Les fiançailles d’Hortense avec Louis, le régisseur du domaine de Marmaing sont aussi l’occasion d’une autre cérémonie et de plus de surprises. Margot et Ninon y perdront leur état de pucelles. Et la fête qui suivra sera une orgie comme il est de coutume au château de Rochefeuille.
Proposée le 8/02/2019 par Marc Paul
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Roman
La porte se referma. Hortense donna deux tours de clé à la serrure.
Les deux jeunes filles se regardaient sans comprendre ce qui se passait, n’osant même pas se questionner l’une et l’autre. Depuis le matin, il régnait dans le château une atmosphère inhabituelle, une fièvre laborieuse. Comme si le Comte et la Comtesse allait recevoir un visiteur important. Hortense avait enfermé Margot et Ninon en fin de matinée dans leur chambre. Elle était venue les rechercher en fin d’après-midi et, sans aucune explication, les avait conduites au cuvier en leur ordonnant de faire leur toilette comme elles avaient l’habitude de la faire chaque fin de semaine et de s’épiler soigneusement. Mais leur dernière épilation avait eu lieu la semaine passée et on n’était pas samedi. Hortense avait vérifié une fois de plus leur virginité.
Après les avoir enfermé de nouveau, Hortense était revenue avec des vêtements sur le bras et avait tendu un petit pot de verre qui contenait un onguent parfumé. Elle leur avait ordonné de se passer cette pommade sur tout le corps.
Hortense venait de ressortir de leur chambre en la verrouillant après leur avoir dit de se vêtir avec ce qu’elle avait posé sur le lit.
Margot regarda la première les vêtements qui lui étaient destiné. Une chemise courte qui arrivait au milieu de ses cuisses, des bas et des jarretières, une petite coiffe en dentelle. Ninon avait la même chose. Tous ces vêtements étaient neufs, d’une blancheur virginale.
Cela plongea les deux filles dans la plus grande expectative. Elles finissaient de se vêtir quand Hortense revint. Elle aussi, semblait tendue. Elle inspecta les deux filles, ajusta la coiffe de l’une, les jarretières de l’autre puis les fit sortir. Hortense les conduisit dans les couloirs, en direction du grand salon du premier étage. Margot et Ninon n’avait pas l’habitude de venir dans cette partie du château. Elles ne quittaient que très rarement les appartements de la Comtesse sauf pour se rendre aux cuisines où elles prenaient leur repas en compagnie des autres servantes.
Hortense les fit entrer dans une antichambre qui s’ouvrait sur le salon. De la musique, des bruits étouffés de conversation leur parvenaient à travers la porte close. Hortense dit aux deux filles de se tenir debout, face à la porte close et d’attendre. Elle sortit de la pièce en la verrouillant une fois encore.
Margot et Ninon attendirent quelques minutes qui leur semblèrent longues comme des heures. Elles n’osaient pas parler, ne se regardaient même pas mais fixaient la double porte close comme si elle pouvait leur donner la réponse à leurs interrogations.
L’orchestre entama une longue sonnerie de cuivres. Les deux battants de la porte s’ouvrirent et Hortense se tenait derrière. La lumière des trois lustres éblouit Margot et Ninon qui instinctivement se prirent la main, effrayées par la musique des trompettes, la lumière et surtout ce qu’elles découvrirent.
D’abord Hortense, qui ne portait plus la jupe rayée blanche et rouge et son habituel corset rouge, était habillée d’une robe verte, ou plutôt d’une sorte de manteau, ou de robe de chambre. Margot comme Ninon avait du mal à définir ce vêtement, mais ce qui surprit le plus les deux filles, c’est que la jupe était largement ouverte jusqu’à la taille sur le devant et à l’arrière et qui dessinait un grand arrondi qui découvrait son ventre et son postérieur, ses jambes et son pubis. Elle ne portait pas de chemise, ni de corset et sa robe avait un large décolleté en dentelle qui découvrait entièrement ses gros seins tout en les soutenant fermement. Les deux autres femmes de l’assemblée étaient vêtues du même genre de robe, seule la couleur changeait. Rouge sang pour la Comtesse de Rochefeuille, bleu vif pour la Marquise de Marmaing.
