Cette histoire en sept parties se déroule entièrement dans l’étroit univers d’un catamaran de plaisance, voguant dans les eaux paradisiaques des Antilles. Notre histoire commence le samedi soir, alors que deux couples arrivent de la région parisienne pour passer une semaine de vacances à bord. Des vacances qui vont s’avérer épuisantes.
Proposée le 20/12/2019 par Rodolphe
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
1 - Pour commencer, une petite mise en bouche
Samedi.
Je m’appelle Alexia, j’ai trente-huit ans. Je suis une blonde aux cheveux mi-longs, qui a plutôt son petit succès auprès de la gente masculine. Je suis d’un naturel gai et joyeux, un peu espiègle même – j’aime en effet faire des plaisanteries – et plutôt ouverte d’esprit sur le plan purement sexuel. D’ailleurs, mon mari et moi sommes assez libres dans ce domaine. Mon mari, c’est Alain, un très bel homme de quarante-cinq ans, sportif et dynamique, que j’aime depuis déjà plus de dix ans et avec lequel j’ai déjà vécu tant de moments de bonheur. Autant j’aime les beaux mecs et ne dédaigne pas en attirer un dans mon lit de temps en temps, autant lui aime les jolies filles et ne se gêne pas pour les draguer, même en ma présence. C’est notre côté frivole à tous les deux, mais cela ne nous empêche pas de nous aimer et d’être tous deux très actifs sous la couette.
Mon mari et moi, nous avons monté, il y a cinq ans, une petite affaire dans les Antilles qui fonctionne plutôt bien : avec notre catamaran, nous proposons de petites croisières « tout compris » dans ces îles aux eaux cristallines. L’équipage c’est nous : Alain est le skipper et il se charge aussi des activités sportives, comme la plongée sous-marine par exemple ; moi je m’occupe de l’intendance et du confort de nos passagers : en fait, je suis un peu la fée du bateau, celle qui fait tout pour satisfaire ses clients. Il m’arrive même parfois de coiffer la casquette de skippeuse, car j’ai moi aussi de solides connaissances en navigation. Voilà pour le contexte.
Nous attendions ce jour-là quatre clients qui venaient de métropole et qui nous avaient réservé une croisière de sept jours dans les îles. Notre bateau les attendait au Marin, le port bien connu de la Martinique. Ils arrivèrent en fin de journée en taxi, directement de l’aéroport, fatigués du voyage, mais rayonnant de bonheur lorsqu’ils montèrent à bord et découvrirent le confort de notre bateau. Tout les émerveillait, tels des enfants découvrant leurs nouveaux jouets. Visiblement, ceux-là n’avaient jamais mis le pied sur un bateau.
Nous les reçûmes comme à l’accoutumée avec le petit verre de punch martiniquais de bienvenue et le traditionnel briefing sur les contraintes qu’impose la vie à bord d’un bateau aussi petit qu’un catamaran. Comme toujours, ce premier contact nous permet de faire connaissance et de nous faire une première idée sur nos nouveaux passagers. Pour l’heure, nous avions à faire à deux couples d’amis – ils semblaient en effet bien se connaître – qui venaient de la région parisienne. Il y avait d’abord Julie et John, qui devaient avoir la quarantaine, peut être un peu plus pour John, et Emma et Enzo qui semblaient avoir la trentaine. Ils nous parurent plutôt sympathiques et le courant passa très vite entre eux et nous.
Nous les laissâmes découvrir leurs cabines et revêtir une tenue plus en rapport avec la navigation de plaisance, surtout dans ses régions où le thermomètre descend rarement en-dessous de 25 degrés, c’est-à-dire le maillot de bain.
- Qu’en penses-tu, demandai-je à mon mari lorsqu’ils furent dans leurs cabines ?
- Ils me paraissent bien, non ? Et puis, ce qui ne gâte rien, c’est que les femmes sont jolies !
- Forcément, toi tu ne vois que ça !…
- Que veux-tu. On n’se refait pas !
- Moi, je les trouve sympathiques, ajoutai-je. On devrait passer une bonne semaine… Et puis si les femmes sont jolies, les hommes ne sont pas mal non plus !
- T’as raison. La semaine devrait être agréable, conclut mon mari qui avait déjà certainement plus d’une idée grivoise en tête !
Lorsque nos clients remontèrent de leurs cabines dans leurs tenues de bain, Alain les réunit à l’arrière du bateau, où nous avions dressé la table du dîner. Il leur énuméra les nombreuses activités possibles à bord : jet-ski, plongée sous-marine, pêche et bien sûr baignades dans les criques. Nos clients parurent très satisfaits et regardaient déjà avec envie la table que nous avions préparée : le voyage en avion les avaient certainement creusés.
