Les trois femmes et les trois hommes de ce bateau se montrent de plus en plus avides de sexe. Chaque homme désire baiser tour à tour les trois femmes et chaque femme rêve de se faire prendre par les trois hommes. La soirée va se terminer par un petit jeu où les femmes joueront le premier rôle.
Proposée le 7/01/2020 par Rodolphe
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: Groupes
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
4 - Le skipper donne de sa personne
Mardi
Le lendemain, nous appareillâmes pour l’île de Port-Elizabeth et notre traversée fut très courte. Bien avant le déjeuner, nous jetions l’ancre dans la grande baie de l’île. Changement d’ambiance : ici la proximité de nombreux bateaux à l’ancre nous obligeait à nous vêtir au moins d’un maillot de bain et même un peu plus pour débarquer.
Nous en profitâmes, Alain et moi pour faire quelques provisions dans la petite ville, pendant que nos clients se baladaient sur la plage, dans le petit port ou dans les rues typiques. Sur le marché aux poissons, nous trouvâmes quelques produits de la mer à acheter et nous revînmes à bord nos sacs à provisions pleins.
Après le déjeuner, nous prîmes deux taxis afin de faire le petit tour touristique de cette charmante île et nous visitâmes quelques lieux emblématiques. En fin d’après-midi, nous regagnâmes le bateau, fatigués, mais heureux de notre journée. Pourtant, une soirée un peu particulière nous attendait.
A la nuit tombée, nous nous installâmes tous autour de la table pour le dîner. J’avais décidé de cuisiner le poisson acheté le matin au marché. Après un apéritif où, encore une fois, le punch antillais fut à l’honneur, ma cuisine fut particulièrement appréciée, de même que le petit vin blanc de Bourgogne bien frais que je servis avec.
A la fin du repas, tout le monde était gai et l’alcool avait quelque peu échauffé les esprits. Des mains se baladaient sous la table et glissaient entre les cuisses. Ce n’étaient d’ailleurs pas que des mains masculines, les femmes aussi participaient à la fête et s’amusaient à faire raidir la verge de leur voisin.
- Qu’est-ce qu’on fait ce soir, les amis, dit tout à coup John ? On va quand même pas se coucher avec les poules.
- Je vous propose un bain de minuit, dit mon mari.
- Oh oui ! Super bonne idée, dit Julie toujours partante pour les activités en tenue légère.
- D’accord, mais après, demanda Enzo ?
- Pour après, j’ai ma petite idée, fis-je sur le ton de la confidence.
Tous les regards se tournèrent vers moi.
- Et bien, dit nous vite !
- Je vous préviens, c’est très… sexuel !
- Ah, si c’est sexuel, ça ne m’intéresse pas dit Enzo en riant !
- Vas-y, Alexia, raconte, demanda Julie, impatiente !
- Et bien voilà. Je dois dire que j’ai particulièrement aimé d’être prise par deux mecs, cet après-midi, alors que j’avais les yeux bandés. C’était vraiment jouissif. Je propose donc qu’une autre, Julie ou Emma, se prête à ce même petit jeux érotique… Et les autres seront les voyeurs.
Tout le monde adhéra à l’idée avec enthousiasme, Julie plus que tout autre :
- Je suis volontaire, dit-elle !
- Je pense que ce serait plus amusant si on tirait au sort, non, dit Alain ?
- Je suis d’accord, approuva John.
- En plus, je propose d’y associer les hommes aussi, reprit mon mari ! Après tout, nous aussi on apprécierait de se faire câliner par deux ou trois femmes, les yeux bandés ! Pas vrai ?
- Entièrement d’accord, appuyèrent John et Enzo !
- Je crois d’ailleurs qu’il n’y aura pas que les yeux qui seront bandés, dit Julie, éclatant de rire à son bon mot !
Avec un enthousiasme extraordinaire, tout le monde aida à débarrasser la table afin de commencer au plus vite ce nouveau petit jeu prometteur. Alain découpa six morceaux de papier, inscrivit un nom sur chacun et les plia en quatre avant de les jeter dans une corbeille.
