Une business woman rentre du travail le soir et retrouve Marco qui est prêt à se mettre en quatre pour lui faire plaisir avec une séance de bondage.
Proposée le 14/06/2020 par Méchant Lapin
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Thème: SM, bondage
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Encore une journée épuisante au bureau, il est plus de 21h et j’arrive tout juste à la maison. Quand je pousse la porte je sens une délicieuse odeur de cuisine, j’ai prévenu Marco sur la route que je n’allais pas tarder à arriver. Je passe le voir à la cuisine pour lui dire que je vais me débarbouiller et mettre à l’aise. Dans la chambre, je me débarrasse mon armure de combat de bureau : tailleur, talon, bas, push-up, maquillage … c’est l’heure du repos du guerrier. J’enfile mon vieux jogging, je trotte vers la cuisine heureuse de sentir ma poitrine enfin libre après une journée de torture.
Je m’assois et Marco m’apporte son chef d’œuvre du jour : filet de sole en papillote aux petits légumes avec son duo de riz. Marco est un artiste dans la cuisine, il me regarde manger depuis l’autre côté du bar. Alors que je termine sa crème brûlée, je vois qu’il a fini de ranger la cuisine et qu’il s’est éclipsé. Je me lance :
« Marco, tu sais ce qu’il me faudrait ? »
Bien sûr qu’il le sait. Je n’ai pas fini ma phrase que je le sens derrière moi. Un bandeau se pose sur mes yeux et il l’attache fermement. Je me sens soulevée et plaquée contre le poteau à l’angle du bar. Marco avait sans doute caché les cordes sous le bar avant que j’arrive, il commence à m’attacher les bras au-dessus de la tête, je suis rapidement immobilisée. Il baisse mon jogging énergiquement.
« Eh, doucement Marco, c’est mon jogging préféré, ne va pas le déchirer »
C’est plus une protestation pour la forme, je sais bien que Marco y fait attention, il ne voudrait pas me faire de peine. Je sens un contact en bas de mon ventre. Il me soulève une cuisse pour avoir accès à mon petit bouton magique. C’est un expert, Marco, et pas seulement en cuisine. Je le soupçonne d’être aussi un peu pervers. Je sais que c’est bizarre de le voir comme ça, mais il aime me torturer. Trois fois, ce fils de chien de l’enfer m’amène au bord de l’orgasme et trois fois il s’arrête au dernier moment. Je sais que vous n’allez pas me croire, mais je pense qu’il adore me faire ça le bougre.
Avec un tel traitement, j’ai désormais des gouttes qui glissent le long de l’intérieur de mes cuisses. Marco a décidé de passer à la suite, c’est à moi de travailler. Il fait glisser les cordes et je retrouve à genoux toujours adossée au poteau. Comme je m’y attends, je sens quelque chose de dur qui se presse sur mes lèvres. J’ouvre la bouche pour l’accueillir et immédiatement il se glisse dans ma bouche. C’est tout de même gros, j’ai été un peu trop gourmande sur le coup, mais rapidement je commence des mouvements de tête d’avant en arrière. Je serre mes lèvres autour de lui et je fais glisser ma langue autour énergiquement. C’est bon de sucer. Je ne sais pas pourquoi certaines femmes y voient une domination du mâle. Elles ne doivent pas savoir s’y prendre. Sucer est un acte de domination, une bonne suceuse pourra toujours mener un homme par le bout du nez. Enfin, du nez, vous voyez ce que je veux dire.
Après l’entrée, je crois que Marco veut me servir le plat de résistance. Il me détache et enlève le haut de mon jogging. J’ai toujours les yeux bandés, il me guide vers le salon où il ne me fait mettre à quatre pattes. Je le sens me pénétrer. Il est gros, il n’y a pas à tergiverser c’était un très bon choix ma fille. On a beau dire mais la taille ça compte aussi. Il m’entreprend sauvagement, je sens mes seins qui ballottent sous ses coups de boutoirs. Peste soit de l’inventeur du soutien-gorge, c’est ça la vraie vie, des seins qui s’agitent librement sous les assauts d’une grosse queue. Alors que j’arrivais presque à l’orgasme, ce sadique s’interrompt encore une fois. Il va falloir qu’on en parle de ça, je sais que ça rend l’orgasme final encore plus fort mais qu’est-ce c’est frustrant, bordel !
Il m’attire à lui pour que je le chevauche. Alors qu’il presse mon corps contre le sien, je ressens quelque chose qui se présente contre mon petit trou. La lumière se fait : ce soir c’est buffet complet ! Comme il me connait bien mon Marco et comme il sait ce que j’aime. Il se met toujours en quatre pour me faire plaisir. Même avec du lubrifiant, passer par là fait toujours un peu mal. Je sens que ça s’avance doucement dans mon petit trou du cul. J’essaie de me détendre, et, aïe, c’est passé. Je fais une grimace en accueillant cet autre membre. Après quelques allers-retours, le plaisir finit par prendre le pas sur la douleur et j’ai bientôt deux pilons qui m’entreprennent sauvagement les entrailles.
Quand Marco prépare un buffet complet, il ne fait pas les choses à moitié. Je me retrouve bientôt à sucer vigoureusement un troisième membre, et tous mes trous sont assaillis avec expertise. Je ressens même des giclées chaudes qui atterrissent régulièrement sur mon corps et dégoulinent dessus. Il faudra vraiment que je complimente le chef pour cette délicate attention.
Même si j’avais envie de mettre Marco en pièce quand il l’a fait, ses interruptions juste avant l’orgasme ont bien fait leur effet. J’ai l’impression d’être sur une plage, j’ai regardé mourir quelques petites vaguelettes à mes pieds. Mais là, je commence à voir une grosse vague pointer à l’horizon. Elle enfle et se creuse au fur à mesure qu’elle passe sur les hauts fonds. Elle est tout près maintenant. Elle a gonflé et pris de l’ampleur, elle se précipite en avant. Le haut de la vague semble vouloir dépasser le bas. Elle se penche. Elle est au bord de l’effondrement et tout à coup elle déferle et me submerge. Je suis prise dans un tourbillon blanc, assourdie, je sens un jus salé et un peu acide qui coule dans ma bouche, dans mon vagin et dans mon cul. Après ce qui me semble une éternité d’extase, je m’effondre et la vague reflue.
Épuisée par ma journée, surtout par sa fin explosive. Je laisse Marco me porter dans la salle de bain pour me laver. Je somnole à moitié. Quand je reprends conscience, je suis lovée dans une couverture sur le canapé, toujours nue, mais bien au chaud. Marco est méticuleusement en train de nettoyer les effluves de nos ébats dans le salon. Il est infatigable mon Marco. Son vrai nom c’est Robot d’Assistance Domestique Avancé Mark 0. Mais pour moi, c’est mon petit Marco.
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