Deux femmes particulièrement perverses sont à l'origine de mes vices et perversions, entre autres de mon fétichisme pour les petites culottes : Ma tante Cécile et ma cousine Colette, sa fille… Ce matin là, au petit-déjeuner, tante Cécile décide qu‘une visite chez le médecin s‘impose....
Proposée le 28/09/2020 par enipal
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie
- Je crois que ta dernière consultation chez le docteur Paul t‘as fait le plus grand bien, n‘est-ce pas, ma chérie ?
Colette bat des mains :
- Oh oui… Il a tout de suite vu ce qui me manquais…
Tante Cécile me fait un clin d‘oeil :
- Tu te rends compte, Pierre, à son âge, cette gamine veut encore “jouer au docteur“ !
La quarantaine grisonnante et distinguée, le docteur Paul est un amant de longue date de tante Cécile. La salle d’attente est vide lorsque Colette, tante Cécile et moi entrons. Le docteur arrive immédiatement et tante Cécile lui explique que sa fille lui parait un peu fatiguée et qu’elle compte sur lui pour la remettre en forme.
Le docteur a un sourire :
- Ce n’est sûrement rien de grave...
Et s‘adressant à nous :
- Si vous avez quelques courses à faire ne vous gênez pas. Je vous rendrai Colette dans une demi-heure...
Tante Cécile accepte et il nous raccompagne. Mais nous ne quittons pas le cabinet et entrons dans une pièce attenante, séparée par une grande vitre en tin qui permet de voir sans être vu ce qui se passe dans la salle d‘examen.
Nous voyons Paul faire entrer Colette. Il lui dit de retirer sa robe et de s’allonger sur la table d’auscultation. Paul ausculte avec soin sa patiente puis lui pose quelques questions sur la date de ses dernières règles et sur leur régularité.
Il lui demande d’ôter son soutien-gorge, elle obéit. Le médecin lui palpe les seins de façon très professionnelle. Il presse ensuite le ventre mais avec plus de douceur. Il revient ensuite toucher les seins. Le contraste avec la première palpation est flagrant. Colette ne peut empêcher la pointe de ses seins de durcir et de se dresser.
Cela n’échappe pas à Paul, ni à tante Cécile et à moi, qui épions avec une extrême attention la scène, à moins de deux mètres d’elle. Paul revient au ventre. Il appuie assez fort, entre le nombril et l’élastique de la petite culotte. Colette pousse un léger cri et le praticien hoche la tête.
- Ce n’est sans doute rien, mais on ne sait jamais. Ça peut cacher un début d’appendicite. Pour vérifier, je vais faire un toucher rectal. Enlève ta culotte. Colette obéit.
Tante Cécile est debout face à la vitre, je me colle à elle. Je lui soulève la jupe en passant mes mains à l’intérieur des cuisses. Je remonte jusqu’au pubis, insinue mes doigts dans sa culotte. Elle sent mon sexe dur se plaquer sur ses fesses.
- Tu es déjà trempée ! Tu te régales, salope !…….
Pour toute réponse, elle me masse la bite à travers le pantalon :
- Et toi, petit cochon, tu bandes comme cerf...
Paul passe un gant de latex à la main droite. Colette est toujours assise au bord de la table. Le médecin la prend par les chevilles et l’installe à quatre pattes, les reins cambrés. Elle lui offre ainsi son intimité. En même temps, elle se sent mouiller. Elle sait qu’il va se rendre compte qu’elle a été sodomisée la nuit passée, et ça l‘excite.
Paul lui recommande de se décontracter. Il enduit son gant de vaseline. De la main gauche, il écarte les fesses de Colette, découvrant largement le petit trou brun, puis introduit doucement son index droit. Il scrute les réactions de la jeune fille dans un miroir. Ses observations exacerbent son érection. Colette ferme les yeux.
La pointe de ses seins est tendue, et sa chatte mouille. Paul s’arrange pour appuyer la paume de sa main gauche contre le clitoris. Colette ondule du bassin. Bien qu’à peine perceptible, le mouvement n’échappe pas au docteur. Il fait aller et venir son index plusieurs fois, avec des petits mouvements circulaires.
Bientôt, il introduit sans peine son majeur puis deux doigts ensemble. En praticien expérimenté, il sait ce que cela signifie : l’anus a été dilaté par un objet relativement épais. Paul enfonce ses doigts. Les contractions des muscles lui indiquent que Colette prend plaisir à la pénétration. Il observe son visage.
Elle est comme dans un état second et ne répond pas quand il lui demande si elle a mal. Il entreprend alors de lents va-et-vient, ressortant presque entièrement son index et son majeur, avant de les enfoncer de nouveau jusqu’à la garde. Colette ne dissimule plus son plaisir. Elle s’arc-boute, lance ses fesses en arrière.
Le docteur accélère la cadence. Maintenant, les doigts de sa main gauche écartent largement les bords du sexe, découvrent le clitoris. Lentement, il le masse entre le pouce et l‘index. Colette pousse un cri strident, l’orgasme la submerge, elle se prosterne sur la table.
Paul sort ses doigts de l’anus de sa patiente, la laissant reprendre son souffle.
Tante Cécile, face à la vitre de séparation, s’active d’une main sur sa chatte, de l’autre, elle s’occupe de ses seins. Je la prend à la taille et la pousse contre la vitre. Je l’oblige à se pencher. Je lui tire sa culotte à mi-cuisses, je sors de mon pantalon ma queue prête à éclater et l’enfonce sans douceur dans sa chatte détrempée.