- Alors, on tire au sort, demanda-t-il ?
- Et le bain de minuit, fis-je ?
- Oh, on verra plus tard, répliqua Enzo !
- Oui, plus tard s’exclamèrent les autres !
Tous étaient si impatients de connaître l’heureuse élue (ou l’heureux élu). On procéda donc au tirage. Ce fut la plus jeune, Emma, qui fut désignée pour choisir un papier dans la corbeille. Hésitante, elle finit par en choisir un et elle le déplia lentement, puis elle lut le nom et eut un petit sourire amusé lorsqu’elle releva la tête :
- The winner is,… Alain !
Éclats de voix, rires et protestations fusèrent. Tout le monde plaisanta sur le fait que les dés étaient pipés et que, comme par hasard, le gagnant était aussi l’organisateur, etc, etc...
- Ben voyons !
- Favoritisme !
- Tricheur !
Imperturbable, mon mari dit :
- Je suis très heureux d’avoir été élu, mesdames et messieurs. Je vous remercie... et… je m’efforcerai d’être un amant à la hauteur.
Il alla s’allonger sur un matelas et le public fit cercle autour de lui. Il mit le masque sur ses yeux et attendit.
- Maintenant, je m’en remets aux mains expertes de nos femmes, dit-il. Je suis prêt.
Alors, les trois femmes se succédèrent pour rivaliser d’adresse, d’abord à la fellation.
Sans surprise, se fut Julie qui commença. Déjà en tenue d’Eve, elle s’installa sur le matelas d’à côté, puis elle saisit la bite de mon mari qu’elle masturba afin de lui donner vigueur. Puis quand le membre lui parut suffisamment en forme, elle le prit en bouche et commença sa fellation. Bien que ses mouvements de tête fussent assez rares, parfois même elle ne bougeait plus du tout, mon homme réagissait sans cesse. Que lui faisait-elle donc ? Sûrement lui léchait-elle le gland, ou le mordillait-elle, toujours est-il que son action était incontestablement efficace, car mon mari n’arrêtait pas de râler de plaisir. Lui-même ne restait d’ailleurs pas inactif, sa main chercha à tâtons les fesses de sa suceuse et glissa vers sa raie.
- Excuse-moi, ma belle, dit-il, mais je vérifie que c’est bien une femme qui me suce… On ne sais jamais !
Il se mit à rigoler de sa plaisanterie.
- Ne t’inquiète pas, s’exclama Enzo… Je peux même te dire que ta suceuse a un sacré beau cul !
Julie, elle, avait réagi à cette pénétration digitale de mon mec en lâchant une seconde sa prise pour pousser un cri d’extase, puis elle avait aussitôt reprit son œuvre.
- Arrête, finit par crier mon homme ! J’en peux plus !
Julie alors se retira et laissa mon mari dans cet état extrême :
- Ah, quelle salope, s’exclama-t-il derrière son masque !… Vous avez embauché une pro, ou quoi ?… Quelle suceuse !
Il s’amusa même à noter la prestation :
- Pour cette excellente fellation, je note 9 sur 10 !
Applaudissements.
- Veinard, s’écria Enzo !
- Bon suivant, fit mon homme désormais impatient de connaître la suite.
Julie me fit signe de prendre le relais. Avait-elle un quelconque sentiment de culpabilité à mon égard pour me désigner ainsi ? Pourtant, elle n’était sûrement pas le genre femme à avoir des remords à piquer le mari des copines ! Je lui fit néanmoins un clin d’œil complice et pris sa place aux côtés de mon mec. Sans attendre, je me penchai sur lui et je pris en bouche cette belle queue que je connaissais si bien et que j’aimais tant. Combien de fois l’avais-je déjà sucée ? Cent fois, mille fois,… je n’en avais aucune idée, mais ce que je savais c’est que j’en connaissais chaque centimètre carré, chaque replis et chaque veine ; c’était un peu comme si elle faisait partie de moi.
