Comment le héros de cette histoire tente d'oublier ses dérives virtuelles sur Twitter et tente de profiter de sa femme profondément...
Proposée le 18/08/2019 par goelan
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Après avoir passée la soirée de la veille à mater du cul sur Twitter, j'avais vraiment mal dormi. Les discussions, les photos les vidéos, tout tournait dans ma tête.
Heureusement c'était dimanche et lorsque je me réveillais, j'étais seul dans le lit.
En bas, dans la cuisine, je retrouvais ma jolie femme en nuisette qui préparait le petit déjeuner sur le plan de travail, là même où je m'étais branlé la veille au soir. Elle me tournait le dos mais je pouvais voir son corps en transparence avec le soleil en contre-jour.
je me collais à elle et commençais à la caresser.
"Tu es enfin réveillé, marmotte ?
Son ton espiègle était chaud à mes oreilles. J'eu soudain très honte de ce que j'avais fait la nuit précédente. Son corps doux contre moi réveilla tout de même mes sens.
"Je profite du week-end. J'aime ton odeur...
Je caressais son cou de la pointe de mon nez humant son parfum naturel.
"Tu te rappelle notre première fois ? Lui demandais-je en lui caressant les bras.
Elle se lova contre moi.
"Vu l'état de mon body de danse classique, oh que oui ! Vilain coquin.
"Tu m'avais tapé dans l'oeil à l'université, mais dès que je t'ai vu dans ta tenue de dans moulante de ton spectacle de danse... Les danseuses classiques sont un tout petit peu exhibitionnistes, non ? Cette couleur blanche crème sur ta peau, je t'aurais déshabillé sur place...
"Tu ne t'ai pas gêné le soir même...
Elle pencha sa tête en arrière dans le creux de mon épaule, je lui embrassais l'oreille ce qui la fit frémir.
"C'était l'occasion, j'habitais encore chez mes parents et ils n'étaient pas là. Tu avais gardé ton body, j'étais dans tous mes états.
"Je le savais, je t'avais vu me dévorer des yeux.
"Tes tétons étaient dressés sous le tissu soyeux, et ton corps, rhaaaa...
Ce soir là, je m'étais délecté d'elle avec passion. Nous sortions ensemble depuis plusieurs semaines. Il est vrai que certaines de ces copines de danses étaient mieux loties par la nature et que leurs seins moulaient étaient encore plus ravissant, mais je n'avais de yeux que pour ma dulcinée.
Elle avait gardé son body et mit un leggins pour rentrer avec moi après son spectacle. Elle avait toujours son chignon et son maquillage. Elle était vraiment trop jolie. Emillie ne portait pas toujours de soutien-gorge, vu la taille de sa poitrine cela n'était pas nécessaire et moi j'adorais !
Allongés sur le lit de ma chambre, nous nous étions embrassés fougueusement, mes mains courant sur son corps, électrisé par sa tenue. Elle n'était pas en reste et rapidement je lui avais enlevé son pantalon et j'étais en caleçon, elle en body. La coquine avait eu le temps d'enlever sa culotte en arrivant chez moi, je le su après. Juste au cas où... Nous étions adultes, nous savions ce que nous allions faire. Depuis le temps, ce n'était qu'une question de jour et de moments.
Je lui avais ouvert son body entre ses jambes, dévoilant son sexe glabre et humide. Je le lui avais laissé tout le temps de notre première fois d'ailleurs. Ma langue avait goûté son sexe longuement la faisant gémir, jouir et demander grâce. En retour, elle m'avait mis à poil et s'était empressé de gober ma bite, la suçant en me fixant dans les yeux se caressant les seins en même temps. Je failli tout lâcher dans sa bouche. Mais j'avais trop envie d'elle. Une capote plus tard et je lui fis l'amour pour la première fois, toujours dans son body de danseuse. Un fantasme réellement excitant. Encore plus lorsque je la pris en levrette. J'allais terminer en missionnaire lorsqu'une envie subite me vint, je me retirais, virais la capote et éjaculais sur son body, laissant des traces de spermes en traînées sur le tissu qui absorba tout.
"Et tu avais tâché mon seul body crème, et j'en avais besoin pour la semaine suivante. Et les tâches ne sont pas parties !
"Et tu as trouvé l'idée la plus mesquine qui soit !
"Je ne pouvais pas la piffer et elle non plus.
"N'empêche, échanger vos body juste avant la démonstration.
"Parce que tu crois que mettre de la colle sur la chaise d'attente n'était pas aussi immonde ? Heureusement que je l'ai vu à temps, mais Marie n'a pas eu cette chance. Le monde de la danse est très cruelle, il n'y avait que 3 places pour 34 filles. Et seul le talent ne suffisait pas.
