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Hais-moi encore (2)

Après avoir succombé à la tentation, Thomas et Estelle voit leurs chemins se croiser à nouveau. Étincelles en perspective...

Proposée le 8/08/2020 par Blueberry89

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Durant deux semaines, on ne s'est ni revu, ni parlé, n'échangeant que quelques courts textos. J'ai revu mon frère et étrangement, c'était plus facile que je ne le pensais. Faire comme si de rien n'était, oublier ce bref passage de ma vie. Il suffit juste de ne pas la croiser.

Hais-moi encore  (2) Hélas, j'ai commis cette fatale erreur, un mercredi soir. Habituellement, le mercredi je le retrouve à 19h chez lui et nous passons une soirée entre hommes, à jouer aux jeux vidéos. Estelle est censée être à son cours de gymnastique. Alors ce soir là je m'y rend gaiement, impatient de mettre une bonne raclée à mon frère sur son jeu préféré.
Mais quand je découvre qui m'ouvre la porte, mon sang se glace et je tente de retrouver une contenance. Estelle me fixe, d'un air dédaigneux et à regret me fait entrer.
- Damien n'est pas encore là, il travaille loin aujourd'hui.
Mon frère est artisan maçon à son propre compte. Il effectue des travaux chez les particuliers parfois à des centaines de kilomètres d'ici. Des fois je dois l'attendre une demi heure mais jamais en compagnie de sa femme. En temps normal, on ne passe pas plus de deux minutes dans la même pièce sans Damien pour faire tampon.

Estelle me précède jusqu'au salon et je ne peux m'empêcher de reluquer ses sublimes fesses qui rebondissent à chacun de ses pas. Mon sexe se réveille, se souvient de l'agréable moment passé quand je m'étais glissé à l'intérieur de ce magnifique fessier.

Il faut absolument que je me reprenne! Il est hors de question de reproduire les même erreurs, je dois penser à mon frère plutôt qu'avec mon sexe. Je m'installe dans le canapé, face à Estelle qui me fusille du regard. Clairement, ma présence ne l'enchante pas. Elle semble plus contrariée qu'à l'accoutumée, presque nerveuse. Serait elle dans le même état d'esprit que moi?

J'aime tellement la voir enrager que je décide de m'amuser un peu.

- Il me semblait que les coutumes étaient d'offrir à boire à ses invités, commençai je en la défiant du regard, Tu as donc oublié tes bonnes manières ?

- Je ne suis la parfaite maîtresse de maison que pour les invités qui le méritent, répond elle du tac au tac
- Tu oublies sans doute que je fais partie de la famille, une hôtesse digne de ce nom n'aurait jamais commis une telle impolitesse. Mais on va dire que te connaissant, je ne pouvais pas m'attendre à mieux...

- Qu'est-ce que tu veux ? Me crache t elle dédaigneusement

- Un whisky. Sans glace. S'il te plaît, articulai-je tant bien que mal

Estelle me laisse seul quelques instants, part en fulminant. Mon portable vibre et tandis que je consulte le message, mon cerveau bouillonne, confus. C'est Damien qui m'annonce qu'il reste sur place ce soir, étant trop loin pour rentrer.
Une autre vibration attire mon attention. Le téléphone d'Estelle est posé sur la table basse et je vois qu'elle a reçu aussi un message de mon frère. Subtilement, je m'empare du téléphone et le dissimule sous un des coussins du canapé.
J'hésite entre partir pour abréger ces instants si gênants et rester pour l'énerver encore plus. Quand je la vois revenir encore plus remontée que tout à l'heure, je n'hésite plus longtemps. C'est tellement amusant de la faire sortir de ses gonds...
Elle me tend le verre d'un geste brusque et se rasseoie en face de moi. Nous nous regardons en chien de faïence. Pas besoin de mots pour nous invectiver, nos regards en disent bien assez. Je contemple mon verre dans lequel s'entrechoquent deux glaçons avec un léger amusement.

- Merci, j'avais spécifié sans glaçon.

