Une soirée ratée qui va bien tourner. Un mec quelconque se prend pour un photographe d'art, et la modèle tombe dans le panneau avant de tomber dans ses bras... Drôleries, cochonneries et autres plaisirs vont nous attendre. N'hésitez pas à commenter et à venir m'écrire!
Proposée le 21/11/2019 par alain40
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Aissa, 59 ans passés, était femme de ménage. On se la passait d'appartements en lofts chics dans les beaux quartiers parisiens.
Elle travaillait entre autres chez Edith, la cinquantaine passée. Edith était veuve et seule depuis bien longtemps. Cette bourgeoise coincée avait renoncé à toute vie charnelle. C'est ce que pensait Aissa, sénégalaise d'origine, et bien décidée à y retourner finir ses jours.
Aissa était consciencieuse, mais malgré tout était victime de bombeuses réprimandes. Son ressentiment envers Edith grandissait de jour en jour. Elle attendait une bonne occasion pour se venger de cette patronne aux airs trop supérieurs. Et au début de l'année le moment tant attendu se présenta .
Aissa se dirigea vers la chambre de son employeur, pour y faire son job. Arrivant devant la porte, elle entendit un bruit bizarre, strident, plutôt un gémissement. Elle entrouvrit la porte légèrement et surprise... cette rentière au balai dans le cul, jouait avec un objet dans la chatte... Elle en frémit, eut peur de se faire surprendre, alla refermer la chambre quand l'idée perverse de la filmer lui prit.
Elle ne voyait pas grand-chose, mais dans le reflet du miroir, l'entre jambe béant d'Edith jouissait.
Ses énormes seins ballottaient quand elle ne se les caressait pas. Ses tétons devaient être bien excités, puisque gobés par moment entre les lèvres sèches d'Edith.
Aissa mouillait dans l’entrebâillement de la porte. Edith n'était pas belle, mais la surprise de la voir ainsi l'encouragea à mettre la main sous sa blouse. Elle dût rapidement se calmer car l'extase de sa patronne arriva à ce moment. L'extase bruyante lui permit de fermer la porte sans se faire remarquer.
Rentrée chez elle, Aissa se précipita sur son mari qui ne comprit pas un tel engouement. Elle lui dégrafa son pantalon afin de le sucer goulûment. La verge gonflée, il se vida rapidement les bourses dans la bouche d'Aissa qui n'en demandait pas plus.
Elle ne voulait que se sentir remplie de sperme et de sexe pour s'endormir rapidement, avec des pensées obscènes et perverses ?
Trois jours plus tard, elle retrouva l'appartement d'Edith qui était de fort méchante humeur. A la première remarque désobligeante, Aissa prit Edith entre deux yeux.
« Madame, cela fait des années que je travaille pour vous. Vous n'avez jamais été gentille, aimable. Il va falloir aujourd'hui le payer »
« Tu es virée ma petite Aissa ! » lui rétorqua t-elle.
« Non madame. Je pense que certains secrets dévoilés à vos copines du catéchisme feraient du plus mauvais genre ».
« Tu me menaces petite salope ? »
« Oui je vous menace madame. J'ai fait une vidéo de vous, en bien plus salope que moi. Vous étiez dans votre lit la semaine dernière, nue, avec dans le sexe un god qui paraissait de bien bonne taille »
« Et alors que veux-tu ? De l'argent ?»
« Non, je veux que vous me fassiez un cadeau un peu spécial... Je voudrais vous offrir pour un week-end à un homme ».
« Mais petite pute, je n'ai plus jamais touché un homme depuis dix ans. Et tu m'as bien vue ? Tu as vue ma cellulite, mon ventre qui tombe, mon gros cul bien gras ? Quel homme voudrait de moi ? »
« Mon père. Mais maintenant tu ne me tutoies plus. Tu me respectes et tu m'obéis . Sinon je fais tourner la vidéo dans le quartier... D'accord ? »
« Combien de temps va durer ce chantage? »
« Le temps de finir ce week-end. Déshabille-toi. Allez... Mon père Moussa, adore les formes généreuses des femmes blanches ? Ca fait quelques temps qu'il n'en a pas touchée. Allez enlève cette culotte. Et allonge toi maintenant... »
« Que vas-tu heu... qu'allez vous me faire ».