- Ah j’oubliais, ajouta mon mari, mon épouse et moi avons l’habitude de pratiquer le nudisme dès que nous sommes au large, comme d’ailleurs beaucoup de plaisanciers, il faut bien le dire. Mais, bien entendu, nous ne le ferons qu’avec votre accord plein et entier… ! Qu’en pensez-vous ?
Il eut un regard interrogatif sur nos clients. Je notai l’œil déjà concupiscent d’Enzo sur ma personne : à n’en pas douter celui-là devait être pour !
- Ça n’me dérange pas fit-il d’un air faussement détaché.
- Moi non plus, dit John.
- Et ces dames, continua Alain à l’adresse des deux clientes qui pour l’instant ne s’étaient pas prononcées.
- Aucun problème pour moi non plus, dit Julie avec un petit sourire qui me parut ambigu.
- Et toi Emma ?
- Ça ne me dérange pas non plus, fit-elle sans enthousiasme. Mais moi, si vous le permettez, je garderai mon maillot !
- Bien entendu, répliqua mon mari. Chacun reste libre de faire ce qu’il veut !
Après cette question, importante à nos yeux, les personnalités de nos nouveaux passagers commençaient à se dessiner et nous avions déjà une idée assez précise de l’ouverture d’esprit de chacune et de chacun d’eux. Pour ma part, j’avais une certaine attirance pour le jeune et bel italien, Enzo, qui m’avait déjà lancé des regards sans équivoque. Je ne savais d’ailleurs pas si il était vraiment italien, mais il en avait le type. Je le trouvais un peu trop dragueur et un peu trop fanfaron à mes yeux, mais il était quand même bel homme. John aussi m’attirait, un homme d’âge plus mûr, qui portait une légère barbe poivre et sel et qui s’exprimait avec un léger accent anglais. L’air un peu sérieux, il me parut toutefois assez distant. Quant à Julie, l’épouse de John, une jolie brune aux cheveux courts et au regard énigmatique, elle avait clairement flashé sur mon mari et ne s’en cachait même pas. Seule l’épouse d’Enzo, Emma, semblait beaucoup plus sur la réserve ; tout à l’opposé de son mari ! C’était une très jolie rousse aux longs cheveux, toujours souriante et si mignonne qu’à n’en pas douter elle devait attirer le regard des hommes. Pourtant elle semblait très effacée, timide même et restait sur son quant à soi.
La journée se termina autour d’une bonne table où tout le monde dégusta avec enthousiasme les produits de la mer que j’avais cuisiné. On ne manqua pas de me féliciter pour « l’excellence de ma cuisine », particulièrement Enzo qui s’était installé à ma droite et qui n’arrêta pas de me chauffer durant tout le repas. Je dois avouer que cela ne me déplaisait pas. En fin de soirée, les esprits échauffés par l’alcool détendirent l’atmosphère et rapidement tout le monde se tutoyait.
Dimanche.
Le lendemain, immédiatement après le petit déjeuner, nous appareillâmes, cap sur Sainte-Lucie. Nos quatre passagers se montrèrent tout joyeux et si heureux de prendre la mer qu’ils étaient excités comme des puces. Tous novices en marine, ils découvraient tout de la navigation avec un émerveillement extraordinaire. Je profitai de ce moment pour mettre un peu d’ordre dans les cabines et faire les lits… C’est le côté le moins agréable du métier, mais il faut bien le faire ! Une fois le travail terminé, je rejoignis notre cabine pour me mettre en tenue d’Eve, car nous étions maintenant au large. J’adorais sentir le vent chaud du large caresser ma peau nue. Remontant sur le pont, je constatai que mon homme aussi avait tombé le maillot et tenait la barre nu comme un ver. Je m’approchai de lui, saisis sa verge et lui demandai :
- As-tu besoin de moi, mon chéri ?
- Sur le plan professionnel, non, me répondit-il, mais sur un plan purement personnel, je ne détesterais pas une petit masturbation,… ou une fellation !
- Je te rappelle que nous avons des clients, mon chéri… On ne peut tout de même pas baiser sous leurs yeux !
- Peut être apprécieraient-ils !
Je lâchai son sexe et allait m’étendre sur un matelas vers la proue, ce qui m’obligea à traverser tout le bateau sous les yeux de nos quatre clients. Les femmes me regardèrent avec une indifférence hautaine, tandis que le regard exorbité des hommes sur mon corps témoignait de l’intérêt qu’ils me portaient. Même John, qui m’avait pourtant paru si distant la veille, se montrait là beaucoup moins réservé. Je dois dire que je suis assez fière de mon corps : j’ai des seins alertes et bien fermes, le ventre plat et mon pubis est entièrement glabre, ce qui généralement plaît aux hommes.
