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Deux belles salopes

L'oisiveté est mère de tous les vices, ces deux salopes le prouvent pour le plus grand bonheur d'un quasi puceau

Proposée le 30/07/2019 par lover75017

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


C’était un soir d’ennui, un ennui de filles à papa. Nous avions écumé les soirées branchées de notre petit monde de gosses de riches. Il y avait trop de tout pour que nous y prenions encore goût.

Nos tenues d’été, c’est à dire presque rien à prix fou, avaient fait fureur auprès de tous les mâles que nous avions croisés. Comme nous avions plus ou moins couchés avec la plupart d’entre eux sans nous laisser d’autres souvenirs que des lendemains de gueule de bois avec un goût de cendre et de sperme dans la bouche, nous avions fui vers l’appartement de Carine.

Nous avons fumé, bu un peu d’alcool pour chercher un peu de gaieté artificielle. J’avais commencé à caresser mon amie au travers de sa mince robe blanche. La petite salope n’avait pas ni culotte ni de soutien gorge, j’eu immédiatement accès à ses lèvres et à son bouton. A nouveau, malgré l’ennui de cette soirée, le cul eut le don de nous divertir. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés l’une sur l’autre à nous lécher cul et chatte jusqu’à déclencher un orgasme. Carine était tellement excitée qu’elle m’inonda littéralement le visage d’un jus chaud et odorant.

Ce moment n’avait fait qu’aiguiser notre appétit. Pour chercher un peu de piquant à cette nuit, j’eus l’idée de filer vers la boite de nuit de la station balnéaire proche de chez nous. Elle était fréquentée en été par les touristes que nous nous moquions si souvent. Nous espérions bien y trouver un homme qui pourrait amuser les deux garces que nous étions.

En voiture, nous conclûmes qu’il nous faudrait un soumis, voire un puceau qui ferait nos quatre volontés.
Sitôt arrivé dans la place, nous nous lançâmes sur la piste de danse. Je ne tardais pas à repérer le client idéal : un jeune garçon brun d’environ 20ans (soit à peine plus jeune que nous). Il était beau gosse, juste un peu frimeur pour cacher sa timidité.

Je l’abordais en me trémoussant près de lui sur un air de disco. Il rougit lorsque je m’approchai en offrant à son regard mes seins à peine couverts. Il est vrai que j’avais sorti le grand jeu : mini short rouge moulant parfaitement mon petit cul et dévoilant mes jambes bronzées, boléro de la même couleur fermant sur le devant par un gros bouton blanc en forme de marguerite et choisi assez petit pour faire ressortir mes seins en laissant poindre les tétons.

Carine nous rejoignit et le serra de près exhibant elle aussi ses appâts. Elle avait troquée sa robe blanche, un peu mouillée par nos exploits précédents pour deux bandes de tissu, l’une lui recouvrant à peine la chatte et le cul, l’autre peinant à tenir sa poitrine.
Nous étions toutes les deux sexy et bandantes au possible sans être vulgaires.

Notre victime ne savait plus ou donner des yeux, il eut peine à articuler une réponse à mon invitation à prendre un verre. Néanmoins il nous suivi comme hypnotisé par le balancement de nos postérieurs et nous rejoignit dans la voiture. Je pris le volant et Carine s’assit à l’arrière avec Jean Luc, notre « Casanova d’un soir ».

Pendant le court trajet qui nous séparait de l’appartement, elle eu le temps de lui rouler une pelle et de plonger sa main sous sa chemise.
Il sortit de la voiture en état second et entra mécaniquement dans le séjour.
Je pris le relais de Carine et j‘achevai de déboutonner sa chemise. Jean Luc était agréablement musclé avec un ventre plat et une poitrine sans un poil, ce qui est rare pour un brun comme lui. Ma salope de copine était à genoux et s’attaquai à sa ceinture et aux boutons de son jean. Elle mis à jour un mini slip fortement tendu par une érection qui semblait remarquable. Elle fit glisser le tissu et nous découvrîmes une bite de fort beau gabarit. D’un même mouvement nous nous écartâmes et nous le plantâmes nu et bandant au milieu de la pièce. Il resta là stupide et surpris.

Carine lui ordonna de rendre dans la chambre et de se mettre sur le lit en levrette. Je lui demandai alors d’écarter ses fesses avec ses mains. Il nous révéla ainsi sa servilité, un trou de cul poilu et des couilles bien gonflées.
Je lui mis mon index en bouche pour qu’il le lèche consciencieusement. Une fois humide, je le mis devant sa rondelle. Le lit était placé de telle sorte devant un grand miroir que Jean Luc ne pouvait rien manqué de la scène. J’appuyai un peu, je le vis grimacer, j’introduisis alors tout le doigt brutalement et je me mis à tourner et à aller et venir. Il cria un peu de douleur au départ puis de plaisir ensuite. La petite pute prenait goût à mon doigtage. Carine se mit face à son visage, son membre placé à la hauteur du visage, elle fit glisser les deux bandes de tissu qui la déshabillaient plus qu’elles ne la vêtissaient. Elle était adepte de l’épilation intégrale et montrait son corps parfait aux seins lourds encore plus nu que nu. Jean Luc se mit à la lécher avec entrain, il avait l’air d’apprécier l’odeur lourde que dégageait ma copine quand elle est excitée.