Mes lèvres montèrent et descendirent alternativement, glissant le long du membre très dur, qui était encore trempée de la salive de Julie. Alain émit quelque râles qui me rassurèrent sur l’efficacité de mon travail ; il soulevait même parfois son bassin tout en me maintenant par la nuque afin de me forcer à me l’enfoncer plus.
Sans surprise, je subis le même régime que Julie : je perçus vite des doigts investir ma chatte et se mettre à la branler activement. Bien que cette intromission attendue faillit me faire lâcher prise, je continuai ma fellation et l’accélérai même. La réaction de mon homme ne se fit pas attendre :
- Ah quelle salope celle-là aussi, s’écria-t-il ! Mais il y a donc que des salopes sur ce bateau !
Il reprit son souffle et me supplia d’arrêter. Je me retirai et fit signe à Emma.
- Alors, dit John, tu la notes combien celle-là ?
- Oh la la… Disons 7 sur 10.
Nouveaux applaudissements.
Pour ma part, j’encaissai sans un mot l’affront que constituait cette note bien inférieure à celle de Julie. « Alors comme ça je suce moins bien que l’autre tigresse, me dis-je en moi-même ! Ça se réglera sur l’oreiller, ça ! »
Mais déjà Emma était à l’œuvre : on voyait sa tête monter et descendre d’un mouvement rapide et la main gauche de mon mari lui tenir la nuque. De son côté, la main droite partit à la recherche des fesses de la suceuse, mais eu la déconvenue de trouver un slip de bain sur son chemin.
- Ah non! Je ne veux pas de maillot ! Une fellation, ça se fait à poil, cria mon mec !
Sans la moindre hésitation, sa main virile tira violemment sur l’élastique du slip d’Emma, découvrant, pour le plus grand plaisir des voyeurs que nous étions, un mignon petit cul bien rond.
- Non, cria Emma d’une petite voix !
Mais sa molle protestation fut veine, car déjà sa chatte était investie par les doigts de mon homme. Elle reprit tout de même sa fellation, cette fois avec un peu plus d’énergie. Fréquemment, elle relevait brusquement la tête pour pousser un cri en réaction aux assauts de ces doigts fureteurs qui devaient la machiner sans ménagement. Puis elle reprenait de plus belle sa pipe effrénée. Tout à coup, ce fut au tour d’Alain de pousser son cri :
- Aaah ! Arrête, salope !
Emma releva la tête et se dégagea de l’emprise des doigts inquisiteurs, tandis que mon mari reprit peu à peu ses esprits.
- Ah la pute, cria-t-il. Elle mérite bien 8 sur 10 !
Applaudissements de tous.
- Je constate donc, dit John non sans une certaine fierté, que ma tendre épouse est la meilleure suceuse de ce bateau. N’est-ce pas ma chérie !
Julie vint déposer un baiser sur les lèvres de son mari en remerciement, tandis que moi, classée la dernière des suceuses par mon homme, je rongeais mon frein. « Tu vas me le payer ! »
Aussitôt, comme une monture, j’enfourchai mon mari toujours étendu sur le dos et je m’introduisis sa queue. Bientôt, tout mon corps se déchaîna sur ce membre aussi dur qu’un bâton de chêne. Montant et descendant à un rythme effréné, ma chatte trempée coulissait dessus avec une facilité extraordinaire. Le résultat ne se fit pas attendre et après une à deux minutes à ce régime, mon partenaire cria son plaisir :
- Oh ouiiii ! Mais quelle est la petite pute qui me baise comme ça… ? J’en redemande.
Applaudissements du public.
Je redoublai encore d’énergie quand Julie me tira par la main en me chuchotant à l’oreille :
- Laisse-nous un peu la place, gourmande ! On voudrait Emma et moi en profiter aussi un peu.
Je lui fit un sourire entendu et lui laissai la place. Mon mari soupira :
- Ouf. Quelle baise ! Là je note 9 et demi sur 10. C’était parfait !
