Cock du bad cop (Part. 2)

C'est l'histoire du police congolais cocu quand il est en mission de service dans sa propre, il finit par être averti par les jeunes de son quartier. Désireux de faire du mal à l'amant, il changea d'avis le jour j'y à cause de son état d'excitation qu'il n'arrivait plus à maîtriser... (suite)

Proposée le 15/10/2020 par DreQ

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

En attendant la finale...

Après avoir menotté sa femme contre leur lit conjugal, Bertrand le cocu ordonna à Christian l’amant de sa femme de s’approcher de lui à quatre (4) pattes ; chose qu’il fait dans les seconds qui suivaient. Arrivé devant le zob gigantesque de son amant improvisé, il le goba et commença à le sucer instinctivement.
Angoissé par la peur de mal s’y prendre et de le payer le prix fort, Christian s’appliqua à la tâche qui lui a été imposé car sa vie en dépendait :


-- Humm, humm, tu suces extrêmement bien pour un homme… tu es doué pour ça…

Christian lécha cette poutre, ces couilles… émotionné par la perfection dont Christian faisait preuve, sans se rendre compte l’officier Bertrand déposa son arme dans un tas de linge se trouvant dans la chambre, maintient de toutes ses forces avec ses deux mains la tête de son amant puis lui fait une gorge profonde pendant une dizaine de second… Christian suffoqua, ses paroles étaient très audibles mais incompréhensibles.


-- Un tien, j’espère que tu ne reprendras plus avec tes pratiques bizarres, tien sale pute, tien c’est mon tour de jouir…


Il se retira pour permettre à Christian de prendre quelques bouffé d’air frais, puis hop c’est reparti pour une autre gorge profonde.


-- Tu aimes j’espère. Tu m’as pris mon épouse… elle est maintenant à toi et toi tu es à moi à partir d’aujourd’hui…


Dépucélé buccalement, Christian savait qu’il n’était pas au bord de sa peine. Après cette bonne fellation, il reçut l’ordre de se retourner histoire de montrer son trou de balle qui était exempte de toute souillure donc encore vierge.


-- Aie, j’ai mal, doucement chef, s’il vous plait…


-- Je n’ai aucun ordre à recevoir de toi, la ferme sale pute, tu m’appartiens désormais, alors la ferme.2


Le gros doigt de Bertrand avait du mal à trouver le passage… l’obligeant à lubrifier ce petit trou avec un long filet de salive qui malheureusement se sécha après quelques minutes seulement. Désireux de bien lubrifier puis de se faire plaisir coute que coute, il replaça son doigt par sa langue… ce qui procura un plaisir énorme à son amant passif :


-- Humm, c’est mieux… merci pour ta compréhension… hou hou.


L’homme qui était autoritaire, c’est fini par se calme et c’est transformé à un amant compatissant au plaisir de son partenaire.
La langue de Bertrand oscillait dans le raid de Christian, lubrifiant et nettoyant en même temps ce trou à problème. Un doigt, deux puis la langue… le vagin de Christian s’écartait au fur et à mesure. Pour mouiller encore plus son amant, il lui introduisit beaucoup de lait de beauté dans le fion.


Bertrand plaça la queue démesure en sandwich entre les deux fesses de Christian… même pas une minute, il reprit son érection. Christian se retourna face à Bertrand puis l’embrassa passionnément devant Nadège qui s’arrêta automatiquement ses pleurs et s’étonna de la passion que faisait prendre son amant à son mari.
Christian reprit sa position initiale (levrette), puis :

-- Aie… vas-y doucement, c’est gros…


Bertrand s’introduisait séquentiellement, jusqu’à ce que le trou de Christian épouse parfaitement sa queue… les cris de douleur se transformèrent en cris de plaisir. Il pilonnait leur amant son retenu, malgré que sa queue ne pouvait totalement s’introduire… pas sur moi et le passif chevaucha le pieux de son amant accompagné de quelques forces de frottement, vu la taille de ce morceau de bois la résistance tangentielle ne pouvait pas être nulle.


-- Humm, humm, humm… plus vite, je vais bien jouir…


Etonné par la chaleur qui se propageait qui se propageait sur sa queue, il ne tarda pas jouir dedans.
La quantité de foutre était simplement incroyable et avoua que c’était la première fois qui ressentait quelques choses de pareille.


Nadège était honteuse et déçu de ne jamais arrivé à satisfait son mari comme l’a fait son amant. Bertrand se rhabilla et récupéra les pièces d’identité de Christian, puis dire à son vide coule circonstanciel :

-- Ce n’est pas fini, à nous revoir la semaine prochaine…
Toujours l’allongé nu, Christian cherchait à comprendre ce qui c’était passé et comment avait trouvé du plaisir en faisant démontrer de la sorte (Affaire à suivre)

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