Où le petit mari arrive enfin à ses fins avec sa femme après l'avoir trompé, et où le voisin d'en face les espionne pour son plus grand plaisir
Proposée le 12/09/2019 par goelan
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
fer en tant que conducteur de train depuis sa prime jeunesse et la pré-retraite était venue assez tôt.
Il avait toujours eu trop de goût pour espionnage féminine et cela lui avait valu des soucis à son travail. Accusé de harcèlement, il avait mis au rebut à son plus grand plaisir. Il gagnait suffisamment pour être tranquille et surtout, il était plutôt doué en informatique contrairement à ce qu'il montrait et n'hésitait pas à jouer les arnaqueurs pour gagner plus d'argent.
Il espionnait toujours Emilie et l'ado dès que possible, mais il n'avait plus autant de chance ces derniers jours.
Lorsqu'un soir alors qu'il vaquait dans son jardin, je l’interpellais pour l'inviter à dîner pour le remercier d'avoir sauver Emilie, il sembla étonné. Il accepta après que je du insister. Nous discutâmes un peu, il ne paraissait pas si inabordable que je l'aurai cru.
Au contraire. Il me demanda des nouvelles d'Emilie, elle allait mieux. 15 jours étaient passés, seul la chaleur même dans la maison était lourd à porter.
Il nous proposa de nous donner sa vieille clim, si on en voulait, il venait d’acquérir un nouveau modèle sans tuyau extérieur et au lieu de revendre la vieille, il pourrait nous la donner.
Je ne pouvais pas accepter comme cela, je devais le payer, au moins une somme symbolique. Il accepta.
Une fois laissé tranquille, le vieux couru acheter une nouvelle clim, qu'il n'avait pas, bien entendu, et c'était l'occasion de profiter de la situation, sans oublier d'autres petits achats plus ou moins honnêtes.
Le soir arriva, et pour faire plus rapide, il passa la grosse clim et son tuyau encombrant par le jardin. Il promit de réparer le grillage, cela ne se faisait pas. A deux, nous l'entrâmes dans la maison et décidâmes de l'installer dans notre chambre. Il fallait un système pour la fenêtre, mais il avait ramené le sien. Ainsi le tuyau allait vers l'extérieur sans que la chaleur et les moustiques ne rentrent dedans. Il me montra comment la mettre en route et tout de suite la pièce fut plus fraîche et en laissant la porte ouverte, le froid se répandait dans l'étage.
Emilie fut ravie et remercia Christian qui la détaillait discrètement. Il se retenait de se jeter sur elle pour la déshabiller et fourrer à nouveau sa queue dans sa chatte. Elle portait une robe d'été à bretelle fine sans soutien gorge dessous. Elle était vraiment tentante.
Christian se révéla d'une bonne compagnie avec surprise. Il parla de son travail, des villes qu'il avait traversé et charma ses voisins malgré ses allures de vieux retranché. Le courant passa assez bien et il en fut content. Beaucoup plus que je ne le pensais.
A un moment donné, il sortit un vieux téléphone et tenta de capter la 3G, le levant et comme dans le temps, cherchant en l'air la connexion.
"Un problème lançais-je ?
"J'attends un message d'une commande, mais cela ne semble pas passer.
"C'est un vieux téléphone, c'est peut-être cela ?
"Oui, peut-être, auriez-vous du wifi ? J'arriverai peut-être à lire mes messages.
"Sans problème.
Je lui donnais le code de la box sans me douter qu'il pourrait s'en servir à des fins négatives.
Il me sourit et entra le code et enfin pu accéder à sa messagerie.
"Merci beaucoup ! Je vais me déconnecter, je ne voudrais pas user de votre quota.
"Ne vous inquiétez pas, nous sommes sur la fibre, c'est illimité.
"OK, mais il n'y a pas de raison.
Et devant moi, il effaça les données login et mot de passe de notre réseau. Sauf que le vieux les avait enregistré en faisant une capture d'écran sans que je ne le vois.
