Je la rejoignis deux minutes plus tard. Emile avait sa serviette autour de la poitrine et se séchait les cheveux.
- Tu veux fumer ?

Je me retournais et Ibrahim était à quelques mètres de nous, dans l’ombre totalement, assis sur une marche de la cuisine. Il m’avait surpris et s’était probablement rincé l’œil quand Emilie était sortie, nue et mouillée, de la douche.
- Euh… du hachisch ?
- Ben oui, tu crois que je te parle de quoi ?
- Heu ok, j’arrive, je me sèche.

J’ai toujours fumé des joints, et la perspective de fumer du bon shit marocain m’excita.
- Cela ne te dérange pas Emilie ?
- Non, non bien. Je tirerais aussi bien un taff ou deux.
- Si tu veux.
- Venez quand vous êtes prêt, c’est dans ma chambre. Vous vous dormirez dans cette pièce, elle n’est pas utilisée.

Il me montra la porte de la chambre et alluma la lumière dans la pièce. Puis ils prirent eux aussi une douche rapide, je pus voir qu’ils se dénudaient sans faire attention à nous, alors qu’Emilie les observait.

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Dans notre mini chambre, on se rhabilla puis nous rejoignîmes Ibrahim, il habitait dans une pièce séparée de celle de son père, juste à côté de la nôtre, une chambre avec un lit simple, un canapé et une petite table, pas de décoration, une chambre de mec. Il ne devait pas souvent amener des filles ici. Momo était là, sur le canapé, il coupait du shit d’un bloc de 1 kilo. Il y avait une odeur d’encens, ou de fumée.
- Asseyez-vous sur le lit si vous voulez
- Merci

Emilie s’assit sur le lit, il était étroit, elle avait mis une robe longue sans manche mais en s’asseyant la fente de sa robe laissa voir ses longues jambes, elle portait des tennis blanches. On commença à fumer en se passant le joint l’un à l’autre, Emilie prit quelques barres mais sans plus. C’était du bon, je sentais la pièce qui tournoyait comme si j’étais sur un manège.
- Ça va Marc ? me dit Emilie
- Oui, ça va, c’est du lourd.

Je me laissai glisser à terre, m’appuyant au lit, à moitié assis et mes yeux se fermèrent un peu. J’étais bien mais laisser Emilie seule…
Emilie resta sur le lit et Ibrahim se rapprocha d’elle.
- Tu veux que je te fasse une soufflette ?
- Une soufflette ?
- Oui je te montre.

Il mit le joint à l’envers dans sa bouche et approcha sa bouche de celle d’Emilie et se mit à souffler lentement, la fumée était poussée dans la bouche entrouverte de la jeune femme, elle aspirait au fur et à mesure.
- Ohhh, c’est bon, mais c’est fort.
- Oui tu vas voir, tu vas planer

Quand j’ouvris les yeux, je pensais rêver et je ne sais plus où j’étais. Emilie était sur le lit et Ibrahim avait mis la main sous sa robe. Je sentais presque sa chaleur tellement il était près de moi. Il lui caressait les seins, elle n’avait pas remis de soutien-gorge après sa douche, il la palpait lentement et elle gémissait légèrement.
- Tu aimes ça ?
- Oui, continue, pinces un peu mes tétons…
- Comme ça ?
- Ouiiii, oh oui j’adore tes mains sur mes seins…
- Ton copain est bien parti je crois, vous êtes un couple libre c’est ça ?
- Heu oui...

Elle semblait très excitée, j’ouvrai les yeux plus grand. Ibrahim le vit et dit
- Tu reviens parmi nous ? Cela te dérange si je continue ?
- Non…
- Elle est très jolie, tu as de la chance…

J’étais dans une sorte de nuage, une trance, et je sentis que je bandais fortement.
- Mets-toi à la place de Mohamed, Marc

Je restais à quatre pattes et je pris la place laissée par Mohamed, qui s’était levé. Assis en face du couple, je pouvais voir qu’Emilie lui caressait le sexe à travers sa djellaba. Il remonta le tissu, il ne portait pas de slip, je vis une énorme bite, et deux grosses bourses.
- Humm, tu as une belle queue… dit Emilie
- Tu veux la gouter ?