« Te rendre plus belle ». Aissa alla dans la salle de bain pour ne revenir avec un rasoir et de la cire. Malgré son célibat Edith était entretenue ?? Aissa la fit lisse, en finissant par épiler son pubis. Edith frémissait, et Aissa prenait plaisir à asseoir son autorité. Aissa commença à jouer avec les lèvres épilées d'Edith, qui rougissait de toutes ses forces. Ses doigts se firent plus pressants et jouèrent avec son sexe. Malgré le contrôle qu'Edith voulait garder, sa chatte mouillait et le plaisr s'empara d'elle. Aissa s’arrêta vite. Elle ne voulait pas jouir d'Edith, juste la perturber un peu plus encore.
Le week-end suivant Edith fut attablée avec Aissa et Moussa sous un quelconque prétexte. Et avec une excuse rapide, Aissa s'excusa de les laisser tous les deux.
Elle avait habillé Edith en allumeuse notoire. Sa mini-jupe ne cachait pas ses porte jarretelles, ses seins explosaient sous son décolleté, ses lèvres ne furent jamais aussi rouges.
Le vieux était aux anges et se demandait quand sa fille revendrait.
Selon les consignes qu'Aissa lui avait données, elle alluma rapidement Moussa, cette fois-ci avec des mots bien choisis. Moussa sortit une petite boîte de sa poche et en sortit une pilule bleue qu'il avala. Sans mot, il était entendu qu'ils allaient baiser chez lui.
Arrivés dans son appartement, il lui demanda de se déshabiller, chose qu'elle fit vite. Il l'allongea sur le dos, puis montre qu'il état aussi pervers qu'Aissa. Il prit des cordes et ficela Aissa des quatre membres. Edith regrettait d'être là mais les menaces d'Aissa la terrifiaient bien plus encore.
Moussa se déshabilla lentement, les effets du viagra ayant fait leur œuvre... Sa queue était énorme, vraiment : grande, large, poilue, courbée et avec les couilles pleines.Il vint s'asseoir sur le ventre gras d'Edith et se branla la hampe avec les mamelles blanchâtres d'Edith. A chaque mouvement de bite, son gland atterrissait dans la bouche maquillée d'Edith. Elle était surprise car n'avait jamais connu de verge noire. Moussa délaissa ses seins, et remonta son sexe plus haut pour l'engloutir dans sa bouche. Elle suçait fort mal. Alors par petites frappes sur ses nichons, il la força à s'appliquer, chose qu'elle fit. Edith le sentait gonfler, gonfler, gonfler jusqu'à obtenir plusieurs jets épais au fond de sa gorge. Sans aucun mot, l'homme se releva et sortit de la chambre, laissant la femme seule attachée au lit.
Plusieurs interminables heures passèrent durant lesquelles elle s’endormit. Quand il revint, il bandait déjà. Il déficela une jambe, la passa derrière son épaule et sans tendresse la pénétra. Il resta un moment à l’intérieur sans bouger. Après s'être mis à claquer les nibards de la bourgeoise, il entreprit de la limer. Sa bite la trépanait, c'était un pieu, d’une fermeté due aux médicaments, mais qui comblait tout son vagin. Elle commençait à prendre du plaisir. Son membre qui la défonçait la fit hurler. Quand il sortit sa bite, elle était toute collante. Il avait déjà éjaculé sans en montrer le moindre signe de plaisir.
Il détacha les derniers liens et lui dit simplement : « Tu peux partir maintenant. Mais sois bien gentille avec Aissa s'il te plaît ».
Elle rentra en hâte chez elle.
Quand elle ouvrit la porte de son appartement, elle vit Aissa assise, jambes croisées, et totalement nue dans le fauteuil.
Elle comprit que ce n'était pas encore terminé...
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