Je fis un sourire à mes deux clients mâles et leur demandai :
- Tout va bien ?
- Impeccable, me répondirent-ils !
Cela ne faisait pas deux minutes que j’étais étendue sur le matelas que déjà Enzo, attiré par ma nudité comme les mouches par le sucre, vint me rejoindre et s’installa sur le matelas d’à côté.
- Ça ne te dérange pas si je viens m’installer près de toi ?
- Pas du tout, dis-je.
Enzo se montra tout de suite extrêmement direct. Après quelques banalités sur le ciel bleu et la mer turquoise, il en vint rapidement au fait :
- Alain et toi avez l’air d’un couple très cool.
- Qu’entends-tu par là.
- Vous avez l’air très – il chercha ses mots –, … très libres.
- C’est vrai. Nous menons une vie indépendante… très libre en effet.
Enzo garda le silence une minute. Allongé sur le ventre, la tête tournée vers moi, il ne cessait de me reluquer d’un œil concupiscent. Il reprit :
- Tu es très belle tu sais !
- Merci. Ravie de voir que je te plais.
Il réfléchit un moment, puis reprit :
- J’aime les filles comme toi… pas farouches…
La façon de me draguer de ce beau mec m’amusait ; je rentrai donc dans son jeu, pas mécontente de la situation :
- Ou veux-tu en venir ?
- Et bien je vais être clair : depuis que je suis monté sur ce bateau hier soir, je n’ai plus qu’une idée, te faire l’amour !
Pour affirmer ses propos, il posa une main sur mon sein.
- Toi alors, tu n’y vas pas par quatre chemins. Tu es toujours comme ça avec les femmes ?
Je n’avais pas enlevé sa main car ce contact me fis tout de même frémir et dans le même temps je sentais une douce chaleur monter de mon bas ventre.
- Je suis toujours très direct. Qui ne risque rien n’a rien, n’est-ce pas !
En même temps, sa main glissa vers mon bas ventre. Je le laissai faire.
- Et ta femme ?
- Emma est une très gentille fille. Elle ne m’a jamais reproché mes incartades.
- Elle est trop bonne en effet, dis-je en arrêtant sa main qui n’était plus qu’à deux centimètres de mon pubis ! Si j’étais à sa place, je te surveillerais de plus près.
- Ta peau est douce, Alexia. Tu me fais bander.
- Je voudrais bien voir ça, fis-je afin de tester son audace !
Sans hésitation, il se retourna, roula sur le dos et enleva illico son maillot. Après quoi, il s’étendit de tout son long sur le matelas, m’exhibant une queue déjà de bonne taille.
- Alors, fit-il triomphant ?
- Je dois reconnaître que tu as des arguments, dis-je en fixant sa verge.
- Si ma bite te plaît, qu’attends-tu pour la prendre en main ?
- Plus tard, répondis-je en me levant. Pour l’heure, il faut que je m’occupe du repas.
Je rejoignis l’arrière du catamaran et au moment où j’allais descendre dans la cuisine, je vis Julie en compagnie de mon mari. Elle lui faisant de grands sourires qui ne trompent pas l’œil exercé d’une femme. Je m’assis donc sur un taquet d’amarrage tout proche afin de les écouter. Alain me fit un clin d’œil, ce qui dans son langage voulait dire : « regarde chérie comme je la drague cette jolie brune ! »
- Ça c’est le compas, dit-il. Ça sert à naviguer sans perdre le cap, tu comprends ?
Julie approuva de la tête tout en lui faisant les yeux doux.
- Là, c’est la barre. Si tu veux, c’est comme le volant d’une voiture.
Je ne suis pas sûre que la navigation l’intéressait beaucoup, mais la coquine savait si bien jouer à la petite fille qui s’intéresse à tout :
- Je peux essayer, demanda-t-elle ?
- Oui, bien sûr. Tiens, viens ici et prend la barre à deux mains comme ceci.
Julie vint se placer devant la barre et mon homme se plaça juste derrière elle, lui guidant les mains. Je remarquai que son sexe n’était déjà plus au repos.
- Tu regardes de temps en temps le cap sur le compas. Tu vois, on est au 275. Et tu maintiens ce cap.
- Je fais bien comme ça, dit-elle à son professeur, jouant à la bonne fille, première de la classe.
Le prof, lui, s’était collé derrière elle au point que je ne voyais plus son sexe. Probablement devait-elle le sentir entre ses cuisses, me dis-je ! Et elle ne dit rien, la salope !
- C’est très bien Julie, continue comme ça. Surtout, tiens bien la barre à deux mains et ne la lâche sous aucun prétexte. Entendu ?
- Oui Alain, fit-elle avec des yeux à troubler l’homme le plus vertueux.
