Alessandra est ma demi-soeur. Un jour je gagne un pari me permettant de faire ce que je veux d'elle pendant un jour...les idées ne manquent pas!
Proposée le 8/06/2015 par Imagine69
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Voilà deux ans que mon père s’était marié avec Sylvie. C’était au début difficile de s’accoutumer à cette situation. Ma mère et ma vie d’avant me manquaient énormément mais j’étais parvenu à passer outre. Et puis Alessandra m’avait bien aidé à tourner la page malgré elle. Alessandra était la fille de Sylvie. Une belle jeune femme aux cheveux châtains et aux courbes sensuelles. Suite au mariage mon père et Sylvie avaient décidé de nous placer dans le même lycée. Nous étions tous deux en classe de Terminale. Mes amis me tannaient souvent avec des obscénités sur ma quasi-sœur. C’est vrai qu’elle était très attractive et dévergondée selon les dires de certains. Il m’arrivait régulièrement de penser à elle en me masturbant.
Nous entretenions une relation particulière. Nous aimions partager nos histoires et se taquiner. Parfois même je sentais une certaine tension sexuelle entre nous. Mais nous n’avions jamais rien fait compte tenu de notre situation de famille recomposée. Pourtant elle m’obsédait de plus en plus et je sentais que je ne la laissé pas indifférente. Un jour, dans notre perpétuelle envie de jouer, nous décidâmes de faire un pari.
- Celui qui obtient la meilleure note au devoir d’Histoire a le droit de tout sur l’autre pendant une journée, m’avait-elle proposé en rigolant.
Bien évidemment, ma fierté avait acquiescé. Pourtant j’étais loin derrière Alessandra pour ce qui été des notes. Elle faisait partie de ces premiers de la classe qui sont toujours au premier rang alors que moi j’étais fondu dans la masse des « moyens ». La rivalité et l’envie de victoire me poussait néanmoins à réviser plus que d’habitude. Je voulais gagner cette fois !
Le jour du devoir, Alessandra, légèrement vêtue, s’était assise devant moi. Elle était vraiment bandante et malgré moi une érection naissait dans mon pantalon. J’aurais juré qu’elle faisait ça pour me déconcentrer ! Mais ça ne marcherait pas aujourd’hui ! Il fallait que je me concentre. Pendant les deux heures je mis donc tous mes neurones à contributions pour faire de mon mieux. Pourtant mes yeux se portaient régulièrement sur la chute de reins d’Alessandra qui laissait dépasser volontairement une partie de son string. Je l’aurais ! A la fin, Alessandra me demanda si l’examen s’était bien passé avec un sourire salace et je répondis, avec le même regard, que notre sort était scellé.
Une bonne semaine passa le temps que les résultats tombent. L’anxiété était palpable à mesure que la date arrivait et nous ne cessions de se tanner mutuellement. C’était un mercredi matin, nous n’avions ce jour-là que le cours d’Histoire le matin et donc l’après-midi pour nous. Le cours passa lentement puis la professeure distribua les copies sans mentionner les notes. Elle donna sa copie à Alessandra qui se tourna vers moi en rigolant, l’air victorieux. Puis vint mon tour. La professeure me tendit la copie sur laquelle je lus « 18/20 ». Je ne pouvais m’empêcher de retourner son sourire à Alessandra qui sembla s’arrêter un instant de rigoler. Après les cours, nous rentrâmes tous deux chez nous à pied.
- Alors combien tu as eu ? demanda Alessandra, avide de savoir si elle m’avait battu.
- Tu verras ça quand on sera rentré, dis-je tout sourire.
Je sentais qu’elle était anxieuse et pressée d’en découdre. Une fois à la maison, je trouvais un mot de mon père me disant qu’il avait emmené Sylvie en balade et qu’ils ne rentreraient que tard le soir. J’avais donc toute la journée pour moi ! J’allais dans ma chambre déposer mes affaires et Alessandra me suivit avec impatience.
- Alors combien as-tu eus ? Finissons-en que je puisse faire de toi ce que je veux, me dit-elle confiante.
- Tu es bien sûre de toi ! répondis-je avec un sourire. Honneur aux femmes ! Montre-moi !
Avec fierté elle prit son devoir et me le montra. Elle avait eu 17 sur 20 ! Je ne pus m’empêcher de sourire et elle sembla se décomposer.
- Pourquoi tu souris ? me dit-elle paniquée. Montre-moi ce n’est pas juste !
