J’avais bien besoin de me détendre après une longue semaine compliquée au boulot. C’est pourquoi je me rends au cinéma avec l’envie de bien me vider la tête. Arrivée sur place, un mec vraiment mignon me fait de l’effet... Je vous laisse découvrir la suite...
Proposée le 20/12/2018 par Marcialus
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Cinéma
Type: Fantasme
Encore une journée de boulot bien pourrie et c’était toute la semaine comme ça. Je suis conseillère clientèle dans une compagnie d’assurance et je n’ai eu que des clients cons. Mais heureusement on est vendredi et qui dit vendredi, dit week-end et ça tombe bien parce qu’il faut que je décompresse. Et pour décompresser je vais me faire un ciné. Un bon film français bien con ça va me faire du bien.
Au moment de faire la queue à la borne du cinéma, j’ai repéré derrière moi un mec assez mignon. Allure décontractée, brun, petite barbe... enfin bref. Je prends ma place à la borne et me dirige vers la salle dans laquelle je m’installe.
La salle se remplit assez rapidement. Je pense que le film vient juste de sortir pour qu’il y ait plein de monde. Cependant il reste une place libre juste à ma gauche. Deux minutes plus tard, quelqu’un vient combler cette place vide. Et c’est complètement fou mais ce quelqu’un, c’est le mec mignon que j’ai aperçu dans la file d’attente.
Les bandes annonces terminées, la salle s’obscurcit d’un coup pour annoncer l’arrivée du film. Le film démarre et semble très bien. Une scène assez rigolote. Je bouge un peu mes jambes et mon pied vient maladroitement se coller contre le pied de mon voisin mignon. Je le retire direct et reste concentrée sur l’écran. J’ai cru sentir sa tête se tourner vers la mienne.
Quelques instants plus tard, c’est au moment de m’enfoncer dans mon siège et de poser mes bras sur les accoudoirs que mon bras gauche entre en contact avec le bras de mon voisin mais cette fois ci je le laisse en place. Ce contact ne me dérange pas et je ne pense que ça ne le dérange pas non plus car il le laisse lui aussi en place.
Le film se poursuit. Les deux acteurs principaux qui s’étaient séparés se retrouvent et entament un baiser d’anthologie. Je ne sais pas pourquoi mais à ce moment précis, j’ai délicatement déposé ma main sur la main de mon voisin. Nous nous caressons mutuellement notre main. Jusqu’au moment où le couple à l’écran se retrouve dans un lit. Je guide la main de mon voisin sous ma veste qui recouvre mes jambes et je l’invite à me caresser la jambe gauche. Je porte ma jupe tailleur que j’avais pour ma journée de boulot...
Il commence à me caresser du bout des doigts. D’abord du genou jusqu’à ma jupe qui arrive à mi cuisse qu’il essaie de remonter à chaque fois qu’il bute dessus. Je l’aide un peu en la remontant discrètement. Il pose désormais la paume de sa main comme pour bien me tenir et continue ses longues caresses en montant de plus en plus haut et en faisant de plus en plus de rotations allant jusqu’à risquer le bout de son petit doigt vers mon intimité le laissant au passage découvrir que je porte des bas. Et pour moi la sensation est délicieuse. Sa main qui passe de mes bas au contact de ma peau fait monter mon bas du ventre en ébullition. Il me caressera comme ça pendant un long moment avec toujours son petit doigt qui vient m’effleurer pile au bon endroit.
C’est étrange parce que la salle semble être pleine mais je suis comme dans une bulle et me laisse porter par ses douces caresses. Jusqu’à ce moment où une femme se met à tousser derrière ce qui nous ramène à la réalité. Sa toux semblait vouloir dire « je vous ai capté ». Le film se termine. Je me lève sans lui adresser un mot. Je le regarde juste et lui souris. Il ne doit pas comprendre ce qu’il vient de lui arriver car il a l’air béat et ne sais pas quoi dire.
Je fonce prendre le métro pour rentrer chez moi. J’arrive sur le quai et je reste dans mes pensées. Mes pensées sur ce qu’il vient de m’arriver. Le métro arrive, je monte dans la rame et qui vois je à l’autre bout du wagon? Et oui, mon compagnon de cinéma. Nous nous regardons droit dans les yeux. Tout autour de moi semble trouble. Comme dans ces films de cinéma où il y a un gros plan sur les regards des deux protagonistes et où tout est flou en arrière plan.
Je ne sais pas ce qu’il pense, il ne sait pas ce que je pense mais en tous cas, une certaine tension est palpable. Une tension de qui suis je pour lui, de qui est il pour moi. Une tension sur pourquoi lui, pourquoi moi, ce soir, dans Ce cinéma. Une tension sur ce que nous avons entamé et que peut être nous allons terminé ou pas.
Je fais un pas, lui aussi, un second, lui aussi, un troisième, lui aussi. Sans dire un mot, toujours dans cette forme de bulle je fais un dernier pas vers lui. La rame est vide ou pas, je n’en sais rien tellement je suis enivrée de cette tension qui m’anime à cet instant précis. J’ai envie de lui. Comme si je ne pouvais résister, sans raison, sans explication, sans séduction. Je tends ma bouche vers la sienne, sa bouche rejoint la mienne et nous entamons le même genre de baiser que le film. Un baiser long, langoureux, plein de fougue et de pulsions avec une explosions d’un milliard de papillons dans le ventre qui nous coupe net la respiration et qui paradoxalement nous retiendrait en vie durant des millénaires. Une énergie dingue. Il me prend dans ses bras qu’il descend dangereusement. Il me saisit et me colle sur une des barres verticales du wagon. Il reprend son baiser et dirige sa bouche vers mon oreille, ce qui me donne des frissons de dingue, pour ensuite la loger dans ma nuque. Sa bouche poursuit son voyage le long de mon décolleter...
Il se met à genoux relève ma jupe... je ne le crois pas. Il ne va pas faire ce que je crois qu’il va le faire? Il n’y a plus personne dans les métro? En même temps je crois que je m’en fous complètement. Je me laisse porter par le moment dingue que je suis en train de vivre et... Oh non, pas ça... oh le contact de sa bouche sur mon intimité à travers ma culotte est complètement dingue. Je lui agrippe carrément les cheveux et je lève une jambe pour lui faciliter la tâche. Avant de la re baisser pour enlever ce dernier rempart entre lui et moi.
Il me lèche encore quelques instants, il me goûte et me fouille... Il se relève, je défais ses boutons, plonge ma main dans son pantalon et vais à la recherche de ce que j’ai envie qu’il me mette entre les jambes. Et là, il me prend contre cette barre. Une jambe levée qui l’entoure et le serre dans le dos. Le passage est un peu serré mais c’est trop bon. Il ne mets pas longtemps à jouir et moi non plus.
Le métro s’arrête à l’arrêt où je dois descendre. Il met quelque chose dans la poche de ma veste sans me dire un mot comme depuis le début de cette histoire juste en me regardant dans les yeux.
Je regagne mon appartement. Dans ma veste, il y a glissé sa carte de visite. Est ce que je le recontacterais?
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Commentaires de l'histoire :
Pauline Mercier
Pas ouf ouf , vraiment pas terrible. La vraisemblance de cette histoire me laisse perplexe, ce qui engeindre un mur pour moi.
Posté le 27/12/2018
Marcialus
De rien...
Posté le 26/12/2018
Gemini83
J'adore cette histoire, qui me rappel des moments vécus. La main qui glisse sur le nylon, remontant titiller dans cette salle comble..... hahaa! Merci
Posté le 20/12/2018
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