Je vis alors mon mari défaire le lacet qui maintenait dans le dos le haut de son maillot deux pièces. Sentant qu’elle perdait son soutien-gorge, Julie tenta de le retenir d’une main.
- Ne lâche pas la barre, malheureuse, cria mon mari !
Obéissante, elle reprit la barre à deux mains, laissant choir son soutien-gorge à ses pieds.
- Tiens bien la barre… Voilà, comme ça.
- Oh, fit-elle tout à coup surprise !
Mon Alain de mari avait en effet saisi ses deux seins et les lui caressait doucement.
- Qu’est-ce que tu fais, demanda-t-elle, jouant à l’ingénue, rôle qui selon moi ne lui allait pas du tout !
- Tu vois bien, je te masse les seins. Tu aimes ?
Elle ne répondit rien, mais sa tête bascula en arrière pour se nicher au creux de l’épaule de mon Alain. Ce dernier, encouragé par ce signe d’abandon, laissa glisser sa main vers le bas ventre, puis enfin sous le slip de Julie. La seconde d’après, elle criait :
- Non !... Aaaah !
Pourtant, elle ne chercha pas à s’échapper et tenait toujours la barre à deux mains.
Les cris de Julie alertèrent les autres passagers qui accoururent aussitôt. Quand ils virent la scène, ils furent stupéfaits. John, le mari, ne dit rien. Était-il consentant, ou se sentait-il impuissant à réagir, toujours est-il qu’il regardait sa femme se faire peloter l’air totalement éberlué. Emma n’était pas moins stupéfaite et elle ne put prononcer le moindre mot. Seul Enzo matait avec enthousiasme cette scène de sexe qui l’excitait :
- Ouais, dit-il. Bravo Alain !
Les deux protagonistes, eux ne se souciaient pas des regards posés sur eux. Mon mari continua :
- Au point où tu en es, belle Julie, autant enlever ce slip de bain.
Il s’en saisit et le tira vers le bas, s’accroupissant afin qu’elle puisse en libérer ses pieds. Ils étaient dès lors nus tous les deux et Julie mit une réelle bonne volonté à se frotter contre mon mari. Quant à lui, il avait une main sur ses seins et l’autre vraisemblablement dans sa chatte, tandis que sa queue s’était immiscée entre les cuisses de la salope. Il se passa alors une chose qui stupéfia le public et moi la première : Julie lâcha la barre et se retourna en disant :
- Reprend la barre maintenant, beau brun.
Mon mari obéit, tandis qu’elle se baissa pour s’agenouiller, prit en main la queue de mon mec et se l’enfourna dans la bouche ! « Quelle salope, me dis-je encore ! » Et elle savait y faire, la chienne : sa main gauche palpait délicatement les testicules, tandis que la droite s’activait à masturber la hampe. Julie s’enfonçait parfois totalement dans la gorge la verge turgescente, ce qui est une performance quand on sait que mon homme, pour mon plus grand plaisir, a plutôt été gâté par la nature. On voyait les lèvres pulpeuses de la tigresse glisser sur toute la longueur de la verge, l’enduisant d’un filet de salive dégoulinante.
Mon pauvre mari râlait de plaisir sous les coups de langue de la fille. On ne peut plus dire qu’il tenait la barre, mais plutôt qu’il s’y accrochait à deux mains, comme un naufragé à un rocher, pour ne pas tomber. Je ne sais pas quel cap suivait le bateau à ce moment-là, mais il devait être pour le moins erratique.
- Arrête… Je vais tout lâcher, cria mon mari dans un souffle !
Aussitôt, Julie se recula, libérant la verge de mon mari, droite comme un pieux, puis elle la prit en main pour la masturber avec une énergie extraordinaire. Trente secondes après mon pauvre homme éjaculait dans un grand râle de bonheur. Julie fut abondamment aspergée de plusieurs jets de sperme. Elle en eut sur les cheveux, le visage, les seins et le ventre. Ainsi souillée par cette abondante semence masculine, elle souriait tout en s’étalant le liquide blanc sur les seins et le bas ventre.
Elle se releva enfin et dit à Alain qui reprenait peu à peu ses esprits :
- Merci pour cette leçon de navigation, beau brun. Moi je vais prendre une douche !
Tout le bateau avait assisté à la scène, d’abord avec sidération, puis avec un intérêt croissant au fur et à mesure que mon mari approchait de la jouissance. A partir de ce moment, la réputation de Julie était faite : « une sacré suceuse » disait-on déjà dans les rangs. Devant ce chaud spectacle, chacune et chacun sentit sa sexualité se réveiller brusquement. Cet événement fut le signal de départ de ce qui allait devenir une quasi orgie collective.
A suivre.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email