Je pris mon temps pour sortir mon devoir du sac. Je la regardais terrifiée puis je lui montrai ma note.
- Quoi ? s’exclama-t-elle. Toi, tu as eus 18 sur 20 ? Ce n’est pas possible ! Tu as toujours des mauvaises notes normalement ! Tu as triché ?
J’étais fier de moi, fier de la voir comme ça ! Elle qui n’aimait pas s’avouer vaincue. Je ne pouvais m’empêcher de rigoler.
- Il faut croire que ce coup-ci j’étais plus fort que toi ! C’est donc moi qui ferais ce que je veux de toi aujourd’hui ma belle ! répondis-je d’un air prétentieux.
- Bon d’accord, je m’avoue vaincue ! Qu’est-ce que tu attends de moi ? me demanda-t-elle d’un air dépité.
- Voyons voir… dis-je en réfléchissant.
Alessandra était pendue à mes lèvres. Elle attendait mon verdict avec impatience et crainte. Soudain, une idée traversa mon esprit.
- Déshabilles-toi ! lui lançais-je.
- Pardon ? répondit Alessandra estomaquée.
- Tu as bien entendu ! rétorquais-je. Ôte te habits ! rajoutais-je d’un air amusé.
Alessandra était plantée au milieu de ma chambre. Elle me regardé d’un interloqué puis en voyant que je ne bougeais d’un pouce et que je ne revenais pas sur ma décision elle me dit :
- Bon ok comme tu veux !
Elle enleva son haut et sa petite jupe tandis que je regardais ses formes avantageuses. Je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir une érection devant un si beau spectacle. Elle restait devant moi et ne me quittait pas du regard. Mes yeux descendaient le long de son corps. Elle avait gardé son soutien, son petit string et ses talons. Je fis le tour pour reluquer son fessier bien ferme alors qu’elle restait immobile, puis je revins me mettre devant elle et avec un sourire je lui dis :
- J’ai dit toute nue !
- Quoi ? Mais ça ne va pas ! Si nos parents voyaient ça ils ne seraient pas contents ! On est déjà allé trop loin ! me dit-elle entre peur et colère.
- Je m’en fiche ! Je veux que tu te déshabille et après tout c’est moi qui ai gagné le pari ! répondis-je avec le même sourire salace.
- Ça va mal finir ! Tu me le paieras, dit Alessandra en défaisant son soutien.
Je la regardais énervée et je ne pouvais gommer mon sourire. Alessandra laissa glisser son soutien sur le sol et se baissa pour enlever son string sans que je puisse voir ses seins. Son string tomba à son tour sur le sol et elle se relava en cachant tant bien que mal sa poitrine et son sexe. Elle me regardait comme une chienne apeurée par son maître.
- Hmm hmm sans les mains ma belle, lui ordonnais-je.
A contrecœur et timidement elle ôta ses mains. Ses seins étaient ni gros ni petits mais bien dessinés et fermes. Ses tétons pointaient. Je sentais son excitation monter malgré elle. Mes yeux longèrent son corps de rêve et se posèrent sur son sexe. Je pouvais voir de la mouille couler le long de sa jambe.
- Alors comme ça on est excitée ? lui dis-je en souriant.
- Arrêtes de dire des bêtises, répondit-elle, vraisemblablement gênée. C’est bon ? Tu as bien pu mater ? Je peux me rhabiller ?
- Hmmm non je n’en ai pas encore finis avec toi ! Allonge-toi sur le lit, la tête vers moi.
Alessandra s’exécuta en jurant contre moi. Elle s’allongea sur le ventre et se rehaussa sur les coudes. Je me mis devant elle, sa tête était au niveau de mon sexe mais elle ne me quitta pas du regard même si elle avait remarqué la bosse sous mon pantalon. Je le regardais puis je défis mon pantalon et sortis mon sexe devant elle. Elle le regarda et eut un rire nerveux.
- Qu’est-ce que tu fais ? Je suis ta sœur, tu ne peux pas faire ça ! dit-elle outrée.
- Tu n’es pas ma sœur et je fais ce que je veux de toi aujourd’hui, lui répondis-je sûr de moi. Suce-moi !
- Quoi ? Non ça ne risque pas d’arriver !
- Tu n’as pas le choix ! Dois-je te rappeler que j’ai gagné le pari ?
Alessandra eut à nouveau un rire nerveux. Elle était décontenancée par la situation et je prenais un malin plaisir à la voir ainsi dominée. Elle regarda à nouveau mon sexe épais et me dit :
- Bon ok, mais ça reste entre nous !
