Le Docteur Balai-dans-le-cul poursuit son entraînement et sa descente dans le stupre et la luxure. Non contente de s'exhiber, voilà qu'elle dévoile toute sa personnalité lorsque la main de votre serviteur s'abat sur ses fesses.
Proposée le 22/01/2020 par Korn
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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
Les deux semaines suivantes furent plutôt calmes, il n'y aurait pas grand chose à raconter. Valentine me suça quatre fois, je finis à deux reprises sur ses seins et à deux autres dans sa bouche. Elle ne posait plus de questions, ne rechignait jamais à la tâche ; elle se mettait à genoux et faisait simplement son affaire.
En l'interrogeant, j'appris qu'elle avait une vie sexuelle très morne : missionnaire, étoile de mer, et voilà, le tout une à deux fois par mois. Les fellations étaient rares, la sodomie une inconnue au bataillon, son mari ne touchait à son sexe que pour le lubrifier avant pénétration.
Mais depuis que je l'avais mise à genoux, elle connaissait un certain éveil sexuel. Elle commençait à ressentir du désir, prenait du plaisir à sucer, pratiquait à présent le saphisme tous les deux ou trois jours. Elle était aussi beaucoup moins sur le dos de l'équipe et riait à nos blagues de cul plus souvent qu'elle ne rougissait. Bref, elle se métamorphosait complètement.
Le mardi matin, jour du 5e staff de notre « relation », je lui envoyais un sms : « dis à ton mari que tu as une réunion ce soir et que tu rentreras très tard. »
« Pourquoi ? »
« J'ai des projets... »
« Rien de plus que notre accord ? »
« Plus, oui. Mais je vais pas te baiser, sauf si tu me supplies. »
« Merci... »
La journée passa lentement tant j'attendais avec impatience le moment de m'occuper de Valentine. Comme d'habitude, elle portait chemisier et jean avec sa blouse de médecin ouverte par-dessus. Comme d'habitude, le staff s'éternisa et je me retrouvai seul avec elle.
- Ouvre deux boutons, fis-je.
- Il nous reste encore des patients à voir, Ludovic, répondit-elle d'un ton pincé. Ensuite, je suis toute à toi.
- Ça n'empêche pas d'avoir un joli décolleté...
Elle grommela et obéit. Je dois reconnaître que c'était plutôt agréable de bosser en reluquant cette énorme paire de loches qui s'agitait sous mes yeux...
- Et maintenant qu'on a fini, vire le haut.
- Comment ça ?
- Enlève tout. Blouse, chemise, soutien-gorge. Je ne veux plus voir un bout de tissu au-dessus de la taille.
Lorsqu'elle eut fini de se déshabiller, je tapotai mes cuisses.
- Viens t'asseoir là, j'ai envie de te bouffer les seins.
- C'était ça tes projets ?
- Entre autres...
Valentine s'installa à califourchon sur moi et me donna sa poitrine à téter. Elle était plus ferme que je ne m'y serais attendu compte tenu de sa forme et ce n'était pas pour me déplaire. Je passai ainsi plusieurs longues minutes à lécher un sein puis l'autre, une main sur son cul, l'autre pétrissant la motte que délaissait ma bouche. Petit à petit, la doctoresse quitta sa réserve et se laissa aller à profiter de mes soins ; lorsqu'elle commença à frotter légèrement le bassin sur ma queue bien bandée, je passai à l'étape suivante.
- Tourne-toi.
Elle obéit, je l'allongeai à moitié sur moi, défis les boutons de son jean que j'ouvris grand.
- Qu'est-ce que tu fais ? demanda-t-elle au moment où mes doigts passaient sous sa culotte.
- Tu as été une bonne suceuse, je t'offre une récompense. Profite, ça n'arrivera pas souvent.
Sur son pubis, je trouvais une grosse touffe de poils bouclés qui n'avait pas été entretenue depuis des années et en-dessous un gros clitoris déjà bien gonflé. Mais ce n'était rien comparé à sa vulve qui dégorgeait déjà son flot de cyprine.