- J'avais entendu, me nargue t elle

- Bien, j'aurais dû m'y attendre... C'est assez bas comme réaction, ça te correspond tout à fait. Puéril à souhait.

- Tout comme cette remarque... Au fait, j'imagine que tu as pensé à contacter les invités restants. Je t'avais donné seulement une petite chose à faire, j'espère que ton cerveau a put suivre.
- Oui je les ai appelés, seize m'ont confirmé leur présence. Ca te va Madame l'organisatrice ?

- Seize?! Mais ils n'étaient que six! Comment tu as fais ton compte?

- Trois célibataires, trois couples et leurs sept enfants. Seize personnes.

- J'avais dis sans enfants ! Tu l'as fais exprès ?

- Franchement, je me vois mal leur dire de pas amener leurs mioches. Je trouve ça impoli.

- Tu ne te rend pas compte ! J'avais prévu le traiteur, des jeux... tout! S'écrie t elle en se relevant

- Relax, c'est que sept gosses, on va pas en faire une montagne ! Dis je en me redressant, perdant mon calme

- Evidemment! Rien n'est jamais grave avec toi, surtout si ça ne touche pas ta petite personne, s'emporte t elle
Elle me fusille du regard et se plante fièrement devant moi à quelques centimètres seulement. Le salon est empli d'une atmosphère électrique tandis que s'y déroule un duel silencieux, celui de deux êtres obstinés, prêts à éclater à tout moment. La tension est à son comble et quand je réalise que si on continue comme ça, ça risque de mal se finir, je décide de prendre congé et me dirige vers la porte.

- Tu as raison, dit elle avec un sourire triomphant, rentre chez toi. Je pourrais profiter de mon mari quand il rentrera tout à l'heure comme ça.

Elle me provoque encore. Je m'arrête net et tourne les talons.

- Je devrais peut-être rester pour lui montrer comment faire pour te baiser et te faire jouir... dis je en me rapprochant d'elle avec un sourire sadique
Outrée, elle me gifle. Mais quand sa main atterri sur ma joue, je saisis son poignet pour l'attirer contre moi et m'empare de sa bouche avec empressement.
Dès que mes lèvres se posent sur les siennes, elle abandonne la lutte et se laisse porter par le désir qui nous habite. Pure folie encore une fois! Je m'étais promis de ne pas craquer, mais j'ai sous estimé mes pulsions...
Estelle se love contre moi, frotte ses seins contre mon torse. Ma langue s'enroule autour de la sienne et soudain, je sens qu'elle me repousse. Perdant l'équilibre, je m'écroule sur le canapé. Va t elle être la plus raisonnable et mettre fin à tout ça avant de dépasser les limites ?

Au contraire, Estelle déboutonne mon pantalon pour libérer mon imposant membre déjà au garde-à-vous et retire la culotte qu'elle porte sous sa robe avant de venir s'installer sur mes jambes. Je reprends possession de sa bouche, passe mes mains sur ses fesses tandis qu'elle se frotte contre mon érection. Elle m'inonde de cyprine, tellement qu'elle pourrait faire glisser mon sexe dans sa chatte sans la moindre difficulté. Nous continuons de nous embrasser intensément. Ses seins, encore emprisonnés dans sa robe, me narguent et je me détache de ses lèvres pour y enfouir ma tête.

Estelle soupire de plaisir, mais quand ses yeux se posent sur ce qui l'entoure, la panique s'empare d'elle et elle se relève en catastrophe. Je tente de sonder son regard pour voir ce qui lui arrive mais n'y voit que du désir et de la peur. Elle jette des regards affolés autour d'elle tout en reculant pour se tenir le plus loin possible de moi.

- Estelle?

- Vas t en! S'écrie t elle, Tout de suite! Tu es complètement fou, Damien peut revenir à n'importe quel moment!

