Un plombier retrouve lors d'une intervention à domicile un amour d'été. Cela sera-t-il le début d'une nouvelle aventure ? Cette histoire est ma première incursion dans les écrits à caractère érotique. Ecrite il y une bonne dizaine d'année, je vous la propose telle que j'ai rédigé, quelques fautes en moins.
Proposée le 3/04/2019 par Verdu
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Il pestait dans son fourgon. Il avait prévu d'arriver tôt chez ses clients pour pouvoir finir rapidement les travaux de plomberie qui ne s'annonçaient pas bien compliqués. Pour une fois, il serait à l'heure à la sortie du collège pour partir en week-end avec ses filles. Ils l'avaient bien mérité tous les trois.
Il venait juste de finir de changer sa roue crevée et tournait depuis un moment dans cette banlieue résidentielle selon les instructions de son GPS. Mais impossible de trouver la maison ! A bout de patience, il prend son téléphone et appelle.
– Allo ! Madame Belmont ?
— Oui ! répond la voix au téléphone.
— Je suis Thomas, le plombier que votre mari a appelé pour vos problèmes d'évacuation dans la salle de bain. Pourriez-vous me dire ou se trouve votre maison car mon GPS me fait tourner en bourrique ?
Riant au bout du fil, la femme lui dit :
— Mon mari ne vous a pas expliqué la route ?
Elle lui donne les indications finales pour qu'il puisse enfin arriver à bon port.
Quelques minutes plus tard, il sonne à la porte d'un pavillon cossu et une rousse aux yeux verts comme on ne peut en trouver qu'en Irlande lui ouvre la porte.
— Excusez- moi pour le retard, j'ai crevé une roue ! …
— Ce n'est rien, l'essentiel, c'est que vous soyez arrivé ! Suivez-moi ! Je vous montre la salle de bain
Thomas suit alors cette femme qui avance dans le couloir. Ses yeux ne peuvent s'empêcher de se porter sur ses formes, sur cette taille fine, ses fesses moulées par la jupe. Il ne peut que réprimer un frisson, veuf depuis plusieurs années, il s'est donné à fond dans son travail pour pouvoir offrir à ses filles des vacances chez leurs grands-parents au soleil des Antilles.
En arrivant devant la salle de bain, la jeune femme s'écarte pour le laisser passer et alors qu'il franchit le seuil de la porte, il la regarde en souriant, les yeux dans les yeux. Elle lui rend son sourire en rougissant, et baisse le regard.
— Je vous laisse travailler. Je serai dans la cuisine.
— Pas de problème ! Répond-il, la regardant s'éloigner.
Il se reprend et d'un regard circulaire, il visualise l'ensemble de la salle de bain, souriant en découvrant un objet dont l'usage ne fait guère de doute.
— Allez au boulot ! Tu n'es pas là pour ça ! Il se penche sous le lavabo, regarde rapidement et comprend vite l'origine du problème. Effectivement comme il pensait cela ne lui prendrait pas beaucoup de temps.
Il se relève et se dirige vers la cuisine pour informer sa cliente qu'il va prendre sa boite à outil dans son fourgon
Elle lui tourne le dos, préparant des légumes, il ne peut pas s'empêcher de s'approcher derrière elle. Les yeux posés sur sa croupe, il lui pose les mains sur les hanches et à sa grande surprise, elle ne proteste pas. Il fait bien une tête de plus qu'elle. Il laisse les mains immobiles et vient au contact de son dos. Il la sent frissonner, il remonte lentement ses mains en les faisant passer devant et empaumer la poitrine ferme. Il masse doucement ces globes généreux alors qu'elle se retourne vers lui tendant ses lèvres.
Leurs bouches soudent et la femme commence alors à glisser ses mains sur le torse de l'homme qui la surplombe. Elle ouvre les boutons doucement un par un et découvre une poitrine musclée sur laquelle elle vient déposer des baisers. Lentement, elle parcourt la peau d'ébène de l'homme du bout des lèvres, s'attardant sur les mamelons. Elle le sent réagir et tout en continuant son exploration avec sa bouche, sa main vient se poser sur la bosse qui déforme le pantalon. De ses doigts fins et agiles, elle dégrafe les boutons et la ceinture et trouve rapidement l'objet de son désir. Elle le cajole quelques instants tout en descendant son visage vers le bas ventre.
Thomas gémit doucement en caressant les cheveux de la femme qui prend son sexe du bout des lèvres et commence à téter. Rapidement, il le sent réagir et durcir surtout quand elle le prend plus profondément en bouche et commence des va et vient lents le long de la hampe.
Il la relève et la prenant par la taille, la dépose sur la table de la cuisine. Il vient entre ses cuisses et écartant juste la ficelle du string, il la pénètre en douceur. Elle gémit et croise ses chevilles dans le dos de son amant. Thomas la maintient par les hanches et ajuste ses mouvements en fonction des réactions de sa compagne. Et quelques minutes plus tard, ils partagent ensemble un long moment d'extase. Ils sont l'un contre l'autre. Il se retire doucement et l'embrasse tendrement.
— Tu es toujours aussi extraordinaire, Thomas ! Oh merci ! Cela me rappelle cette plage de Marie Galante il y a quinze ans… Dit-elle en se serrant contre lui.
— Et toi tu es toujours aussi magnifique ! Les années n'ont fait que t'embellir.
— Charmeur ! … Lui dit-elle en lui déposant un baiser du bout des lèvres. Mais je crois que tu es venu ici pour un problème de salle de bain !
— Oui, oh ne t'inquiète pas, cela va aller vite, je vais prendre les outils et dans cinq minutes tu pourras de nouveau profiter de ta baignoire.
En franchissant le seuil de la maison, il remarque sur un meuble de l'entrée des poupées vaudous. Il fronce les sourcils car d'après le souvenir de sa tante qui pratiquait cet art ancestral, ces poupées ne sont pas sensées porter chance. Il hausse les épaules et après avoir récupérer son matériel, il retourne faire ce pourquoi il est venu.
Comme il s'y attendait, cette remise en état ne lui prend pas plus de quelques minutes et après avoir rangé ses outils, il retourne au salon et professionnellement, il établit sa facture qu'il présente à sa cliente avant de partir. Il ne faudrait pas que le mari se doute de quelque chose…
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