Au milieu des années 70, les cinémas pornos étaient encore très propres et leurs toilettes, impeccables. C'était un lieu de rencontre privilégié pour un après-midi furtif et sans lendemain. Les femmes, parfois mariées, se donnaient plus facilement ici que dans le lit conjugal, car les tabous étaient encore nombreux. Un paradis quoi !
Proposée le 10/10/2020 par Antigonos
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Toilettes
Type: Histoire vraie
Pour ceux qui ne les ont pas connus, j’explique. Le cinéma porno, c’était un peu comme une église. On y rentre, on s’y assoit et on y pense amour.
Mais il y avait de toutes petites différences : L’entrée était payante. On ne levait pas les mains, on les baissait. Et au lieu de se lever entièrement, ce n’était qu’une partie de vous-même qui le faisait. L’office n’y était pas servi par un prêtre, mais par un écran où débattaient prêcheurs et prêcheuses.
Le cinéma porno n’en était encore qu’à ses débuts. Plus tard, on remplacerait les bâtonnets d’encens des églises traditionnel, par de l’encens hormonal. Mais au milieu des années 70, ce n’était pas encore le cas.
Autre innovation, les bénitiers étaient en faïence. Ils se situaient à l’intérieur-même d’une dizaine de con-fesse-yonaux (Je n’ai jamais sur écrire ce mot et j’en demande pardon).
Pour éviter les eaux stagnantes ces bénitiers étaient équipés de couvercle, et on pouvait même y changer l’eau en tirant sur une chaîne ou en appuyant sur un bouton, selon l’église choisie.
Le cinéma porno était donc une église ultra-moderne et avant-gardiste.
Mais revenons-en à notre histoire…. OUI, IL Y EN A UNE !
Des paroissiennes attendaient régulièrement devant l’entrée de l’église. Elles comptaient sur la charité chrétienne pour qu’un homme leur paie la place. Il n’y avait que l’embarras du choix.
Je choisis celle qui correspondait le mieux à mes critères de beauté de l’époque et, en bon chrétien, je lui offris une place. Autre détail significatif de leur foi, elles étaient toutes en porte-jarretelles. Je pense que c’était uniquement pour ne rien dissimuler au Seigneur, contrairement à celles qui portaient de longues robes ou des pantalons.
L’office était bombé. Et nous eûmes du mal à nous trouver une place. Nous nous assîmes et regardâmes l’écran. Par inadvertance, sa main se posa sur mon entre-jambe, et la mienne sur sa cuisse droite.
Très vite, comme des amoureux, main dans la culotte, nous nous demandions si le prêtre et la prêtresse qui passaient sur l’écran, allaient se marier. Elle posa son cou sur mon épaule et caressa mon cierge. A cet instant, d’un doigt j’explorais son bénitier. Mais ni l’un ni l’autre n’étions assez dissipés pour ne pas suivre le serment des prêcheurs sur l’écran.
J’ai honte de dire qu’à un moment, elle ou moi avons blasphémé. Nous nous embrassâmes sur la bouche dans un baiser profond, contorsionnant nos langues…
Coupable d’avoir commis l’inceste, nous nous dirigeâmes vers les confessionnaux. Aux yeux du Créateur, ne sommes-nous pas tous frères et sœurs ?
Nous eûmes de la chance d’en trouver un de libre. Celui de gauche en était déjà à l’absolution.
Celle qui m’accompagnait, baissa le couvercle du bénitier. Elle m’invita à m’y asseoir. Puis elle s’agenouilla et ne prit pas le temps de dire « Pardonnez-moi mon père, … » car elle mit mon cierge en bouche… A force de « snarp » et de « snurp », elle parvint à me faire faire des « ha » et des « c’est bon ».
Je lui pris la tête car, depuis que nous étions entrés, elle m’avait si bien excité que je n’allais pas tarder à lui donner l’extrême onction…
En pêcheresse repentie, elle avala le tout. En bon chrétien, je l’invitais à prendre la place du confesseur.
Il faut dire qu’à ce moment-là, j’avais le pantalon sur les chevilles et que ma mobilité était plutôt réduite. Comme l’enfant Jésus, je tétais la Je-ne-pense-pas-vierge Marie. Je gobais son globe mammaire gauche, aspirait son aréole et titillait le téton…
Mon pantalon baissé m’empêchait d’atteindre le droit. Mais Chrétiens tous les deux, nous savions que la jalousie était péché mortel.
Les seins à l’air, comme la Vierge de Michel-Ange (ou de Raphaël ?), je me mis à parfaire le tableau sacré. J’enlevais donc sa gaine qui limitait l’accès à la perfection de l’œuvre. Et je me mis à la recherche de son propre bénitier. De ma langue, je tournoyais son petit bouton…
J’entendis à côté, d’autres qui commençaient seulement la confession.
Délaissant son petit bouton, ma langue traversa sa toison moyennement fournie. Et je lui prouvais par la même occasion que moi aussi, je pouvais faire des « snarp » et des « snurp ».
Je ne puis assurer qu’elle soutînt la comparaison, car elle commençait à gémir en criant… Elle savait s’exprimer de ce côté, car je pense que tous les confessionnaux devaient l’entendre…
Je mis un doigt, puis deux, à l’intérieur de son propre bénitier. Elle poussa un cri à rendre Tarzan jaloux. Et comme pour ceux en faïence, un liquide neuf remplaça l’ancien. Je mis un doigt dans la bouche pour y goûter, puis je retournais à l’assaut de la fente, pour y goûter le reste…
Nous nous assîmes ensuite sur le bénitier… On entendait tout ce qui se disait dans les confessionnaux voisins. Le vocabulaire était faible, mais les mots expressifs.
Nous commîmes à nouveau le blasphème, car nous nous embrassâmes. Chacun explorant l’autre, cierge et bénitier. Elle avait les seins blancs, laiteux comme la mère de l’enfant Jésus. Son aréole était presque sombre et l’extrémité de ses tétons, rose.
Malheureusement, beaucoup de gens avaient pêché et avaient hâte de se confesser. Elle m’alluma rapidement le cierge et se positionna, les mains en avant, contre le mur.
Après avoir sautillé à cause du pantalon qui me gênait toujours, je la pénétrai par derrière. Elle était très étroite. Confortablement installé, je commençais à la besogner. A nouveau, elle s’exprima très fortement, et implora « son dieu ». (Je croyais que nous avions le même.)
Mon cierge dans son bénitier, je m’agrippais à ses seins. Bientôt, elle atteindrait son apogée. Je la pris par les hanches… Elle se rétracta avec ce cri de Tarzan, mèche de mon cierge brûla subitement…
Je le sortis avant qu’il ne fondît et m’essuyai avec un mouchoir. Curieusement, la nouvelle église avait mis du papier en rouleau dans les bénitiers. Ma confesseure du jour en profita pour s’essuyer en me jeta un grand sourire.
Puis elle ouvrit le bénitier pour y jeter le papier. Tira la chaîne (ou poussa le bouton), pour changer l’eau bénite.
Nous sortîmes pour laisser la place à d’autres pénitents. Puis nous quittâmes l’église, sans même nous dire « Amen ». Mais c’était la coutume. La maison de Dieu n’étant pas un lieu de rencontre.
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