C'est donc cela qui l'inquiétait ? J'hésite à lui dire que son mari n'allait pas revenir de sitôt mais je me ravise, préférant la provoquer. Je sais pertinemment qu'elle a envie de continuer, ne serait-ce que par les coups d'oeil incessants qu'elle jette à mon entrejambe. Mon sexe, libéré de ses entraves se dresse devant elle fièrement comme s'il semblait vouloir l'atteindre. Je me lève et m'approche d'elle, comme une bête devant sa proie. Elle fuit jusqu'à la porte d'entrée qu'elle ouvre en grand pour m'inciter à partir.
Sans un mot je me dresse devant elle et la plaque contre la porte qui se referme aussitôt. Avant qu'elle ne proteste, ma bouche s'écrase sur la sienne. Elle essaie de me repousser, mais n'y met pas assez d'entrain, alors je bloque ses bras d'une seule main et les place au au-dessus de sa tête pendant que mon autre main soulève une de ses cuisses pour que je puisse accéder à son intimité.
- Dis moi que tu ne veux pas et je m'en vais tout de suite. Mais si tu ressens la même chose que moi en cet instant, le même besoin incompréhensible, alors je veux t'entendre le dire.
- Thomas...Damien va revenir d'une minute à l'autre. Je meurs d'envie que tu me prennes là tout de suite, mais s'il nous découvre...
- Si ce n'est que ça...dis je en relâchant ses mains
Mon gland retrouve directement le chemin de cette grotte si exquise qui n'attend que lui. Je le fais aller et venir entre ses lèvres, mais ne résiste pas longtemps avant de m'enfouir en elle. Sa chatte si chaude m'avait manqué, impossible de décrire les sensations que j'éprouve au moment où je m'engouffre en elle avec vigueur. Elle s'accroche à moi, me griffe le dos, me supplie d'y aller plus fort. Où est donc passée la femme que j'exècrais et qui me repoussait il y a quelques minutes? Elle n'est plus que sensation et plaisirs. Son corps suit les mouvements de mon bassin. Elle halète et prononce quelques paroles incompréhensibles.
On entend plus qu'une douce cacophonie, entre les gémissements et les claquements de la porte à chacun de mes assauts. Sa chatte si étroite est un pur délice, et tandis que je me propulse au plus profond de son antre, je sens la jouissance monter. Estelle plante ses ongles dans mes biceps, ses yeux roulent dans ses orbites et ses lèvres rosées forment un O quand l'orgasme s'empare d'elle.
Sa chair enserre mon membre au bord de l'explosion , je réalise soudain que je n'ai pas mis de préservatif. Je me retire après quelques derniers allers retours et la repose à terre. Je m'attends à ce qu'elle parte, ou bien même m'insulte, mais sa main saisit mon sexe fermement et commence à me masturber en se collant contre moi et en m'embrassant langoureusement.
En quelques secondes, je me vide dans sa main, tâchant sa robe de sperme épais et rugissant de plaisir. J'essaie de reprendre mon souffle, encore grisé par ce brutal orgasme mais Estelle me repousse et s'enfuit dans sa chambre.
Je la retrouve en sous vêtement, en train de retirer sa robe et d'en choisir une autre. Quand elle me voit, elle me fustige du regard.
- Tu devrais retourner au salon, si Damien arrive...
- Il ne viendra pas. Il a envoyé un message tout à l'heure. Il rentrera demain.
Elle se fige.
- Et tu ne m'as rien dis? Articule t elle froidement
- J'avoue, j'ai pensé te jouer un petit tour..
- Alors tout ceci était prémédité ! ?s'insurge t elle
- Non, non absolument pas, dis je avec précipitation, je n'avais rien prévu, je te le jure. Je...
- Tu es vraiment un salopard! Et moi je me suis encore faite avoir, comme une cruche! Tu savais qu'il n'allait pas rentrer et tu m'as baisé en me faisant croire qu'il allait revenir d'ici peu. Tu n'es qu'un manipulateur, je ne veux plus te revoir. Sors de cette maison immédiatement !
Elle me lance sa robe souillée au visage, hors d'elle. Je n'ose pas bouger. Vaut il mieux l'écouter et fuir cette maison aussi vite que possible ? Ou bien rester et tenter de s'expliquer ?
Elle m'a insulté, accusé et en plus elle ne me laisse pas donner ma version des faits. Sans oublier que lorsque Estelle est en colère, elle est terriblement bandante. La preuve en est dans mon boxer où mon sexe s'y trouve encore bien à l'étroit.