Emilie se pencha et attrapa dans sa bouche le gros gland violacé. D’où j’étais, je voyais sa bouche et la bite de l’arabe qui avançait dans sa gorge. Il la tenait par les cheveux gentiment, et la poussait ou la retirait à son rythme.
- Hmmmmmm, dit Emilie
- Tu aimes ça, hein petite pute, sucer ma bite, c’est ça que tu es venue faire au Maroc, sucer des grosses bites d’arabes.

J’étais choqué mais Emilie semblait apprécier, la bouche pleine, elle jouait aussi avec ses gros testicules. Moi je planais encore à dix mille mètres, Momo me passa un autre joint et je prenais quelques bonnes goulées. Leur shit était de la bombe. Emilie s’arrêta un instant, relâchant la bite dure, et de sa bouche dégoulinait un peu de pré-sperme.
- Ça va ma chérie ?
- Oh oui, je prends mon souffle car il m’enfonce son gland si profondément.
- Tu as l’air d’aimer ça.

Emilie me répondit en avalant la moitié de la bite tendue du marocain.
- Momo enlève lui sa robe, qu’on voit enfin à la lumière, ses nichons.

Momo qui était sur le côté gauche d’Emilie, s’employa à lui défaire dans le dos sa robe d’été, et de la rouler vers le bas, libérant pour le plaisir des deux jeunes hommes, les seins de ma fiancée.
- Regardes moi ça. dit Momo en soupesant en connaisseur les tétés d’Emilie
- C’est du beau matos, les danoises c’est comme les russes, elles ont des corps d’ouf. dit Ibrahim

Emilie était entourée des deux hommes, penchée sur l’un, une bite en bouche, et sa robe glissa jusqu’à ses hanches, elle se souleva légèrement de façon sexy et la laissa passer sous ses fesses, se retrouvant en culotte devant eux, à leur merci.
Momo envoya sa main habile palper le coton blanc de sa petite culotte.
- Il n’y a pas beaucoup de poils là-dedans, Ibra.
- Fais voir un peu ta petite fente, lèves toi. Dit Ibrahim

Emilie se releva, et me faisant face, elle retira sa culotte. Je vis le petit rectangle de poil brun et brillant, elle était toute mouillée par là. Puis elle se retourna vers eux et écarta ses cuisses pour les laisser apprécier le moment.
- Tu es toute mouillée, petite pute
- Oui, surtout ici.

Elle écarta ses grandes lèvres, son vagin secrétait un liquide transparent et qui sentait dans toute la pièce. Ibrahim lui fourra deux doigts dans la chatte, la cyprine coulait sans interruption.
- La chatte c’est si rare pour nous ici. Les marocaines ne veulent que se faire sodomiser, pour rester vierge jusqu’au mariage. On va te bourrer le minou comme tu l’as jamais été. Et si tu veux on peut aussi t’enculer, si ton copain est d’accord bien sûr. Dit Ibrahim
- Je n’ai jamais eu des rapports sexuels avec d’autres que Marc, mais il est d’accord, cela t’excites hein Marc ?
- Bien sur ma chérie, il vaut mieux avant le mariage, tu le sais bien, on en a déjà parlé.

Ibrahim fit asseoir Emilie sur lui, guidant son gros engin vers le trou délicat de la jolie européenne.
- Ohhh, c’est très gros… oh je ne sais pas… ouille…. Ahhhh
- Tiens assis toi sur ma bite, et fais toi plaisir, tiens prend ça ! dit Ibrahim.
- Ohhhh, c’est dedans, oh mon dieu, c’est énorme, c’est si diffèrent de toi Marc… !
- Tu aimes ça hein coquine ?
- Ça me remplit complètement ! Ohhhhhhh.

Le marocain commença à la faire sauter, elle me faisait face, et je pouvais voir le gros mandrin pénétrer ma fiancée jusqu’au poil. Ses grosses bourses montaient et descendaient, heurtant par moment le clitoris de la belle et l’excitant encore plus
- Ohhh, ahhh, oh oui bien profond comme ça, Oh Marc tu vois ça ?
- Oui oui chérie, il te défonce la chatte, j’espère que ça va ??
- Oh oui, oh oui encore.