J’abandonnai ma sodomie et je me mis nue à mon tour. Pour ma part, j’ai toujours préféré ma toison et je gardais soigneusement une chatte et un trou de cul très velu. J’étais mouillée d’excitation et je savais que mon odeur de femelle affolait les amateurs de cul.
Je glissai mon visage entre les cuisses de notre amant et j’aspirai ses couilles, je les suçais et à ma grande surprise ce petit con inexpérimenté se mis à jouir et à inonder le drap d’un jet de sperme épais. Belle bite, mais il ne savait pas s’en servir.

Carine sentit l’ardeur de notre jeune coq faiblir. On se mit à l’insulter et on lui ordonna de lécher les draps pour ramasser son sperme. C’était vraiment une chiffe molle, il se laissa faire , penaud.
Sa passivité nous excita davantage. On le fit coucher sur le dos, en lui faisant basculer les jambes écartées en arrière. Il nous offrit à nouveau le spectacle de son anus et de sa bite molle cette fois.
Je me mis tête bêche, frottant mes poils pubiens contre son visage et mordillant sa queue. Carine attaqua son trou de cul avec une langue mouillée.

Heureusement pour lui, son manque de savoir faire était compensé par les fortes érections des jeunes mâles. Sa bite pris de la consistance dans ma bouche, elle durcit encore quand Carine abandonnant l’anulingus lui mis d’autorité trois doigts dans le cul. Voilà un garçon qui pourrait bien devenir homosexuel, tant il prenait plaisir à la sodomie !

J’abandonnai ma position pour enfiler sa queue dans ma chatte. Il se laissait faire et je pris des mouvements de va et vient pour rapidement atteindre l’orgasme. Je jouis en criant des insanités et je laissais ma place à Carine qui pris le relais. Je mis un doigt dans son cul et je lui massai de l’autre main les couilles. Jean Luc ne tint pas longtemps avec ce traitement que nous lui faisions subir, il se vida une nouvelle fois dans la fente épilée de ma copine.

Nous nous écroulâmes tous les trois sur le lit , nos corps emmêlés sentaient la sueur, le foutre, la cyprine et le cul de notre « petit con ».
Comme à chaque fois, ces fortes odeurs de stupre éveillèrent en moi une excitation irrépressible.
Je me levai et j’allai chercher dans le tiroir le sextoy adapté à mon fantasme. Il s’agissait d’un gode énorme, long et épais que nous avions utilisé avec Carine un soir de débauche.

J’ordonnai à Jean Luc de se lever, je le fis se tourner sur lui même lentement pour me laisser le temps de l’examiner. Carine regardait aussi. Il devait jouir d’être dominé, car sa bite se redressait à vue d’œil. Je le fis mettre à genoux, Carine se mit à la hauteur de sa bouche et lui présenta son cul. Elle lui ordonna de le lécher, lui aboyant des ordres qu’il s’empressait d’exécuter. Je m’approchai avec mon gode, je me mis sur le coté de telle sorte qu’il puisse me voir me l’enfiler dans la chatte, c’était super.
Lorsque j’eu bien lubrifié l’engin, je me mis derrière lui et lui ordonnai de se remettre en levrette et de continuer à lécher la rondelle de Carine, qui pour faciliter la manœuvre s’était mise dans la même position.
J’approchai le gland en plastique de son trou de cul déjà bien ouvert et sans autre forme de procès je lui enfonçai « 27/6 » dans le fondement. « 27/6 » était le surnom du gode (27 cm de long et 6 cm de diamètre). Jean Luc cria de douleur puis râla de plaisir. Carine lui ordonna de continuer son anulingus, à sa voix je sentais ma copine au bord de l’orgasme, la salope se doigtait le clito en même temps.

Je fis plusieurs aller retour dans ce cul soumis, j’alternai des coups lents et rapides, profonds et moins profonds. Je pris sa bite en main pendant l’opération. La petite pute bandait de plus en plus fort. Lorsque je le sentis près à se vider, je lui étranglais les couilles, il cria de douleur cette fois, et sa queue devint molle. Je l’abandonnai à quatre pattes par terre, bite minuscule et « 27/6 » complètement enfoncé dans le cul.
Carine me rejoignit, elle sentait la cyprine à plein nez après sa masturbation. Nous allumâmes une clope en le regardant se remettre.

Il se redressa et voulu enlever le gode, je le lui interdis. Il resta planté, ridicule devant deux filles excitées par sa passivité.
Je m’approchai et je me mis à genoux pour lui sucer sa bite pour me faire pardonner de lui avoir fait mal en cherchant à l’empêcher de jouir. Nous n’étions pas si sadiques que cela.
Son engin repris du volume, je le lâchai pour me mettre au lit sur le dos, cuisses écartées. Il vint y planter son dard, Carine se mis derrière lui et continua à le goder avec « 27/6 ». Sa bite durcit, son rythme s’accéléra et nous explosâmes tous les deux de plaisir.
Le petit jeune commençait à apprendre.

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