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Souvenirs érotiques et cochons d'un érotomane - Mère et fille lubriques (7)

Je me réveille avec une trique d‘enfer, la tête pleine des images de la veille… Colette prise par le docteur, et encore deux jours avant, la verge noire de Manu qui la besognait et la faisait crier… Je me rends compte que cette petite cochonne n‘aime pas seulement MA queue, mais TOUTES les queues !

Proposée le 22/12/2020 par enipal

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Thème: Fétichisme
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Je vais pour prendre ma douche, lorsque, en passant devant la chambre de Colette, je vois que la porte est entre-baillée. Je perçois un gémissement. Étendue sur son lit, une main dans sa culotte, Colette se frotte.
Elle me regarde d'un air vicieux...
- Bonjour, cousin… Oh… mais tu bandes déjà fort !
Elle se lèche les doigts :
- C‘était si bon, hier, chez le docteur… Tu as aimé me regarder ? Maman m‘as raconté comme tu l‘a baisée derrière la vitre en nous regardant...
Elle écarte largement les cuisses, sa petite culotte humide s‘insinue dans sa fente. Perverse, elle susurre :
- Viens… Je veux jouir… Viens contre ma culotte, j'aime quand tu me suce comme-ça...

Elle sait qu'elle me rend fou. Je viens poser là ma bouche. Je la suce à travers sa culotte mouillée, trempée de cyprine. Je la mange, je l‘aspire, elle couine :
- Oh… Oui, oui, oui…
Elle s'agite, se cambre, et jouit très vite en pissant un peu.
- Viens, prends-moi… Mais laisse-moi encore ma petite culotte !

Elle se retourne, se couche sur moi et me chevauche en collant son pubis voilé de rose contre ma bite. Elle me fait subir alors un délicieux massage en se frottant contre ma hampe.
Le buste dressé en s’appuyant sur ses bras tendus, elle me chevauche, cuisses ouvertes, en couinant de plaisir.
Je fais glisser mon pieu sur sa culotte tandis que sa chatte ouverte inonde la soie rose qui se souille de cyprine. Son clitoris excite ma tige turgescente et émerge de son sillon en poussant mon excitation à son paroxysme.
Elle s’effondre sur moi écrasant sa poitrine aux tétons en ébullition sur mon torse et me murmure un ordre qui me stimule encore plus.
- Baise-moi comme-ça… Pine-moi à travers ma culotte !

Je bascule sur elle, l’écrasant de tout mon poids pour venir avec mon gland appuyer sur la culotte tendue et la transpercer. C‘est en vain que je m’efforce de la pénétrer.
Colette remue ses hanches pour m’affoler. Son bouton en éruption cherche et trouve le contact du gland turgescent qui redouble de puissance pour déchirer le tissu. Elle s’agite en espérant recevoir la récompense que sa vulve appelle en crachant sa bave et son écume.
Je ne me retiens plus et elle est aspergée par les jets de foutre chaud et gluant qui viennent se mêler à la mouille imbibant sa culotte.
Elle se met à quatre pattes.
- Viens... Baisse ma culotte...
Je lui baisse sa culotte à mi-cuisses. Elle me tend son cul.
- Tu me donne la fessée ? S'il-te-plaît...
Alors, je la fesse à toute volée et elle sanglote de plaisir :
- Oui, oui, oui... Oh oui, fort ! Mets-la moi, mets-la moi, mets-moi ta queue dans le cul !

Je lui fourre sa petite culotte trempée dans la bouche et la prend. Je transpire et râle de plaisir en l'enculant comme une bête.
Et c‘est seulement en sentant une langue chaude se glisser entre mes fesses et me lécher le trou du cul, que je réalise que tante Cécile c‘est jointe à nous. C‘en est trop et je rugis en remplissant le cul de Colette. Affalé sur son dos, je l‘entend murmurer :
- C'était si bon... Maman va nous nettoyer et tu l'enculeras aussi… J'aime voir ta grosse pine entrer dans le cul de maman…
La petite perverse en veut encore ! Quand-à-moi, il faut que je récupère...