Momo se déshabilla rapidement, il était peut-être âgé de vingt ans, un corps musclé mais fin, une bite longue et qui se redressait lentement, à la vue de la belle danoise qui sautait et retombait sur la grosse bite de son copain. Il savait que son tour viendrait et il pourrait la pénétrer, et il le ferait de toutes ses forces. Elle allait en voir des couleurs la jolie pute blonde.
Il monta sur le lit et enfourna sa bite dans la bouche d’Emilie. A trois, ils bougeaient en cadence, une bite qui ramonait son trou lubrifié, et une autre qui enflait progressivement dans sa bouche sexy et humide.
- Oh je crois que je vais décharger dans son trou …ohhh
- Oh oui vas-y, remplis moi de foutre !
- Ohhhh, ahhhhh

Le marocain tendit tout son corps vers le haut, et gicla sa semence chaude, quatre ou cinq fois de toutes ses forces. Le gland s’ouvrait et se fermait, laissant passer le liquide presque fumant, remplissant le vagin délicat de ma fiancée. Les lèvres de son vagin serraient sa bite si fort que peu de sperme s’échappa, mais quand elle se releva, sa vulve était grande ouverte, rouge, et un flot de liquide jaunâtre en tomba.
- Lèches moi bien, que je sois bien propre

Emilie s’agenouilla entre ses cuisses et empoigna la bite pleine de sperme et de jus de chatte, et lécha, avala tout ce qu’elle put. En temps normal, Emilie n’aimait pas avaler mon foutre mais je remarquais qu’elle faisait moins de manière ici. La jolie danoise avait ses tétons rougis de quelques pincements, et elle était super sexy, à même le sol, à lécher ce quasi inconnu, autant je bandais ardemment que je n’avais pas soupçonné qu’elle était aussi chienne.
- Mets-toi à quatre pattes, je vais t’enfiler par derrière, ta chatte est bien ouverte maintenant, ce ne sera rien pour toi, lui dit Momo.

Sa bite était maintenant à son maximum, circoncis son gland s’annonçait menaçant, il prit place à genoux, et attrapa les deux seins pendants de ma bien aimée. Puis d’un coup sec, il enfila les vingt-deux centimètres de sa bite, transperçant sa chatte déjà ouverte.
- Oh, la vache !! quel engin !! tu es dans mon ventre j’ai l’impression.
- Tiens, remues un peu ton bassin, ça gargouille là-dedans, il t’a bien rempli cet enfoiré d’Ibrahim.
- Oh oui je sens son foutre qui monte et descend, je suis remplie comme une outre. Quelle sensation, deux hommes, deux bites inconnues qui me ramonent !
Momo limait avec vigueur, il labourait de son pénis les parois sensibles du vagin de la belle danoise.
- Oh que c’est bon, Marc vient que je te suce, ne restes pas comme ça !
- Non Marc, avant ça, laisses Momo défoncer ta nana, ensuite tu t’occuperas d’elle. Dit Ibrahim d’une voix sans appel.

Je restais sur le canapé, ma bite à l’air, je me branlais en voyant le jeune maghrébin bourrer de coup de bites ma belle fiancée. Puis il la retourna sur le dos, pour s’occuper de ses seins, et de sa chatte, sa bite enfoncée au maximum, Emilie jouit deux fois, il lui tordait et pinçait son clitoris dressé, même des petites tapes sur son capuchon tout excité.
- Oh non, oh je t’en prie, remplis moi toi aussi, je veux ton foutre en moi !
- Oui je vais te le donner, tiens, tiens, han !

Et puis je vis qu’il regardait celle qui était embrochée sur son pénis tendu, le corps de cette femme, qui avait été pénétrée déjà par son ami, qui avait léché sans problème le sperme d’une bite qui revenait de son vagin souillé, et qui se trémoussait devant lui, laissant ses jolis seins remuer en silence. Il se mit à décharger les bourses, je comptais sept ou huit énormes secousses, c’était un geyser de sperme qui se répandait à l’intérieur de la jeune blanche.
- Ahhh, ahhh… oh que c’est bon. Dit-elle
- Tu as reçu ta dose de cul hein ?
- Oui tu m’as fait jouir deux fois…
- J’adore ta chatte, elle est moins serrée qu’un cul de marocaine mais tellement plus chaude et douce. C’est le paradis là-dedans…
- Merci, ma chatte n’en peut plus pour tout te dire ! elle éclata de rire.
Les deux amants s allongèrent sur le lit, Ibrahim les rejoint.
- Ecartes les cuisses, que je vois le travail, dit-il