- Je t'ai dis de partir ! Me crie t elle en me lançant à nouveau ce qui lui tombe sous la main, en l'occurence, un oreiller, une brosse et un cadre photo.
Je m'approche d'elle à mesure que les objets divers pleuvent sur moi et arrive à sa hauteur pile pour arrêter son dernier lancer.

- Arrête, calme toi, dis je en saisissant son poignet pour y prendre le projectile

- Ne me touche plus! S'écrie t elle en se libérant et en vacillant sur le lit, Recule, reste loin de moi

- Pourquoi ? Tu as peur que je te viole? Je ne suis pas comme ça et tu le sais très bien. Je crois que tu as plutôt peur de ce que tu ressens là, en ce moment.

- Pas du tout, continue elle , je veux que tu t'en ailles. Ce qu'on a fait tout à l'heure c'était une erreur et...
- Alors pourquoi tes yeux me disent le contraire ?

- Tu hallucines c'est tout.

- Soit, et bien je vais partir mais avant, tu vas écouter ce que j'ai à te dire. Je te déteste. Tu es la femme la plus exécrable que je connaisse, et crois moi, j'en connais des tas.

Elle me fixe, bouche bée. Ca y est j'ai réussi à capter son attention. Je poursuis :

- Moins je te vois, mieux je me porte, mais ce qui se passe entre nous, ce...truc, je ne sais pas comment l'appeler, c'est purement physique et incontrôlable. Je n'y comprend pas plus que toi, c'est comme si toute cette haine que je ressens quand tu me met en colère se transformait en désir. Et je sais que c'est le cas pour toi aussi, ne dis pas le contraire.
Elle ne répond pas. Elle semble perdue. Je m'assois sur le lit et essaie de remettre mes idées au clair, de contrôler mes pulsions qui me crient de la prendre sur le champ.
- Il faut qu'on trouve une solution, on ne peut pas continuer comme ça...

- Si on évite de se voir, tout redeviendra normal, propose t elle

-Putain j'ai trahis mon propre frère ! Avec une femme que je déteste ! Il n'y a rien de normal dans tout ça, rien de bien non plus. On sera forcé de se recroiser de toute manière.

- Thomas, j'aime ton frère, je n'ai jamais voulu le tromper, dit elle au bord des larmes, il ne faut surtout pas qu'il l'apprenne ! Promets moi que tu vas te taire, je t'en prie...

- Évidemment, c'est dans notre intérêt à tous les deux. Bon, profitons de cette trêve. Je vais m'en aller avant que ça ne dégénère à nouveau.


Elle ne répond pas mais je vois dans ses yeux qu'elle hésite à me retenir. C'est le signe qu'il faut vraiment que je parte.

Comme convenu, on ne se revit pas jusqu'à l'arrivée fatidique de l'anniversaire de Damien deux mois plus tard. On avait décidé qu'elle s'occuperait seule de la fête. J'avais simplement omis un détail : j'étais obligé d'y assister.

De toute façon je ne suis pas idiot, je ne vais pas sauter sur la femme de mon frère à son anniversaire surprise, je sais me tenir quand même ! Je m'y rend malgré tout, avec une boule au ventre, inquiet de ce que je pourrais faire ce soir.

Je n'ai qu'à vite trouver une femme pour calmer mes ardeurs, ça résoudra le problème ! Pourquoi n'y avais je pas pensé plus tôt?

La maison est pleine à craquer et la fête a déjà bien commencée quand je pousse la porte d'entrée. Mes yeux sondent la foule pour y trouver la star de la fête, mais inconsciemment, ils cherchent aussi Estelle. Je croise quelques amis de mon frère et nous discutons un moment, puis je les laisse pour trouver Damien et lui donner mon cadeau. Il y a tellement de monde que je met au moins vingt minutes à le repérer, déjà bien éméché au milieu d'une troupe de vieux amis de l'école.