- La vache ! m'exclamai-je. Tu mouilles comme une malade, t'es complètement trempée.
Je sentis sa joue chauffer contre la mienne, toutes gêne et timidité n'étaient pas encore envolées.
J'enfonçai deux doigts dans son vagin, elle retint péniblement un gémissement.
- Ça t'excite hein ? Ça t'excite d'être à moitié à poil, de te faire doigter comme une chienne.
- Hum, je crois...
- J'ai mal entendu.
- Oui, ça m'excite.
- Dis-le. Dis ce qui t'excite.
- Han, ça m'excite d'être à moitié nue... Ça m'excite de... de me faire masturber.
Bon, c'était pas encore ça, mais il y avait un certain progrès... Je décidai de m'en contenter et de ne pas exiger tout de suite de mots crus de sa part.
Je retirai mes doigts poisseux de sa chatte, passai à son clitoris, Valentine gémit de plus belle.
- Tu veux que je te fasse jouir ?
- Je veux bien...
- Dis-le. Supplie-moi.
- Fais-moi jouir, s'il te plaît.
Le ton n'y était pas, mais une fois encore, je m'en contentai. Je m'acharnais sur son mont-de-Vénus, ne retournant à la fente que brièvement, juste pour lubrifier mes doigts. Ce fut long, très long, mais Valentine eut son orgasme. J'avais le poignet en feu, d'après l'horloge j'avais passé plus de vingt minutes à la toucher.
Elle se retourna sur moi, déposa une myriade de petits baisers sur mes lèvres, chacun entrecoupé d'un « merci » à peine audible. Je la repoussai un peu méchamment.
- Pas d'affection. On a été clairs : c'est juste du sexe et de l'entraînement à lâcher prise.
En tailleur par terre, à moitié à poil, les joues en feu et une pellicule de transpiration sur tout le torse, elle eut un air honteux.
- Pardon...
- Je pense que ça mérite une punition... Juste pour te rappeler les règles à suivre.
Elle déglutit.
- C'est... c'est à dire ?
Je la fis se lever et diriger vers son bureau. Là, j'appuyais sur son ventre et ses omoplates pour la courber en deux, puis je descendis son jean sur ses chevilles. Elle portait une culotte beige toute simple qui s'enfonçait un peu dans ses larges fesses.
- S'il... s'il te plaît, gémit-elle, ne me pénètre pas.
Par jeu, pour lui faire peur, je sortis mon sexe et le pressai contre sa fente détrempée. A travers le tissu, je sentis ses grandes lèvres s'écarter légèrement.
- Non ! Je t'en supplie, tout mais pas ça.
- Voilà... Ça c'est le ton que je veux entendre quand tu me supplies. Et maintenant, ta punition.
Je me reculai, levai la main et l'abaissai violemment. Ma paume heurta le postérieur de Valentine dans un claquement sonore, fit onduler sa peau. Une fois. Deux fois. Trois fois. A la cinquième, la doctoresse commença à trémousser son gros cul.
- Mais ma parole, ça t'excite de te faire fesser ?
- Je... Aie ! Oui, ça m'excite.
- C'est d'avoir mal ou d'être complètement soumise qui t'excite ?
- Je ne... Aie ! Je ne sais pas... Outch ! Les deux je crois.
Je m'arrêtai à la dixième fessée, la peau blanche de Valentine était complètement rouge, sa culotte déjà bien humide était trempée. Je baissai son sous-vêtement, glissai trois doigts dans sa chatte que j'entrepris vigoureusement sous ses gémissements.
- Tu aimes ça, hein ?
- Oui.
- Oui quoi ?
- Oui, j'aime quand tu me doigtes fort comme ça.
- Tu voudrais que ça soit ma queue, hein ?
- Oui...
Je sortis mon sexe, le plaçai à l'entrée de sa grotte.
- Dis-le.
- Je... je veux que tu me fasses l'amour.
- Non ! Ça, c'est affectif. Dis-le crûment.
- Je veux que... que... (elle prit une grande inspiration) que tu me baises.
- C'est beaucoup mieux. Mais il va falloir supplier.
- Je t'en prie, baise-moi !