Hortense passa derrière les deux filles tremblantes d’émotion et les poussa en avant quand le son des trompettes cessa. En marchant d’un pas mal assuré, Margot et Ninon jetèrent un regard circulaire dans le grand salon. Outre Hortense, la Comtesse Catherine et la Marquise qui étaient les seules représentantes du beau sexe, elles virent Le Comte Hector assis sur un fauteuil en face d’elles avec la Comtesse Catherine à sa gauche et la Marquise de Marmaing à sa droite. Près d’elle, un homme qu’elles ne connaissaient pas. Le Marquis de Marmaing se tenait à la gauche de la Comtesse. Et à côté un fauteuil vide qui était celui d’Hortense car elle s’y assit aussitôt après avoir conduit les deux filles face au Comte.
Assis sur des coussins posés au sol, Aloïs et Silvère, les deux écuyers du Comte entièrement nus. Toute à leur surprise, c’est tout juste si elles virent le curé, le corps décharné, le teint jaune et le cheveu rare, qui se tenait un peu en retrait, debout entre le Comte et la Comtesse, les doigts croisés sur son bréviaire.
Tout ce beau monde formait un arc de cercle dont le centre était occupé par une table recouverte d’une couverture de velours. C’est après leur avoir fait contourner cette table qu’Hortense les abandonna pour retourner s’asseoir.
En s’inclinant pour faire une révérence, Margot remarqua que comme elle, les écuyers assis sur le sol juste devant elle, avaient eux aussi le corps totalement épilé.
Le Comte se leva, se racla la gorge et entama un petit discours.
« Voilà donc ces deux merveilles dont vous me parlez si souvent, ma chère Catherine. Et vous avez eu cette idée merveilleuse de nous les présenter à l’occasion des fiançailles de votre bonne Hortense avec Louis, le régisseur de nos chers amis Françoise et Pierre de Marmaing.
Mes chers amis, avant que Monsieur le Curé bénisse les fiancés, je vous propose de procéder à une courte cérémonie destinée à faire de ces deux jouvencelles des femmes accomplies. Ma tendre épouse Catherine, aidée de sa fidèle Hortense, leur a enseigné les secrets de la volupté. Elle m’a d’ailleurs confié que si elle avait choisi Margot pour devenir sa première femme de chambre en remplacement de notre bonne Hortense qui va rejoindre votre maison, mes chers amis et voisins du domaine de Marmaing, et Ninon pour être sa servante personnelle, c’est parce qu’elle avait vue en elles toutes les dispositions pour participer à nos festivités. Et elle n’a pas été déçue par les aptitudes de ces deux pucelles.
Je vous propose donc de faire passer ces deux tendrons de l’état de pucelles à celui de femmes et je sollicite de votre bienveillance d’être le premier à leur fourrer le con. Bien sûr, vous pourrez ensuite parfaire cet ouvrage si tel est votre plaisir et Monsieur le Curé les bénira également de son gros goupillon. »
Un éclat de rire général ponctua cette saillie. Satisfait de sa plaisanterie grivoise, Le Comte termina son discours en s’adressant aux deux écuyers :
« Mes mignons, veuillez apprêter ces jouvencelles et commençons par Margot. Soyez de bons boute-en-train car j’aime que les cons soient accueillants, chauds et convenablement mouillés avant que je les foute. »
Aloïs et Silvère se dirigèrent vers Margot, chacun d’un côté, ils levèrent avec grande cérémonie sa courte chemise et la firent passer par-dessus sa tête. Puis ils la saisirent chacun par un bras et l’allongèrent sur la table. Silvère s’agenouilla et plongea son visage entre les jambes de Margot qu’Aloïs, debout derrière lui, tenaient largement ouvertes.
