De l'autre côté du miroir (Chapitre CXLV Les projets de Tchetras) 2è partie

Interrompu par le banquet, le couple d'archéologue et Tirésias la transsexuelle, reprennent là où ils s'étaient arrêtés. Comme avant, c'est Ulla qui orchestre.

Proposée le 22/10/2020 par Antigonos

Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: Inclassable
Type: Roman

Après le banquet, Ulla, Oskar et Tirésias regagnèrent leur demeure…
« Reprenons-en là où nous en étions arrêtés… Allez ! Tout nu ! »
Tirésias et Oskar étaient debout. La fille les rapprocha l’un de l’autre et décalotta chaque gland. Ensuite, elle les pompa à tour de rôle. Très vite, ils prirent un aspect appétissant. Ulla pompait l’un et masturbait l’autre. Une fois qu’ils étaient raides, elle ordonna à Tirésias de s’allonger…
Elle se plaça au-dessus du phallus transsexuel tout en attirant l’autre vers elle. Satisfaite, elle saisit le membre qui était à la verticale, et y approcha son anus…
Elle le sentit entrer en contact avec son muscle rond, elle força, fit entrer le gland, reprit son souffle, s’empala…
Finalement, elle s’allongea sur Tirésias et invita Oskar à la pénétrer par la voie ordinaire…

L’amant sentit son gland pénétrer l’intimité humide de sa compagne. La hampe continua et il éprouva une étrange sensation. Quelque chose semblait rétrécir la voie. C’était la pine de Tirésias qui occupait l’autre côté de la paroi.
Ce double contact arracha un énorme cri à Ulla… Elle sentait déjà les seins de l’autre contre son dos, la pine dans ses intestins, et une autre venait se joindre à la fête…
« Je le sens ton pouvoir, cria-t-elle à l’oracle.
- Moi aussi, je le sens à travers toi, ma chérie, fit Oskar. »

Comme se dernier voulait procurer à son amante le maximum de plaisir, il coordonna ses coups de butoirs avec Tirésias :
« A trois. Un, deux, trois…
- Ah ! »
Ulla Andersson au centre de ce traitement, fut la première à être tout en nage.
Son amant la suivit, puis Tirésias…

La femme hurlait comme une bête et dehors, le garde souriait. L’étrangère s’était toujours montrée très explicite. On l’entendait souvent jusqu’au palais et parfois dans les premiers camps. Il se doutait bien qu’elle et son ami outrepassaient leurs droits. Mais les étrangers étaient sacrés depuis la nuit des temps.

Ulla effectivement, hurlait, le double coup de piston, les seins de Tirésias contre son dos, sa poitrine entre les mains et la bouche de son amant. Tout ceci lui conférait une sorte de bien-être absolu. C’était comme si elle était dans un ciel chargé d’orages et que ces orages ne touchaient jamais terre en se confondant entre eux… Elle n’était plus rien qu’une onde perdue dans l’espace…
Ces cris n’étaient que le tonnerre qui grondait après chaque éclair.

Mais le tonnerre annonçait toujours la pluie. Elle ressentit la cyprine alourdir les nuages, puis il plut…
Le sperme d’Oskar vint à l’encontre de cette pluie… Puis celui de Tirésias lui inonda les intestins…
Oskar anéanti, gisait sur sa partenaire. Elle-même gisait sur l’oracle.

Finalement, les deux pines la libérèrent et réclamèrent un nettoyage. Ulla choisit celle de Tirésias en premier. Elle le lapa d’une mine gourmande et le nettoya tout entier. Elle fit de même avec Oskar puis elle s’allongea toujours en respirant fortement :
« C’est divin… »
Les autres n’avaient pas encore la force de répondre. Puis Oskar, ironisa :
« Il a fallu qu’on soit deux pour te mettre KO.
- Je demande une deuxième manche, répondit-elle amusée par la comparaison.
- Mais le conseil demain. Tchetras n’apprécierait pas que nous soyons absents le jour de son départ.
- Nous dirons au garde de nous réveiller…
« Et bien, les garçons, ce n’est pas très fort, fit-elle en s’emparant des pines encore vaincues. »
Elle les laissa se reposer en les masturbant légèrement pour évaluer leur « taux de réaction ». Elle ne voulait pas du sperme d’un autre qu’Oskar dans son vagin. Et elle réfléchissait déjà à une prochaine mise en scène…
« Je sais à quoi tu penses, dit son amant. Au moins, je serai allongé. »
En guise de réponse, elle l’embrassa…
« Je t’aime Oskar. Rien ni personne n’y changera.
- Je t’adore. Et comme tu dis, rien ni personne n’y aura rien changé. Car nous avons traversé quelques épreuves. Tu t’en souviens ?
- Je n’ai pas trouvé que c’était des épreuves puisque nous étions ensemble…
« Mais assez bavardé ! Debout les pines, réveillez-vous ! Il va falloir en mettre un coup !
- Tu parodies Hugues Aufray ? Tu n’as pourtant fait que deux ans de français.
- J’avais une amie à la fac qui chantait ses chansons. Et je lui demandais de traduire. »

Finalement, elle prit les pines en bouche l’une après l’autre. Ensuite elle demanda à Oskar de s’allonger. Elle se mit debout sur lui et descendit lentement au contact de sa pine. Comme elle lui faisait face, elle fit durer le plaisir pour agacer son amant…
Finalement, elle s’introduisit la chose au plus profond d’elle-même. Et embrassa son amant avant de demander à Tirésias, de la pénétrer par la petite porte…
Oskar lit dans ses yeux ses sensations. Il sut quand le gland lui effleura l’anus, quand il le força, quand il le dilata, quand la hampe pénétra à son tour. Et quand le gland buta contre la paroi comme un écho au sien…
Les deux pines reprirent d’abord chacune à leur rythme. Mais très vite, Oskar synchronisa à nouveau les coups de butoir…
« A trois ! Un, deux, trois…
- Ah…
- Un, deux, trois…
- Ah… »
Ulla commençait déjà à transpirer. Oskar la serra dans ses bras car la position lui permettait de sentir ses seins contre son torse…

A nouveau, l’étincelle de vie qui animait le corps féminin, se fondit dans les orages, dans le ciel, dans le cosmos… Très vite, elle atteignit un premier orgasme qui lui rappela son corps… Et elle s’envola de nouveau…
Dans son corps, elle sentit une liqueur bienfaisante… C’était dans ses intestins… Elle s’accrocha à son amant avec une telle force qu’ils jouirent à l’unisson…
Tirésias se retira…

Ulla embrassait son amant. Anéantie, elle se retira et s’endormit presqu’aussitôt sur son torse…
Ne voulant pas la réveiller, Oskar ordonna :
« Mets-lui une couverture sur le dos, Tirésias. »

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