- Pourquoi ?
- Parce que j'en ai envie ?
Nouvelle fessée.
- Mauvaise réponse...
- Mais je... je ne sais pas quoi dire de crû.
- Tu pourrais par exemple dire que tu veux sentir ma grosse bite au fond de ta chatte ?
Elle prit une nouvelle inspiration.
- Je veux sentir ta grosse bite au fond de ma chatte. C'est bon là ?
- C'est pas mal. Mais je ne te baiserai pas aujourd'hui.
- Quoi ? Mais pourquoi ?
- Parce qu'il va falloir le mériter ma belle. Assieds-toi au bord du bureau. Nue.
Elle obtempéra. Je pris place entre ses cuisses, sans la pénétrer bien entendu, la penchai un peu en arrière, l'obligeant à prendre appui sur les coudes.
- Je vais me vider les couilles sur ta chatte et tu vas me regarder me branler sur toi. Et quand j'aurais fini, je t'expliquerai ce que tu dois faire pour que je te baise.
Elle acquiesça. Elle était complètement perdue, entre frustration de ne pas obtenir ce qu'elle voulait et désir complètement fou et incontrôlable.
Moins d'une minute plus tard, je répandis mon plaisir sur elle. Un jet de sperme s'écrasa sur son sein droit, un autre juste en dessous du nombril. Son épaisse forêt pubienne blanchit à mesure que les flots de foutre s'y brisaient.
Puis je saisis mon sexe et le plongeai brutalement dans le sien. Valentine poussa un cri de surprise et de plaisir. Je me cramponnai à ses cuisses et fit trois ou quatre allers-retours violents dans son fourreau avant de me retirer définitivement, la laissant pantoise et encore plus frustrée.
- Tu en voudrais plus, hein ?
Elle opina du chef tout en prenant un paquet de mouchoirs pour s'essuyer.
- Voilà mes conditions. Primo, je ne veux plus voir cette énorme touffe de poils. Tu rases, tu tailles ou tu épiles, je m'en fous, mais je veux quelque chose d'entretenu. Pigé ?
- D'accord...
- Deuzio, je veux un sms chaque fois que tu te touches ou que tu suces ton mari. Et je veux savoir où il a fini. Ok ?
- D'accord...
- Tertio, fini les sous-vêtements de gamine sage. Je veux des dessous sexy et rien d'autre.
- Mais je n'en ai pas...
- Tu vas pas me dire qu'avec ton salaire tu peux pas aller faire un tour dans une boutique de lingerie ?
- …
- Donc tu le fais.
- Mais j'achète quoi ?
- Ce que tu veux... Strings, shorty... Même des culottes ça peut être sexy si tu choisis bien. Pareil pour les soutien-gorges. Mais je ne veux plus de machins unis et informes, compris ?
- Oui... Autre chose ?
- Dernière : je ne finis pas dedans. Jamais.
- Pourquoi ?
- Parce que c'est trop intime.
- Ça fait beaucoup de conditions...
Je souris en lui prenant le menton.
- Si tu veux que je te démontes la chatte, c'est ce qu'il faudra faire. Et ce n'est que le début du jeu ma belle.
Elle soupira.
- Je ne sais pas si j'ai envie de jouer à ce jeu...
Je fis glisser la main le long de sa cuisse encore nue, malaxai sa vulve et son bouton encore trempés. Valentine avança le bassin en soupirant d'aise.
- Ton corps dit le contraire.
- J'ai réagi sous le coup de la folie... Je pense qu'on va revenir comme avant.
- Comme tu veux. Si tu changes d'avis, tu sais quoi faire.
Elle opina du chef sans conviction et se rhabilla. Nous sortîmes de son bureau comme si de rien n'était, rentrâmes chacun chez soi.
Je fus réveillé à une heure du matin par la vibration de mon portable, j'avais un sms de Valentine.
« Bouche + touchée »
Le lendemain, au moment de prendre le volant pour aller travailler, j'avais un autre message.
« Touchée »
Je souris en lançant « Pussy » de Rammstein à fond. Finalement, elle acceptait mes conditions.
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