Après une bonne heure à descendre des bières et à parler de nos souvenirs, je remarque que je n'ai toujours pas croisé Estelle... Mais pourquoi je m'en inquiète ? Reprend toi Thomas, trouve toi une jolie nana à draguer et passe à autre chose ! Justement, une sublime blonde me fait des œillades depuis tout à l'heure, il est temps de passer à l'action.

C'est ainsi que, au bout d'une petite demi heure, je me retrouve avec Fiona, la fameuse blonde, en train de chercher un coin tranquille. Elle glousse quand elle finit par trouver un endroit convenable et me pousse à l'intérieur d'une pièce sombre. Je n'ai pas le temps de voir où nous avons atterri qu'elle est déjà à mes pieds en train de défaire ma braguette. Cette fille a beau être superbe, je n'arrive pas à bander comme il se doit et même si je ne peux la voir, je sens sa déception quand elle empoigne mon membre flasque et peu enclin à se montrer.

Je ne comprends pas. Une belle blonde est sur le point de me faire une fellation et moi je bande mou! Mais merde, j'ai seulement 35 ans qu'est-ce qu'il m'arrive ?

J'essaie de penser à autre chose, imaginer une autre fille mais quand ses lèvres se referment sur ma queue et que je sens son gloss poisseux recouvrir ma hampe, ma demi molle se recroqueville sur elle-même.

Vexée, Fiona me libère de sa ventouse de bouche pour me commander d'allumer la lumière. Peut-être que ça m'aiderait en effet... J'obtempère et quand la lumière inonde la pièce, je reste bouche bée, incapable du moindre geste.

Estelle est assise sur son lit, nous jaugeant d'un air dégoûté. On est dans sa chambre ! Elle porte une robe en dentelle très fine et ses cheveux sont relevés en une queue de cheval sophistiquée. Elle s'est maquillée les yeux avec beaucoup de noir, rendant son regard plus envoûtant, et elle a appliqué un rouge à lèvres d'un rouge mat intense, qui me donne terriblement envie d'y goûter. Et moi, je reste là, à la dévisager, pendant que doucement mais sûrement, mon sexe se met à gonfler sans que je m'en aperçoive.

Fiona, n'ayant pas remarqué la présence de notre hôtesse est ravie de me voir enfin au garde à vous. Si elle savait que je bande seulement parce que mes yeux sont plongés dans ceux de ma belle-soeur qui ne va pas tarder à exploser de rage...

- Fiona? Tu veux bien arrêter s'il te plaît, nous ne sommes pas seuls, dis je en m'éclaircissant la gorge

-Oh mon dieu! Fit elle en réalisant qu'elle se trouvait juste derrière elle; Excuse moi la mateuse, tu pourrais nous laisser baiser tranquille ou ça serait trop te demander?

Ma belliqueuse amante va s'attirer de gros ennuis... Je me demande si je dois intervenir puis réalise que j'ai encore le sexe à l'air libre. Niveau crédibilité, il y a mieux... Je n'ai de toute façon pas le temps de dire quoique ce soit qu'Estelle se lève et se redresse fièrement en lui adressant un de ses fameux regards qui habituellement me sont destinés.
- Écoutes moi bien Barbie, ici tu es chez moi, dans MA maison , et tu t'apprêtes à baiser dans MA chambre? Tu vas vite prendre tes seins et ton cul en plastique et te barrer de chez moi aussi vite que possible avant que je ne...

- Ça suffit! L'interrompis-je, Fiona sors d'ici immédiatement.

- Mais et...balbutie t elle

- J'ai dis: Dehors! Criai je
Je m'interpose entre les deux, dos à Estelle et pousse Fiona vers la sortie. Elle proteste quand je lui referme la porte au nez, mais finit par décamper en comprenant que je ne la suivrai pas.
Me voilà maintenant seul, face à ma belle sœur folle de rage et avec une trique d'enfer dans le pantalon.

- Tu as le culot de venir la baiser dans ma propre chambre? Tu es un être abjecte, ignoble...
Elle m'insulte alors qu'elle sait que je ne supporte pas ça. L'impulsif qui est en moi prend le dessus et passe à l'attaque.