L’angoisse qui avait étreint Margot s’était un peu dissipée. Elle venait d’entendre que ses espoirs de devenir la première femme de chambre de la Comtesse allaient se concrétiser bientôt. Elle savait maintenant ce qui allait se passer et cela l’excitait. Sa dernière crainte était la douleur de cette première pénétration de son con par le vit du Comte. Dans les villages appartenant au domaine, on décrivait Hector de Rochefeuille comme un fornicateur impénitent et brutal. Et si la légende disait que si il baisait comme un lapin, c’est parce que son vit n’était pas plus gros que celui d’un lapin, nombre de paysannes ayant eu maille à partir avec lui racontaient autour du lavoir que cette légende n’était pas fondée.
La bouche habile de Silvère eut tôt fait de dissiper les craintes de Margot et de calmer son angoisse. Des ondes de chaleur prenaient naissance dans son ventre, son con se contractait au gré des coups de langue sur ses lèvres ouvertes et sur son clitoris. Ses tétons se dressaient sur ses seins tendus, sa mouille inondait son con.
Ninon, un peu à l’écart, la tête baissée, observait tout cela furtivement. Elle savait que dans quelques minutes, elle serait à la place de Margot, que Silvère ou Aloïs la sucerait avant que le Comte ne la fourre. Cela l’excitait mais elle avait la même crainte de la douleur que son amie. On dit tellement de choses à propos de cela…
Margot se sentait prête à partir, Silvère la suçait adroitement. Ses mains se crispèrent sur le bord de la table et elle laissa échapper un gémissement d’aise. Le Comte Hector se leva, s’approcha, sembla examiner le résultat de l’ouvrage de son giton. Il leur signifia sa satisfaction. Les deux écuyers s’écartèrent pour lui laisser le passage. Aloïs écarta le pourpoint de son maitre, dénoua l’aiguillette qui fermait son haut-de-chausses et plongea la main à l’intérieur. Il en retira le vit gonflé et le tendit à Silvère qui le prit dans sa bouche, pour bien le mouiller et en parfaire la rigidité. Puis Silvère se releva, attrapa la cheville de Margot et écarta sa jambe en la remontant. Aloïs l’imita tout en guidant le vit du Comte vers le con de Margot, que Silvère ouvrait de sa main disponible.
Hector saisit Margot à la taille. Il frémit au contact de cette peau douce, de cette chair fraiche et ferme qui palpitait sous ses doigts. Le Comte de Rochefeuille n’aimait rien tant que cet instant où il s’apprêtait à déflorer un con juvénile que personne d’autre avant lui n’avait foutu. Il préférait même cela au dressage d’un jeune étalon fougueux. Hector avança un peu pendant qu’Aloïs guidait son vit vers le con de Margot.
Margot retint son souffle quand le gland s’appuya à l’orée de son con. Ninon se crispa. Elle redoutait les cris de douleur que ne manquerait pas de pousser son amie.
Lentement, Le Comte Hector envoya son bassin en avant. Son vit se frayait un chemin dans le ventre de la jeune servante. Quand il fut enfoncé d’un demi-pouce, le vit rencontra une résistance sur son chemin. Le Comte continua sa poussée et son vit le franchit facilement l’obstacle. Le vit se trouva alors enfoncé jusqu’au fond du con inondée de Margot.
Margot se détendit enfin. Elle s’était crispée quand le Comte avait commencé de la fourrer, avait serré les dents quand son vit avait atteint son hymen mais maintenant ce gros manche se retrouvait enfoncé jusqu’à la garde dans son con. Elle le sentait aux tréfonds de son ventre, elle en percevait les palpitations. Elle n’avait pas eu mal, et ce vit que le Comte faisait coulisser lentement dans son ventre lui apportait, maintenant des sensations délicieuses. Si délicieuses qu’elle se trouva frustrée quand le Comte se retira et exhiba fièrement son vis luisant de mouille sur lequel on distinguait quelques traces rosâtres à l’assemblée qui l’applaudit et le félicita pour cette défloration.
Aloïs se précipita alors vers le Comte Hector et nettoya consciencieusement le vit turgescent de sa bouche. Hector interpella Pierre de Marmaing :
• C’est à vous, cher ami. Je vous prie de bien vouloir foutre ce tendron.