- Bien sûr que ça reste entre nous ! la rassurais-je.
Elle saisit à contrecœur mon sexe en érection dans sa main.
- Hmm hmm sans les mains ? lui ordonnais-je.
Elle ne répondit que part un soupir de mécontentement. Elle ferma les yeux comme pour oublier la situation et engouffra entièrement mon sexe dans sa bouche. Je ne pus m’empêcher de pousser un soupir de plaisir en sentant l’humidité et la chaleur de sa bouche. Elle me suça lentement, sensuellement et eut bientôt du mal à enfourner mon sexe dans sa gorge tant il avait pris de l’ampleur sous ses coups de langues.
- C’est bien ! Continue comme ça ma salope ! Tu suce super bien, lui lançais-je.
Elle me regarda avec des yeux de biche. Je tirai ses cheveux vers l’arrière, saisis sa tête et commença à donner le rythme. Elle ferma les yeux et reçu docilement les coups de reins que je lui assénais. Je n’hésitais pas à pénétrer sa gorge et à baiser sa bouche. Après tout je pouvais faire ce que je voulais d’elle ! Je vis sa main se glisser vers son bassin. Elle commençait à se doigter.
- Tu aimes ça ma salope ? Doigte-toi bien !
Elle acquiesça tant bien que mal et je décidais de relâcher mon emprise sur sa tête pour la laisser respirer mais elle continua d’elle-même à un rythme endiablé. Sa main quitta son sexe et je la vis glisser dans le sillon de ses fesses. Elle commençait à doigter énergiquement son petit trou. Je me doutais qu’Alessandra était une salope au lit mais je n’aurais jamais imaginé qu’elle aimait la sodomie. Cette image m’excita encore plus et je ne pus m’empêcher d’exploser dans sa bouche. Alessandra sembla s’étouffer dans un premier temps mais parvint à avaler ma semence qui arrivait par grosses giclées dans sa bouche. Elle semblait adorer car elle continuait de me pomper avidement et de se doigter. Je la sentais jouir, son corps était parcouru de spasmes et elle aspirait entièrement mon sexe. Après quelques instants elle retira mon sexe de sa bouche et repris sa respiration en me regardant.
- Tu as aimé ? me demanda-t-elle.
- Ça parait évident, répondis-je, la respiration saccadée. Et toi ?
- J’ai adoré ! dit-elle en rigolant et en suçotant mon gland avec amour. On se rhabille ?
- Oui mais n’oublies pas que je t’ai pour toute la journée ma belle !
- Je n’oublie pas, répondit-elle avec un sourire.
Nous nous rhabillâmes en échangeant des sourires complices. J’adorais le chemin que prenait notre relation. Une fois habillé, je lui dis que j’allais sortir prendre l’air un peu et je quittai la maison d’un air festif.
Je retrouvai Gilles, un des amis que je m’étais fait en arrivant dans ce lycée. Je savais qu’il avait toujours fantasmé sur Alessandra et je décidai de lui raconter toute l’histoire.
- Tu te moques de moi ! Elle ne t’a pas fait ça ? dit-il choqué par les nouvelles.
- Oh si elle a bien fait ça! Et c’était génial ! lui répondis-je tout sourire.
- La chance ! me dit-il envieux. Tu ne voudrais pas la partager avec ton ami ? me demanda-t-il d’un air malicieux.
- Hmmm je vais voir ce que je peux faire ! Et puis de toute façon elle est obligée de faire ce que je veux ! On va chez moi ?
La réponse ne se fit pas attendre et nous décidâmes de rentrer chez moi. Nous étions tous les deux nerveux de retrouver Alessandra. Est-ce que ça ne ferait pas trop ? Allait-elle accepter ? Nous arrivâmes sur le pas de la porte, tous les deux anxieux, puis j’ouvris. Derrière la porte se trouvait Alessandra. Elle portait des talons aiguilles, des jambières, une culotte ouverte derrière qui nous laissait admirer le sillon de ses fesses et un soutien qui mettait parfaitement sa poitrine en valeur. Elle avait attendu mon retour avec impatience semble-t-il ! Mais en voyant Gilles, elle essaya de cacher tant bien que mal son corps.
- Tu ne m’avais pas dit que tu rentrais accompagné ! me dit-elle en colère.
- Ne t’inquiète pas Alessandra ! Il est au courant de toute façon, lui répondis-je calmement.