Le reste de la soirée se passa et bien et il insista pour faire le tour du quartier afin de rentrer chez lui.
"Etrange personnage, ne trouves-tu pas Emilie ? Demandais-je en me déshabillant dans la chambre.
"Mais sympathique, comme quoi, notre vision des choses peut paraître bien différente de la vérité. Et merci pour cette clim, je me sens revivre.
Emilie se tenait nue devant l'air frais qui s'échappait de la vieille clim. Je la rejoignis profitant qu'elle soit de bonne humeur. Je me plaçais dans son dos et la caressais. Elle se colla à moi et pris mes mains dans les siennes lorsque je lui caressais les seins.
Dans son bureau, Christian avait terminé ses réglages dans la journée, tout semblait au
poil, il suffisait d'attendre le bon moment. Sur son écran 4K, l'image s'afficha, les couleurs étaient un peu pâles mais les images elles... Bon dieux, il faillit en cracher son verre d'eau. Juste devant l'oeil de la mini-camera installée dans les entrailles de la machine offerte, il nous trouva nus tous les deux en train de se caresser.
Tout de suite, il enregistra la scène sur son mac dernier cri et ouvrit son pantalon pour se branler. Voilà pourquoi il avait insisté pour installer la vieille clim dans leur chambre et bien positionnée en plus. Il sourit lorsque ma main pelota les petits seins d'Emilie et l'autre après un passage sur ses hanches, alla fouiller son intimité.
Ravi, Christian assista à nos préliminaires, debout et bien en face de la clim tout en se massant le sexe. Sur un autre écran, une application tournait. A l'aide de nos login et mot de passe de connexion, il c'était introduit sur notre réseau local. Un de ses logiciels illégal listait nos appareils et avec patience, il pourrait s'y connecter. Dès que l'un d'eux serait en fonction, il tenterait de lire le contenu de nos répertoires, fouiller dans notre intimité et pourquoi pas découvrir nos petits secrets.
Son attention se reporta sur notre chambre. Emilie s'était mise à genoux et me léchait le sexe. Immédiatement cela me fit repenser à Cloé et sa fellation divine limite gorge profonde. Si la trahison me traversa rapidement, mon sexe devint encore plus dur et tenant le tout pour le tout, je pris la tête d'Emilie entre les mains et pistonnait ma bite dans sa bouche.
Elle fut surprise mais ne broncha pas, s'agrippant à mes cuisses. Je poussais le plus loin possible et le plus vite possible, mon sexe glissant entre ses lèvres, sa salive lustrant ma bite et gouttant au sol.
Je sentais sa tête partir en arrière et je la lâchais. Elle pris sa respiration et me fixa avec des yeux luisants et excités.
"Tu ne m'avais jamais fait cela, souffla-t-elle
"On peut découvrir toujours de nouvelles choses
Elle se releva et se collant à moi, m'embrassa tentant de me bouffer la langue.
Christian avait failli éjaculé par cette pipe du feu de Dieu. Dommage qu'il n'avait pas le son, mais ce spectacle était déjà de toutes beautés et en plus au premier plan.
"J'ai vraiment envie d'une chose, glissais-je à l'oreille d'Emilie. Après tout, si je ne tentais pas...
"Et c'est quoi petit cochon ?
"Je voudrais de prendre des deux côtés, avec les jouets...
Et se recula et me fixa un petit moment avec un moue hésitante puis me sourit.
"Pourquoi pas murmura-t-elle en se dandinent vers le lit.
Punaise ! Je ne savais pas ce qu'elle avait bu ce jour où si c'était la clim, mais c'était mon jour de chance.
J'allais chercher dans l'armoise notre boite magique. Et je retrouvais Emilie allongée lascive sur le lit.
Je la mis sur le dos et la massait doucement avec de l'huile qui lissa sa peau et l'imprégna d'une odeur sensuelle et envoûtante. Je savais y faire et elle grogna de satisfaction. Doucement mais sûrement j'arrivais à ses fesses et les enduits aussi d'huile. Elle écarta ses jambes mine de rien, et mes doigts glissèrent vers l'intérieur de ses cuisses, frottant à chaque passage sa vulve finement rasée mais chaude et humide.