Tante Cécile rejoint Colette sur le lit. Elle se glisse derrière elle, caresse ses seins aux tétons durs et dressé. Colette la laisse en titiller les bouts. Elle la saisit à la nuque, la force à se pencher sur elle et à l'embrasser sur la bouche. Elle a les lèvres chaudes et la langue agile.
Elle s’allonge à côté de Colette, et sans cesser de l'embrasser, continue à lui caresser les seins. Colette fait de même, et taquine ses tétons bandés. Elle glisse sa main vers son entrejambe, sa chatte gonflée dégouline. Son index glisse dans sa fente, trouve le clitoris érigé. Colette gémit en écartant les cuisses. Elle l’attend, allongée, les cuisses écartées, sa chatte est gonflée de désir.
Tante Cécile s’accroupit entre ses jambes. Colette frissonne, elle ondule des hanches et commence à lui caresser les seins. Les doigts de sa mère se font plus envahissants. Ils pénètrent son sexe, taquinent son bouton, étirent ses lymphes. Elle ouvre grand les cuisses, elle l‘appelle.
Soudain, une caresse sur son ventre. Tante Cécile s’est emparée d’un gode épais et le passe sur sa peau. La caresse est douce, excitante. Quand le gode se dirige vers le bout de ses seins, elle sent ses tétons durcir et gonfler encore plus. Quand le gode descend vers son bas-ventre, elle se cambre. Le gode parcourt sa peau, exaspère son excitation.
Tante Cécile fait durer le plaisir, prend son temps pour parcourir l’intérieur des cuisses, l’aine, la hanche, remonte vers les seins, redescend. Quand le gode arrive sur la chatte, elle ne le fait pas pénétrer. Elle se contente de caresser les lèvres gonflées.
- Tu aimes ?
- Oh oui… Enfonce-le… Enfonce-le-moi dans ma chatte poisseuse !
- Comme ceci ?
- Oui ! C’est bon. Encore plus loin ! Oui, ramone-moi bien !

Continues à me branler en même temps. Caresse-moi le bouton, suce-moi, branle-moi, lèche-moi. Tu me fais mourir !
Tante Cécile s’en donne à coeur joie : elle suce, branle, caresse et lèche sa fille. Elle fait aller et venir le gode dans la chatte béante en variant les rythmes et les mouvements de façon si experte que les gémissements de Colette deviennent bientôt cris de plaisir.

Quand tante Cécile prend un second gode, plus petit, et le glisse sur l’intérieur de ses cuisses, Colette soulève son bassin, elle tire sur ses fesses et les écarte pour qu‘elle puisse le glisser jusqu’à son cul. Elle passe le bout du gode sur son con pour l’enduire de mouille. Colette la supplie. Quand elle présente le bout du gode contre sa rosette, elle n’y tient plus. Elle s'empare du gode, et se l’enfonce elle-même.
Elle rue et gémit, les deux godes lui labourent les orifices et la font râler de plaisir. Elle se redresse, se met à quatre pattes, cambre les reins, le gode fiché dans le cul.
- Recommence ! Oh c’est bon ! Je suis une chienne en chaleur ! Oh maman, prends-moi de partout, fais-moi jouir !
- Si tu te branles toi-même le cul, je pourrai te branler la chatte tout en te taquinant le bouton...

Colette n’en peut plus. Elle s'enfonce le gode dans l’anus, tandis que sa mère lui pénètre la chatte. De son autre main, elle se caresse les seins, en tire les bouts. Elle crie son plaisir, puis s'écroule, tremblante et pantelante. Tante Cécile la caresse doucement pendant qu'elle reprend ses esprits. 
Mais tante Cécile en veut aussi, elle n‘a pas encore joui, elle se tourne et s’accroupit à hauteur du visage de Colette. Elle voit le con gonflé, rouge d’excitation. Elle ne peut s'empêcher de le toucher. Tante Cécile geint de plaisir. Colette glisse un doigt dans la fente humide.
De mon côté, je bande à nouveau et Colette est aux anges :
- Oh maman, regarde comme Pierre bande dur… Il va nous la mettre partout, à toutes les deux !