- J'aurais préféré la prendre contre la porte d'entrée mais il y a un peu trop de monde en bas.

Ma réplique cinglante l'atteint de plein fouet. Furieuse, elle se jette sur moi toutes griffes dehors et j'arrive à éviter de justesse ses assauts en l'immobilisant. Son corps frémit quand je lui passe les bras dans le dos pour la bloquer contre moi. Je plonge mes yeux dans les siens, littéralement incandescents de haine et de désir, le malheureux cocktail qui nous fait inévitablement basculer.

Ses lèvres, à demi ouvertes sont si proches des miennes que je peux sentir son souffle chaud. Le rouge si profond qui les pare m'hypnotise et je finis par craquer. Je l'embrasse avec une telle ferveur qu'elle ne résiste pas une seconde et s'abandonne totalement à notre étreinte.

Ce que ses lèvres m'ont manquées ! Estelle se love contre moi, en ondulant pour bien me faire monter en pression. Je l'agrippe par les fesses et la soulève d'un coup pour la transporter jusqu'au lit sans cesser de l'embrasser. Je lui enlève sa robe et découvre un sublime ensemble bustier porte jarretelle noir et rouge, terriblement sexy.
Je suis tellement excité devant cette vision si plaisante que lorsqu'elle empoigne mon sexe d'une main ferme et approche son visage de ma verge turgescente, je ne peux pas me retenir. Pris par surprise, je n'ai rien le temps de lui dire et lorsqu'elle pose délicatement mon gland sur ses douces lèvres rouge carmin, l'orgasme me prend et j'arrose son visage d'une puissante giclée de sperme qui s'écrase sur sa bouche. D'abord surprise, elle se met vite à ouvrir la bouche pour recueillir le reste de ma semence. Elle lèche mon membre pour le nettoyer et lorsque je semble propre, elle me lance

- Déjà ?fit elle avec un air malicieux, Je te croyais plus endurant que ça, je suis déçue...Heureusement que tu as bon goût, c'est déjà ça...

- Laisse moi m'occuper de toi et tu verras que je serai d'attaque dans pas longtemps. Et tu pourras y regouter si tu le désires.

- Ah oui? J'ose à peine y croire...

Elle jette un regard amusé à ma queue qui a déjà débandé et je le prend comme un défi. Pour sûr, je vais la faire crier de plaisir et la torturer pour cet affront, mais d'abord, il fallait que je ferme à clé la porte.
Damien étant déjà dans un état d'ébriété avancé, il ne va certainement rien remarquer, j'ai donc tout mon temps. Je me penche à nouveau sur ses lèvres et l'allonge sur son lit. J'explore son corps avec ma langue, arrive enfin entre ses cuisses.
Estelle gémit quand je commence à embrasser légèrement la naissance de ses cuisses, mes mains écartant sa vulve déjà humide. Mes gestes sont lents, précis. Je m'approche toujours plus près de son point sensible, tourne autour, y donne un petit coup de langue puis l'abandonne, y retourne à nouveau et continue à la frôler sans jamais lui donner ce qu'elle désire. J'insère un doigt dans sa grotte, ce qui la fait frissonner et tandis qu'un autre doigt se faufile dans son anus, je commence des va et vients très lents et continue de la pousser à bout.
Elle commence à se tortiller, essaie de guider son sexe pour obtenir ce qu'elle veut, mais elle sait que je m'amuse à la torturer et qu'il faut seulement qu'elle me supplie.

- Thomas... s'il te plaît...

- Tu veux jouir tout de suite ?

- Oui, je t'en prie...

Ravi qu'elle obéisse aussi vite, je m'empresse de répondre à ses désirs et j'aspire son clitoris gonflé en continuant mon travail manuel. Elle se tord, essaie d'échapper à ce plaisir si intense mais je la retiens et lorsqu'elle jouit enfin, je ressens cette jouissance jusque dans ma bouche.