Je repris mon massage depuis ses pieds pour remonter à ses mollets, ses cuisses à nouveau pour terminer sur ses fesses. Je glissais mon index dans son sillon et elle ne se raidit pas, c'était du bon augure pour une belle et future sodomie, j'en bandais d'avance.
Je rencontrais son petit trou que je massais doucement du bout du doigt, j'épiais ses réactions, mais elle avait le visage détendue, la bouche ouverte, les yeux fermés, laissant échapper une respiration lente et lourde.
J'ajoutais de l'huile et passais et repassais entre ses fesses, jouant avec son anus qui ramollissait tant et si bien que mon index s'y enfonça doucement. Elle ne bougeait toujours pas, mais je vis son visage rosir légèrement. Je caressais son dos et ses fesses, toujours un doigt dans son cul. Je me mis à lui masser le rectum huilant le passage pour ma bite ensuite, pas tout de suite, mais c'était sur, j'y passerai dedans. Cela faisait bien 4 ans qu'elle n'avait pas été sodomisée, au moins officiellement, et mon expérience avec
Cloé m'avait redonné goûts de pourfendre ma propre femme.
Christian ne pouvais pas voir tous les détails de ce qui se passait sur le lit, ce qui ne l'empêcha pas d'imaginer ce que nous faisions. La clim était trop basse et l'angle pas assez haut pour enregistrer nos ébats. Il fut un peu déçu mais c'était déjà mieux que rien. Un bip attira son attention, sur son autre écran son logiciel avait réussi à se connecté à notre PC via notre réseau connecté. Après-tout il y était branché aussi et cachait sa propre participation. Notre PC restait branché quasiment tout le temps. Il accéda au contenu de notre disque dur comme s'il était chez nous. Il se fichait des données administrative, bancaire ou autre. Ce n'était pas son truc de nous voler, lui voulait des trucs plus croustillant et intimes. Il lança une recherche sur des extensions de fichier photos et vidéos puis retourna sur l'autre écran;
J'avais pris en main un fin god couleur acier et je le baladais sur le dos 'Emilie, ce qui la fit frisonner. Je traçais des arabesque dans son dos me rapprochant de ma cible son cul !
Lorsqu'il glissa entre ses fesses et le bout pointu se lova sur son petit trou tout mou, elle eu tout de même une légère contraction mais elle ne m'empêcha pas de le pousser en elle.
Je ne pouvais pas m'empêcher de fixer la progression de l'objet dans son fondement, je soufflais fort, mon coeur s'animait dans ma poitrine et ma bite était près à craquer. Cela faisait des années que j'attendais l'occasion de la prendre par là à nouveau.
Je me mis en devoir de l'enculer doucement, sans trop forcer. Elle se détendit et son visage rougit encore plus, sa respiration se calait à mes mouvements anaux. Je passais ma main derrière et trouvais un autre god, plus gros, quasi une taille normale d'une bite d'homme et le glissait à l’intérieur de ses cuisses. Elle écarta encore plus ses jambes et je frottais le faux gland sur sa vulve complètement trempée.
Je me retenais de ne pas la posséder tout de suite, mais c'était si magique de pouvoir abuser de son corps ainsi, surtout qu'elle était des plus réceptive.
Je jouais avec le god sur son bouton puis remontait vers son vagin où je le poussais dedans. Elle gémit aussitôt remontant son cul vers l'engin et je me mis en devoir de faire aller les deux sey toys dans ses deux orifices. Je mis en route le mode vibreur du gros engin et Emilie feula aussitôt.
Je me penchais encore et discrètement je pris mon téléphone caché dans la boite et pris quelques photos et vidéos de la double pénétration de ma femme. Je le calais entre ses cuisses ouverte, vidéo en court et me remis à la pénétrer de plus en plus vite. Elle gémissait ouvertement maintenant remuant son derrière à l'encontre de mes mouvements.