Je me place derrière tante Cécile et commence à caresser ses seins dardés. Mes doigts effleurent les tétons gonflés, les titillent et les pincent. Elle passe sa main derrière elle, et saisit mon pieu. Colette voit le gland, rouge et luisant. Ma hampe est épaisse et longue, les couilles gonflées et pleines de la promesse de bonnes giclées.

Les mouvements habiles de la main de ma tante sur mon pieu dressé m‘arrachent mes premiers gémissements de plaisir. Colette branle maintenant sa mère avec ardeur. Je me mets derrière elle et glisse ma verge entre ses cuisses, j‘en frotte le gland contre sa fente.
Colette la prend en main pour la guider vers la chatte de tante Cécile. L’envie de s'en faire pénétrer est forte, mais pour l’instant, c’est tante Cécile qui en profite en se laissant retomber sur mon pieu dressé pour se l’enfoncer. Elle commence à aller et venir elle-même, en m‘implorant de continuer à lui peloter les seins, et Colette de continuer à lui caresser le bouton.

Elle gémit, me supplie de lui défoncer la chatte, laisse éclater sa jouissance. Son orgasme lui fait perdre l’équilibre, et elle s’écroule vers Colette, qui l'embrasse à pleine bouche.
Moi, toujours aussi excité me retrouve le sexe dressé devant Colette, le gland turgescent, la hampe veinée, les couilles gonflés.
Elle écarte sa vulve :
- Viens dans moi...
Je m’avance, et lui enfonce d’un coup mon pieu dans la fente. Colette a un râle :
- Tu es gros et dur… Tu me remplis… Pine-moi !

Je commence à aller et venir à grands coups de reins, elle m’accompagne en ondulant du bassin. Je me retire de son sexe, et la force à se mettre à quatre pattes.
Je la prend à la taille et l'empale par le cul. Je recommence à aller et venir, faisant claquer mes couilles contre sa chatte. Tante Cécile m’embrasse, revient vers Colette, sa langue cherche la sienne, elle saisit un téton dur, gonflé, le fait rouler entre ses doigts, le pince, Colette feule et râle.
J‘accélère mes coups de boutoir. Je la saisit par les cheveux et la tire vers moi. Je la force à cambrer les reins, je la prend sans ménagement, violemment. Les cheveux tirés en arrière, le dos cambré, Colette se laisse saillir comme une femelle en rut.
Tante Cécile se met à genoux à côté de moi, assène une claque sur la fesse de Colette, puis alterne les fessées sur ses cuisses et son cul et ses fesses s’échauffent et rougissent. 
Colette passe une main sous elle, elle se touche, elle veut jouir. Elle hurle :
- Je n’en peux plus ! Je vais jouir ! Oh, Pierre, gicles aussi !

Je n’en peux plus non plus. Au moment de juter, je sors de son cul, tante Cécile prend ma queue en main, la branle et de longues giclées de sperme se répandent sur les fesses et le dos de Colette. D’autres giclées plus faibles la suivent, que tante Cécile a le temps de diriger vers sa bouche.
Colette s'est écroulée sur le côté, sa mère s’approche, se penche sur elle. Elle entrouvre les lèvres, et elle laisse couler le foutre de sa bouche pour qu'elle puisse en boire sa part.
Puis elles s'embrassent, mêlent leurs langues en se délectant du liquide âpre et chaud.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Bien cochon !
Posté le 7/01/2021

Caqresses
Ohhhhhhhhhh Quel branlette Extase 100 / 100 Merci
Posté le 30/12/2020

Anonyme
chaud!
Posté le 28/12/2020


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