• Merci, cher ami. Je suis tout comme vous friand de jeunes filles et de beaux damoiseaux. Répondit le Marquis en se levant et en avançant vers Margot en dénouant son aiguillette.
Le Marquis ne sollicita point les écuyers du Comte car son vit était déjà bien tendu. Et Margot qui attendait le ventre offert, était suffisamment mouillée pour se faire fourrer sans barguigner.
Pierre de Marmaing fourra Margot d’un vif coup de reins. Margot gémit, non pas de douleur mais de plaisir, du plaisir de retrouver à nouveau son con rempli d’un vit. Le Marquis la besogna à grands coups de reins puissants. Margot gémissait, criait faiblement même. Son orgasme était imminent. Son plaisir arriva. Il fut violent, libéra toutes ses angoisses, ses peurs des dernières heures. Elle se cambra, offrant son ventre au vit du Marquis. Faisant fi de toute déférence, elle noua ses chevilles derrière le dos de son amant et éperonna son étalon. Elle partit dans un long râle, le corps agité des spasmes de l’extase sous les applaudissements nourris de l’assemblée.
Le Marquis Pierre se retira, soucieux de ne pas jouir afin de garder de la vigueur pour la seconde donzelle.
Puis ce fût au tour de Ninon de se faire dépuceler. Cela se fit de la même façon, avec le même cérémonial. Ninon cria un petit peu quand son hymen se brisa, mais elle jouit néanmoins des assauts du Comte et même une seconde fois grâce aux coups de reins du Marquis. Ninon avait été rassurée de voir que Margot n’avait pas manifesté de douleur lors de sa défloration et avait été très excitée par la suite, en particulier par le plaisir évident de son amie. D’ailleurs, elle était déjà trempée avant de s’asseoir sur la table et la langue d’Aloïs l’avait approchée du point de non-retour.
Après les applaudissements de circonstance, le Comte et Le Marquis prirent chacun une fille, Margot pour le Comte et Ninon pour le Marquis. Ils les prirent debout, les coudes appuyés sur la table. Ils les sodomisèrent profondément afin de se libérer de la semence qui leur brûlait le bas-ventre.
En se retirant, le Comte s’exclama :
• Foutredieu, j’ai la faim d’un ogre. Rien n’est meilleur que de foutre une donzelle pour me mettre en appétit. Mais avant cela, je crois que Monsieur le Curé veut bénir ces deux commères. Mes mignons vont le servir.
Le curé s’avança, les doigts toujours croisés sur son bréviaire. Son visage, habituellement jaune, s’était paré de couleurs aux pommettes. Ses yeux ternes brillaient d’un éclat inhabituel.
Aloïs et Silvère firent mettre les deux filles à genou sur les coussins qui leur avaient servis de siège. Instinctivement les deux filles croisèrent leurs doigts et baissèrent les yeux en signe de recueillement. Pourtant elles se trompaient lourdement sur le sens de cette bénédiction.
Margot et Ninon attendaient qu’il prononce quelques paroles dans ce langage mystérieux qu’il utilisait pendant la messe. Comme rien ne se passait, elles se regardèrent en coin et levèrent les yeux. Ce qu’elles virent faillit arracher un cri de surprise : Le curé avait son haut de chausses ouvert et Silvère lui branlait le vit.
Aloïs rapprocha les têtes de Margot et Ninon, les colla joue contre joue et leur dit d’ouvrir la bouche. Elles avaient le vit du curé à un pouce de leurs bouches grandes ouvertes. Silvère branlait le curé pendant que celui-ci marmonnait, les yeux levés au ciel, les mains jointes. Elles ne furent pas longues à attendre avant que le curé fasse un bruit rauque pareil à un raclement de gorge et que sa semence jaillisse de son vit. Elles en reçurent chacune dans la bouche, sur le visage et sur la poitrine.
Aloïs leur dit de sucer le vit du curé qui perdait de sa vigueur afin qu’aucune goutte de sa semence n’atteigne le sol et de se lécher mutuellement pour la même raison.
Margot et Ninon découvrirent alors la saveur acre et salée de cette crème grasse.