- Quoi ? Tu lui as dit ? Mais qu’est-ce qui t’es passé par la tête ? Je croyais que personne ne serait jamais au courant ! dit-elle toujours énervée.
- Calme-toi ma belle ! Gilles ne répétera rien, n’est-ce pas Gille ?
Gilles regardais fixement le corps d’Alessandra comme s’il était absorbé par ses courbes. Il hocha de la tête puis je repris :
- Tu vois ! Je peux lui faire confiance !
Alessandra sembla se détendre. Elle enleva ses mains et nous laissa admirer son corps avant de rajouter :
- Tu permets que j’aille me rhabiller ?
- Non surtout pas ! Reste comme ça tu es si bandante !
Elle me regarda avec de gros yeux et je lui répondis d’un sourire salace.
- Nous allons nous asseoir dans le salon, peux-tu nous ramener quelque chose à boire Alessandra ? demandais-je.
- Bien sûr ! répondit-elle sèchement.
Sans décolérer, Alessandra fit volte-face et marcha vers la cuisine. Gilles ne lâchait pas le petit cul rebondi d’Alessandra qui se déhanchait plus que d’habitude. Malgré sa colère, elle voulait nous chauffer. Nous allâmes nous assoir dans le canapé. On échangea un regard et un bref sourire avec Gilles qui semblait gêné par l’érection qui déformait son pantalon. Alessandra revint de la cuisine avec un plateau et des verres. Elle se mit face à nous et se courba pour poser les boissons sur la table, nous offrons ainsi une superbe vue sur ses fesses et son entrejambes. Je sentais Gilles qui mourrait d’envie de l’agripper mais il se retint. Alessandra se releva et se retourna vers nous. Gilles ne cessait de la mater et Alessandra esquissa un sourire, fière de nous faire de l’effet.
- Alessandra, je pense que notre invité est très inconfortable dans son pantalon et aurait bien besoin de ton aide, lui dis-je.
Gilles semblait paralysé. Alessandra, la femme dont il fantasmé le plus, s’agenouilla entre ses jambes. Elle défit la ceinture, le bouton et la braguette de son pantalon et le tira vers elle. Le sexe de Gilles fut libéré de toute entrave. Il bandait fortement à la vue d’Alessandra.
- Monsieur désire-t-il une fellation ? demanda-t-elle sensuellement à Gilles.
Celui-ci acquiesça timidement. Je regardais Alessandra avancer lentement vers son sexe mouillé d’excitation. Elle le saisit d’une main, le masturba doucement puis avala son gland. Gilles fut parcouru d’un spasme de plaisir et haussa machinalement son bassin pour chercher la bouche d’Alessandra. Celle-ci répondit à ses mouvements en le laissant la pénétrer plus profondément. Je voyais ma demi-sœur sucer avidement mon ami et cela me mettait dans tous mes états. Ce dernier voyait son fantasme se réaliser et mis très peu de temps à succomber aux allers retours d’Alessandra. Son corps se raidit, et dans un long râle de plaisir il éjacula à foison dans la bouche de celle-ci qui avala tant bien que mal toute la semence.
- Désolé ! Désolé Alessandra ! s’excusé Gilles très gêné de ce qu’il venait de faire. Je ne voulais pas…je suis vraiment désolé…j’avais tellement rêvé de ce moment…je suis vraiment désolé…
- Ne sois pas désolé Gilles, répondis Alessandra en finissant d’engloutir les dernières giclées qui s’échappaient du gland de Gilles. J’ai adoré ça ! Et puis j’espère qu’il t’en reste encore en réserve !
Gilles semblait soulagé de la réponse tandis qu’Alessandra continuait de le sucer langoureusement.
- Dis donc ! Tu n’oublierais pas ton frère par hasard ? dis-je à Alessandra.
- Ca ne risque pas, me répondit-elle avec un sourire charmeur que je ne lui connaissais pas.