Elle écarta les jambes et les cuisses sans pudeur, son vagin était tout ouvert, on pouvait voir les petites lèvres et sur au moins dix centimètres à l’intérieur, elle s’était pris une bonne raclée.
- Marc vient gouter à sa chatte, dis-moi si tu aimes ça
- Heu, quoi ?
- Viens lécher, fais pas ton timide, tu nous as laissé la tringler comme ça, je pense que tu es prêt à l’étape d’après

Je m’approchais, pas rassuré, je pouvais sentir le sperme musqué à deux mètres, la sueur des deux hommes, et celle plus fleurie d’Emilie. Elle écarta de ses doigts sa vulve, et un petit filet de sperme se mit à couler.
Je mis ma langue en dessous et je bus l’élixir de leur ébats. C’était sucré, acide, écœurant par moment, mais je nettoyais bien tout, passant ma langue dans les recoins de sa chatte et même j’introduis ma langue dans son canal féminin. Quelques instants auparavant, deux bites étaient au même endroit que ma langue, c’est excitant.
- C’est bien tu vois, elle est toute propre, maintenant tu peux te branler sur ses nichons.

Je me branlais au-dessus de ses globes de chair magnifiques, j éjaculais quatre fois et je remplis la crevasse de ses seins qu’elle tenait dans ses mains.
- Maintenant, nettoies à nouveau ses nichons, ce n’est pas propre pour les autres
- Mais…
- Je sais que tu aimes ça. Allez ne te fais pas prier. Dit-il

Je léchais entre ses seins, ses tétons sensibilisés aussi, et avalais tout mon foutre, bizarrement d’un gout très diffèrent du leur. Quand ses beaux seins étaient tout propres, Ibrahim me dit
- On va baiser ta nana toute la nuit, dès qu’on recharge les batteries.
Emilie me fit un gros bisou à distance. Elle était nue, Momo avait une main sur ses seins qu’il malaxait, et Ibrahim fumait encore un joint, qu’il partagea avec moi.
- Avant de dormir, mon père voudrait te baiser, depuis la mort de ma mère, il baise que des putes quand il va en France, mais est-ce que cela te pose un problème ?
- Bien sûr, je m’en fous de son âge, s’il est aussi bien monté que le fils – dit Emilie songeuse.

Elle sortit en tenant la main d’Ibrahim, elle était toujours nue et Ibrahim lui avait dit que ce n’était pas la peine de se rhabiller. Elle me fit un petit coucou de la tête, et je restais avec Momo à fumer un autre joint.
Plus tard Emilie me raconta la séance avec le père, alors que Ibrahim les regardait. Il la fit s’agenouiller devant lui et elle lui tailla d’abord une pipe, sa bite était de bonne dimension, et il avait des poils pubiens tout blanc. Puis elle s’allongea sur la table sur le dos, les jambes bien écartées, il l’inspecta avec son doigt et commenta qu’Emilie s’était déjà bien faite déchirée, et sans plus attendre il l’enfila. La posture et son excitation précédente amenèrent Emilie à jouir rapidement, et par cet encouragement Ahmed était proche lui aussi à vider ses vieilles burnes.

Il se retira du vagin épuisé de la belle blonde, et Il lui demanda qu’elle le suce. Il gicla plusieurs fois inondant son palais et sa langue. Elle avala tout son foutre, en bonne chienne qu’elle était devenue au cours de la soirée.
Puis elle revint avec Ibrahim, toute guillerette d’un travail bien accompli, elle avait rendu services aux trois hommes, coup sur coup, et ils l’avaient honoré de leur foutre à plusieurs reprises.
- Mon père lui a bien défoncé le trou, Il dit que sa chatte est un peu « lâche ». Il se mit à rire
- Ma chatte n’est pas « lâche », elle est juste fatiguée, comme moi ! dit-elle en riant.

Emilie prit alors place sur le lit, et s’endormit presque aussitôt entre les deux hommes épuisés. Je voyais son corps magnifique, même si les traces des assauts répétés de la nuit se voyaient, ses longues jambes luisaient à la lueur de la seule ampoule de la chambre. Elle était sexy entourée de ces deux males prédateurs.

Nous nous endormîmes.

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Commentaires de l'histoire :

max
Magnifique histoire ....
Posté le 5/04/2024


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