Ce compliment me rendit aussi fière que si j’avais été la première de la classe : « Allez-y les filles, alignez-vous » pensais-je !
Julie était déjà à pied d’œuvre, chevauchant mon homme, telle une vaillante amazone. Elle savait y faire la tigresse, parvenant même à caresser ses couilles tout en le baisant. Mais elle défaillit rapidement : le vagin sûrement distendu par la grosse queue de mon mec, elle eut un violent orgasme qui finit par la faire s’écrouler sur le matelas d’à côté.
- Et bien, fit Alain, voilà une femme qui n’a pas tenue la distance ! C’était quand même très agréable ; je noterai 6 sur 10.
Applaudissements du public de plus en plus échauffé.
- Ça va être ton tour, ma belle, dis-je à Emma. Mais il faut que je te prépare.
Emma avait en effet gardé son maillot deux pièces, malgré le travail de mon homme. Je délaçai le haut, qui tomba au sol découvrant sa jolie poitrine, ce qui ravit John, puis je tirai son slip jusqu’en bas.
- Vas-y ma belle, lui dis-je à l’oreille. Fais-le jouir.
Elle prit place au-dessus de l’homme, qui attendait tranquillement la suite, et introduisit lentement sa queue en elle tout en émettant de petits gémissement de plaisir. Puis elle commença son mouvement de va-et-vient, d’abord très lentement, puis de plus en plus vite. Cette montée en puissance progressive et continue excita particulièrement Alain qui ne tarda pas à le faire savoir :
- Oh toi, cria-t-il, tu baises comme une pro !… Une vraie petite salope !
Quand elle parvint à lui saisir les testicules, peut être était-elle inspirée par la prestation de Julie, ce fut comme un coup de tonnerre pour mon mari. Il cria très fort sa jouissance, se saisissant des seins d’Emma pour les malaxer avec force en réaction à sa baise. Elle même, stimulée par le violent orgasme qui secouait son partenaire, eut elle aussi le sien. Alors, ce fut un concert, ou plutôt une chorale de cris d’extase où se mêlaient la douce voix féminine d’Emma et la voix forte et grave d’Alain. Le public applaudit à tout rompre.
Emma, épuisée et heureuse, se laissa glisser aux côtés de son partenaire. Puis elle lui ôta le masque et colla tendrement ses lèvres aux siennes.
- C’est donc toi qui m’a si bien baisé, Emma.
- Tu me notes combien, dit-elle facétieuse ?
- 9 sur 10 au moins, répondit-il. Tu es une amante extraordinaire !… Mais alors dites-moi. Et les autres ?
John expliqua à Alain quelles avaient été celles qui étaient successivement passées sur son corps. Puis il annonça solennellement :
- Et voilà les résultats du vote d’Alain : le prix de la meilleure suceuse de la croisière est attribuée à Julie !
Applaudissements du public.
- C’est bien mérité, ajouta mon mari.
John continua :
- Et le prix de la meilleure baiseuse de la croisière est attribué à… Alexia !
Nouveaux applaudissements.
- Ouais, criai-je triomphante, je suis la meilleure !
Mon mari se leva pour embrasser les deux gagnantes. Julie demanda :
- Mais qu’est-ce qu’on gagne ?
- Le droit de re-baiser avec moi, fit Alain en éclatant de rire !
- En tout cas, reprit-il, c’est une super expérience. Ce faire baiser et sucer par des inconnues est bien plus excitant que je l’aurais cru.
- Bon et bien maintenant, tout le monde à l’eau pour le bain de minuit, criai-je !
Et tous, telle une volée de moineaux, se jetèrent à l’eau.
A suivre.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Fleuron
Ah la, ca déménage. Cette fois ci cela a mouillé mon slip et beaucoup. Ma petite femme étonnée a joui egalement, rien qu'à me voir gicler. Merci a vous. Je vous revaudrai ça dans MES récits.
Posté le 25/09/2020
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email