Le dîner fût pris ensuite. On mangea debout en se servant sur des tables que les deux écuyers du Comte avait apporté d’une pièce attenante. Margot, Ninon, Aloïs et Silvère mangeait un peu à l’écart, avec Hortense et Louis, son fiancé.
Catherine de Rochefeuille reçut de son mari, mais aussi de Pierre et Françoise de Marmaing, des félicitations pour ses deux nouvelles servantes. Elle expliqua comment elle avait détecté, chez les deux jeunes filles, la lubricité qu’elle recherchait. Elle demanda à Hortense de raconter comment elle avait surpris les deux filles dans le parc et elle fit rejouer à Margot et Ninon la position dans laquelle elles avaient été vues. Mais cette fois-ci, elle ne leur donna pas l’ordre de s’interrompre et Margot fit jouir Ninon devant l’assemblée. Des applaudissements nourris accompagnèrent les cris d’extase de Ninon.
Quand tous eurent repris des forces autour du buffet, le Marquis s’adressa à l’assemblée :
• Mes chers amis, après une charmante mise en train et ce délicieux souper, ne croyez-vous pas qu’il soit temps de procéder aux fiançailles de mon fidèle Louis et de votre bonne Hortense ?
• Absolument cher ami. Monsieur le Curé, veuillez procéder aux fiançailles. Approuva Hector de Rochefeuille.
Tout le monde se mit en position. Malgré ce qui s’était passé dans les heures précédentes, Margot et Ninon étaient stupéfaites. C’était bien la première fois qu’elles assisteraient à une bénédiction de fiançailles, nues comme à leur premier jour, en compagnie de leurs maitresses dépoitraillées et qui exhibaient leur intimité, de la fiancée dans la même tenue et de deux écuyers tout aussi nus qu’elles.
L’incongruité de la situation ne sembla pas troubler le curé qui procéda à la bénédiction des fiancés. Il écrivit ensuite dans son grand registre qu’il fit signer au Comte et à la Comtesse, au Marquis et à son épouse ainsi qu’aux deux fiancés.
On s’embrassa, on applaudit les fiancés avant que Pierre de Marmaing n’interrompe le joyeux brouhaha :
• Mes amis, mes amis, il nous faut rendre hommage aux fiancés de la plus belle et agréable façon. Ma bonne Hortense veuillez prendre position sur cette table.
Hortense alla s’allonger sur la table où Margot et Ninon avaient subi les assauts du Comte et du Marquis. Le Marquis ajouta à l’attention du Comte :
• Si vous le permettez, cher ami, j’aimerai être le premier à présenter mes hommages à la future femme de mon régisseur.
• Faites, faites, mon cher. Ce privilège vous revient et je vous l’accorde de bon gré. Répondit le Comte.
Pierre de Marmaing se positionna debout entre les jambes ouvertes d’Hortense et l’enfila d’un seul coup. Il la besogna quelques minutes, le temps de lui offrir un bel orgasme, avant de faire signe à Silvère qui enduisit la rosette d’Hortense avec du beurre qu’il avait été prendre sur la table du buffet. Le marquis sodomisa ensuite Hortense et se vida dans ses entrailles en grognant. Ce fut ensuite le tour du Comte Hector qui baisa pareillement Hortense au con avant de se vider dans sa bouche.
Ninon remarqua que la Marquise portait un godemichet autour de sa taille. Un godemichet semblable à celui de la Comtesse Catherine mais en céramique alors que celui de la Comtesse était en argent. Françoise de Marmaing n’attendit même pas qu’Hortense ait fini de pomper le Comte pour lui fourrer le cul. Hortense était maintenant dans un orgasme quasi-permanent. Elle avait joui deux fois auparavant, elle venait de recevoir la semence du Comte dans sa gorge, et quand la Marquise enfonça son godemichet dans son fondement, qu’elle la besogna aussi vigoureusement qu’un homme besogne une femelle, une troisième bouffée de plaisir s’empara de son corps et la fit crier de jouissance. La Comtesse Catherine obtint le même résultat avec son godemichet en argent.