Je tâtonnais encore derrière moi et trouvais ce que je cherchais, un dernier sey toys, le plus gros god que nous avions. C'était un achat impulsif il y a plusieurs années et nous ne l'avions jamais utilisé car trop gros après coup.
Je mis de l'huile dessus pour l'aider à le faire rentrer, il faisait au moins deux fois mon diamètre et un bon 25 centimètres de long. Je le posais et repris mes caresses et mes coïts. Ensuite, doucement, je retirais le petit god pas plus épais qu'un doigt de son cul et espérant qu'elle ne réagisse pas négativement, je retirais l'autre de sa chatte gluante pour le faire glisser plus haut afin de remplacer l'autre.
J'étais au bord de l’évanouissement tellement mon coeur s'emballait. Ma tête me tournait, j'avais l'impression de faire l'amour pour la première fois avec une fille. J'épiais ses réactions, m'attendais à tout moment à la voir se relever et envoyer boulet tout ça. De ma main tremblante, je poussais le god moyen sur son petit trou bien préparé et passant mes mains entre ses cuisses ouvertes, je me mis à lui branler le clitoris super dur.
Elle gémit et n'opposa pas de résistance lorsque je vissait doucement l'engin entre ses fesses. Vu comment il était lubrifié, il entra sans difficulté toujours vibrant. Entre mes caresses et l'effet vibrant ses gémissements s'accentuèrent. Je me mis à la sodomiser plus fortement, encouragé par ses plaintes. Il rentrait maintenant de bonne moitié et coulissait dans un bruit gras très excitant.
Je pris le gros engin et avec précaution, je le glissais entre ses lèvres. Elle ne du pas faire attention à la provenance de celui-ci trop excitée et complètement enfermée dans son monde de sensations sexuelles.
Je fis de petits mouvements entre ses lèvres pour le faire rentrer en elle. Emilie était si excitée qu'avec surprise, l'engin commença à investir son vagin. Elle du comprendre tout de même qu'il était bien plus gros que l'autre car elle écarta encore plus ses jambes, serrant les mains et haletant de plus belle.
Je filmais toujours la scène, au cas où ce moment n'arriverais plus à l'avenir. Au point où j'en été, je l'avais déjà trompé, alors me branler devant nos ébats, pourquoi pas.
Je ne pouvais pas le faire entrer en entier, mais suffisamment pour lui faire des effets. J'accélérais mes mouvements et elle se mit à crier mordant sa main pour éviter d'attirer les voisins. Les deux engins allaient et venaient en elle, glissant dans ses orifices dilatés.
Jamais je ne l'avais vu ainsi, aussi ouverte et acceptant tout ce que je lui faisais.
J'accélérais un god, laissant l'autre en pause, puis l'inversais, je la faisais gémir, crier, haleter. Elle était en sueur, moi aussi.
Je me demandais si le gros pourrait entrer dans son cul ? Pourquoi pas, on verrait si elle refuserait. J'ajoutais de l'huile entre ses fesse, son anus était si gluant que des bulles se formait lorsque je la pistonnais doucement de toute la longueur du god vibrant. Je les retirais tous les deux et la baisa à nouveau avec le vibrant, laissant son anus se refermer.
J'attendis un peu, pas trop longtemps et glissais le gros dans son sillon fessier, le baladant de haut en bas. Vu la taille de l'engin, je doutais de pouvoir l'enculer avec. Je devrais plutôt m'arrêter là et y mettre ma propre bite prête à craquer.
Pourtant avec un plaisir sadique tout en la pistonnant fortement dans son vagin, j'appuyais sur son anus par petits coups, tournant aussi comme une visse, je n'insistais pas, recommençant doucement et avec des yeux ronds, je vis le gland du god disparaître entre ses fesses. Son anus formait une bague huileuse autour de l'enfin. Je sentis Emilie se rétracter et je mis le mode vibrant à fond sur l'autre god tout en la baisant avec force.