"Et tu as eu l'une des trois places. Tu crois que l'échange de body y a été pour quelque chose ?
"Peut-être, en tout cas, le rire général après la remarque d'un des professionnels sur place à suffit à combler de plaisir la plupart des élèves présentes qui ne pouvaient pas la voir en peinture. Elle a eu la honte de sa vie, hurlante que ce n'était pas sa faute, que c'était un piège. On ne la plus revue ensuite.
"Tu parles, se pointer avec des tâches sans équivoque à un examen de danse. Ce fut un peu grâce à moi tout ça, non ?
"Hum, peut-être.
J'avais continué à la caresser, passant mes mains sous sa nuisette, la remontant pour à la fois caresser ses seins menus et plus bas son sexe dont les poils naissant crissaient sous mes doigts.
"Qu'est-ce que tu tentes de faire mon petit pervers ?
"Moi... rien !
"Tu en es sur ? Lâcha-t-elle en tâtant ma bosse.
"Ça fait bien 8 jours...
Et je lui passais sa chemise de nuit par dessus la tête.
"Les voisins pourraient nous voir, s'alarma-t-elle.
"Penses-tu, le vieux grincheux ? Il doit encore dormir à cette heure là
Et je continuais à la caresser et embrasse son cou. Elle finit par se laisser faire, nue face au plan de travail et devant la baie vitrer donnant sur le jardin.
Pas de chance pour elle, ou pour nous, le vieux grincheux de la maison d'en face venait justement de se lever et ouvrait un de ses rideaux. Il n'en cru pas ses yeux en voyant ma femme à moitié nue dans la cuisine, il avait une vu plongeante depuis sa chambre, le plan de travail lui cachant une partie de son corps, et moi la tripotant ouvertement.
Ce que je ne sus pas, c'est qu'il s'en alla courir chercher son appareil photo avec zoom géant, et se calant dans un angle pour ne pas être vu, focalisa pour admirer le corps de ma femme. Sa bite grossit tout de suite dans son caleçon. C'était un pervers bien caché dans le quartier. Il zieutait le voisinage à notre insu. Nous, nos voisins proche dont la jeune fille de 16 ans à la fenêtre de chambre à sa hauteur, cherchant toujours la petite faille. Et aujourd’hui, c'était son jour de chance.
Je sorti mon sexe dur et penchant Emilie sur le plan de travail, je m'enfoui en elle. Sans savoir que nous étions espionnés. Le pervers se branlerait plus tard, pour le moment il volait notre plaisir à grand rafale de photos. Il capta du coin de l'oeil, le volet de la chambre de l'ado d'à côté s'ouvrir. Peut-être aurait-il une double chance ce matin ?
De notre côté, je l'avais prise par les hanches et je la baisais fougueusement, j'avoue que mes frasques de la nuit dernière m'avait mis dans tous mes états. Le seul soucis, c'était que je revoyais la chatte de cette inconnue se doigtant et ses gros seins au lieu de savourer le corps de ma femme. Je pensais à une autre, que je ne connaissais même pas, tout en baisant Emillie. Quel piètre homme je faisais. Je faillis en débander lorsqu'un reflet à travers la baie vitrée focalisa mon attention.
Emillie jouissait, étendue là où mon sperme avait coulé la veille et en face, ce que j'avais aperçu confirma mes doutes, le vieux nous regardait ! Merde, elle avait raison de craindre le pire. D'un autre côté, cette idée m'excita. Que pouvions-nous craindre ? Nous étions chez nous, c'était lui le voyeur, pas moi.
Je retournais ma femme, je n'avais pas envie qu'elle ne le voit et la fit s'allonger sur le plan de travail, j'écartais ses cuisses fines et me replongeais en elle, la baisant avec force, lui caressant les sein et l'embrassant.
Le vieux pervers s'en perdit pas une miette, cela faisait 3 ans que nous étions là, c'était la première fois qu'il tombait sur nous en train de baiser. Il avait aussi zieuté du côté de l'ado, mais ses rideaux l'empêchait de la voir, il patienterait bien le moment idéal aussi. Pour le moment il se rassasiait du corps de ma femme se faisant tringler.
A bout, je me retirais de la chatte trempée d'Emilie et éjaculais sur son torse, quelques gouttes touchèrent ses lèvres et elle exhala une plainte de plaisir au même moment.
"Tu es incorrigible souffla-t-elle.
Nous allâmes nous laver et j'eu encore une fois honte, après coup. La veille j'avais joui avec une autre femme, même virtuellement, et ce jour, j'avais offert son corps ouvertement aux regards d'un autre homme même si je doute qu'il soit rester longtemps nous regarder.
FIN PARTIE 2
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