Vint enfin le tour du curé qui demanda à Ninon de l’assister. Il se posta entre les jambes d’Hortense à moitié inconsciente et demanda à Ninon de le branler. La jeune servante s’attela à la tâche, et fit jaillir un jet de semence du vit du curé qui atterri sur le ventre d’Hortense. Il appela ensuite Margot, Aloïs et Silvère et leur ordonna de nettoyer sa semence avec leur bouche pendant que Ninon pompait soigneusement le curé pour extraire de son vit les dernières gouttes de sperme.
Hortense eut un autre orgasme car les trois jeunes gens ne se contentèrent pas de lécher le foutre du curé mais en profitèrent aussi pour lui sucer la chatte et mêler leurs langues sur le con offert de la première femme de chambre.
Puis ce fut au tour de Louis de recevoir « les hommages » des deux dames. La Comtesse Catherine et la Marquise Françoise s’approchèrent de lui après que Margot et Ninon, suivant les ordres de leur maîtresse, l’eurent déshabillé et fait s’allonger sur la table. Elles n’eurent nul besoin de le branler car son vit était déjà tendu vers les dorures du plafond de la grande salle.
Les deux femmes s’intéressèrent d’abord à son membre turgescent. Chacune leur tour, elles le palpèrent, comme pour en apprécier la dureté, le firent tressauter dans leurs mains, semblant en cela en éprouver la rigidité. Elles passèrent ensuite aux génitoires, les flattèrent un peu, les soupesèrent. Durant tout ce manège, elles se parlaient à voix basse, parfois l’une d’elle partait d’un petit éclat de rire. Elles semblaient échanger leurs sentiments sur le bel objet qui était à leur portée.
La Comtesse Catherine s’inclina vers le bas ventre de Louis, elle saisit le dard dans sa main et l’enfourna dans sa bouche pendant que Françoise de Marmaing s’agenouillait sur un prie-Dieu entre les cuisses de son régisseur et lui lécha les génitoires.
Elles échangèrent ensuite leur position et refirent cela plusieurs fois. Louis atteint sa limite de résistance. La Comtesse le pompait vigoureusement pendant que la Marquise lui léchait les génitoires. Quand la langue de sa maitresse s’égara sur son œillet, Louis donna un violent coup de reins et se vida dans la gorge de Catherine de Rochefeuille. Dès que les spasmes de l’orgasme de Louis cessèrent, Catherine de Rochefeuille embrassa Françoise de Marmaing sur la bouche pour partager avec elle, la semence de son régisseur. L’assemblée applaudit à grand cris leur performance.
En revenant s’asseoir sur son fauteuil, la Comtesse passa devant Margot et Ninon et elle leur dit :
• Maintenant que vous n’êtes plus pucelles, vous pouvez donner libre court à toutes vos envies de luxure. Soyez des catins, mes filles, faites-vous foutre par des hommes, baisez avec des filles, n’ayez plus d’interdits mais jouissez et faites jouir. Mais, surtout, prenez bien garde à ne vous retrouver grosses, gardez ce privilège pour votre époux. Pour cela, votre coquin n’aura droit qu’à votre bouche ou votre cul comme réceptacle de son foutre.
Le reste de la soirée, qui ne se termina qu’au petit matin, fût une gigantesque orgie dans le grand salon. Tout le monde forniqua avec tout le monde. Aloïs et Sylvère subirent les assauts du Comte, du Marquis et de son régisseur. Les musiciens, tous très jeunes, n’échappèrent pas aux bougreries des hommes, ni au vice des femelles.
Margot baisa avec Françoise de Marmaing qui la sodomisa de son godemiché de porcelaine. Ninon goutta à la puissance du vit de Louis et respectueuse des conseils de la Comtesse, elle lui offrit son cul pour qu’il se soulage. Le curé au visage jaune ne fût pas en reste et se fit sucer, branler par les femmes et les jeunes garçons.
Ce n’est que quand le soleil pointa à travers les vitraux que l’assemblée rejoint ses quartiers pour y prendre un peu de repos.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email