Elle est si exquise et si séduisante lorsqu'elle jouit que ma verge a déjà repris de la vigueur. Estelle, encore toute chamboulée par son orgasme m'attire jusqu'à elle et je viens m'allonger à ses côtés sur le lit. Elle prend la direction des opérations et récupère une capote dans la poche de mon jean avant de monter sur moi pour s'empaler sur mon membre emprisonné dans le latex. La sensation n'est pas aussi divine que lorsque nous ne mettons pas de protection mais c'est tout de même un plaisir intense qui me submerge lorsque ma belle-soeur me chevauche avec passion.

Je libère sa poitrine pour enfin la déguster mais elle me cloue au lit, prenant appui sur mes épaules pour accélérer le rythme de ses accoups. Je suis à nouveau au bord de la jouissance, décidément, cette fille me rend comme un jeune puceau, prêt à gicler n'importe quand.

Soudain, elle retire ma queue de sa chatte trempée, enlève la capote et avec sa main guide mon sexe jusqu'à son petit trou. Tres doucement, elle fait des petits mouvements de balancier avec le bassin et mon gland se fait petit à petit aspirer dans son étroit fourreau. Je dois absolument me contrôler pour ne pas exploser à nouveau avant l'heure, mais cette femme est si experte, que je peine à garder mon self control.

Une fois mon gland englouti, elle marque une pause et nous nous embrassons langoureusement. L'attente est une torture et comme je sais qu'elle attend que ce soit moi qui craque le premier, je pose mes mains sur ses fesses et appuie d'un coup vigoureux pour m'enfoncer dans ses tréfonds entièrement.

Elle crie, me mord et m'embrasse en même temps. Nous ne sommes plus que deux animaux en rut, elle, me chevauchant sans vergogne, moi accompagnant ses mouvements par des coups de reins puissants.

Brusquement, elle est prise d'un fulgurant orgasme et semble comme sortir de son corps tandis que je continues de lui marteler l'anus. Je sens la mienne arriver mais avant que ça ne se produise, Estelle se relève et vient prendre ma verge dressée et humide dans sa bouche. Elle n'a pas à me sucer longtemps avant que je n'explose au fond de sa gorge. C'est si bon, que je savoure chaque seconde de ce divin orgasme qu'elle vient de me donner.

Après nous être remis de nos émotions et rhabillés, nous nous préparons à sortir de la chambre. Et c'est là que la honte et la culpabilité refont surface, je le vois dans ses yeux.

- Thomas, écoutes moi, cette fois c'était la dernière. Il faut qu'on soit d'accord.

- Bien sûr. On ne doit pas recommencer.

- Non jamais. On le doit à Damien.

- Tu as raison, on continue à faire comme s'il ne s'était rien passé.

Elle me jauge un instant puis me tend la main en me souriant

- Ennemis?

- Ennemis, ris je en lui serrant la main

Depuis cette soirée si chaude, nous n'avons pas recommencé. J'avoue penser encore à sa peau et à ses lèvres lors de mes séances d'onanisme, et à chaque fois, ces souvenirs m'aident à trouver une jouissance plus forte qu'à l'accoutumée.

Mais pour mon frère, je ne peux vraiment plus faire ça. Fini l'égoïsme.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Lolo67
Un régal ! Toujours aussi explosif entre ces deux-là
Posté le 30/09/2020

Blueberry89
Merci Pongo21, sincèrement. Jacques vous avez raison, ils risquent tous de perdre quelque chose, mais la vraie question, c'est que vont ils y gagner?
Posté le 10/08/2020

Jacques du Canada
Les légers remords viennent après l’adultère. Fini l’égoïsme après vous être rassasiés. Elle aime votre frère mais n’hésite pas à le trahir dès la première occasion et rapidement même! J’espère que le secret sera bien gardé parce que votre frère risque justement de ne plus avoir de femme et aussi un frère en moins.
Posté le 10/08/2020

Pongodu21
Merci beaucoup j'ai trouvé cette histoire fort excitante et très à mon goût. Continuez d'écrire, vous avez un réel talent de conteur.
Posté le 10/08/2020


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