Il ne me faut que quelques secondes pour que mon sperme inonde son vagin. Je me mord les lèvres pour ne pas crier mon plaisir et reste quelques instants planté dans son con, la tenant fermement aux hanches, mais ne me retire pas. Tante Cécile me murmure :
- J’ai joui comme une folle… Reste encore dans moi… Ils n‘ont pas fini, ça ne fait que commencer…
Je ne demande pas mieux car je n‘ai pas débandé.
De l‘autre côté de la vitre, Colette est toujours prosternée sur la table d’examen.
- Détends-toi, et assieds-toi au bord de la table.
Elle se redresse. Dans les yeux du médecin brille une lueur vicieuse et Colette sait que “l’examen“ va se prolonger. Paul lui demande de s’allonger. Il lui installe les pieds dans les étriers.
De grosses gouttes de sueur coulent sur son visage congestionné. Colette comprend qu’il est aussi excité qu‘elle.
D’ailleurs, sans plus de cérémonie, Paul met sa tête entre les cuisses de Colette et enfouit sa langue dans la vulve déjà ouverte.
Il suce le clitoris, avant de s’attaquer aux petites lèvres et aux bords du vagin. Rendue folle par les caresses du docteur, Colette se cambre en prenant appui sur les étriers, pousse son ventre contre la bouche qui lui dévore la chatte, et balbutie :
- Oui, encore !
Il la délaisse le temps de repousser les étriers en arrière. L’expression de son visage crispé par le désir est inquiétante, il n’a plus rien du praticien ironique.
- Attends, petite vicieuse ! Puisque tu aimes être sucée, je vais t’en donner pour ton argent ! Tu vas miauler, crois-moi !
Les jambes écartées, et repliées, Colette se retrouve dans la posture obscène d’une grenouille sur le dos. Elle exhibe son con, mais aussi son cul. Paul la prend sous les fesses, qu’il écartes pour pouvoir la lécher de l’anus au clitoris.
À chaque passage de la langue, Colette pousse de petits cris. Elle ne sait dire d’où lui viennent les sensations les plus fortes. Son con et son entre-fesse ne sont qu’une seule zone érogène d’où le plaisir fuse pour se répandre dans tout son corps.
Paul déboutonne sa blouse et sort sa queue bandée. Il la fait glisser à plusieurs reprises dans la fente, de bas en haut, avant de régler la table d’examen à la bonne hauteur.
Quand il se cale entre les jambes de Colette, sa bite énorme pointée comme une arme menaçante, elle tremble d’impatience d‘être prise par ce pieu turgescent. Du bout des doigts, le docteur lui caresse l’intérieur du sexe, comme il l‘a fait avec la langue. Elle se trémousse sur la table et il ricane :
- Mais si, tu vas te faire enfiler. Tu n’attends que ça. Si tu voyais comme tu mouilles !
Il place sa grosse bite à l’entrée du vagin et pousse lentement. Son gland reste à l‘entrée de la chatte. C‘est Colette qui le décide en gémissant :
- Mets-la-moi ! J’en peux plus...
Paul appuie plus fort et s’enfonce jusqu’à ce que son gland heurte le fond. Colette serre les dents. La queue est si grosse et dure qu‘il lui semble qu’un pieu s’enfonce en elle. Pourtant, son excitation ne diminue pas. D’autant que le docteur reste immobile. Il se penche sur elle.
- Je ne bougerai que quand tu me le diras...
- Attends encore un peu !
Entre ses cuisses, le plaisir grandit. Elle donne le signal par un léger coup de reins. Paul entame alors un va-et-vient, dont il accroit l’amplitude et la force à mesure que le vagin s‘ouvre, laissant sa queue coulisser librement.
Derrière la vitre, collé dans le dos de tante Cécile, qui se cambre, j‘empoigne ses seins, la tire contre moi, ma queue dans la raie de ses fesses. Elle glisse une main derrière elle et conduit mon pieu vers sa rondelle. Son autre main entre ses cuisses, elle se branle pendant que je l‘encule.
Dans la salle d‘examen, le docteur besogne Colette. Il ressort sa queue presque en entier, avant de la renfoncer. À force de se contorsionner, Colette finit par dégager ses pieds des étriers. Elle noue ses jambes autour des reins du médecin qui, à partir de ce moment ne retient plus la violence de ses coups de reins. Il grogne :
- Ta chatte me serre la queue ! Ça me rend fou, petite salope !
Il s’arrête, à la grande frustration de Colette qui crie :
- Continue ! Viens !
- Attends un peu ! C’est trop bon !
Malgré tout, il ne peut rester longtemps immobile, et Colette jouit en poussant un cri rauque, les doigts crispés sur les bords de la table. Paul l’accompagne dans l’orgasme en la pilonnant de courts va-et-vient hargneux. Quand elle a fini de jouir, il retire sa queue du vagin et masse le clitoris avec son gland. Son sperme jaillit alors en longs jets épais qui se répandent sur le ventre, sur les seins de Colette.
Elle est la première à recouvrer ses esprits. Elle s’inquiète de tante Cécile et de moi qui doivent trouver le temps long dans la salle d’attente.
Debout derrière la vitre, ma queue plantée dans le cul de tante Cécile qui se frotte le clito comme une folle, nous jouissons également...
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Anonyme
C'est bandant et chaud !
Posté le 18/12/2020
Pongodu21
Vraiment très chaud et excitant. Merci
Posté le 1/10/2020
Antigonos
Ce docteur qui aurait signé le serment d'Hypocrite, se retrouverait en prison s'il était réel. Je les plains (homme ou femme) de voir cet étalage de viande mais intouchable. Un beau récit en tout cas.
Posté le 29/09/2020
Anonyme
super, je mouille !
Posté le 29/09/2020
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email