Elle cria de plaisir et je poussais l'autre fausse énorme bite dans son petit cul. Cela faisait drôle, elle était si fine, petite, presque frêle et de voir un engin si gros disparaître entre ses fesses, j'en éjaculerai presque de plaisir et d'envie de le remplacer de suite.
Il devait être bien rentré de 10 bons centimètres et doucement je la sodomisais avec. Elle était déchaînée, mordant les draps, gémissant, montant son cul vers moi en mouvement synchrone des mes va et vient. Je la pistonnais maintenant à égale vitesses autant devant que derrière. Son anus s'était adapté à l'engin et toujours plus vite, plus fort, plus loin mes mains luisantes d'huile glissantes sur les gods, je la défonçais complètement.
Emilie jouit plusieurs fois de suite. Je n'en pouvais plus, jamais je n'aurai cru ça possible. Je ne pouvais plus me retenir, je retirais les deux gods, fourrais le plus gros dans sa chatte et l'enculais aussitôt !
Son anus était si ouvert, qu'il me rappela celui de Cloé. Je tenais l'autre par la main et la ramenais vers moi, en levrette. Comme si j'avais deux membres, je la baisais en double. Elle hurla, se cabrant, mordant les draps, et dans un coït infernal j'éjaculais au fond de ses entrailles.
Je me retirais, l'engin aussi, elle s'affala sur le lit, je vis mon téléphone replié à ce moment là et d'un coup de genoux, je le fis disparaître au bout du lit où il glissa entre le matelas et la barre de lit.
Il nous fallut un temps fou avant de reprendre nos esprits. Emilie m'embrassa tendrement. Elle eu un mal de chien à se lever pour aller faire une toilette. Pendant ce temps, la bite pendante, je rangeais tout et surtout mon téléphone. Je changeais les draps aussi, puant de nos débats et surtout sales de sueur.
Lorsqu'elle revint, nous fîmes un gros câlin sans sexe. Elle m'avoua que c'était génial, elle n'avait jamais joui comme cela. Merci la clim, merci Christian !
De son côté le vieux avait suivi notre coït mais vu le champ de la caméra restreint, il avait plus ou moins compris notre petit jeu sans en connaître les détails. Mais ce fut suffisant pour le faire jouir dans une petite serviette de bain.
Il nous laissa dormir et s'attaqua à notre réseau. Notre PC révélait nos secrets. Nous y gardions quelques photos de nous, d'il y a quelques années. Emilie ne voulant plus être prise en photo ces derniers temps, elle avait peur des dérives sur le Net. Fouinant,
Christian tomba sur notre trésor, qu'il téléchargea sur son disque dur.
Aucune photo ou vidéo de sexe, mais beaucoup de déshabillage, Emilie plus jeune, plus pimpante, plus ouverte. En dessous, petites tenues ou nues. Plusieurs séries de strip tease qui le firent bander de rechef.
Il s'attaqua ensuite aux autres devices connectés. Il trouva nos téléphones réceptifs, des objets connectés, etc. Il du utiliser d'autres logiciels pour accéder à nos téléphones. Ils ne pouvait pas se loguer, pour le moment, à nos applications, mais il était facile d'accéder aux répertoires de nos engins. Et dans l'un d'eux se trouvait une jolie et longue vidéo de notre soirée. Même si elle était bancale et très agitée, il jura à plusieurs reprises en voyant tout ce que j'avais pu faire avec Emilie en gros plan, car j'avais placé mon portable entre ses cuisses ouvertes. Pendant la moitié de la nuit, il la vu, revu et rerevu à nouveau, zoomant, fixant les détails, se branlant plusieurs fois de suite. Merde, Emilie était vraiment une salope, et il n'avait qu'une hâte, la baiser à nouveau !
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Super .... J'espère une suite.
Posté le 17/12/2023
Zoorg35
Vite la suite ...
Posté le 14/10/2019
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