J’étais un peu interloqué mais je défis mon pantalon et sortis mon engin qui ne pouvait plus tenir. Alessandra garda la queue de Gilles dans sa main droite et saisit ma hampe de la main gauche. Sans me quitter du regard et sans arrêter de masturber mon ami, Alessandra enfonça mon dard au plus profond de sa bouche. Elle me sucer à la fois tendrement et énergiquement. Dans son regard se mêler des sentiments de plaisir, de bonheur, de passion, d’envie et d’amour. Tomberait-elle amoureuse de moi ? Ca ne pouvait se passer ainsi ! Pourtant, mes sentiments envers elle avaient bien changé depuis ce matin et je développais de plus en plus d’affection pour elle. Après une longue fellation je lui proposai de se mettre à genoux sur le divan. Elle accepta sans rechigner. Gilles se mit à genoux devant Alessandra et elle commença à le sucer. Pour ma part, je fis glisser sa culotte le long de ses jambes. Elle les écarta et je me mis sous elle. Je rapprochais ma bouche de son sexe et la lécha tendrement. Son corps réagissait énormément à mes coups de langue. L’idée de lécher ma demi-sœur me procurait un plaisir immense. Je sentais le bassin d’Alessandra chercher ma bouche tandis qu’elle procurait une tendre fellation à mon ami. Sentant son excitation monter, je décidai d’arrêter. Je me plaçai derrière elle et la pénétra. Mon sexe entrait facilement tant Alessandra était humide et dilatée. La chaleur et l’humidité de son sexe étaient follement agréables. L’image de la situation l’était encore plus !
Au bout de quelques instants, Alessandra laissa échapper des cris de bonheur à moitié entravés par le sexe de Gilles. Je décidais alors de lécher sa fente pour récupérer son délicieux nectar. Alessandra semblait être au paradis. J’avalai sa cyprine et vins doucement lécher son anus. Je voulais analyser sa réaction et elle semblait apprécier énormément. Je décidais donc de me relever et de poser mon sexe sur son petit trou. Elle arrêta de sucer Gilles :
- Vas-y doucement s’il-te-plait…c’est ma première fois !
Je n’en revenais pas ! J’étais le premier qui aller pouvoir sodomiser ma tendre Alessandra. Quelque peu fier, je pénétrai doucement mon sexe dans son petit trou. Alessandra pompa Gilles de plus belle. Elle aimait ça ! Peu à peu je pénétrais mon sexe dans son anus et sous ses râles de plaisir. Elle arrêta de sucer Gilles qui se glissa en dessous de nous et pénétra à son tour le sexe d’Alessandra. Celle-ci prenait un plaisir fou à se faire prendre par son demi-frère et son ami si bien qu’elle jouit à de multiples reprises. Son bassin cherchait constamment nos queues qui la pénétré de plus en plus violemment. Sentant que nous allions jouir, Alessandra nous demanda de nous retirer. Elle se leva, s’agenouilla au milieu du salon et ouvrit sa bouche comme pour nous inviter à lui donner sa récompense. Nous nous mimes au-dessus d’elle et nous masturbions intensément. Alessandra, la bouche grande ouverte, ne cessait de me fixer de son regard amoureux. Au bout de quelques instants, Gilles éjacula dans sa bouche et je le rejoignis. De grosses giclées de spermes sortir de mon sexe et se mélangèrent à celles de Gilles dans la bouche de ma tendre Alessandra. Cette dernière avait la bouche remplie de notre foutre et l’avala goulument avant de nous sucer pour finir de pomper les dernières goutes de nos sexes. Elle était si belle, si charmante, si bonne… je ne la reconnaissais pas pour j’avais toujours voulu la voir ainsi.
Peu après, Gilles prit se rhabilla et quitta notre maison. Nous restâmes tous les deux, Alessandra et moi, à nous embrasser passionnément en attendant que les parents rentrent.
PS: n'hésitez pas à me faire part de vos commentaires. Je sais que je peux parfois faire des fautes d'orthographe. J'écris sur le moment et vous envoie tout sur le moment. Soyez cléments :)
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Très bonne histoire bravo ????
Posté le 9/08/2024
Anonyme
Histoire bandante, on aimerait y être
Posté le 17/05/2024
Anonyme
´Aurais aimé être un des mecs,
Posté le 17/02/2024
Lebaizzeur
J'aurais de la chance si j'avais une soeur comme çà ! C'est très bien écrit, bravo!
Posté le 30/10/2021
Alice
histoire très bandante. je mouille...
Posté le 31/10/2018
xavier tallagrand
j'ais beaucoup aimer si tu avais une suite je la lirais avec plaisir
Posté le 20/09/2018
Anonyme
Très belle histoire, élle m'a fait bander
Posté le 21/03/2018
Jeff
Jolie histoire à quand la suite
Posté le 6/08/2016
Lorie22
Bon je pense que se servir ainsi de sa démi-soeur n'est pas très correcte mais comme vous avez été bien donc....
Posté le 11/07/2016
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